La Vie Dissoue D'Une Bigote 21 : Telle Mère Telle Fille
Je poursuivais donc mes relations avec mon ex belle-mère. Nous nous retrouvions parfois tous les deux seuls en dehors du groupe. Geneviève aimait beaucoup ces moments là. Depuis quelle mavait avoué son amour, sans être jalouse des autres, elle appréciait nos apartés. Ayant la tutelle de son mari, elle avait découvert quen fait celui-ci avait mis de côté des sommes importantes, à son insu.
Cette découverte lavait mise en rage et elle comptait bien profiter du pécule amassé, même si une bonne partie était en liquide et non déclarée. Après des années de vie monacale imposée, elle avait enfin les moyens de samuser.
Ses fonctions au sein de léglise catholique, lui donnaient des prétextes pour voyager. Certains étaient réellement destinés à des réunions pour l'évêché, mais elle se réservait quelques sorties moins officielles. Cest ainsi que profitant des mes congés, elle nous a organisé un séjour à Rome, un autre à Fatima et quelques-uns à Paris.
Dans ces moments, nous pouvions nous afficher main dans la main, comme un couple damoureux. Peut-être certains qui nous ont vus, ont pensé que la vieille se payait un gigolo, peu nous importait. Cétait un peu vrai, car Geneviève prenait tous les frais en charge. Elle sétait constitué une garde robe spéciale pour ces sorties. Ces habits la rajeunissaient et la mettaient en valeur et je ne parle pas des sous vêtements !
Nous passions des jours et des nuits heureux. Loin de chez elle, Geneviève se lâchait. Elle ne ressemblait plus à laustère paroissienne de son village. Je me demande même si quelquun la connaissant dans sa vie de tous les jours, la reconnaîtrait lors de ses balades. Chaque fois, je nous trouvais aussi un club libertin où ma belle-mère faisait le show. Sa classe naturelle et ses allures de grande dame lui valaient de nombreux et nombreuses partenaires. Cela ne nous empêchait pas non plus de faire lamour dans tous les coins.
Geneviève avait fait construire une piscine à côté de la maison.
En cette fin dété, je passais quelques jours de vacances au village. Je devais retrouver mon fils, mais il était en vacance avec sa mère et ne reviendrait quaprès le week-end. Ma belle-mère mhébergeait officiellement dans lancien appartement de Ludivine, mais comme avec sa maîtresse, je la retrouvais la nuit dans sa chambre. Cest alors que sa fille cadette est arrivée sans prévenir.
Avec Geneviève, nous étions frustrés. Notre intimité nétait plus possible. Le séjour devenait moins agréable. Bien sûr, jaimais beaucoup mon ex belle-soeur, mais cette fois-ci, elle tombait mal.
Dès son arrivée, Nelly a voulu profiter de la piscine. Aussitôt en maillot de bain, elle part sinstaller. Pendant ce temps, à labri de ses regards, ma belle-mère, comme je continue à lappeler, aussi frustrée que moi, sest mise nue dans le couloir et à genoux, ma gratifié dune fellation dont elle était devenue experte. Doù nous nous trouvions, je pouvais voir Nelly. Nous étions donc tranquilles de ce côté là.
Quand jai été bien raide, ce qui na pas traîné, jai relevé Geneviève, lai retournée, penchée sur une chaise, je lai pénétrée aussitôt debout par derrière. Nous étions face à la baie vitrée par laquelle on voyait la piscine. La situation était particulièrement excitante, même si Nelly ne pouvait nous voir.
Enfin calmés, je passais dans mon appartement pour trouver un maillot de bain, prendre une serviette et retrouver Nelly à la piscine.
Sur un transat, Nelly bronze. Elle a tombé le haut du maillot et ne cherche pas à cacher ses seins lorsque jarrive. Je dois dire que le spectacle et magnifique. Cest la première fois que je les vois depuis très longtemps. La dernière fois remonte à plus de quinze ans et alors, sa poitrine nétait aussi formée quaujourdhui.
Ses seins et surtout ses tétons érigés sont les mêmes que ceux de sa mère quand je les ai découverts lors de cette fameuse nuit qui a changé nos existences. Je suis scotché, incapable dun mouvement. Nelly tourne sa tête vers moi, bien consciente du tableau quelle offre.
Eh bien ! Tu as un problème ?
Je
je suis
surpris !
Tu en as vu dautre non ?
Oui ! Bien sûr ! Mais
dans ce contexte
Bon. Tu ne vas pas rester comme ça. Ta bite te trahit !
Ah ! Oh ! Pardon !
Il ny a pas de mal ! Au contraire, cest flatteur !
Je jette ma serviette sur un transat. et je plonge dans leau, à la fois pour cacher et pour diminuer mon érection. Leau fraîche et quelques longueurs me font du bien, mais le répit est de courte durée. Nelly me rejoint dans leau et rapidement vient se coller à moi.
Alors mon salaud, tu bandes toujours pour moi.
Tu le sais bien et tu ne fais rien pour lempêcher.
La simple vue de mes seins et
hop ! Ben dis-donc !
Cest que
Quoi ?
Ils.. Ils sont très beaux et
Tu les connais pourtant.
Je les connaissais, mais aujourdhui ils sont
Plus gros ?
Cest ça !
Et puis
Tes tétons
oui ?
On dirait ceux de
- jai failli dire ceux de sa mère -
De ma soeur ?
Non.
De qui alors ?
Tu ne connais pas.
Si tu dis ça cest que je la connais.
Non, non, cest une collègue.
Si tu le dis... En attendant, tu bandes mon salaud ! Et moi aussi jai envie !
Pas ici ! Tu es folle ! Si ta mère nous voit
Je men fous de ma mère. Jai envie !
Tu es ma belle-soeur..
Ex
Et je sais que tu maimes depuis toujours. Aujourdhui, je nai plus envie de jouer avec toi. Je veux
avec toi.
Ta mère
Tu magaces avec ma mère..
Elle.. arrive.
Nelly se détache de moi et séloigne dans leau. Geneviève sapproche, enveloppée dans un peignoir de bain. Arrivée près de la piscine, elle lenlève et se retrouve en maillot de bain. Cest la première fois que je la vois ainsi. Elle est superbe ! Elle sassoit sur un transat et nous interpelle.
Alors, leau est bonne ? Je la connais suffisamment, pour sentir un peu dironie dans sa question. Elle nous a vus, serrés lun contre lautre dans leau.
Très bonne ! Dis-je. Vous venez vous baigner ?
Oui, pourquoi pas.
Elle descend par léchelle, nous exposant ses fesses généreuses. Je bande maintenant, mais plus pour la même femme. Dans leau, Geneviève fait quelques brasses, me lançant au passage quelques regards discrets. Elle est heureuse de sexposer et ses tétons qui tendent le haut du maillot la trahissent.
De son côté, Nelly nage un peu et reste contre le bord. Je laisse les deux femmes dans leau et je vais métendre sur un transat pour me sécher tout en admirant les deux naïades. Nelly,la première, sort à son tour et vient se coucher sur sa serviette à mes côtés. Ses seins sétalent un peu sur sa poitrine, mes ses tétons restent tendus.
Après un moment, Geneviève nous rejoint et sinstalle sur le bain de soleil resté libre. Elle sassoit et déclare alors. :
Moi aussi jaime me mettre les seins nus ! Ça ne vous dérange pas ?
Pas du tout dis-je.
Oh maman ! Cest la première fois que je te vois ainsi ! Dit sa fille. Mais tu es toute bronzée dis-donc !
Javais pris l'habitude avec Lu
la locataire.Nous bronzions même nues !
Oh !
Je ne vais pas vous déranger, dis-je alors, je suis sec et je dois aller faire des courses, je vous laisse !
Je reprend ma serviette et men vais à mon logement. Après une douche, je quitte la maison.
Maintenant quil est parti, nous allons pouvoir nous mettre à laise, déclare Geneviève. Elle se lève et se débarrasse du maillot dont elle avait simplement baissé le haut. Nelly découvre alors sa mère pour la première fois entièrement nue.
Mais
Maman ! Tu es toute bronzée ! Et
épilée !
Oui ! Il y a longtemps. Javais été obligée de le faire pour un examen et javais trouvé ça très agréable. Depuis, je lai même fait de façon permanente au laser.
Eh bien dis-donc ! Cest une surprise !
Je te choque ?
N
Non ! pas du tout ! Je ne pensais pas que
Cest vrai que ça te va bien.
Merci. Mais si tu veux, ne te gêne pas pour moi. Déshabille- toi ! Tu verras, cest si agréable !
Un peu hésitante malgré tout, mais nayant pas envie de passer pour une godiche face à sa mère, Nelly tombe le bas et se retrouve à son tour nue. Elle a conservé une touffe de poils sur son pubis. Châtain clair et peu fournie, le tableau est joli.Sa mère continue, comme libérée.
Tu nas pas beaucoup de poils, tu devrais essayer de les enlever, tu verras, cest très agréable !
Maman ! On ne parle pas de ces choses là à sa fille !
Pourquoi pas ? Nous sommes entre nous ! Une mère peut donner des conseils à sa fille ?
Tout de même !
Ça te gêne ? Bon. Dans tous les cas, si tu le fais, évite le rasoir.
Maman !
Bon. Jarrête ! On va dans leau ? Cest aussi très agréable de nager nue.
Je ne te reconnais plus !
Tu crois que je suis trop vieille pour ce genre de chose ?
Ce nest pas ça, mais
. Je te découvre ! Cette jolie chaînette autour de ta taille, cest joli aussi et
drôlement sexy !
Merci.
Heureusement que Nelly ne sapproche pas trop de sa mère, sinon, elle pourrait voir que quelques maillons de la chaînette forment un Jappartiens à Jean. Geneviève avait eu peur de se faire tatouer mon prénom, aussi avait-elle trouvé ce stratagème, pour mavoir toujours avec elle. Elle portait dailleurs toujours sa chaîne avec le nom dans le dos Comme cela, vous voyez que je vous appartiens quand vous me prenez par derrière mavait-elle déclaré un jour.
La mère et la fille sont ainsi restées un bon moment entre la piscine et les transats, jusquà que le soleil se couche et quil soit temps de rentrer, les s arrivant pour le repas.. Nelly découvrait sa mère sous un nouveau jour. Elle lui devenait ainsi plus sympathique et plus proche. Le soir sous la table, alors que nous mangions avec les s, mes deux pieds étaient sollicités, dun côté par la mère, de lautre par la fille.
Après le repas, nous sommes sortis avec Nelly pour fumer une cigarette sur la terrasse. Nos s sont partis dans leur chambre pour jouer avant de dormir. Geneviève regardait la télévision. Nous sommes restés un bon moment.Nelly avait besoin de parler.
Cest incroyable ! Quand tu es parti tout à lheure, ma mère ma proposé de nous mettre nues. Apparemment elle en a lhabitude.
Dommage que je sois parti !
Salaud ! Ne rêve pas ! Cest justement parce quon était tranquilles, que nous lavons fait.
Normal !
Oui. Mais ce qui ma surprise, cest que ma mère est
entièrement bronzée !
Je la comprend. Elle est souvent toute seule et cest vachement agréable.
Toi aussi tu bronze à poil ?
Oui, Bien sûr ! Pas toi ?
Je nai jamais eu loccasion. Je ny pensais pas.
Et alors ?
Alors quoi ?
Vous avez bronzé à poil ?
Salaud ! Oui ! Cest la première fois que je voyais ma mère comme ça. Elle avait lair vachement à laise.
Et toi ?
Au début, jétais un peu crispée, mais après tout
Cest vrai que cest agréable, comme quand on est dans leau.
Cest sûr.
Je
Je ne sais pas si je peux le dire
.
Tu en as trop dit ou pas assez.
Cest que
Cest
intime
Ne le dis pas alors !
Après tout
Elle sépile..
Daccord !
Je veux dire
intimement !
Ah oui ! quand même !
Ça te choque ?
Non
Elle fait ce quelle veut, même si cest surprenant
chez elle !
Tu trouves aussi ?
Ben
La connaissant, on y pense pas, mais, pourquoi pas ! Quest ce qui te gêne ? Son âge ?
Non
Cest pas ça !... Enfin,un peu...Et elle est bronzée
intégral !
Elle nest pas si coincée quelle nen a lair, mais bon
En plus elle porte une chaînette à la taille
Je fais semblant dêtre indifférent, mais je me demande ce quelle a vu. Cest joli dailleurs ! Je la trouve rajeunie.
Cest vrai !
Tu crois que
Que quoi ?
Quelle a
. quelquun ?
Tu veux dire un amant ?
O.. Oui !
Bien lui fasse !
Tout de même !
Elle ny aurait pas droit ? Elle a avalé quelques couleuvres non ?
Cest que
Cest bizarre ! Cest ma mère
Laisse-la vivre sa vie. Cest vrai quelle est mieux quavant, plus
ouverte, moins
autoritaire
. comment dire, plus
abordable.
Tu trouves bien toi ?
Je crois oui.
Finalement tu as raison. Je la préfère comme ça.
Tu vois !
Bon. Tout à lheure, tu laisses ta porte ouverte en bas ? Jai envie
Salope !
Alors ?
Si tu nas pas peur de faire du bruit et que ta mère ne tentende
Je men fout
Enfin, non, mais
Tout ça ma excitée !
Fais comme tu veux.
Tu nas pas lair très enthousiaste. Tu nas pas envie ?
Bien sûr ! Tu es vraiment une salope !
Dis que ça ne te plaît pas ?
Je nai pas dis ça !
A tout à lheure mon salaud de beau-frère !
C'est ça qui texcite !
Oui ! Aussi .
Nous rentrons dans la maison. Geneviève regarde la télévision et nous installons avec elle. Nelly me lance un regard frustré. A la fin du programme, Geneviève nous quitte en nous souhaitant une bonne nuit. Je fais de même, laissant ostensiblement Nelly seule. Alors que je me dirige vers lescalier qui descend à lentresol, Geneviève qui mattendait, se colle à moi et membrasse Bonne nuit mon amour ! Pensez à moi comme je penserai à vous ! Je vous aime ! Bientôt nous serons seuls à nouveau
Une heure plus tard, je sommeille à moitié sur le canapé en regardant la télévision, .
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