Passage À L'Acte Sur Une Aire De Repos.
Petite présentation avant l'histoire:
Je suis un homme bi passif, mes rencontres se sont faites essentiellement par lintermédiaire dinternet, jai eu 2 merveilleux amants réguliers dans ma vie de passif et quelques aventures passagères complètes (avec sodomie) pas toujours réussies, et beaucoup de plan suce.
Ma découverte dhomosexualité, encré dans mes envies de jeunesse, cest construite a partir de mes 30 ans en parcourant les autoroutes et ses aires de repos pour mon travail.
Jai rapidement vu des attitudes étranges me laissant penser que je pouvais y trouver le plaisir dune rencontre masculine, mais il est difficile réellement de savoir si lhomme qui vous regarde et navigue sur cette aire souhaite une aventure, après bien des occasions loupés par peur du passage a lacte, jai une fois sublimé ces freins pour sucer mon premier homme dans une forêt de sapin sur une aire entre Narbonne et Carcassonne.
Ma première rencontre entre homme, ma première queue en bouche.
Cette aventure a été le démarrage dune sexualité homo épisodique à la recherche du plaisir entre homme qui dure depuis 17 ans, jai envie de partager avec vous mes meilleurs moments réels les plus excitants, ou même les moins bien, voir les plus foireux, sans ordre précis.
Donc voici ma meilleure aventure sur une aire de repos, cétait en mars 2013.
Pendant 2 ans, une mission professionnelle, ma permis décumer les routes du sud de la France, mon expérience avec les hommes ayant beaucoup évolué avec mes réguliers, le fantasme de me faire prendre sur une aire dautoroute par un inconnu, en découvrant tout de lhomme rencontré à ce moment précis était grandissante, mais la peur de ne pas savoir reconnaître les signes, de passer à lacte ne mavait pas permis daller au bout, de sortir de la voiture, malgré le nombre dheures passées sur ces aires, jusquà ce jour.
Jétais super excité, et navais pas vu mon amant régulier depuis des mois, javais envie dune queue en moi, dun moment rapide de sexe sans fioriture!
C'est cela qui ce jour ma fait quitter mon travail plus tôt que prévu, et prendre une route différente, qui menait à une aire dautoroute que javais déjà arpenté mais trop tard le soir, trop froid, trop de vent ou trop difficile dans mes choix, ou simplement la peur, la difficulté du passage à lacte !
Avant laire choisi je marrête sur une aire de repos plus grosse près de Salon de Provence avec station, pour pouvoir me faire un lavement muni dune bouteille deau, de ma poire à lavement, ainsi que mes lingettes.
Propre, prêt à passer à lacte, je file vers laire de mon choix sur lautoroute avant Arles en allant vers Nîmes.
Jy arrive à 16h, il y a un peu de monde à cette heure-là, de plus il fait beau, je me gare de façon à avoir un visuel sur les toilettes.
Après quelques minutes dobservation au milieu des personnes, je repère un homme en attente devant, il est en recherche cest sûr, mais son allure ne minspire pas confiance.
Donc je patiente dans ma voiture!
Cinq minutes après un camion fait son entrée sur laire et se gare en face de ma voiture séparée par le terre-plein central arboré et une voie de circulation du parking camion.
Une fois garé ces feux stop sallument à plusieurs reprises
un signe ? peut-être ? mais à qui ? à moi dans ma voiture ou à lhomme près des toilettes fumant sa cigarette, ou a tous ceux se trouvant sur laire ?
Le routier descend de son camion !
De ma voiture, je vois un homme grand, plus de 40 ans, corpulent, chevelure peu garnie, dallure très sympathique.
Il sapproche des toilettes mais lautre homme qui ne me plait pas est toujours sur les lieux et je ne veux pas être à deux sur ce coup.
Le routier rentre dans les toilettes, puis ressort assez rapidement, les deux hommes sont maintenant en attente devant, vacant à leur occupation, cigarette pour lun et observation pour le routier, je nai quune envie cest que le premier sen aille !
Enfin, oui ! après quelques minutes il sen va en reprenant sa voiture...
je suis en pleine réflexion!
Jy vais, je ny vais pas... allez trouillard...
Tu ne vas pas laisser passer cette occasion...
Je prends mon courage, une bonne respiration et sors rapidement de ma voiture en me dirigeant vers les toilettes...
Allez ! il faut que je le regarde, que mon regard lui fasse comprendre mon envie...
Arrivant à proximité des toilettes le routier scrutant lhorizon, et moi par la même occasion, enfin nos regards se croisent, et à nouveau il rentre dans le bâtiment quil a déjà visité.
Jaccélère et lui emboîte le pas, il passe devant 3 urinoirs et ouvre la porte dun des 2 toilettes, je suis à moins dun mètre quand il se fige, se retourne, je manque presque de lui rentrer dedans pris par ma vitesse.
Il me regarde et me dit « elle son bouchée ! »
Puis il se dirige vers lautre toilette qui eux son fermé à clef.
Jobserve la scène, immobile, le scrutant...
A nouveau il se retourne en me regardant:
Lui: « plus quà aller chez les filles ! »
Moi: je balbutie, « bah, oui ! allons-y, en lui souriant »
Je tourne les talons en pensant quil suit...
Dans ma tête en ébullition, je pense que tout cela nest pas un hasard, quil cherche réellement quelque chose de sexuel entre homme, une pipe surement, vu le lieu!
Jai mon cur qui bat encore plus la chamade, il cogne fort, mon souffle est court, presque en apnée, mon cerveau plein dappréhension ou dadrénaline...
Et si je me trompais, si en fait il voulait juste aller au toilette ?
Tous ces sentiments et réactions se passent en moins de quelques secondes le temps darriver dans les toilettes des femmes !
A aucun moment je me suis retourné.
Je ne sais même pas si il est derrière, jai jamais été si prêt et si loin de réaliser mon envie !
Jentre dans un toilette, le deuxième, en laissant la porte légèrement ouverte et jattends quelques secondes en scrutant le moindre bruit ou présence, ma-t-il suivi ?
Une éternité pour mon cerveau, quand je maperçois quil ny a pas de système de fermeture, et m..., décidément !
Je sors précipitamment, je le vois à ma gauche arriver quand je pénètre dans lautre à coté le plus au fond, laissant la porte ouverte, mais il me suit pas !
Je ressors, et le vois rentrer dans celle qui ne ferme pas, je viens vers lui, mes yeux dans ses yeux en lui disant tout doucement et faiblement la gorge nouée, pendant quil mobserve:
- Elle ne ferme pas, vient!
Nous nous engouffrons dans le toilette que javais quitté quelques secondes auparavant, il ferme la porte !
Enfin cest concret ! que cest dur de concrétiser, daller de lavant! doser! même si tout ce manège a pris moins de 2 à 3 minutes, avec peu de mots pour se comprendre, plus des attitudes, des regards.
Face à face, on sobserve!
Je me lance, il est là, je ne peux plus me tromper ?
Je lui demande sil veut que je le suce ?
Comme réponse, il dégrafe son pantalon et baisse son slip laissant surgir une bite au repos déjà impressionnante en volume.
Je magenouille rapidement sans faire attention à létat du sol, une seule chose mimporte la prendre en bouche, à fond pendant quelle nest pas à son maximum !
Son odeur est agréable, je prends plaisir à aller et venir sur cette belle queue large qui gonfle et sagrandit au fur et mesure dans ma bouche, au point que je ne peux plus la prendre à fond...
Il gémit! ça lui plait! il me prends la tête pour que je lavale plus loin, me permettant denserrer ses fesses poilues à pleine mains pour me tenir.
Après quelques minutes à sucer cette belle bite nervurée, en goûtant au passage son pré-sperme, je ne souhaite quune chose, quil me prenne !
Alors je le regarde et je lui dis « tu veux me prendre »
Il me répond « oui pourquoi pas »
Lui: « tu as une capote ? »
Moi: « tu veux là ou dans ton camion »
Lui: « ici »
Tant pis pour le fantasme du camion, je me redresse, récupère une capote dans ma poche, lui donne, puis je sors mon gel et pendant quil lenfile, je me badigeonne l'anus entrant un de mes doigt profondément.
Je ne peux mempêcher de regarder sa belle queue, elle est grosse, large, environs 17 cm.
Jai une appréhension, est ce que je vais réussir à la prendre facilement ? vais-je avoir mal ? vas til être doux ?
Plus le temps de réfléchir! il est prêt, je me retourne pantalon en bas de mes jambes écartées au maximum de sa tension possible en appuie avec mes mains sur le mur au-dessus des WC, mes genoux légèrement pliés pour lui tendre mon cul et lui faciliter la tâche !
Il écarte mes fesses avec ses mains trapus et fortes, humm !
Je suis tout excité !
Je nattends quune chose sa queue en moi ! il la guide avec ses doigts vers mon anus.
Ouf !!! il a donc de lexpérience !
Je la sens sur mon anus, il pousse en avant pour me pénétrer, son gland force mon étroit conduit, je râle plus de plaisirs que de douleur, je dois mouvrir facilement denvie, mais elle est vraiment grosse, il progresse doucement écartant mon anus, oh que cest bon de se faire ouvrir, entre appréhension, tension, envie, douleur, plaisirs... mais je ne peux plus reculer, jai ce que je voulais !
II ressort légèrement puis enfonce dun coup le reste me coupant le souffle, ouiiii !!! p...in !!! elle est grosse, et longue, il est bien à fond !
Je respire fort, rapidement, jessaie déjà de reprendre ma respiration et il commence à me limer, je ne dirige rien, ne contrôle rien, je suis à lui !
Lamplitude de ses mouvements moblige à forcer sur mes bras pour me tenir cambré.
Je suis en transe !
Sa queue coulisse maintenant librement en moi, et chaque mouvement me fais gémir de plaisirs, je pousse un maximum en arrière mes fesses pour quil senfonce encore et encore
Il me lime bien, et le plaisir monte en moi, je commence à jouir peu discrètement !
Il me dit « shut »
Alors, je me mords les lèvres, pour éviter de crier sous ces assauts, qui maintenant me transporte loin dans la jouissance continue... jadore !
Mon plaisir est intense, je joui plusieurs fois, que cest bon ! mes jambes tremblent, jarrive à peine à tenir debout, il passe sa main sous mon ventre pour me tenir en position, je sens son pieu me traverser, mélargir lanus, il ressort de temps en temps afin de mieux me reprendre, à chaque fois je ressens une jouissance infinie
Après plusieurs montés de jouissance, mon plaisir redescend, alors que sa queue commence à me faire mal, je me demande quand il va arriver? janalyse enfin les toilettes, la situation !
Alors je l'encourage, mais dans ma tête uniquement « bourre-moi », « défonce-moi »
Comme par fusion, il accélère en me claquant les fesses de sa main charnue, et pendant que je repars très, très haut, il éjacule dans sa capote en râlant !
Il sort de mon cul, quel vide !
Mes jambes tremblent tellement, que je suis obligé de me poser le cul contre la cloison, je suis dans les vaps, mains sur mes genoux, pendant quil enlève sa capote.
Je me redresse, le regarde.
Il me dit que je suis une bonne cochonne, quil a adoré, et quil ne pensait pas faire une rencontre à cette heure, quil sest arrête par pur hasard, car dhabitude à cette heure il ne tente pas, pendant que je sors les lingettes pour quil sessuie les traces que mon fondement lui a laissé.
Moi, pantalon toujours baissé et mon cul grand ouvert je reprends mes esprits et mon souffle.
Il se rhabille puis me dit de rester là quelques minutes et sort des toilettes, je referme et messuie le cul, en entendant tous les bruit de lextérieur que javais oublié dans mon plaisir, des voix qui parlent, des s qui crient en jouant, des voitures qui démarrent, un camion qui sen va !
Je majuste, respire fort, me donne une contenance tranquille, sur de moi et sort des toilettes avec dans ma poche les lingettes, la capote le tout enveloppé dans des kleenex.
Puis dun pas cotonneux, les jambes flageolantes, comme si jétais sur des ressorts, je retourne à ma voiture, heureusement pas très loin, observé par dautres hommes prés de leur voiture, mais à ce moment-là je suis dans un état second.
Je démarre, reprends la route, une dizaine de km après je double son camion en le klaxonnant, il me salut avec un appel de phare, ça y est jai réalisé mon envie, un rêve, je suis allé au bout, jai osé, et quel pied jai pris
Je repense tellement à tout cela que jai failli louper ma sortie vers ST Gilles.
Après ½ heure, sur la route départementale de retour, mon envie remonte, je suis hyper excité... mais plus rien à faire en pleine campagne, jai encore très envie dune bite dans mon cul, sa bite, qui ma tant fait joui...un vrai moment rare, comme jaimerai en vivre plus souvent.
Encore aujourdhui, le déroulé de cette histoire est très présente en moi, à quelques détails près, heureusement que javais écris ce texte 1 semaine après, juste en le relisant et en modifiant les phrases répétitives, jai mouillé mon caleçon d'envie.
Merci à lui de ce moment de jouissance, mon seul regret ne pas avoir assouvis mon rêve de me faire baiser sur la couchette dun camion, plusieurs fois de suite, une prochaine surement...
Si par un heureux hasard, comme cette rencontre, il fait partie de ce site et se reconnait, avec les détails, cela serait facile, quil nhésite pas à me faire un petit coucou, ou décrire son propre souvenir.
Aux lecteurs, merci davoir été au bout de mon histoire, vos remarques seront un atout pour améliorer ma narration, ma construction ou une motivation pour reprendre la plume pour dautres aventures réelles uniquement.
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