Une Épouse Exemplaire 2
Jean-François n'avait incité à prendre un amant, après douze années de fidélité absolue, j'avais cédé à la tentation et Julien mon prof de fitness était devenu mon amant. Je n'ai jamais cessé d'aimer mon mari ni de faire merveilleusement bien l'amour avec lui mais le sexe avec Julien m'était d3venu une vrai , il fallait que je le sucé, j'avais besoin de sentir sa bouche sur mon sexe et sa langue dedans et j'avais besoin de sentir sa bite pilonner ma chatte. Deux mois d'été m'avaient permis de retomber sur terre de casser avec lui avant de changer de salle de gym.
Mes s venaient de reprendre le chemin de lécole, le travail de Jean-François était de plus en plus prenant et moi, je reprenais mon train-train habituel, tennis, salle de gym, tenue de la maison, éducation des s. Le lundi matin, j'avais pris l'habitude de faire le marché dAthis-Mons, ville où nous habitions J.F. et moi lorsquon avait fait connaissance. Un jour, dans une allée je tombais sur un copain d'enfance de mon mari, perdu de vue après notre installation en ménage. On discuta de nos souvenirs pas très communs, de ce qu'on était devenu et comme il faisait froid, il me proposa une boisson chaude chez lui à deux pas du marché.
Fraîchement divorcé, il avait un petit logement qu'il ne fit visiter, sur le seuil de sa chambre, il était derrière moi, lorsque ses bras m'ont ceinturée, je n'ai pas réagi, ni lorsqu'il me retourna pour m'embrasser. Devant mon manque de réaction, sa langue pénétra ma bouche, lorsque j'ai répondu à son baiser, il a su qu'il pouvait continuer. On s'est retrouvé étendu sur le lit, ses mains parcouraient ma poitrine à travers mes habits , je me suis retrouvée rapidement la poitrine dénudée en train de me faire embrasser les seins dont les pointes étaient déjà très dures, sa main s'est glissée dans mon jean pour arriver sans contraintes sur mon sexe. Il s'est poussé pour enlever le plus gros de ses habits, ne gardant que son slip, pendant ce temps, j'enlevais mes chaussures et mon jean me retrouvant dans la même tenue que lui.
Il était cuisinier dans un restaurant renommé tout près, le lundi était son jour de repos et dans la semaine, il avait une coupure de 14 à 17 heures. Il me donna son numéro de téléphone me disant de l'appeler si j'en avais envie et quil était prêt à me recevoir quand je voulais.
Le soir, j'ai dit à Jean-François que j'avais un nouvel amant en omettant de lui dire qu'il le connaissait. Dès le lundi suivant, je passais la journée dans son lit, l'épouse exemplaire et fidèle devenait un très loin souvenir. Avec Patrice je ne ressentais pas sexuellement ce que je ressentais avec Julien mais c'était un bon amant attentif à mes désirs, je lui avais dit qu'avec J.F. nous étions un couple non libertin mais libre.
En général j'arrivais sur le coup de 11 h, je me déshabillai, lui m'avait que son peignoir à enlever, souvent après quelques baisers, on continuait en 69 parfois j'étais dessus, parfois dessous puis il me baisait face à face. En général, au moment de passer à table, j'avais joui une et parfois deux fois. Il avait toujours préparé un petit repas, toujours différent qu'on prenait nus tous les deux, on discutait de tout, parfois il me demandait des nouvelles de Jean-François et disait qu'il aimerait le revoir, ils étaient assez copains et seules les circonstances de la vie les avaient séparés.
Un week-end en rentrant de son footing Jean-François me dit qu'il avait rencontré Richard, un copain aussi perdu de vue, en discutant, celui-ci lui demanda s'il se rappelait de Patrice, copain commun qui était devenu cuisinier dans un restaurant pas loin de chez nous. Avec Richard, ils avaient convenu d'aller y manger le samedi suivant nous deux, Richard et sa femme, j'ai eu un moment sans voix, j'allais me retrouver avec mon mari et mon amant depuis plus d'un mois, heureusement, il me restait la semaine pour mettre une tactique au point avec Patrice.
Le lundi, j'allais passer la journée chez mon amant et ce n'est qu'après avoir fait l'amour que je lui ai raconté l'histoire. Le samedi, on ferait ceux qui ne s'étaient pas vu depuis plus de dix ans en essayant de ne pas faire de gaffes. Je ne sais pas si c'est cette future rencontre avec mon mari et ancien copain mais il me fit l'amour très intensément en particulier lors du cunnilingus, il ma fait jouir deux fois avec sa bouche et sa langue puis il m'a baisée en missionnaire, me fixant dans les yeux pendant toute la pénétration, lorsqu'on a joui, on est resté longtemps nos sexes emboîtés à nous embrasser.
Cette semaine, je suis retournée le voir tous les après-midi sauf le mercredi. Le vendredi, sans doute du à la proximité de notre repas du lendemain, il m'a positionnée à genou sur le lit, tête sur le matelas, il a écarté mes fesses pour me lécher ma rondelle, il avait dû prémédité son coup car j'ai senti un liquide visqueux et froid dessus, sa queue a remplacé sa langue, son gland s'est positionner sur ma petite étoile, il a poussé légèrement, s'est arrêté et m'a demandé s'il pouvait continuer, comme j'ai poussé mes fesses vers lui il a repris sa progression, cm par cm, reculant un peu pour s'enfoncer encore plus, lorsque j'ai senti son ventre sur mes fesses et ses couilles sur mes cuisses, jai su que j'avais sa bite entièrement dans mon cul. Il y alla très doucement ressortant presque en entier puis avançant jusqu'au maximum, il m'imposait sa cadence en me tenant par les hanches, j'ai senti le plaisir arriver et j'ai joui pour la première fois lors d'une sodomie. Je me suis étendue sur le ventre, Patrice toujours planté en moi. Lorsqu'il s'est retiré j'ai couru â la salle de bain, son sperme coulait sur mes jambes, une fois douchée face au miroir je me suis regardée en me disant « qu'est-ce qui t'arrive, même Jean-François ne t'a jamais fait jouir en t'enculant. Je n'ai pas dit à mon amant quil était le premier à m'avoir fait jouir de cette façon.
Bon j'avais passé quatre jours sur cinq avec Patrice, le soir j'avais fait l'amour presque autant avec mon chéri, j'étais en excitation continue depuis mon premier amant, j'étais devenue une hyper-active du sexe, il faudra que je me calme un peu.
Le samedi, nous sommes partis chez Richard et Sylvie assez tôt pour discuter en petit comité avant de partir ensemble au restaurant de Patrice, on parla de tout, de nos vies à chacun puis la discussion arriva sur Patrice que nos amis voyaient de temps en temps. Richard raconta qu'après un divorce difficile il avait eu une période à vide avant de se reprendre et de collectionner les aventures, il rajouta que depuis un mois ou deux il avait une femme mariée comme maîtresse et semblait accro ne pensant qu'à la baiser.
Au restaurant on nous avait mis dans un coin sur une jolie table, le temps de s'assoir une bouteille de champagne, cadeau de la maison est arrivée. Le maître dhôtel nous informa que Patrice viendra nous saluer en fin de service après « le coup de chaud «. On retrouvait nos amis tels qu'ils étaient dans notre jeunesse, la soirée était agréable, le vin excellent et le repas divin, on nous avait dit que le chef en cuisine avait imaginé un menu spécial retrouvailles.
J'étais face à la porte doffice et c'est moi qui l'ai vu arrivé en premier dans sa tenue de chef, il fit rapidement le tour de la salle pour saluer ses clients puis arriva à notre table. Il embrassa en premier Sylvie qu'il voyait de temps en temps puis vint vers moi, droit dans ses bottes, après des bises appuyées, il me complimenta sur ma beauté qui n'avait fait que croître puis alla embrasser ses deux copains. On déplaça les chaises et il s'assit entre les deux femmes. Sylvie me proposa d'aller nous rafraîchir aux toilettes, une fois seule elle m'avoua avoir couché avec Patrice deux ou trois fois il y a un an, elle me regarda et me dit « ce n'est pas toi la maîtresse de Fabrice dont il est accro ? Chez nous lorsquon a parlé de lui tu as changé de couleur et tout à l'heure j'ai cru que tu allais tévanouir lorsqu'il est arrivé à notre table » « tu ne dis rien, J.F. sait que j'ai un amant mais ignore que c'est Patrice » « t'inquiète ma chérie le mien pense toujours qu'il est le seul et Patrice était loin d'être le premier, j'en ai un autre actuellement, viens, on retourne auprès de nos hommes, je pense qu'on va bien s'entendre à nouveau «. Ça me faisait tout drôle d'être avec mon mari, mon amant et un flirt de jeunesse.
Tout le monde semblait heureux, on se promettait de se revoir régulièrement, Patrice en me faisant la bise me glissa un « à lundi «. À la maison, au lit après avoir fait l'amour comme douze ans en arrière, Jean-François me demanda si ce n'était pas Patrice mon amant, la lumière tamisée a caché mon teint rouge écarlate, il avait calculé chez nos amis que la date du début de ma nouvelle liaison correspondait avec celle de Patrice et que j'avais changé de couleur chez eux, à son arrivée à notre table et maintenant dans ses bras. Ce n'était pas important mais il aurait préféré que je lui dise. Il me demanda si j'allais le voir souvent et si je m'éclatais bien. J'ai avoué notre baise régulière du lundi et une parfois en semaine et que oui, il me faisait jouir à chaque fois, j'ai précisé que je lui avais dit qu'on était un couple « libre » et que mon mari ignorait le nom de mon amant. Jean-François ne refit l'amour.
Le lundi, Jean-François partait pour trois jours en déplacement, en m'embrassant il m'a dit de bien en profiter et de faire la bise à son copain. Chez mon amant, je lui ai dit que J.F. savait que cétait lui, que ça ne le gênait pas et qu'on pouvait continuer, il s'est empressé de lui obéir. Le lundi suivant, pour la première fois, Patrice à passé la journée chez nous, j'ai repris mes habitudes de baiser partout en évitant notre chambre et celles des s.
Le samedi, Jean-François avait prévu une sortie, les s casés chez ses parents, il me voulait très belle et sexy. J'ai compris lorsqu'on s'est arrêté devant le restaurant de Patrice où allait se passer notre soirée. Après un apéritif à la maison, on passa au champagne qu'on garda pendant le repas, il avait commandé le menu dégustation, une multitude de plats mais en petite quantité de sorte que lorsque Patrice a quitté sa cuisine, la salle était presque vide. Après un instant de gêne, on a retrouvé notre bonne humeur. C'est mon chéri qui proposa d'aller boire un dernier verre dans la boîte de notre jeunesse. Lors de la série de slow, J.F. proposa à son ami de me faire danser, c'était étrange d'être serrée dans ses bras devant mon chéri.
Lorsqu'on l'a raccompagné, Jean-François demanda si on pouvait visiter son appartement, on a rebu un verre puis assis à mes côtés J.F. À commencé à me câliner, il m'embrassait, me caressait avant de passer une main dans mon corsage, Patrice s'est assis de l'autre côté, j'ai tourné la tête et je l'ai embrassé. Les choses se sont accélérées, mes deux hommes ont joué à qui me déshabillerai le plus vite, je me suis retrouvée nue rapidement, ils ont entrepris de se mettre dans la même tenue. Connaissant le chemin, je me suis dirigée vers la chambre en leur demandant de me suivre avant de m'étendre sur le lit. Jean-François est venu membrasser me disant qu'il m'aimait, Patrice avait commencé un cunni me léchant du clito jusqu'à ma petite pastille. Pendant quil était venu se faire sucer, J.F. avait pris sa place entre mes jambes, je pouvais reconnaître lequel me broutait le minou. Mon chéri laissa la place et c'est mon amant qui le premier me baisa, J.F. prit la suite. On s'est endormi, moi entourée de mes deux hommes. Lorsque mon chéri à ouvert un il, Patrice était en train de me baiser. Après un petit-déjeuner, on s'est préparé pour partir, Patrice devait aller travailler.
Pendant plusieurs mois, j'allais le lundi faire l'amour avec Patrice et quelques fois en semaine, avec Jean-François, rien n'avait changé, on faisait l'amour très souvent et toujours avec la même envie. Le dimanche soir, le restaurant étant fermé, de temps en temps il venait passer la fin d'après-midi et la soirée avec nous, on attendait que les s soient endormis puis on se retrouvait tous les trois dans le lit, j'ai découvert la double pénétration vaginale, Jean-François couché sur le dos, dos à lui, je venais mempaler dessus puis je m'étendais, jambes écartées de part et d'autre des siennes, Patrice venait alors sur moi et me pénétrait à son tour, leurs bites se frottant lune contre lautre. Patrice se maintenait avec ses bras pour ne pas écraser mon chéri.
Pour l'autre double pénétration, je me couchais sur le côté face à Jean-François, je mettais la jambe du dessus sur la sienne, on se collait l'un à l'autre puis Jean-François me pénétrait, Patrice se plaçait derrière moi , pendant un moment il assouplissait le passage avec ses doigts couvert de gel puis les remplaçait par sa bite lubrifiée, comme il avait pris l'habitude de me sodomiser régulièrement, une fois le gland passé, il senfonçait sans effort. Jean-François me roulait des patins, mon amant m'embrassait dans le cou en caressant mes seins, mes deux hommes essayaient dêtre synchronisés dans leur cadence. Je jouissais comme une folle, je ne saurais dire à cause de quel orifice, sans doute des deux. Au moment de mes jouissances, je regardais toujours mon amour dans les yeux.
Il n'y avait aucun problème de rivalité entre ceux deux mais au bout de quelques mois Patrice lorsque j'étais chez lui avait tendance à me donner des petits noms tendres, parfois il mappelait « ma chérie », il ne comprenait pas que je ne parte pas avec lui lorsqu'il a eu des jours de congés. J'en ai parlé avec Jean-François et lui ai dit que j'allais rompre. Après avoir passé 4 jours sur 5 au lit avec lui, je lui ai annoncé que c'était terminé, que si on se voyait ça serait comme copain avec d'autres. Il a rappelé plusieurs fois, il a fallu l'intervention de mon chéri pour qu'il arrête.
À nouveau j'étais une épouse exemplaire, mais pour combien de temps
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