Collection Agent Secret. Madame Marion, Commandant Marion. Mission En France. Saison I (2/3)
Voilà cest parti, je suis en chemin pour la nouvelle mission que la présidence ma confié pour protéger la France.
Ma formation chez les commandos marines bérets verts avant quun des anciens présidents me confie la mission de créer une cellule spéciale dont je suis le fer de lance pour réaliser des missions secrètes, plus que secrètes car officiellement inexistante en cas daccident.
« Marche ou crève »
Telle est la devise que nous avons choisie.
Crève, je suis loin dêtre pressée et marcher ?
Marcher je lai déjà fait deux jours durant marrêtant simplement pour pisser ou boire une bouteille deau.
Mais ça sétait lors de ma formation, aujourdhui je lève le pouce préférant rouler en camion.
Cest ce que je fais quelques kilomètres après que Louis mon chauffeur meut déposé au bord de cette route vide de toute présence humaine susceptible de dire mavoir vu en descendre.
Dans cette mission, je vais me servir de mes connaissances en arabe que je parle couramment pour entrer dans le milieu de réfugier venant de plusieurs pays du Maghreb, du Moyen-Orient ou dailleurs pour la réussir.
- Calais ?
- Ya.
Je lui parle en Arabe.
Je vois quil est loin de me comprendre.
Je parle allemand parmi les neuf langues que je pratique mais il faut que jévite de me découvrir.
- Français ?
- Un peu.
Jai dit français comme pourrait le dire une vache espagnole, surtout dans laccent.
- England.
- Si, fammily !
- Marida ?
- No freiro.
- Ya breder !
- No freiro.
- Si frère !
- Ah si.
Crevant mais efficace, on se comprend.
Il sarrête sur une aire pour camion.
Je vais la faire courte car avec ce chauffeur il faut des plombes pour lui faire croire que je finis par comprendre.
Voici ce quil me propose.
- Argent, si tu en as, je te fais passer directement en Angleterre, jai des amis qui ferment les yeux quand je passe.
- Je suis sans argent, mon manteau, cest à Paris que le secours au réfugié me la donné.
- Jai une couchette, allonge-toi et je te fais passer sans que tu me payes.
- Non, je vais à Calais avant de passer en Angleterre car mon mari est là-bas, avec nos s et nous passerons ensemble.
- Je comprends.
Si tu te laisses baiser, je te donne un contact dans la jungle qui taidera et qui sera capable de me prévenir pour que je vienne vous chercher.
Me faire sauter, on sait quen mission cest facile pour moi, mais je veux faire voir que mon corps mappartient et je sens que jai affaire à un fumier qui se sert de son camion pour baiser de pauvres femmes.
- Je te suce si tu me donnes ce papier.
Avec ma main, je mime une sucette.
- Ya, papier, lutscher, ya.
Il ouvre son ceinturon et sort son sexe.
- Le papier dabord.
Jai du mal mais il comprend et me le donne.
Je le mets dans mon sac à dos aussi crade que mon jean trouvé dans les réserves de vêtements que nous pouvons choisir pour nos missions.
Pour ma première bite de cette mission, il est bien pourvu.
Le volant me gêne un peu, mais je veux avancer dans ma mission et cette fellation doit être vite faite bien faite.
Je le prends en main en faisant le tour malgré son diamètre et ma bouche savance jusquà le faire entrer au fond de ma gorge.
Je manque de le comparer avec Gontran mais jai une règle en mission aucune allusion à mon autre vie alors je pompe mon Allemand pour mieux en finir et quil me dépose à Calais.
Cest marrant, jignore si je métais fait sauter si mon chauffeur aurait respecté son contrat et quil maurait fait passer de lautre côté, alors que je sais que pour certains il faut des jours voir des semaines pour y arriver.
Je sens que ça se précipite du côté de la verge que je masturbe et retrouvant le goût du sperme, je le bois avidement lorsquil décharge.
- Dépose-moi là, jespère que je vais retrouver mon mari.
Une fois descendu du camion, je relève son numéro.
KA PA 7777
Je le mémorise, dès que je le pourrais, les douanes seront contentes que je leur facilite la tâche en arrêtant un passeur qui profite de sa situation pour se faire du fric et baiser à lil.
Je le vois reprendre sa route vers le quai des ferrys.
Pour ma part, je traîne en ville en quête de légitimité dans ces lieux.
- Tu cherches quelque chose ?
- Quelquun pour me payer un café.
- Tu parles Français ?
- Non seulement lArabe.
Le garçon qui ma abordé ma parlé en Français et je lui ai répondu en arabe, comme avec le chauffeur allemand.
À un détail près il parle larabe et notre conversation se poursuit dans cette langue.
- Il y a longtemps que tu es là ?
- Je viens darriver.
- Tu veux passer en Angleterre, je peux taider.
- Je cherche mon mari, il a dû arriver il y a deux jours avec mes s.
Regarde ce sont eux, tu les as vus ?
Je sors de mon sac à dos où se trouve mon fétiche, couteau de commando très célèbre pour vous depuis la première mission où je vous ai fait voir savoir men servir.
Un couteau comme celui-là, je peux lavoir trouvé au fil de mon périple de Syrie jusquici ayant traversé la Méditerranée sur une structure gonflable.
Bien sûr mon mari et mes s, vu lendroit où cette photo prise par mes services il y a plusieurs années est parfaitement neutre devant un mur blanc.
Il est certain que ce serait une très grande coïncidence quils soient dans la jungle de Calais.
Si je suis ici, cest pour me forger une carapace indestructible de femme réfugiée cherchant sa famille, mais prête à tout pour y arriver.
- Je suis venu avec un chauffeur allemand qui ma donné ce papier avec ce nom.
Il ma dit quil maiderait à les retrouver.
- Montre ?
Je sors le papier donné par le chauffeur.
- Hamed, oui je le connais, cest lui qui tient lépicerie dans la zone où se trouve certainement ton mari.
Viens, je temmène.
Nous rentrons dans ce lieu de misère où les cabanes qui protègent les gens sont en carton en bois et en ferraille.
- Hamed, je tamène une femme, elle vient de Syrie et elle cherche son mari et ses deux s.
Fait voir ta photo.
Je la fais voir au tenancier de cette épicerie improbable mais bien là.
- Naïm, certes, elle a un beau cul pour quelle soit clean, tas vérifié d'où elle vient et comment elle sappelle ?
- Attifa, Hamed, je mappelle Attifa et je suis syrienne.
Il me parle en arabe, mais là je le piège, javais bien préparé ma mission.
- Tu me parles en arabe levantin comme on parle en Syrie.
Oui je suis mariée à Younès, ma fille je lai prénommée Yasmine et mon fils Ayoub.
Je vois quil est surpris, mais je viens de réussir mon examen de passage.
- Naïm, elle est bien syrienne.
Ton mari, je pense quil est déjà passé, ça figure mest inconnu.
Naïm laisse là ici, je vais la loger, demain je ferais plus de recherche.
Tu as faim ?
Une réfugiée qui a assez manger, ça sonne faux.
Naïm nous quitte me laissant seules avec cet homme barbu.
- Jouvre une boîte de cassoulet de Castelnaudary.
- Au poulet jespère.
- Tu es marrante, du cassoulet, dit moi que tu es musulmane.
Penser à tous, je suis Syrienne, là aussi jai préparé ma réponse avec Alexandre le temps de ma préparation.
- Non, je suis chrétienne, mon mari est musulman et mes s aussi.
On m'a baptisé, je mange du porc.
- Je vais te protéger ici et dans le camp si les gens savent que tu es ma femme, tu seras tranquille vient te pieuter sinon fou le camp.
Dans moins de cent mètres tu auras deux bites dans le cul.
Je serais doux quoi que.
Il ma fallu peu de temps dans ce milieu hostile pour trouver mes marques.
Ma bouche a déjà des restes de sperme allemand quand Hamed me four la sienne bien profonde.
Il a un poêle à gaz qui me permet davoir chaud quand sous la couverture où je me glisse nue, il me prend dans ses bras puissant.
Dès mon premier soir, je fais cocu Younès, mari parfait inconnu pour moi.
Dès le premier soir je montre que jai des dispositions pour me faire tringler par le premier venu.
Mais si je suis là cest pour passer pour une femme facile ce qui va maider à réaliser ma mission.
Il est derrière moi, je lève une jambe pour quil me pénètre, voilà je viens de passer en mode salope situation que japprécie beaucoup.
Ça cest le premier coup, le deuxième cest dans la nuit, ses couilles en se vidant semblant inépuisable
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