Porn Revenge Fin Définitive Cette Fois
En pleine nuit je suis réveillé par des plaintes. On dirait que
une femme
A la lueur de ma lampe de chevet je constate que ma porte est mal fermée. Les gémissements se répètent. Ah : mes deux lesbiennes sont à luvre, en plein broute-minou. Je reconnais la voix déformée de Michèle. ment cest Josiane qui la fait jouir. La timide en amour est intraitable. Comment se fait-il que je les entende aussi nettement ? Je me lève avec lintention de refermer ma porte. Auparavant je tends loreille et distingue nettement les mots de Josiane :
-Tu jouis, ma chatte. Jadore te fouiller la fente. Tu en veux encore ? Tu exagères, mes mâchoires fatiguent. On pourrait changer. Viens, lèche-moi labricot et mets-moi un doigt.
Je jette un il dans le couloir. Une lueur léclaire. Le rayon sort de la chambre voisine. Ma porte est ouverte, celle des filles aussi. Bizarre. Il nest pas étonnant de recevoir les sons qui mont réveillé. A côté les deux amoureuses reprennent leur chant damour. Jai vu Zoé et Mimi. La stupéfaction mavait presque aveuglé. Je les avais filmées, je navais pas relu la scène de tromperie. Si jallais voir ces deux-là ? Ces deux amies ne me doivent rien, ne mont rien promis, nont pas juré fidélité à leur logeur. Voir le spectacle de ces étrangères se fera de façon sereine, ne me rendra pas furieux. Les circonstances sont favorables. Le hasard a voulu que deux portes bâillent. Cest exceptionnel, cela ne se reproduira plus.
Je connais les seins légers de Michèle si différents des demi-melons de Josiane ; elles nont pas peur de les laisser respirer à lair devant moi. Leur espèce dinnocence affichée leur confère un caractère inoffensif pensent-elles en bonnes amies. Elles ne cherchent pas à provoquer, nous sommes comme frères et surs dans une atmosphère familiale apaisée, où règne le naturel des purs. Par bonheur elles ne remarquent pas mon érection quand elles se déplacent les seins nus dans lappartement.
Josiane geint. Je veux savoir pourquoi. Je suis devant la porte entrouverte de leur chambre. Je regarde, cela restera mon secret, ne leur nuira pas. Il y a trop longtemps que je ne vois plus de corps de femme entièrement dévêtu. En voilà deux dun coup. Devant moi, sur le lit défait sétalent deux corps superposés dont seules sont visibles des parties. En gros plan, les fesses blanches dominent la chevelure brune de Jo. Celle-ci est occupée à lécher ou sucer la quetsche de Michèle. Elle est efficace à en juger par les bonds du fessier blanc. Dans la longueur sallonge, de la croupe aux épaules le dos de la blonde qui na pas de tête. Enfin, dont la tête est plongée entre les cuisses relevées de la brune.
Le soixante-neuf semble une position classique des lesbiennes, si je men tiens à ma courte expérience. Mais les demoiselles bougent et je découvre une autre combinaison. Michèle relevée sessuie le visage le long de son bras puis se déplace, sassied face à son amie. Je remarque lattention avec laquelle elle sapplique à glisser sa jambe gauche sous la droite de Jo et sa jambe droite au-dessus de la gauche ge lautre. Par petites secousses elle rapproche son bas-ventre aux frisettes blondes du sexe en attente de sa vis-à-vis. Elles ont entrecroisé leurs jambes, mettent leurs sexes en contact et commencent un ballet nouveau.
Je comprends que le but des mouvements est de presser lune contre lautre les deux vulves, en variant langle dattaque pour obtenir les meilleures sensations. Couchées face à face, puis lune se relevant, prenant le dessus, parfois en biais, parfois dans la position du missionnaire, elles sévertuent à donner et à recevoir ce plaisir souligné par les soupirs et les cris des efforts déployés.
Je suis sidéré dassister à ce type de combat, à ce corps à corps sans pitié dans lequel toutes deux engagent leurs forces. Lorgasme de la première précède de peu celui de la seconde. Il ny a ni vainqueur ni vaincu.
-Jean, entre donc, ne reste pas dans le couloir, nous tattendons.
Comme une seule femme elles sautent du lit, ouvrent toute grande la porte, m'entraînent sur le lit, me dépouillent de mon pyjama, me jettent sur le lit et m'entourent de leurs corps. Cette fois mon érection est remarquée. Josiane m'empoigne, me branle puis m'embouche. Je veux protester ? Michèle ne m'en laisse pas le temps :
- Pas de préjugés. Oui, nous sommes lesbiennes. Cela signifie que nous préférons faire l'amour entre femmes. Mais nous n'en faisons pas une règle absolue. Tu pourras observer immédiatement que ni Josiane ni moi ne sommes vierges. Ne crois pas que ce soit l'usage de godes qui nous aient déflorées. Nous avons connus des hommes. Malheureusement certains nous ont déçues. Tandis que toi...nous voulons te remercier de nous avoir reçues et pour ton amabilité habituelle
-Je n'ai aucun mérite particulier à l'avoir fait. Jamais je n'ai calculé de vous séduire. Jamais je n'ai espéré être pris en bouche par elle ou par toi. Mon invitation a été spontanée. Maintenant, si vous-mêmes souhaitez renouer des relations sexuelles avec un homme, je m'efforcerai de ne pas vous décevoir.
-Je nen doute pas. Nous connaissions ton caractère, nous découvrons avec bonheur que ton sexe est sensible à notre mise en scène. Car tu dois comprendre que les portes ne se sont pas entrouvertes toutes seules, que nous avons contribué positivement à ton réveil. Pardonne-nous de tavoir tendu un piège. Il est grand temps daméliorer nos rapports, de partir sur des bases nouvelles. Depuis des semaines tu nas plus dactivités sexuelles, ce nest pas bon pour toi.
Par laquelle commencer ? Michèle à la silhouette la plus parfaite. Elle exerce un certain ascendant sur sa compagne. Sans avoir reçu un ordre formel, Josiane se relève et s'assied contre la tête de lit. Michèle se fraie un passage entre les cuisses de la brune, remonte ses fesses jusqu'à entrer en contact avec son ventre et m'invite à m'installer entre ses jambes. Elle me prend en main, met mon sexe en contact avec le sien. Je renoue avec une pratique qui me manquait et je pénètre un vagin accueillant, naturellement lubrifié. Il m'arrive au cours de cette union de rencontrer les doigts de Josiane. Elle a passé ses bras sous ceux de Michèle et pianote sur son clitoris. Elle contribue au plaisir de sa copine et au mien. L'homme abandonné que je suis éprouve des sensations merveilleuses.
Le changement de partenaire place la tête de Josiane entre les cuisses plus minces de Michèle adossée au chevet. Elle lèche. Boit-elle mon sperme en reflux. A moi elle offre sa croupe, une croupe abondante, généreuse de petite grosse. Elle ne respecte pas les canons des miss. Sa posture me contraint à une levrette. Pour la deuxième fois je contacte une vulve, les grandes lèvres s'ouvrent, les doigts de Michèle écartent les nymphes, je pousse et je m'enfonce dans ce deuxième vagin.
J'ai la surprise sexuelle de ma vie. Je suis pris dans une fournaise brûlante agitée de tremblements nerveux incroyablement rapides. A mon tour je me lance dans une course folle. Jamais ni avec Mimi, ni avec Michèle, je n'ai connu des sensations aussi fortes. Je termine épuisé sur le dos large de cette furie. Si on me donnait à choisir entre ces deux femmes, compte tenu de cette expérience, je serais indécis. Puisqu'elles ne me demandent pas de faire un choix, puisqu'elles se disent toutes deux disponibles, je peux m'endormir entre mes deux amantes.
Au matin des bisous me réveillent. Pas seulement sur les joues ! Et voilà une avalanche de propositions. Pourquoi n'abandonnerais-je pas mon obsession de vengeance maintenant que je connais l'amour avec un couple de lesbiennes? Pourquoi ne pourrions-nous pas vivre heureux à trois, moyennant quelques arrangements matériels?
-Tu pourrais être le père de mon .
-Et le père du mien aussi. Nous formerions une belle famille
Tu n'as pas besoin de nous épouser. La polygamie est interdite en France. De plus nous sommes pacsées. Mais nos s, nés de père inconnu, auraient en réalité un père naturel qui nous aiderait à les élever.
-De père inconnu? Je...
Michèle me coupe la parole. :
-Nous prétendrons avoir eu des relations avec des hommes différents. Cela n'est pas interdit par la loi ! Mais tu resterais notre mari non officiel. N'es-tu pas bien comme ça avec deux femmes qui t'adores ?
-Je devrais coucher avec deux femmes toutes les nuits ? Vous voulez ma mort ?
Ma remarque déchaîne un long fou-rire.
Nous étudierons diverses solutions. Par exemple à trois dans un grand lit, ou des visites alternées dans ton lit double. Il reste à déterminer leur fréquence. Mais au début et pour le plus longtemps possible nous aimerions les nuits à trois. Tu serais acteur ou spectateur selon tes envies . Alors, qu'en dis-tu ? Dis oui. Jean nous t'aimons :
- Comment ne pas vous rendre votre amour. Et Zut pour Mimi. Deux pour une, je fais une affaire.
- Mais tu bandes. A moi
- Non à moi!
- Vous aurez chacune votre tour ! J'ai constitué des réserves. En position pour une levrette communautaire, je veux voir deux croupes voisines dès que vous aurez terminé le 69 de lubrification.
- Coquin tu veux d'abord te rincer l'oeil ? A ton service et à tes ordres "notre chéri bien aimé" Pourrons-nous te sucer avant la pénétration Moi j'aime le sperme et la cyprine
- Moi aussi, mais je le goberai quand il sortira de ta moule ma chérie.
- C'est la meilleure idée du jour. D'abord goûter ton minou ma belle. Faisons plaisir à notre mari secret.
- Mari sans contrat mais pour la vie !
Nous avons déménagé. Zoé est la marraine de Jean junior. Mimi est marraine de Noémie. Cela fait quinze ans que cela dure. Josiane est marraine de Lucas le fils de Mimi, Michèle est marraine de Jules le fils de Zoé. Je ne suis le mari de personne, je suis quatre fois père inconnu entouré de têtes blondes.
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