Soumis À Ses Désirs...

La soirée avait très bien commencée.
L'ambiance ressemblait à toutes ses fêtes de lycées, tout le monde s'éclatait. La musique résonnait partout dans la maison à deux étages. On dansait, rigolait, bref on profitait de la vie. Pourtant, danser n'était pas la principale raison qui m'avait décidé à venir. Plus la soirée s'allongeai, plus l'atmosphère se métamorphosait autour de moi. Plus aucune limite, plus aucune pudeur. Une folie de débauche s'emparait de tout le monde, nous avions tous qu'une idée en tête: baiser ou se faire baiser pour le reste de la nuit. Oui, s'était cette raison qui avait fait que j'avais accepté l'invitation d'un ami avec qui j'avais très envie de tester de nouvelles choses. Je ne savais pas vraiment dans quoi je m'aventurais, à vrai dire je n'en avais aucune idée. Mon ami avait certains fantasmes... extrêmes. Orgies, BDSM, SM, je ne cessais de me demander ce qu'il allait se passer.
Autour de moi, certains couplent se mirent à s'embrasser, à se caresser.
Certains mecs roulaient des pelles à d'autres, pareil pour les filles. Tout le monde se mélangeait, abandonnant le temps d'une nuit tous les problèmes de la vie. Nous voulions qu'une chose: atteindre cette folie sexuelle qui nous ferait perdre la raison.
La chaleur devenait presque palpable dans les pièces, des gémissements résonnaient de temps en temps. Mon ami m'attira vers un couloir qui débouchait à un escalier, conduisant aux étages supérieurs.
- On fait quoi nous ? demandai-je le coeur battant.
Il me sourit et monta les escaliers.
L'inconnu ne fis que renfoncer mon désir sauvage. Mon sexe commençait déjà à bander d'excitation.

***
Il me regarde, les yeux remplis d'un désir indomptable. Son corps se colle au mien tandis que ses baisers mordent mon cou. Le désir est intense, puissant.
Aucune chance d'y résister, pourquoi le faire ? C'est un homme, je suis un homme, alors pourquoi je ressens ce plaisir et cette envie charnelle lorsqu'il passe sa main sur ma cuisse ?
J'arrête de réfléchir, je profite.

Mon corps ne tient plus, j'ai l'impression de devenir fou. Sa main se pose sur la bosse que forme mon sexe sous mon jean,
Je gémis. Plus, j'ai besoin de plus. A mon tour, je passe ma main sous son t-shirt, je sens sa peau brûlante. Je ne peux plus attendre. Mes vêtements tombent l'un après l'autre, ne résistant plus à cet appel sexuel. Lui aussi se déshabille, dévoilant sa peau nue. Je ne ressens aucune pudeur. Il s'apprête à baisser son bas lorsque je l'arrête.
D'où me vient cette envie subite ? Je veux voir, sentir, essayer, goûter... Je m'agenouille devant lui, soumis à ses désirs. Ma main caresse son sexe encore caché. Du bout des doigts, je touche ses testicules. Il se mort les lèvres sous la sensation. Son membre palpite d'excitation sous ma main. Je baisse son boxer, son pénis se lève devant mes lèvres. Epais, dur, je peux sentir sa chaleur effleurer mon visage. J'en perd la tête, une folie sexuelle s'empare entièrement de moi. Je prend son membre dans ma main et le masturbe doucement.
Voyant que cela lui plait, j'augmente la vitesse. La curiosité se fait bien trop grande pour que je résiste.
A pleine langue, je lèche avidement ses testicules pendant que je le branle. Ses gémissements se font soudain plus forts.
Je passe mon autre main le long de mon torse, des frissons glacés me traversent l'échine. Je descend pour arriver jusqu'à mon sexe que je caresse aussi.
Je prend son pénis à la base tout en massant ses parties. Ma langue part du bas et lèche son sexe sur toute sa longueur, jouant avec. C'est chaud, doux. Elle ne tarde pas à titiller son gland. Il n'en peut plus, ses mains se resserrent à en blanchir. Je rentre son pénis dans ma bouche et l'enfonce d'abord lentement. Il pousse un long soupire de plaisir avant de reprendre ses gémissements. J'enroule ma langue autour de sa verge. Je peux sentir les veines le long de son membre, son sexe devient de plus en plus sur. Je fais un léger mouvement d'avant arrière avant d'aller de plus en plus vite. Il passe sa main dans mes cheveux et appuie pour que j'aille encore plus loin. Son pénis s'enfonce à limite m' mais le plaisir n'en est que plus intense. Sa main affirme sa prise, je vais de plus en plus vite. J'obéis à ses ordres, je suis son mouvement. Pourtant c'est ce que j'aime le plus. Cette soumission si intense me fait devenir fou, j'ai besoin de plus, je veux le sentir en moi. Un gémissement rauque s'échappe de lui. Son sexe se durcit encore plus dans ma bouche. Inattendu, son sperme chaud se déverse abondement sur ma langue. Sucré, je le laisse couler dans ma gorge., me délectant de cet épais sirop. Je lèche avidement son gland en l'enroulant de ma langue. Son sexe encore gorgé de liquide séminale vibre sous mes assauts. Le corps frémissant, recouvert de sueur, je remonte vers son torse, ma main ne quittant pas son membre. Je me glisse jusqu'à sa nuque et l'embrasse dans le cou. Sa respiration est intense, courte.
- Viens en moi, je t'en supplie, susurrai-je à son oreille.
- A sec ? demande-t-il en souriant.
Je fais oui d'un rapide signe.
Pris d'une brusque envie, il me retourna sur le ventre, me dominant entièrement.
Je suis à lui, je suis soumis. Il prend fermement son sexe dressé, puissant. Je sens son gland caresser doucement l'entrée de mon anus, me procurant des frissons d'impatience. Un besoin charnel s'empare de moi. Je l'entend prendre le tube de lubrifiant et en mettre sur ses mains. J'imagine déjà son pénis recouvert me pénétrer. Le liquide frais glisse le long de l'orifice, son doigt rentre en moi pour lubrifier. Sa main s'agrippe fermement à moi, assurant sa prise. C'est alors qu'il l'enfonce en moi, tout entier. Son sexe avance toujours plus profond. Un sentiment de libération extrême se fait sentir.
Enfin, enfin je le sens. Je gémis toujours plus, impossible de me retenir.
Le plaisir est bien trop fort, bien trop bon. A sa respiration et ses gémissements, lui aussi semble perdre la tête. Ses ongles s'enfoncent dans ma peau. La douleur se mêle au plaisir, j'en deviens fou. Il me pénètre encore et encore, me perforant littéralement.
La douleur se fait plus forte. Il accélère son mouvement, me baisant plus sauvagement. Ses coups deviennent intenses, secs. Je suis sa proie, son esclave.
- T'aime quand je te défonce comme ça ! jubile-t-il.
- Oui, oui encore, vas y ! Baise moi plus fort !
Les mots sortent inconsciemment, ce n'est plus moi. Il est entrain de m'enculer et j'adore ça. Sentir la puissance de son sexe en moi, la chaleur de son corps, le goût de son sperme encore dans ma gorge, tout me rend fou de plaisir. J'adore ça, j'en deviens dépendant. Je veux beaucoup plus. Une faim dévorante s'empare de moi. Le seul moyen de la rassasier: le sexe. Homme, femme, les deux, peu m'importe, je veux continuer à sentir toutes ces sensations. Chaque sexe m'apporte de nouveaux besoins, chaque poitrine me donne envie. La curiosité s'intensifie à chaque découverte.
Il me pilonne toujours plus fort, me laissant à la limite de l'évanouissement. Soudain, alors que ne m'y attendais pas, il change sa prise et pose ses mains sur mes épaules. Muni d'une nouvelle force, il plonge encore plus fort en moi. Je sens sa pointe traverser d'un coup sec tout mon rectum, atteignant le point le plus sensible.
Les larmes coulent sous la douleur qui se mélange à l'extase. Mes poings se resserrent sur le drap, mes dents grincent. Le point est si sensible que le moindre mouvement me fait pousser des gémissements de plaisir.
Il continu de me pénétrer encore et encore. Un filet de bave coule le long de mes lèvres, mes forcent m'abandonnent. Je n'en peux plus. Je suis trempé de sueur, exténué. C'est alors que son sexe éjacule en moi. Je croyais avoir comprit ce qu'était la jouissance, j'en était loin. Une giclée de sperme chaud inonde mon anus, me comblant encore plus. La sensation est si intense que je ne peux retenir les cris de plaisirs. Mes muscles se tendent, se resserrent autour de son pénis gorgé. Je peux sentir le liquide tout le long se mon rectum. Epuisé, je m'effondre sur le lit, le corps agité de spasmes. Doucement, le membre se retire de moi, laissant couler une traînée du liquide cristalin le long de mes cuisses.