Compiègne : Le Lendemain Matin, À Vincennes (Épisode 7)
Résumé :
Après lépisode de Compiègne (Virginie, son casting), Bob ramena Virginie à Vincennes. Dans la voiture, la belle succomba au chagrin et à la tristesse, en se posant beaucoup de questions sur son sort. En arrivant à Vincennes, Bob la coucha délicatement et demanda alors, au téléphone, à sa belle-mère sil sétait passé quelque chose avec Virginie. N. nen savait strictement rien et Bob sendormit à son tour dans la soirée à côté de sa belle, en se posant un tas de questions.
Récit :
Le lendemain, Bob avait téléphoné à son travail pour dire quil ne viendrait pas et que sa belle était particulièrement malade. Il faut dire quil nétait pas loin de neuf heures du matin et Virginie nétait toujours pas réveillée. Bob lui était debout depuis les sept heures. Il avait déjeuné et sétait déjà douché. Il ne voulut pas réveiller sa belle sachant quelle avait besoin de repos aux vues de létat dans lequel elle était hier en revenant de Senlis.
Virginie se réveilla vers les neuf heures passées. Bob était à côté delle à son réveil. Il lui souriait, toujours plus amoureux delle chaque jour.
- Quelle heure est-il ? demanda Virginie, en sortant doucement de sa torpeur.
- Il est neuf heures, lui répondit Bob.
- Quoi ! fit Virginie en sursautant. « Mais je suis en retard, je dois aller travailler
»
- Du calme, du calme, répondit Bob. « Jai appelé ta boite pour dire que tu ne viendrais pas aujourdhui, que tu es malade. Tu as besoin de repos. Jai pris rendez-vous pour toi chez le médecin aussi. »
- Tu as fait ça ? rétorqua Virginie, en se remettant de ses émotions.
- Oui, tu as besoin de repos. Jai pris ma journée aussi, ajouta Bob. « On va passer la journée tous les deux en amoureux et on va se reposer. »
Virginie sentait la pression se relâcher. « Prendre un rendez-vous chez le médecin, tout de même ! » pensa-t-elle.
- Je ne suis pas malade.
- Repose-toi. De toute le façon le rendez-vous chez le médecin, cest cet après-midi. Et puis, on peut annuler, si tu veux.
- Oui, je préfère. Jai juste besoin de repos.
- Ok. Je lui demande juste quil te fasse un arrêt pour aujourdhui.
- Non, pas la peine, je rattrais en faisant des heures supplémentaires. Ma direction est conciliante.
- Très bien, ajouta Bob. Le petit-déjeuner est prêt si tu veux, tu nas plus quà tinstaller. Je peux aussi te lapporter au lit sur un plateau.
Bob était vraiment aux petits soins pour sa belle. Pour elle et elle seule, il aurait fait le tour du monde, décroché la Lune, gravi les plus hautes montagnes, traversé les plus intrépides océans. Virginie était sensible à ces petits gestes affectueux et cest pour cela aussi quelle laimait bien. Bob lavait conquise par la séduction, la surprise, la délicatesse aussi. Elle lavait trouvé drôle, beau, mignon, dès le premier jour où ils se sont rencontrés.
- Je veux bien le petit-déjeuner au lit, précisa Virginie à son chéri.
- Ok, je fais te chercher ça, répondit Bob.
Dans la foulée, Bob embrassa tendrement Virginie sur les lèvres. La belle était toute allongée dans leur grand lit, sur le dos, les cheveux ébouriffés. Ses yeux et sa bouche étaient dune extrême douceur. Virginie passa ses bras autour du cou de Bob pour mieux lembrasser et être réceptive à ce baiser fougueux. Leur langue de tardèrent pas à se mélanger, et, dans, un silence, on entendit un second baiser puis un troisième.
Bob sentit lamorce dune érection se poindre dans son pantalon.
- Pourquoi me suis-je habillé ? pensait-il.
Le baiser se fit plus langoureux. Virginie ne lâchait plus Bob et tout en lembrassant ou en se faisant embrasser, elle lui caressait les cheveux. Bob regarda sa belle dans les yeux et lui dit :
- Tu es belle, Virginie.
Virginie se laissait attendrir et regarda Bob dans les yeux. Elle avait tout oublié des tracasseries de la veille :
- Moi aussi, je taime Bob, lui répondit-elle.
- Tu veux toujours ton petit-déjeuner ? ajouta Bob.
- Après. Tu mas dit quon avait toute la journée pour nous.
- Exact ! ajouta Bob.
Cest ainsi que Bob et Virginie commencèrent une partie de leur journée. Nous étions un lundi et il faisait beau. Le temps idéal pour faire une balade en amoureux dans les bois ou pourquoi au Parc Floral de Vincennes. Virginie pour linstant avait dautres projets : faire lamour avec Bob, et Bob était pleinement du même avis. La journée avait beau être belle et ensoleillée, cela ne valait pas une partie de jambes en lair bien improvisée.
Les deux tourtereaux sembrassèrent alors ainsi longuement. Leur étreinte était entrecoupée de dialogues :
- Tu te souviens de notre première fois ? lui demanda Virginie.
- Et comment je men souviens ! Cétait chez toi, un lundi. Nous avions séché les cours pour se retrouver seuls tous les deux laprès-midi.
- Oui. Cétait bien.
Virginie pensait au bonheur quelle avait toujours eu dans les bras de Bob. Elle refusait de penser à autre chose :
- « Je veux que tu me prennes là, sans capote ». Puis dajouter « je veux un de toi ».
- Bob regardait Virginie : « Oh ma chérie, comme tu es belle », ajouta-t-il.
Dans la foulée, Bob se glissa entre les jambes à peine écartées de sa belle. Son sexe en érection, il le pointa et le glissa vers lentremise de sa belle, doucement, délicatement en regardant sa belle dans les yeux. Virginie aimait beaucoup ces moments de caresses et de tendresses ou le sexe de son homme vint la pénétrer profondément et pleinement. A chaque pénétration, elle sentait son vagin sétendre sur le sexe de Bob.
Bob faisait faire des soubresauts à son sexe à lintérieur du vagin de sa copine, comme pour éjaculer.
- Tu sais que je te sens à lintérieur quand tu fais ça, précisa Virginie à Bob.
- Oui, tu me las déjà dit.
- Tu sais que jaime bien, ajouta la belle.
- Oui, je sais. Cest pour cela que je le fais aussi.
Bob commença seulement à coulisser doucement du bassin. Sa belle était en dessous de lui. Il avait une main sur les hanches de sa belle, et de lautre il se tenait au matelas pour ne pas écraser sa dulciné.
- Prends moi fort, le supplia Virginie, tout en redressant ses jambes de part et dautre de Bob.
Bob accéléra alors la cadence. Il sentit alors la température de son corps augmenter. Il transpirait. De leau coulait de son front. Virginie écartait de plus belle ses jambes pour mieux ressentir les contrecoups de Bob et la pénétration de Bob. Son pubis vint claquer les chairs entre les deux corps. En faisant cela, Bob ne savait pas quil stimulait le clitoris de sa belle. Elle en revanche le savait bien et elle ouvrit encore plus amplement ses jambes qui maintenant étaient au-dessus delle.
Bob maintenait la cadence sur le même rythme pendant plusieurs minutes. De temps en temps, il sarrêta tout en restant dans le vagin de sa dulciné, « pour ne pas jouir tout de suite » disait-il car Bob voulait aussi faire durer le plaisir.
Létalon reprit alors sa cadence. Du cent-vingt-cinq coups à la minute ! sans doute. Virginie, qui pourtant navait pas lhabitude de jouir dans cette position, sentit tout dun coup la température de son corps augmenter. Sa poitrine devint rouge, son cou, ses joues devinrent rouges aussi :
- Je vais jouir ! dit-elle dune voix saccadée par les coups de butoir de son homme. « Je vais jouir ! »
Bob se sentit encouragé et il accéléra la cadence dautant quil pouvait. On aurait dit une machine de guerre, increvable. Son front dégoulinait de sueur. Ses cheveux étaient mouillés.
- « Oh, je vais venir aussi, ma chérie ! » ajouta-t-il, en hurlant.
- Oouii
! Oouii
! Ouiiiii !!!
- « Oh, Putain, je vais tout décharger, Putain, cest bon, Oui !! »
Bob venait de décharger de longs jets de sperme dans le vagin de sa chérie. Il faut dire quil ne lavait pas baisée depuis au moins huit jours, avant quelle ne parte toute une semaine à Senlis chez sa mère. Virginie, elle, venait de ressentir en elle les puissants jets de Bob au fond de son vagin. Dans sa tête, elle compta les giclées. Elle pouvait ressentir chacune delles toucher le fond de son vagin et cela la rendit heureuse.
Bob était heureux aussi. Il venait de donner un puissant orgasme à sa chérie et il en était fier. Sa belle, avant quil ne prenne la parole, ajouta :
- Ça faisait très longtemps que je nai pas eu un orgasme comme ça !
- Ah oui ? répondit Bob
- Oui, fit Virginie, épanouie.
Bob avait compris avec Virginie que les femmes ne fonctionnaient pas exactement de la même manière que les hommes. Elles pouvaient avoir des relations sexuelles, être satisfaites, sans ment jouir à tous les coups. Les orgasmes de Virginie étaient en effet occasionnels. Ils étaient toutefois dune rare puissance chaque fois quils se produisirent. La belle navait pas besoin de battre des records de position pour cela. Tout dépendait de son humeur, de son bien-être et
dun petit tour de magie aussi !
Voilà, la fin de cet épisode des aventures de Bob et Virginie. Vous aurez compris que Bob cest moi, et Virginie la femme de ma vie. Jespère que mon récit vous a plu. Nhésitez pas à mettre un commentaire dans de cas ; et promis, dans ce cas-là, je vous raconterai la suite.
Bons becs à tous !
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