La Fenêtre
Ils l'avaient déjà fait sur le lit, sous la douche, sur le canapé, dans lescalier qui mène à létage.
Ils l'avaient déjà fait dans le couloir, contre la porte d'entrée, gémissants dimpatience, car ils ne pouvaient pas attendre daller jusquà la chambre après être entrés dans la maison. Ils l'avaient déjà fait par terre où dans le hamac.
Où ne lavaient-ils pas encore fait ?
Valérie inspectait sa maison avec ses beaux yeux verts en se demandant ce qui lui plairait dinhabituel.
Rien ne retenait son attention lorsqu'elle vint sinstaller à table pour manger, en face de Simon, son mari.
Elle savait que pour bien s'amuser, il fallait varier les plaisirs, innover.
Elle se devait de garder lintérêt de son homme en éveil afin quil la rende heureuse.
Elle se pencha pour attr le sel quand elle remarqua la table. La table !
Elle secoua la table pour voir si elle était stable. Et suffisamment solide ? Son mari nétant pas très délicat ...
Justement, son mari la regardait avec des yeux perplexes, mais elle n'a fourni aucune explication.
Valérie regarda autour d'elle, remarqua que la table était en face de la fenêtre, donc visible depuis la rue.
Probablement peu de risque si quelquun se contentait de passer. Mais quelquun de curieux, ou un visiteur.
Cela pouvait rendre la chose plus intéressante. Coïtus interruptus. Linterruption de laccouplement.
Elle a pensé à lui et à sa bite fantastique toute la journée. Une frénésie, un trouble lavait saisie en pensant à lui.
Alors maintenant qu'il allait rentrer du travail, elle simpatientait, ne pouvant plus attendre.
Dès qu'elle a entendu la voiture s'arrêter, elle sest faufilée par la porte arrière où sa pancarte était cachée.
Elle attendit le claquement de la porte dentrée, se précipita pour contourner la maison, mit sa pancarte en place, et entra derrière lui par la même porte dentrée.
Elle l'avait attendu toute la journée, elle avait besoin de lui. Elle le saisit par derrière à bras-le-corps, heureuse de lenlacer, de sentir son odeur virile, de presser dans ses bras son corps musclé.
La journée avait été interminable, elle avait souffert de son absence.
Quand elle relâcha sa prise, il se retourna et ils sétreignirent. Cela provoqua un afflux dhumidité dans sa chatte.
Elle lui tendit un verre et sa bouteille de bière. Cétait son petit plaisir en rentrant du travail.
Surtout, quil naille pas traîner et perdre son temps au café. Il avait lessentiel à la maison.
Elle s'assit sur la table de la cuisine. Jambes écartées, bras tendus, elle l'a attiré dans son giron.
Dabord un baiser langoureux, puis quelques caresses, pour lui faire connaître ses intentions urgentes.
"Je vois que je tai manqué, tu tes languie de moi, besoin dun coup de bite ?" dit-il, souriant et macho.
Elle sest faite chatte : "Et moi, je ne tai pas manqué ?"
"Cest vrai, j'ai pensé à ton petit cul souvent. Des fois, au travail, jaimerais une petite visite !"
C'est ce qu'elle voulait entendre; que ses pensées, même au travail, étaient pour elle. Elle adorait le savoir.
En même temps, cétait une idée à creuser. Prétendre quelle passait dans le coin, par hasard ...
"J'ai préparé quelque chose de différent. Jespère que ça va te plaire, et que ça te fera bander au travail !"
Elle susurrait en gémissant dans le creux de loreille avant de suçoter son lobe.
Leurs corps se frottaient lun contre lautre maintenant, leurs mains étaient parties en exploration.
Simon a commencé à lentraîner, apparemment, il voulait l'emmener dans la chambre, mais elle avait d'autres idées.
"Non, je veux essayer autre chose. Sur cette table. Regarde." Elle frappa du plat de la main sur la table.
"Ouais, je vois quelque chose qui me plaît beaucoup sur la table." Il revint se blottir contre elle.
Elle l'embrassa profondément en massant sa bite tendue sous létoffe du pantalon.
Pas besoin de lui faire un dessin. Elle avait les jambes ouvertes.
Il troussa prestement sa jupe en lui remontant les jambes. Il a tout de suite vu labsence de culotte.
Simon grogna et se déplaça de nouveau pour la prendre et l'emmener dans la chambre.
"Non, ici !" exigea Valérie.
"Ici ?"
"Ouais, ici !"
"Je vais fermer les rideaux, ils sont grands ouverts" Elle avait refermé ses jambes autour de lui, il na pas pu séchapper.
"ICI ! MAINTENANT !" Lordre a claqué, il na pas essayé de se soustraire.
Elle a dégrafé son pantalon, et il sest laissé faire. Le pantalon et le caleçon glissèrent au sol.
Elle a saisit sa bite et lapprocha de sa chatte. Elle l'embrassait voluptueusement, en frottant la bite tendue le long de sa fente. Elle tirait sur son sexe en taquinant les bourses.
Elle frottait sa chatte avec le gland, appuyant sur le clitoris, augmentant la pression.
Quand elle sallongea sur la table, il n'eut pas d'autre choix que de suivre le mouvement.
Il grimpa sur elle, entraîné par ses longues jambes.
Ils étaient tous deux sur la table, les rideaux grand ouvert.
Tous les deux excités, affamés, ayant besoin de l'autre pour apaiser leurs exigences.
Il la pénétra lentement, apparemment peu rassuré à propos de la solidité de la table.
Le poids des deux plus le mouvement qu'il espérait lancer, si la table lâchait
Elle était tellement excitée sous son mari qui la pénétrait. Elle aimait qu'il soit instantanément raide pour elle.
Il était émoustillé par son ingéniosité créative, et voulait la récompenser de son initiative.
Son sexe, s'enfonçant profondément en elle, lui procurait une émotion incroyable.
Elle nétait pas vierge quand elle la rencontré, mais celui-là était incomparable.
Elle saccrochait à lui, oscillant des hanches à son rythme pour répondre à ses coups furieux.
Il accélérait, plus vite et plus fort, son cur battait la chamade.
"Surveille la fenêtre, Simon, quelqu'un pourrait nous voir !" elle le taquinait, pour linquiéter, afin quil dure un peu plus.
Mais il était sous son charme et ne s'inquiétait que dune chose, bien la baiser.
Nempêche, il ne pouvait pas résister à lenvie de jeter un coup dil par la fenêtre, juste pour vérifier.
Il se glissait dans et hors d'elle. La table tremblait sous leur poids à chacun de leurs mouvements.
Entrer, sortir, dedans, dehors. Elle serrait sa chatte autour de lui pour avoir un maximum de plaisir.
Ils étaient tous les deux vêtus, et l'intensité habituelle de la peau contre la peau n'était pas là, mais une luxure différente les animait suffisamment pour les rendre sauvages.
Il mordillait et tétait ses seins gonflés de désir. Il glissa ses mains sous ses fesses pour la bourrer bien au fond.
Elle saccrochait à lui en cherchant sa bouche. Elle avait besoin de son souffle.
Leurs corps dansaient un Rock and Roll endiablé.
Il grondait, elle gémissait. Perdue sous ses caresses, sa longueur, sa chaleur, son amour pour elle.
"Oui, oui, viens maintenant, je suis prête ! Donne-moi tout !"
Ses mots l'ont emporté. Il a tout oublié. La fenêtre, la table, la crainte dêtre surpris.
Seule comptait maintenant la femme quil baisait, la femme quil aimait, et qui lui réclamait sa semence.
Il sest épanché en elle, soulageant sa tension et ses craintes. La table a tenu et personne nest venu.
"Je n'arrive pas à croire que tu maies baisée devant la fenêtre ouverte, salaud !"
"Tu étais vraiment excitée, je ne savais pas que tu étais exhibitionniste, je vais en profiter davantage !"
"Cest de te voir me désirer qui mexcite, pas besoin dartifice quand jai ta belle queue en moi !"
Ils se démêlèrent prudemment et Simon aida Valérie à descendre de la table.
Simon na pas pris la peine de se couvrir pour aller à la salle de bains.
Valérie attendit quil disparaisse pour aller subrepticement récupérer sa pancarte sur la porte dentrée.
Le panneau indiquait:
«Porte bloquée. Travaux en cours. Veuillez faire le tour par la cour. »
Elle a rapidement fait disparaître son forfait.
Elle savait que Simon avait apprécié l'excitation supplémentaire.
Tant quelle le tiendra en haleine, il nira pas voir ailleurs, et cest bien là lessentiel.
Tout en préparant le dîner, Valérie inspectait la pièce avec ses beaux yeux verts en cherchant ce qu'elle allait trouver afin quelle et Simon puissent se distraire.
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