Chapitre Deux
Chapitre 2
13 Juillet (séance six)
Lors de la première séance, nous avons commencé à mettre en application les termes du contrat. Je lui avais fait apprendre les cinq positions. Jétais assis dans un fauteuil, au salon, et je lui ai fait répéter les gestes jusquà ce que cela devienne automatique.
Position n° 1 : Debout, les jambes légèrement écartées et les mains derrière la tête. Cest une position dattente qui met bien la poitrine en valeur.
Position n° 2 : « Présentation des seins. » Debout, les jambes légèrement écartées, les mains se positionnent sous les seins et les remontent vers le haut. Idéal pour la pose de pinces sur les tétons.
Position n°3 : Debout, les jambes légèrement écartées, les bras croisés derrière le dos. Cest également une position dattente mais celle-ci peut facilement être adopté en public.
Position n°4 : « Présentation de la chatte ». Debout, les jambes écartées, le bassin projeté en avant. Les mains viennent écarter les grandes lèvres de la chatte. Très pratique pour poser des pinces ou, vérifier létat dexcitation.
Position n° 5 : « Présentation des fesses ». Debout de dos, les jambes écartées, penchée en avant. Les deux mains viennent écarter les fesses au maximum. Cest la position rêvée pour la pose dun plug.
Elle était bonne élève et au bout dune heure, nous sommes passés aux façons de sasseoir en public et en privé.
Position assise en public :
Chaque fois que possible, elle relève larrière de sa jupe et pose ses fesses nues à même le siège.
Elle doit garder en permanence les cuisses disjointes et les mains de chaque côté du corps.
Position assise en privé :
La tenue de rigueur en privé étant la nudité totale hormis les chaussures, elle doit sasseoir, écarter largement les jambes, se soulever dun côté en écartant la fesse opposée puis se soulever de lautre côté en écartant lautre fesse.
Les mains de chaque côté du corps.
Nous avons terminé la séance avec les réflexes de langage quelle doit adopter :
Quand il sagit de ses seins :" Je suis une petite chienne où, je suis une bonne chienne."
Quand il sagit de sa chatte: "Je suis une petite salope où je suis une bonne salope."
Quand il sagit de ses fesses: "Je suis une petite pute où je suis une bonne pute."
Je lai mise en position n°1 et je suis allé chercher une spatule de cuisine.
Une petite tape sur un sein : Elle démarre au quart de tour : « Je suis une petite chienne ».
Une autre tape sur lentre-jambe : « Je suis une bonne petite salope »
Je lencourage :
« Cest très bien. Et si tu devais développer ? »
Nouvelle claque au même endroit : « Je suis une petite salope
qui est en train de se faire claquer la chatte »
Je massure quelle ait bien compris :
« Demi-tour ! » Elle se tourne, toujours les mains sur la tête.
Une tape sur les fesses : « Je suis une bonne petite pute qui
aime se faire enculer ? »
Elle était prête.
Dans la semaine qui a suivi, jai pensé quil me fallait quelques accessoires et que cela pouvait faire lobjet de la deuxième séance.
Ainsi, à lheure dite, nous avons pris la voiture et avons commencé par une animalerie. Elle me suivait dans les rayons en position n°3, les yeux baissés, et nous sommes passés à la caisse avec un collier, une laisse et une gamelle en métal. En somme, nous avions lair du couple qui vient dadopter un chien. Là où le vendeur a levé les yeux sur ma femme, cest quand il a vu quil y avait également une cravache sur le tapis. Il a dû imaginer ma femme nue, tenue en laisse en train de laper dans sa gamelle tout en recevant des coups de cravache sur les fesses.
Emoustillé par le regard denvie que javais vu dans les yeux du commerçant, jai emmené ma chérie dans un grand magasin.
« Tu vas acheter un concombre, des préservatifs et du lubrifiant. Tu choisiras un caissier homme pour payer tes achats ! »
« Oui Monsieur »
Cest un classique mais javais trop envie de la voir faire ça. Je lai suivie à distance et elle a gardé les yeux baissés pour passer à la caisse devant un jeune homme qui na pu retenir un grand sourire quand il a compris.
En me rejoignant, un peu après les caisses, elle est venue à mon oreille :
« Je suis une petite salope qui a envie de se prendre un concombre dans la chatte »
Décidément, elle y met du sien.
Le dernier arrêt fut au magasin « Marc Dorcel », enseigne de sex-toys réputée.
Le personnel de ce magasin était exclusivement féminin et dès notre arrivée, une jeune femme sest approchée de nous :
« Je peux vous conseiller ? »
Toujours en position n°3 et les yeux baissés, ma femme ma vu faire lacquisition de deux butplugs de tailles différentes, dun martinet, dun godemiché et dun uf vibrant télécommandé à distance.
Nous sommes rentrés à la maison, la séance était terminée.
Pendant la semaine, je pense évidemment à la séance précédente ainsi quà la suivante. Je rajoute des éléments dans les grilles doptions qui accompagnent le contrat. Ces grilles sont posées sur le bureau et elle doit les remplir.
Je ne lui laisse pas vraiment le choix puisque seules deux cases existent :
« Jaccepte » et « ça mexcite ». Ça me permet quand même de savoir ce qui lui plait.
Ainsi la semaine dernière, après lépisode avec Laurent :
« Être nue devant un inconnu », et: « Séance devant un inconnu », elle avait coché pour les deux : « Ça mexcite ».
Cela mavait donné des idées.
Aujourdhui, le temps est gris mais nous sommes mi juillet et la température est douce.
séance n°6.
Je lui avais dit : » Cet après-midi, 16h, tenue publique, nous sortons !
Elle avait acquiescé :
« Oui Monsieur »
A chaque fois, cétait un cadeau quelle me faisait.
Il faut dire que je ne cherche en aucun cas à lui faire mal, bien au contraire. En fait, mon plaisir est de la voir prendre le sien. Comme elle ne peut pas savoir avant d'avoir essayé, je lui propose tout un éventail d'expériences et ensuite elle coche sur la grille.
A 15 heures, elle avait disparue dans la salle de bains. J'avais entendu le bruit de la douche, du sèche-cheveux. Et à 16h, elle descendait, vêtue d'un haut boutonné, et d'une minijupe. Elle était superbe, comme d'habitude.
" tu es juste magnifique ma chérie"
"Merci Monsieur"
Inutile de lui demander si elle est prête, si elle m'appelle Monsieur, c'est qu'elle est consentante.
Je l'amène à un bout de la table où j'ai disposé, un peu en retrait, un collier et un ordinateur portable.
" Mets ton collier et Position n° 5 ! "
"Oui Monsieur". C'est un simple collier pour chien en cuir noir muni d'un anneau pour y accrocher une laisse. Elle le ferme sur son cou puis prend la position. Elle se penche en avant jusqu'à faire toucher ses seins sur le bois de la table, fais remonter l'arrière de sa jupe sur ses reins et écarte largement ses fesses avec les deux mains.
"Je suis une bonne petite pute. »
Je passe derrière elle. En écartant ainsi ses fesses, je sépare également les lèvres de sa chatte et j'ai une vue splendide sur ses deux trous. Je meurs d'envie de la prendre comme ça, tout de suite, mais soyons patient.
"Je veux que tu révises le contrat au chapitre "Montée et descente de voiture".
"Oui Monsieur"
J'ouvre la page correspondante :
Montée et descente de voiture
Pour la montée:
1 Si Monsieur est au volant :
Ouvrir la portière, me mettre de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de s'asseoir, puis m'installer fesses nues sur le siège.
2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture.
S'asseoir perpendiculairement au fauteuil, fesses nues sur le siège. Faire monter la jambe gauche dans la voiture en laissant la jambe droite à l'extérieur afin d'écarter les jambes au maximum. Remonter la jupe pour découvrir la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Faire monter alors la deuxième jambe.
Dans les deux cas, après avoir refermé la portière : Ecarter largement les jambes puis chaque fesse afin que le petit trou soit en contact avec le siège.
Déboutonner le chemisier pour laisser entrevoir les seins. Poser les mains à l'extérieur des cuisses pour que la chatte soit bien visible.
Pour la descente :
1 Si Monsieur est au volant :
Ouvrir la portière, me mettre debout de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de fermer la porte, puis faire redescendre la jupe.
2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture.
Pivoter vers lextérieur, en sortant la jambe droite au dehors afin d'écarter les jambes au maximum. S'assurer que la jupe, en bougeant, ne cache pas la vue sur la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Sortir alors de la voiture et faire redescendre la jupe.
Pendant sa lecture je suis allé chercher un de ces crochet en forme de S destiné, quand il est introduit dans l'anus et tiré par une corde reliée au collier, à amplifier la cambrure. Je lai commandé sur internet et il est arrivé cette semaine. Je mets un peu de lubrifiant sur le bout de mon doigt et je masse doucement son orifice en faisant parfois pénétrer la première phalange. Son dos se creuse un peu plus, elle aime.
Je fais rentrer une extrémité du crochet dans son petit trou, j'entends un gémissement. Je relie l'autre extrémité à l'anneau du collier par une cordelette que je commence à tendre. La cambrure s'intensifie. Je tends encore la cordelette.
"Je suis une bonne petite pute" dit-elle dans un souffle. Ce doit être le signal que c'est le maximum tolérable. Je relâche un peu.
"Maintenant je veux que tu revoies le contrat au chapitre : Comportement en public !"
"Oui Monsieur"
J'ouvre la page.
Comportement en public
La tenue de rigueur est jupe courte et haut boutonné.
Position debout:
Ma position debout doit être naturelle en adoptant le plus souvent la position n°3 : Bras croisés dans le dos.
Il m'est strictement interdit d'initier une conversation avec quiconque.
En revanche, je devrai répondre avec humilité et respect si la parole m'est adressée.
En extérieur comme en intérieur, j'ai interdiction de plier les genoux. Si je dois me pencher, je garde les jambes tendues.
Je ne dois jamais manquer une occasion de dévoiler et exposer mes seins, mes fesses ou ma chatte à Monsieur, à chaque opportunité qui se présente.
Faire ma pisseuse (en public):
Si je dois aller aux toilettes pour uriner, je dois dire : "je suis une petite pisseuse" et attendre l'autorisation.
Une fois sur place, je dois me mettre entièrement nue, à l'exclusion des chaussures, et prendre une photo de ma chatte que je montrerai à Monsieur dès ma sortie des toilettes.
" J'ai terminé Monsieur". Je remarque qu'elle fatigue à garder la position. Je lui retire son collier puis le crochet anal. Elle arrondit son dos pour se détendre. Je vais lui donner un moment de répit.
"Bois un verre d'eau et rejoins moi à la voiture !"
"Oui Monsieur"
Je sors.
De ce côté de la maison, la porte d'entrée donne sur un grand jardin sans vis-à-vis. La voiture est garée devant, je m'installe au volant. A peine trente secondes, elle n'a pas trainé, je vois la porte passager s'ouvrir. Elle se place dans l'encadrement, me tourne le dos et relève bien haut l'arrière de sa jupe dévoilant ses fesses, elle écarte un peu les jambes. Comme je suis assis, je distingue le renflement de la chatte sous les fesses et même, un peu de ses petites lèvres qui dépassent.
" je suis une bonne petite pute"
"C'est bien ! Monte !"
"Oui Monsieur" Elle s'assoit à même le siège en cuir, écarte bien les jambes, puis les fesses lune après lautre, relève le devant de la jupe pour dégager la chatte, défait un bouton de son chemisier, pose les mains sur les côtés. Pour l'instant c'est un sans-faute.
Je manuvre pour sortir de la propriété et prends la route vers la ville la plus proche.
Mon plan est le suivant : rejoindre une grande surface et mettre ma femme entièrement nue dans différentes occasions que j'ai déjà imaginées. J'espère même réussir à la faire se déshabiller devant au moins un inconnu.
Nous arrivons, je trouve une place sur le parking, je coupe le moteur.
C'est le week-end et, bien sûr, les grandes surfaces sont très fréquentées. Elle ouvre sa portière, elle sort, relève l'arrière de sa jupe.
"Je suis une petite pute" dit-elle à voix basse mais distincte.
Elle a les yeux baissés mais moi, je vois un homme qui viens vers nous pour sans doute, récupérer sa voiture. J'attends un peu et je la laisse les fesses à l'air.
Finalement, l'homme s'arrête une allée plus loin. Il n'a rien remarqué.
"Allons-y !" la jupe retombe.
Nous entrons dans l'allée principale du magasin.
Elle s'approche de mon oreille :
"Je suis une petite pisseuse". Ah Oui ! Le verre d'eau, elle a dû en prendre un grand.
"Va ! Je t'attends ici !" Elle séloigne, je l'imagine enlever son haut, sa jupe, une fois nue, faire une photo, puis faire son pipi et se rhabiller.
Tiens au fait, juste avant de partir, elle à oublier de dire "Oui Monsieur". Il va falloir que jajoute un chapitre « punitions » au contrat. Pas vraiment pour la punir ou lui faire du mal, bien sur, mais plutôt pour lui permettre, en "oubliant" sciemment certaines règles, de m'indiquer ce dont elle a envie. A creuser...
Je repère le photomaton dans l'allée. Ça n'est pas un hasard, je savais pertinemment qu'il était là.
La voilà qui revient. Elle me montre son portable sur lequel saffiche sa chatte en gros plan. La photo nest pas bonne mais ça nest pas le plus important. Le plus important cest quelle ait obéi aux ordres, au contrat. Et cest ce qui mexcite au plus haut point.
Je lui montre le photomaton.
"Tu vas aller faire des photos de toi toute nue "
"Oui Monsieur" et elle repart.
C'est un de ces appareils qui peut prendre quatre poses différentes. Un rideau est tendu à l'entrée mais il ne descend pas jusqu'en bas. Les photos sortent à l'extérieur et des clients attendent leurs tirages. Il y a là une femme et un homme.
Elle rentre dans le petit local, tire le rideau. Par-dessous je vois ses jambes jusqu'aux genoux. Je vois la jupe passer par ses pieds, je l'imagine enlever le haut. Elle doit être entièrement nue maintenant et se débattre avec le monnayeur. Des épreuves sortent de la machine, la femme qui les attendait les récupère et s'en va. Je vois le premier flash dans la cabine, trois secondes, le deuxième et ainsi de suite.
Sous le rideau, je vois la jupe passer par les pieds et remonter sur les jambes puis le rideau s'ouvre. Elle me rejoint.
A mon oreille : "J'ai été une bonne chienne, une bonne pute et deux fois une bonne salope" Ce qui me donne à penser qu'elle a pu photographier ses seins, ses fesses et sa chatte à deux reprises. Dans l'ordre.
Nous sommes un peu à l'écart de la machine et nous attendons maintenant la sortie des photos. L'homme qui a fait les siennes avant nous, flâne devant la vitrine du magasin voisin, il n'a pas vu que ses photos l'attendaient. Tant mieux ça m'arrange. Ce sont les nôtres qui sortent maintenant et qui sont venues s'ajouter aux précédentes.
Je temporise.
Ça y est, l'homme vient chercher son dû. Il prend le paquet de photos et la surprise se lit sur son visage. Il les examine minutieusement l'une après l'autre.
"Maintenant !"
"Oui Monsieur" Elle va vers la machine et tend la main vers l'homme qui sélectionne les épreuves :
Il bafouille:
"Euh oui! Voila les vôtres. Excusez moi. "
Quand elle fait demi-tour et revient vers moi, je vois le regard de l'homme s'attarder sur le bas du dos de ma chérie.
Passons aux choses sérieuses, nous entrons dans la grande surface proprement dite et je me dirige vers le rayon multimédia. Jy prends un DVD au hasard. Puis nous allons au rayon vêtements. Jen prends un, également au hasard, et jemmène ma chérie vers les cabines dessayage.
Nous entrons tous les deux dans une des cabines avec le vêtement et le DVD. Une fois à lintérieur, je défais la pellicule du DVD, et récupère la petite bande antivol.
« Arrange-toi pour passer ceci dans lourlet de ta jupe »
« Oui Monsieur »
Pendant ce temps, j'abandonne le DVD par terre dans un coin.
« Cest fait Monsieur »
« Cest très bien, quand je te ferais signe, disons quand je me passerais une main dans les cheveux, tu te déshabilles rapidement et entièrement »
« Oui Monsieur »
Nous allons reposer le vêtement que javais pris pour justifier notre passage aux cabines dessayage puis nous nous dirigeons, nayant plus aucun article, vers la « sortie sans achat ».
Bien sûr, lalarme se déclenche et un vigile ne tarde pas à arriver.
« Veuillez repasser devant les détecteurs sil vous plait »
Je passe dans un sens puis dans lautre. Rien.
Cest au tour de ma femme de faire laller-retour et
Lalarme retentit.
Dun coup dil, le vigile a tout de suite vu que la jupe et le haut quelle portait nétait pas neufs, en revanche, il a déjà coincé de nombreux clients qui cachaient de la lingerie, du maquillage ou autre sous leurs vêtements.
« Veuillez me suivre sil vous plait madame » dit-il.
Jinterviens :« Je suis son mari, je viens avec vous ! »
On dirait que ça ne lui plait pas :
« Non, Madame seulement »
Je mimpose :
« Elle nira nulle part si je ne laccompagne pas !».
Il essaye alors de mimpressionner :
« Je peux appeler la police, vous savez ? »
« Vous pouvez appeler qui vous voulez, ça ne changera rien. Elle ne bouge pas si je ne viens pas avec vous » Il voit que je nen démordrais pas.
« Très bien, suivez-moi tous les deux »
Nous marchons derrière lui au travers la foule de clients. Entre deux magasins, une porte. Il nous fait entrer dans le local de sécurité. Là, un de ses collègues est assis devant un bureau et des écrans retransmettent les images des différentes caméras installées dans le magasin.
Un autre collègue arrive, surement un dispositif pour nous intimider. Ils sont maintenant trois. Jai de la chance !
Lun deux prend une sorte dappareil portable et le passe de haut en bas devant ma femme. Il fait bip bip bip. Le vigile regarde sur lappareil et dit :
« Apparemment, il sagit dun DVD. Nous allons devoir vous fouiller madame, à moins que vous ne nous donniez ce DVD. »
Je me passe la main dans les cheveux. C'est le signal.
Aussitôt elle commence à défaire le premier bouton puis enchaine les deux autres. Dans un même mouvement elle a ôté son chemisier et baissé sa jupe jusquau chevilles. Elle a maintenant ses deux vêtements dans la main droite. Elle fait une courte pause et les laisse tomber sur le sol.
Tout sest passé en une seconde et les deux vigiles qui étaient debout devant elle nont pas eu le temps de réaliser. Ils sont maintenant devant une femme entièrement nue. Un des deux à la bouche ouverte. Le troisième, qui était de dos devant ses écrans, commence une phrase en se retournant :
« Dis donc, il faudrait peut-être aller chercher Corine pour la
» il se tait, scotché.
Ma chérie bouge. Très lentement, elle relève les bras et poses ses mains derrière la tête puis elle écarte légèrement les jambes. Cest la position n°1. Jai du mal à retenir un sourire. Il faudra que je la félicite pour cette initiative. Bon Dieu ! Ce quelle est belle. Dautre part, je ne sais pas si cest parce quil fait un peu frais dans cette pièce climatisée, mais ses tétons pointent comme jamais et comme elle a écarté un peu les jambes, on distingue tous les replis de sa chatte.
Le vigile :
« Heu
Non
ça ne sera pas nécessaire » dit-il sans détacher le regard de ma femme. Il faut dire que dans cette position, elle est sublime. Ses deux seins bien en avant, sa chatte parfaitement épilée, tous les moindres détails de ses lèvres.
Je mamuse comme un petit fou :
« Excusez ma femme, elle a la maladie de Wisenberg (je viens de linventer), elle a quelque fois des réactions bizarres. »
Il se ressaisit, ramasse la jupe et le chemisier par terre, les inspecte, passe le détecteur qui réagit sur la jupe et dit :
« Ça doit être un anti vol dun autre magasin, cousu dans la ceinture. En tous les cas, veuillez nous excuser »
Je continue à mamuser :
« Ya pas de mal ! Tu vas thabiller maintenant chérie »
Aucune réaction, elle na pas bougé dun pouce. Ah !... Wisenberg !
Quand tu nous tiens.
Les secondes passent, pendant ce temps les trois hommes continuent à se rincer lil. Jen vois même un qui regarde fixement lentre jambe de ma femme.
« On va y aller ma chérie »
Cette fois elle réagit, elle baisse les bras, fait demi-tour et se dirige vers la sortie. Elle a déjà entr'ouvert la porte quand un vigile la retient.
« Attendez Madame il faut remettre vos vêtements » lui dit il gentiment.
Elle semble réaliser, prend les vêtements que lui tend lun des vigiles et les passe.
Nous quittons le local sur un :
« Excusez-nous encore »
Je manque de répondre :« De rien tout le plaisir était pour moi » mais je me retiens.
Sur le chemin vers lextérieur, jatt un de ses bras quelle a croisé derrière son dos et lui dit : » Cest très bien, tu as été parfaite. »
« Merci Monsieur. »
Sur le parking, jouvre la portière côté passager. Elle sassoit fesses nue sur le siège, rentre uniquement sa jambe gauche, remonte le devant de la jupe et attend, les yeux baissés.
Le parking grouille de monde mais cachée par la portière dun côté et par moi-même de lautre, personne ne peut rien voir. Je jette un regard circulaire. Cest calme autour de la voiture.
« Ne bouge pas ! »
« Oui Monsieur »
Je laisse la portière grande ouverte et je fais le tour de la voiture pour venir minstaller au volant. Une fois assis, je prends mon temps et je la laisse, comme ça, la chatte exposée à la vue de tous. Elle ne le sait pas mais, en ce moment, ce coin du parking est plutôt désert. Bien sûr, il pourrait arriver quelquun à nimporte quel instant et elle serait vue. Je lui demande :
« Tout va bien ? »
« Oui Monsieur, je suis une petite salope qui montre sa chatte »
Je ne peux retenir un grand sourire:
« Ça cest bien vrai ! Dis-moi, jai une question à te poser : Tout à lheure dans le local des vigiles, que ce serait-il passé si un deux ne tavait pas empêchée douvrir la porte ? »
« Je serais sortie Monsieur »
« Et tu aurais marché comme ça, dans lallée commerçante, entièrement nue au milieu des clients ? ».
« Oui Monsieur Je suis votre petite salope Monsieur. » Elle me lavait déjà dit à la quatrième séance : « Tu peux me mettre entièrement nue où tu veux, quand tu veux. » Jen ai la confirmation.
« Monte ! je veux vérifier quelque chose »
Elle rentre la deuxième de ses jambes en prenant soin de les maintenir bien écartées, ferme la portière, défait un bouton.
Sa chatte est très accessible, je rentre un doigt sans aucune difficulté.
« Je suis une petite salope qui mouille et qui aime se faire doigter la chatte »
Elle accompagne sa phrase dun petit gémissement. Je mets un deuxième doigt et je fais quelques va et vient, elle la bien mérité.
« Ou uii
cest bon Monsieur . Je suis une petite salope qui a envie de se faire mettre »
Certainement, mais jai encore des projets. Je démarre et je lui tends une bouteille deau.
Le temps de rentrer à la maison, il est 17h30.
A peine la porte dentrée ouverte :
« Je suis une petite pisseuse Monsieur ». Ça tombe bien ! Mais je my attendais. Quand elle est à jeun, il lui faut à peine vingt minutes pour que leau passe de son estomac à sa vessie.
« Très bien, va chercher ton collier, ta laisse, un rosebud et les pinces pour les seins. Mode privé ».
Elle se déshabille dans lentrée, va prendre les accessoires et reviens vers moi.
« Position n° 2 » Pour poser les pinces.
« Position n°5 » Elle sécarte la chatte
« Non ! Ça cest la 4, Position n° 5 ! ». Encore une punition qui se perd ! Elle tourne le dos, se penche en avant et écarte ses fesses » Tiens elle na pas pris le plus petit des rosebud, elle a envie dessayer une taille au-dessus. Je mets le rosebud dans sa bouche pour lhumidifier puis je lintroduis doucement dans son petit trou. Gémissement. Jen profite pour inspecter la chatte en tirant un peu sur les grandes lèvres de chaque côté. Nouveau gémissement. La moule est toute trempée. Je ferme le collier sur son cou, attache la laisse.
« Mets-toi à quatre pattes »
« Oui Monsieur, je suis une petite chienne qui a envie de faire sa pisseuse »
Je tire sur la laisse vers lextérieur. Chacun de ses mouvements font tinter les clochettes. Je la fais marcher comme ça un petit moment dans le jardin. Puis je stoppe.
« Je vais tapprendre une nouvelle position Ce sera la n° 6 : position de pisseuse ».
« Oui Monsieur ».
« Reste à quatre pattes, pose les avant-bras au sol, écarte les jambes au maximum et cambre-toi pour bien faire ressortir ta chatte »
« Oui Monsieur »
Je me positionne derrière elle pour voir le résultat. Les lèvres sont bien ouvertes, le clito bien visible et le petit trou du cul bien apparent, décoré du rosebud.
« Fais ta pisseuse !»
Elle a à peine le temps de dire « Oui Monsieur » que le jet est déjà parti.
Jai dit que le jardin était sans vis-à-vis, mais lentrée de lautre côté de la maison nest pas pourvue de portail. Si un livreur, le facteur ou même un voisin, pour emprunter du sel, se pointe, il ne va pas être déçu. Mais bon ! Après tout, cest une propriété privée.
On dirait quelle a fini. Elle attend.
« Caresse toi la chatte »
Elle amène une de ses mains à lentre jambes et ses doigts tourne sur le clitoris et lentrée du vagin.
Par moments elle introduit deux doigts dans la moule. Les tintements des clochettes sont accompagnés de gémissements.
Elle répète en boucle :
« Jsuis une chienne, une salope, jsuis une petite pute »
Cen est trop, Je magenouille derrière elle, je sors ma queue et je la pénètre dun seul coup. Après quelques aller-retours seulement ma chérie senvole.
« Ou
ou oui ! Encore ! Je vais jouir ! Est-ce que je peux jouir Monsieur ? »
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