Vendredi 24 Juin 1988 Pot De Départ
Cétait le dernier jour dans cette agence et comme toujours le rituel du bonjour matinal eut lieu.
Aujourdhui, suivant les consignes données, le courrier serait remis à mon remplaçant, il serait tout content. Ayant tout fait pour préparer mon départ dans de bonnes conditions, je navais pratiquement rien à faire et honnêtement je mennuyais de Monique avec son courrier. Cela faisait pratiquement une heure que je tournais un peu en rond quand jappelais Monique : « Vous êtes seule,
»
Monique : « Oui,
bien sur,
(et doucement)
jattendais ton appel,
»
Moi : « Tu peux venir,
apportes le Memo,
»
Monique : » Mais jai terminé de le taper, je commençais les photocopies »
Moi : « Pas de soucis,
je ne tai pas vu ce matin,
cest toi que je veux voir,
»
Elle arriva avec un large sourire, elle était vêtue dune robe genre blouse, grise très claire, boutonnée de haut en bas, à peine entrée, elle fit sauter un bouton de son chemisier et ainsi permettre un léger aperçu sur lagréable rotondité de ses seins.
Elle déposa le Memo sur mon bureau en disant : « Que puis-je faire Monsieur,
»
Moi : « Approchez vous,
il faut que je vous montre,
votre robe est fort jolie et vous va à ravir,
ne permet pas un accès facile,
»
Elle se pencha et ouvrit deux boutons du bas, ce qui donnait plus damplitude à la jupe, et elle sapprocha de moi : « Je pense que ce devrait être mieux,
»
Et glissant une main à larrière sous sa jupe, je montais en caressant sa cuisse droite et arrivais enfin au but, que je titillais avec mon majeur, qui shumidifiait tellement elle mouillait. Elle avait du penser à ce que nous ferions, bien avant de venir, ce qui avait du entrainer une humidification certaine de sa chatte. Pour continuer lexploration, lindex rejoignit lautre et gentiment senfonça dans le fourreau chaud de Monique, de plus pliant les genoux elle se planta davantage sur mes doigts, mais le pouce était aux aguets, et en profita pour tâter de la souplesse de la rosette et y trouver une petite place.
Etant donnée quelle était chaude et si cela avait été possible, à consommer sur place, le jeu consistait à la faire jouir aussi discrètement et rapidement que possible, autrement dit à remuer, doucement, les doigts dans sa chatte, le résultat étant rapidement garanti et cela se traduisait : « Oui,
jaime,
ne tarrêtes pas,
OOOHHH,
continues,
le plaisir vient,
OOOHHH,
je vais jouir,
OUIII,
OUIIIIIIIII,
» et elle fut secouée par un spasme qui la fit se redresser en serrant brutalement les cuisses et en inondant mes doigts de son plaisir. Le temps quelle revienne et je dégageais ma main, alors elle la prit et suça un doigt, puis me fit sucer lautre.
Monique : « Tu mas manqué ce matin,
mais tu tes rattrapé,
on se revoit après le pot,
»
Et elle se dirigea vers la porte, jétais juste derrière elle et voyant son beau cul à portée de mains, je le caressais en lui disant tu as toujours un très beau cul ;
Moi : « Jaime que tu me dises ça,
il te plait tant,
tu pourras lavoir quand tu voudras,
»
Nous étions arrivés à la porte de mon bureau, je devais aller aux étagères derrière celle-ci, alors que Monique sortait. Au lieu de sortir, elle repoussa la porte, se trouvant ainsi derrière celle-ci, juste à coté de moi. « Embrasses moi, ... » Ce que je fis un peu surpris, et posant sa main sur ma braguette : « Hum, hum,
jaime voir les résultats,
Je vois que tu as des idées,
descends ton zip,
»
Moi : « Tu es folle,
»
Monique : « Oui,
dépêches toi,
je vais le faire moi-même, mais ça risque de coincer,
»
Beaucoup par curiosité, et par envie, je descendis le zip. La main droite de Monique se glissa dans ma braguette de pantalon et saisissant mon engin, ne me masturba pas, ceut été difficile, mais agit par de rapides pressions sur « popol », qui firent que très rapidement je me vidais, comme un ado dans mon caleçon. Lopération terminée Monique dit : « Jespère que tu as aimé,
ouvres les fenêtres ça sent lamour ici,
à ce soir,
» elle était partie.
En effet, depuis longtemps javais invité à déjeuner deux conducteurs des ponts avec qui javais bien travaillé et je ne pouvais pas me désister au dernier moment. Il y eut un peu deffervescence au bureau laprès-midi du, entre autre, à la préparation du pot. Passé 18,00h, le personnel du bureau, et les cadres des travaux ainsi que de latelier, nous étions réunis dans la salle de réunion pour ce pot de départ. Quand tout le monde eut son verre à la main mon remplaçant sortit son discours et je répondis en lui rappelant que mon arrivée lavait déçu car il aurait aimé avoir la place mais les 5 ans précédents, cette agence perdait de largent et que depuis un an et demi, grâce à tous les collaborateurs, que je remerciais chaleureusement, lan dernier nous avions eu un résultat dexploitation positif et que cette année serait de même. Ainsi, il avait la place mais un sérieux challenge relever. Puis prenant mon verre je souhaitais réussite à tout le monde avant de me retirer définitivement. En fait jallais au parking au delà de lagence attendre Monique qui mavait dit venir.
Effectivement, une demi heure après, je vis sa voiture arriver et se garer, comme dhabitude à coté de la mienne et Monique en descendit, quelques pas et elle était contre moi pour une nouvelles partie de lèche museau, toujours agréable, non seulement elle avait des lèvres extrêmement douces, mais un baiser était également un corps à corps bandant. Cétait notre dernier tête à tête ou corps à corps et je voulais en profiter, je léloignais un peu de moi et commençais à augmenter léchancrure de son corsage, celui-ci nétant pas boutonné, ce qui me permit de commencer à sortir ses seins, quand Monique recula et me dit : « Attends,
je me suis préparée pour toi,
ce nest pas boutonné,
» et elle défit la ceinture de sa robe et la robe fut entièrement ouverte.
Je la poussais sur le capot et mintroduisant entre ses cuisses : « Je vais de bouffer la chatte,
je suis sur que tu en as envie,
» Sans problème elle mouvrit le compas de ses cuisses et jentreprenais un léchage complet de son minou, déjà humide, accompagné dune douce pénétration de deux doigts dans son fourreau, ce qui fut apprécié. Elle posa ses jambes sur les épaules, javais la tête coincée entre ses cuisses, mais je pouvais encore lentendre gémir de plaisir : « Oui,
jaime ta langue,
doucement avec tes doigts,
tu vas me faire jouir,
non,
arrêtes,
je veux que tu me fasses lamour,
arrêtes,
» et elle me repoussa, « Prends moi,
je te veux,
fais moi lamour,
fais moi des souvenirs,
» Alors que je laidais à glisser du capot et quelle se retourne, comme dhabitude elle dit : « Non pas comme ça,
viens dans la voiture,
fais moi lamour,
je te veux sur moi,
je veux te voir,
te prendre entre mes cuisses,
» et se couchant sur la banquette arrière, les cuisses bien écartées ; « Viens,
je te veux,
prends moi,
viens prendre du plaisir en moi,
je veux te donner du plaisir,
» Mallongeant entre ses cuisses bien ouvertes : « Viens ,
je veux te guider en moi,
oui,
rentres,
je te sens,
» et elle se cabra pour me permettre de bien enfoncer dans son fourreau chaud, et humide à souhait.
Enfin elle sortit de la voiture et la robe toujours ouverte, je la pris dans mes bras où elle vint se pelotonner quelques instants pour enfin : « Je dois y aller,
» laissant tomber sa robe, se tournant vers moi : « Jaime que tu me regardes,
pour la dernière fois,
» puis dun sac elle sortit soutien gorge et slip quelle remit tranquillement et remettant sa robe elle la referma consciencieusement : « Je vais redevenir un femme respectable,
» et elle vint contre moi : « Pour la dernière fois,
embrasses moi,
» et bien collée contre moi, elle me glissa dans loreille : « Je crois que je suis amoureuse de toi,
» et sans se retourner elle monta dans sa voiture et partit.
Jen fus surpris,
sans voix. Puis je pensais, dans lensemble, heureusement que je men vais, autrement, comment cette histoire aurait terminée, gourmande comme elle était et quant à moi, je ne pouvais que dire que jappréciais hautement sa gourmandise, que jaimais que javais aimé en profiter, mais bon cétait une histoire terminée et somme toute agréablement terminée. Je rentrais chez moi pour penser à mon déménagement.
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