Surprise À La Maison : Une Revanche ! (Partie 2)

Lorsque j'arrive sur le balcon et que je me penche pour apercevoir ce qu'il se passe à travers la fenêtre, je constate que les choses ont bien avancé : ils sont maintenant tous les deux torse nu. Je vois les seins de Sonia frétiller doucement. Ce sont des seins magnifiques, légèrement orientés vers l'extérieur, une forme un peu inhabituelle mais très excitante… J'aime tant les toucher, les caresser, les malaxer, les tenir, les lécher, les sucer, les téter… Mais là, c'est un autre que moi qui va s'en occuper. Son torse à lui est légèrement poilu, surtout à hauteur de ses tétons. Il n'est pas très musclé, mais il est par contre bien large d'épaules. A nouveau, la scène est une psychologique pour moi, mais en même temps, elle est terriblement attirante et excitante. Je remarque que Sonia a également quitté ses chaussures et qu'elle est maintenant pieds nus. Je vois ses longues jambes ,magnifiques, et je remarque, sur sa cheville droite, un bracelet métallique léger que je ne connais pas. Elle a donc un nouveau bijou au-dessus du pied que je n'ai jamais vu. Mais depuis quand ? Aujourd'hui, ment, sinon je l'aurais ment remarqué hier. Ils s'embrassent toujours, mais cette fois-ci de façon plus voluptueuse. Les deux bouches sont collées et le baiser échangé n'a plus rien d'un bisou superficiel. Ils se roulent une pelle, tout simplement. Tous deux se caressent les épaules et le dos et je le vois commencer à diriger ses caresses vers le bord des seins de ma femme. Je n'entends rien, mais je devine les petits gémissements caractéristiques de Sonia lorsque je lui caresse le dos, les épaules, les bras ou les seins. Elle émet toujours de très léger gémissements, très doucement, qui contribuent généralement à ma propre excitation. Mais aujourd'hui, je n'en profite pas…

Aujourd'hui, je suis témoin de mon cocufiage par un jeune gars tout blond qui semble prendre beaucoup de plaisir à caresser méthodiquement le dos et les flancs de ma femme.

Il prend tout son temps et ne semble nullement pressé de passer à la suite du programme. Il jouit de ce moment avec ma belle femme, de ce moment d'intimité. Peut-être tient-il justement compte de son programme à elle, mon humiliation en sa présence. Il va donc profiter de chaque instant à deux, sachant que la suite sera vraisemblablement ,moins intime, observée par le mari officiel. A l'heure qu'il est maintenant, je devrais normalement bientôt arriver devant la maison, ce que Sonia sait parfaitement. Elle a donc bien organisé son planning : je suis censé les trouver dans les bras l'un de l'autre. Elle m'a demandé de réagir positivement, d'accepter ce qui allait se passer en somme. Tout est parfaitement organisé, elle s'est assurée de mon acceptation par avance. Toujours très ébranlé, la sensibilité à fleur de peau, la jalousie dans les poches et l'excitation contenue strictement par ma cage, j'essaie de me préparer psychologiquement à ce qui va inévitablement suivre. Mais peut-on être prêt à ça ? Je regarde fixement ma femme et son amant quand, tout à coup, son regard à elle se fixe précisément dans ma direction : pas de doute, elle m'a vu ! Ses yeux brillent, elle me sourit. Et elle me fait maintenant signe avec le doigt de venir les rejoindre. Abattu, inquiet, tremblant de tous mes membres, je reprends la direction du couloir, en traversant la chambre d'amis, pour aller vers la porte d'entrée de notre chambre. Je me sens soumis, vaincu, prêt à passer sous le joug. Je vais payer chèrement ma faute d'il y a quelques mois, mais peut-être que je réussirai à y trouverai moi aussi du plaisir, qui sait ? En tout cas, mon excitation se maintient, au point que la cage me fait presque mal. Pieds nus, le sexe encagé, mais habillé, je me tiens droit devant la porte de la chambre et je frappe timidement deux coups avec la main.

Elle m'ouvre la porte avec un grand sourire, ne dit rien et me fait juste signe d'entrer. Puis, elle me montre du doigt l'endroit où je suis censé me mettre : contre le mur, face au lit conjugal. Elle s'est déshabillée et ne porte maintenant plus qu'une culotte élégante. Lui est resté en pantalon, mais il a aussi enlevé ses chaussures. Elle me dit alors de me déshabiller. Je lui demande : complètement ? Elle me répond fermement : oui, complètement. Stressé, je m'exécute en vitesse et je me retrouve complètement nu devant eux. Enfin, complètement nu… pas tout à fait puisque je porte encore ma cage de chasteté. Le blond regarde alors machinalement en direction de mon sexe et arbore un visage interrogatif. Sonia éclate de rire et lui dit : "Mon petit mari doit apprendre à maîtriser ses élans… et en attendant qu'il y arrive tout seul, c'est moi qui les maîtrise". Il réalise alors peu à peu de quoi il s'agit et demande s'il peut regarder de plus près. Je suis là, les bras ballants et un type que je ne n'ai jamais vu avant aujourd'hui regarde attentivement mon sexe emprisonné dans une cage en métal, tout cela sous les yeux de ma femme. Je me sens vraiment tout petit, ridiculisé, à sa merci. Et je me demande ce que je suis venu faire dans la chambre, si je n'aurais pas mieux fait de m'enfuir loin d'ici. Je me sens terriblement diminué, mais paradoxalement aussi excité par cette situation bizarre. Je reste là, planté devant eux, nu comme un ver, en train de me demander ce qu'ils vont faire de moi, quel rôle ils vont m'attribuer dans la pièce qui se joue là, dans ce qui est normalement ma chambre, là où ma femme et moi dormons ensemble, là où nous faisons l'amour.

Et là, Sonia prend la parole, presque solennellement. Elle me rappelle qu'elle m'avait annoncé une surprise et qu'elle m'avait demandé de ne pas réagir négativement, que le moment est arrivé, que je l'ai trompée, qu'elle ne m'a jamais trompé et que le moment est venu de me donner une leçon pour clore le dossier définitivement. Je la regarde en baissant les yeux à chaque fois que je rencontre les siens, tout penaud. Par réflexe, j'ai mis les mains devant mon sexe encagé et je n'ose rien dire. Elle continue à parler et me dit que j'ai intérêt à assurer, que mon attitude aujourd'hui comptera beaucoup pour l'avenir, puis elle me présente Fred, le bellâtre blond en pantalon devant moi. Elle ne m'explique par contre pas d'où il sort. Des questions se bousculent dans ma tête : est-ce un collègue, un homme rencontré par hasard dans un lieu public ou un candidat à ce genre de scénario découvert sur un site de rencontres ? Pendant que Fred retire son pantalon, Sonia me tend la clé de ma cage et me dit que je peux désormais me libérer : je ne risque pas de la tromper pendant les heures qui viennent. En tremblant, maladroitement, j'ouvre le cadenas et je me défais péniblement de la cage que j'ai toutes les peines du monde à retirer de mon sexe. Mon gland, gonflé, fait de la résistance et je dois jouer des mains pour achever de retirer l'appareil et le poser sur la commode à côté de moi. Je me retrouve cette fois-ci vraiment nu, sans rien, avec un sexe en semi-érection devant ma femme et son amant du jour, tous deux désormais en slip devant moi.

Fred est un peu plus grand que moi, il est surtout plus poilu car je suis généralement assez lisse. Il a de gros mollets qui indiquent qu'il doit faire du vélo. Je suis presque en admiration devant son corps et j'ai l'impression que Sonia aussi. Elle est magnifique : mince, une fine chevelure brune qui tombe dans son dos et qu'elle a aujourd'hui nouée en queue-de-cheval, comme j'aime. Ses yeux sont bleus et pétillants, ses seins magnifiques et conquérants, bien fermes, ses jambes longues et ses pieds délicieusement fins. Fred doit se réjouir de pouvoir bientôt faire toutes sortes de choses avec ce corps splendide. Par comparaison, la situation pour moi est plus inquiétante, mais le sourire presque bienveillant de Sonia me rassure un peu quand même. Je me sens très jaloux, mais je suis aussi incroyablement excité par la situation. D'ailleurs, mon sexe continue à se redresser jusqu'à être maintenant complètement dressé contre mon ventre. Brusquement, Sonia me ramène à la réalité en s'écriant que je ne vais pas pouvoir rester là à bander tranquillement sans rien faire. Elle me dit alors : "Maintenant, tu te mets à genoux et t'approches de moi pour venir me retirer ma culotte avec les dents. Tout d'abord très surpris, je me mets rapidement à genoux, comme demandé, et je m'avance lentement vers elle avec la tête en avant. J'att alors avec mes dents l'élastique de sa culotte et je commence à tirer doucement dessus. La manœuvre est difficile, la culotte fait de la résistance et ne veut pas bien glisser le long de ses jambes. Sonia fait alors un petit mouvement de la hanche qui dégage la culotte sur une des cuisses et je peux alors commencer à la retirer progressivement en direction de ses pieds. Je me sens idiot… en train de retirer la culotte de ma femme, les fesses en l'air, devant son amant excité. Parce qu'en plus, la scène semble ne pas le laisser indifférent : son sexe a gonflé dans son slip et tend à sortir par le haut.

Lorsque j'arrive à ses pieds, elle les lève l'un après l'autre et je réussis à retirer enfin sa culotte. Je suis à genoux, à ses pieds , avec sa culotte entre les dents. Je ne dois pas avoir l'air fier. Je remarque qu'elle a fait une épilation très soignée et plus complète que d'habitude. Je suis habitué à un vagin garni de nombreux poils et à un pubis particulièrement fourni. Là, elle n'a plus qu'une petite touffe toute mignonne au-dessus du vagin. Une épilation presque complète… exprès pour aujourd'hui si je comprends bien. A ce moment, elle me dit : "Ton travail n'est pas terminé, car maintenant tu dois aussi retirer le slip de Fred". Je fais une tête complètement déconfite et elle me regarde alors droit dans les yeux. Elle déclare alors que ce n'est pas plus difficile qu'avec elle et que j'ai maintenant même un peu d'entraînement. Désespéré, je me retourne alors vers lui, je laisse tomber par terre la culotte de Sonia et je tends mes dents pour aller attr l'élastique de son slip. A l'approche, je rate mon coup et je me retrouve avec les lèvres collées contre sa cuisse poilue. Je remonte alors vite ma tête et j'att enfin un bout de son slip que je tente de tirer vers le bas. C'est plus difficile qu'avec la culotte de Sonia, parce que son sexe dressé retient le slip dans l'autre direction. Je tire alors un peu plus et je le vois glisser un doigt dans son slip pour libérer son sexe qui se redresse brusquement, claquant même lorsqu'il touche son ventre. Je n'ai plus qu'à tirer le slip jusqu'à se pieds, qu'il lève, me laissant alors me retirer avec son slip entre les dents. Il a maintenant une érection d'enfer, et moi aussi. Son sexe est plus grand que le mien, lisse et beau, avec le gland légèrement décaloté. Il a de fortes testicules poilues. Il semble très fier de s'exhiber ainsi devant moi et de savoir que c'est lui qui va jouir du corps de ma femme aujourd'hui, devant moi.