Les Pizzas Du Bonheur
Et soudain, un soir sur le coup de 23h, Marjorie en eut assez de son gode. De rage, elle le balança à travers sa chambre. Ras le bol de cet ustensile qui certes, quand son mec l'avait larguée deux ans plus tôt, lui avait permis une forme de compensation à sa frustration, mais qu'elle trouvait désormais terriblement inhumain. Ras le bol de ce plaisir égoïste, centré sur ses fantasmes et son imaginaire. Elle n'en revenait pas d'avoir atteint la quarantaine avec pour seule perspective d'agiter ce truc en plastique dans son vagin, fût-il électrifié. Non, pendant qu'il était encore temps, pendant qu'elle pouvait exciper d'un minimum de séduction, il lui fallait une bite, une vraie bite chaude, dure, tonique, portée par un gars qui saurait s'en servir. Un type qui la fouillerait sans concession, les yeux dans les yeux, qui la retournerait, qui l'enculerait même si ce n'était pas ce qu'elle préférait, qu'elle chevaucherait et sucerait en le tenant à sa merci.
Elle ne demandait pas la lune. Elle avait passé l'âge du prince charmant aux yeux d'or. Et d'ailleurs, elle-même, sans être une mocheté, n'était pas Julia Roberts. Petite brune aux yeux noirs, fessue et cuissue, elle avait surtout pour elle sa vivacité, sa pétulance, sa langue bien pendue, un regard qui en disait long. C'était suffisant pour se faire draguer, surtout depuis qu'on la savait libre de toute conjugalité. Mais les hommes qui cherchaient à la séduire étaient soit de gros lourds ventrus, soit des garçons gentils et vulnérables dont elle savait déjà qu'ils seraient incapables de la faire jouir. Elle avait un faible pour les mâles sexués qui la secoueraient, la pilonneraient, lui feraient vraiment sentir leur gros chibre et lui diraient à l'oreille des obscénités qui, hors du plumard, la feraient rougir. Et d'ailleurs, pourquoi ment le plumard puisqu'il y avait tant d'autres endroits où ils pourraient lui faire prendre son pied ?
Aussi Marjorie prit-elle une résolution.
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D'autant que, on l'a vu, elle était plutôt exigeante, ce qui est normal pour une femme encore attractive. Les hommes qui lui plaisaient étaient presque tous "en mains". Ayant elle-même souffert de l'adultère, elle avait quelques scrupules à provoquer la même infortune à d'autres femmes. Restaient les hommes seuls qu'il fallait dénicher. Pas si simple. Les sites de rencontre lui faisaient peur. Trop d'aléas. Trop de risques de déception. C'est en se faisant cette réflexion qu'elle commanda une pizza à un livreur à vélo, par flemme de faire la cuisine pour elle seule. Elle s'attendait à voir débouler un jeune Noir comme il y en a tant dans cette fonction. En ouvrant sa porte, elle découvrit une espèce de faune chevelu et barbu aux yeux émeraude qui la dominait de deux têtes. Sa virilité lui explosa à la figure. Elle dut faire une drôle de tête car le gars éclata de rire et lui dit :
- Je vous ai fait peur, madame ? Excusez-moi alors.
Sa voix chaude et grave accentua la confusion de Marjorie qui bredouilla quelques dénégations. Avant qu'il ne parte une fois la pizza livrée, elle eut juste le temps d'apercevoir son prénom gravé sur un badge : Julio. Un prénom étranger, bien sûr.
Pendant tout le temps qu'elle mangea, elle pensa à ce garçon surgi à sa porte. Quel âge avait-il ? La trentaine sans doute, ce n'était plus un jeunot. Un chômeur plutôt qu'un étudiant. Force lui était de constater qu'il l'avait frappée.
Dès le lendemain, elle commanda une autre pizza mais ordonna qu'elle lui fût livrée par "Julio". La standardiste lui demanda pourquoi et elle répondit que ça ne la regardait pas. L'autre n'insista pas. Et à l'heure dite, le livreur sonna à la porte : c'était bien Julio.
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Elle l'accueillit toute souriante avec une tenue soigneusement sélectionnée.
Aussi se laissa-t-il embarquer par une conversation de palier avec sa cliente, visiblement très bien disposée à son égard. Marjorie lui avoua qu'elle vivait seule. Il confessa que sa condition d'intermittent du spectacle ne lui laissait pas d'autre choix que des petits boulots pour compenser ses maigres revenus. Au bout d'un quart d'heure, il finit par lui dire que le boulot l'attendait et elle l'invita à repasser un peu plus tard quand il aurait fini, histoire de continuer la discussion. Il accepta.
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Pendant tout l'intervalle de temps, Marjorie fut agitée de sentiments divers. Est-ce qu'elle ne faisait pas entrer le loup dans sa petite bergerie ? Mais en même temps, un vrai désir de copuler était né en elle. Le regard du jeune homme ne trompait pas : il avait envie d'elle. Ce qu'elle ne savait pas encore, c'est que Julio était un vrai chien. Son tempérament inépuisable et un sexe formaté pour réjouir les dames lui occasionnait de multiples conquêtes, généralement des femmes mûres et esseulées qui n'hésitaient pas à glisser un billet dans sa poche après service rendu.
Celle-ci avait encore changé de tenue. Cette fois, elle portait une mini robe étroite qui épousait tellement ses formes qu'il était évident qu'elle ne portait rien dessous. Elle avait chaussé des escarpins histoire de relever son arrière-train, quitte à déranger le voisin du dessous. Julio évalua les cuisses charnues généreusement découvertes, les seins pointant sous la toile, ce fessier qui n'attendait que sa queue en train de prendre du volume. Elle lui offrit à boire, s'assit face à lui, croisa les jambes et l'ombre d'un pubis fourni attrapa fugitivement son regard. Sa voix était curieuse, un peu rauque, comme si elle avait la bouche sèche. Julio décida de précipiter les choses, posa son verre et s'avança vers elle pour lui rouler une pelle "number one" qui la fit fondre immédiatement. C'était les prémices d'un acte sexuel qui allait la marquer pour longtemps.
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Julio la bascula sur le canapé, la troussa, découvrit son entrecuisses poilue qui le changeait des chattes imberbes qu'il rencontrait souvent et se mit en devoir de la visiter du pouce pendant qu'il l'embrassait. Marjorie s'abandonnait totalement, un pied sur le dossier du canapé, une main à la recherche de la braguette de son amant car il lui tardait de voir de quoi il retournait à l'intérieur du pantalon. Julio la satisfit en se déculottant lui-même et exhiba un pénis comme Marjorie n'en avait jamais vu. C'était un peu la correspondance de sa croupe à elle, en ce sens que cette queue était d'une forme inhabituelle. Courbée sur le côté, disproportionnée au bout, d'une longueur inusitée, on devinait rien qu'à la voir qu'elle avait déjà beaucoup servi et qu'elle servirait encore car elle était à l'évidence faite pour fouiller un sexe féminin.
Stimulé, il la tourna et la retourna, la mit sur sa queue, la tourna encore jusqu'au moment fatidique où Marjorie devina qu'il allait la sodomiser.
- Fais-le mais fais-le bien, intima-t-elle, cambrée sur le canapé.
Le gars avait l'habitude. Lorsqu'il finit par s'introduire après une préparation prolongée, Marjorie passa de la douleur provoquée par la volumineuse pénétration à un bien être inédit qui lui fit remuer frénétiquement sa croupe plantureuse. L'autre savourait ce moment rare car il avait rarement éprouvé autant de plaisir à enculer. Ce cul avait peut-être la forme d'un tremplin mais c'était un tremplin à bite. La sienne en l'occurrence. Après l'avoir prise en levrette, sans rompre le lien, il l'empala sur lui assis sur le canapé. Il put ainsi savourer à loisir les ondulations frémissantes de cette croupe généreuse tant par sa forme que par son attitude. Sa propriétaire semblait d'ailleurs en éprouver de plus en plus de plaisir, à en croire ses gémissements sonores. Logiquement, elle atteignit un orgasme anal qui était une nouveauté pour elle et que son baiseur eut beaucoup de mal à ne pas rejoindre, étant résolu à durer encore pour honorer cette femelle si prodigue de ses élans.
Rayonnante, subjuguée par cette endurance virile qui satisfaisait si bien ses besoins refoulés, Marjorie lui proposa son lit pour poursuivre leurs ébats.
- J'ai encore envie, s'excusa-t-elle.
- Moi aussi, tu es un coup en or massif, lui fut-il répondu.
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Nus face à face, prêts à se fondre l'un dans l'autre, lui la queue tendue, elle dégoulinante, ils en étaient à se demander l'un et l'autre quelle position ils allaient adopter après qu'il eut bien mélangé sa barbe et sa moustache à la vulve poilue de Marjorie quand une sonnerie retentit à la porte. L'heure étant avancée, Marjorie sursauta. Qui donc venait les déranger à cette heure ? Ce n'était vraiment pas le moment. A contre-coeur, elle revêtit une robe de chambre sur sa nudité et alla ouvrir. C'était sa fille Virginie, en pleurs.
- Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui t'arrive ?
- Je me suis engueulée avec Kevin. Il me plaque.
- Et pourquoi donc ? Qu'est-ce qu'il te reproche ?
- Il dit que je ne lui plais plus. Il m'a même dit, le salaud, que je ne le fais plus bander. Quel salaud !
- C'est surtout un petit con. Bon, tu m'excuses mais je suis occupée en ce moment. Tu veux dormir ici ?
- Ben... oui, si c'est possible. Si je ne te dérange pas trop.
- C'est que... j'ai un copain en ce moment, il est là dans ma chambre.
Virginie jeta un coup d'oeil furtif vers la porte ouverte de la pièce et découvrit Julio, nu et encore un érection, en train de se palucher.
- Ah ! Vous étiez en train de faire l'amour... Il est drôlement bien monté, ton mec. Pas comme ce con de Kevin.
- C'est ça, oui. Enfin, je suppose...
- Il te fait jouir ?
- Dis donc, de quoi je me mêle ? C'est mon mec, pas le tien. Allez, va dans la chambre d'amis et on se revoit demain.
Au passage, Virginie jeta un nouveau coup d'oeil vers Julio et lui adressa un sourire aussitôt rendu. Ses larmes avaient séché. Et les deux amants reprirent leurs ébats où ils les avaient laissés. Julio replongea son museau entre les cuisses dodues de Marjorie et lui offrit ce qu'elle attendait : une pénétration classique, en missionnaire, tonique et vigoureuse.
De la chambre d'amis, Virginie ne manqua rien à l'oreille de cette copulation frénétique : le claquement des peaux, les gémissements de sa mère, les mots crus de son amant, les grincements du lit... Elle ne put s'empêcher, par curiosité plus que par vice, d'aller glisser un oeil vers la porte entrouverte. Ce qu'elle vit allait la marquer pour longtemps. Elle avait encore de l'amour une vision plutôt idyllique. Ses rapports sexuels, depuis l'âge de 17 ans, s'étaient révélés des contacts charnels un peu maladroits avec des garçons plus gentils que virils. Mais le spectacle interdit qui s'offrait à elle n'avait rien à voir avec sa propre expérience. D'abord, elle découvrit le cul poilu de l'homme vriller une bite dont elle percevait fugitivement la longueur et l'épaisseur. Il avait saisi les chevilles de sa mère pour les écarter en V et plonger au plus profond. Ce qui stupéfia Virginie fut l'engagement physique du couple, car sa mère adoptait le même comportement animal que son amant. Elle la vit saisir les couilles ballottantes, glisser un doigt dans son anus, griffer ses fesses, riposter aux coups de boutoir à grands coups de hanches et surtout adjurer son amant de ne pas en rester là.
Lorsqu'il la retourna pour la prendre en levrette, Virginie découvrit dans l'embrasure de la porte le visage d'une mère qui lui était inconnu, une mère réduite à son animalité. Pendant que l'homme la creusait inlassablement en lui tenant les flancs, elle se léchait et se mordait les lèvres, affichait un rictus qui n'était pas de douleur, penchait la tête entre ses bras pour observer le travail de la bite, la relevait pour pousser une exclamation de plaisir, se tournait vers lui pour l'encourager ("allez allez vas-y continue...") avant de se détacher pour s'empaler sur son amant et révéler une souplesse de hanches qui provoqua dans l'intimité de Virginie un afflux de cyprine. Elle ressentait maintenant physiquement la jubilation qu'éprouvait sa mère à la jonction rectiligne et verticale de son sexe sur celui de l'homme. Lorsqu'il la renversa pour lui infliger entre ses cuisses une dernière rafale, elle assista tourneboulée à leur orgasme commun, à l'éjaculation massive de l'homme sur le ventre brun de sa mère puis, une fois qu'il fut sur le dos, découvrit le pénis bestial, disproportionné, qu'elle n'aurait jamais imaginé dans sa tête de 20 ans; organe chevalin, taurin, qui avait été sans nul doute à la source de la jubilation de sa mère. Et elle alla se coucher, le feu au bas-ventre. Ainsi donc, c'était ça le sexe. Une espèce de danse à deux entre un mâle en rut et une femelle en chaleur, dépourvus de retenue et d'affectation amoureuse; une danse frénétique, salace, athlétique, centrée sur l'union d'un pénis et d'une vulve qui se faisaient mutuellement du bien, beaucoup de bien, jusqu'au bouquet final.
Le lendemain matin, Marjorie se leva la première. Elle devait aller travailler et elle n'était pas en grande forme. Ce mec l'avait tuée avec sa grosse bite. Mais elle était surtout soucieuse pour sa fille. Elle jeta un oeil vers la chambre d'amis : elle dormait à plat ventre, nue. Son corps ressemblait étrangement au sien, jusqu'à ses fesses, mais avec quelques kilos de moins. En buvant son café, elle agita quelques pensées et aboutit à cette conclusion : il faut qu'elle reprenne confiance en elle, qu'elle sache qu'elle peut toujours séduire. Elle avait aperçu Virginie en train d'espionner son accouplement torride. Et elle l'avait sciemment laissé regarder. Avant de partir, elle se glissa dans sa chambre pour découvrir son amant lui aussi à plat ventre, la queue bizarrement allongée entre ses jambes écartées. "Quel engin !" se dit-elle, encore émue. Elle le réveilla en douceur et l'homme voulut l'attirer dans le lit.
- Non, je dois partir travailler, désolée. Tu es un amant magnifique, merci mille fois.
- De rien, c'est gratuit.
- Idiot. Mais je vais te demander un service. Ne sois pas surpris.
- Ah bon, quoi donc ?
- Ma fille dors à côté. Va la baiser. Montre-lui ce que c'est qu'un vrai mâle.
- Quoi ? Tu veux que... je baise ta fille chez toi ?
- Exactement. Je ne suis pas jalouse. Donne-lui autant de plaisir que tu m'en as donné. C'est tout ce que je te demande. Bon, je m'en vais. A ce soir peut-être ? Garde quelques forces quand même...
Et Marjorie s'en fut, imaginant la surprise de sa fille lorsque l'homme entrerait dans son lit...
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Il eut la délicatesse de ne pas la brusquer. Lorsqu'elle vit surgir cet homme nu et athlétique qu'elle ne connaissait pas autrement qu'au lit, sa première réaction fut de tirer son drap sur sa nudité et de lui demander ce qu'il fichait là. Il lui dit qu'il la trouvait jolie, qu'il était juste venu lui dire bonjour avant de s'en aller. Virginie se détendit peu à peu, lui posa quelques questions, écouta ses explications et finit par planter le regard sur son chibre au repos. Elle se souvenait de la formidable érection de la nuit qui avait tant réjoui sa mère. Lorsqu'il commença à la caresser, d'abord le visage, puis le cou, puis le bras, elle se laissa faire. Quand il lui prit la main pour la poser sur son braquemard, elle se déroba d'autant moins qu'elle le sentit grossir. Elle protesta néanmoins :
- Ma mère, ça ne t'a pas suffi ?
- Non. Tu es très jolie. Et d'ailleurs, elle est d'accord pour que je te fasse l'amour.
- Ah bon ? Tu ne mens pas un peu ?
- Tu veux qu'on l'appelle ?
Virginie ne répondit pas. Sa résistance s'amenuisait de minute en minute. Il lui fit imprimer un mouvement masturbatoire qui produisit rapidement un effet spectaculaire. Il se détacha et s'offrit à ses lèvres. Instinctivement, elle le goba. Sa bouche était douce, un peu maladroite mais l'effet radical. Nue, ouverte, elle le regarda enfiler son préservatif et il la pénétra lentement, progressivement, afin qu'elle puisse prendre la mesure de son engin. Elle était beaucoup plus étroite que sa mère mais l'abondance de ses secrétions fit qu'il put entreprendre de la labourer. Elle manifesta rapidement un tempérament ardent, conforme à celui de sa mère et il put la chahuter pour répondre à son attente. Il l'encourageait à lâcher prise en la pilonnant de plus en plus vigoureusement, ce qui ne tarda pas à la faire piailler. Il la prit et la reprit dans diverses positions, voulut honorer sa croupe comme il avait honoré celle de Marjorie, mais elle réagit :
- Non, pas ça, s'il te plait.
Il n'insista pas. Elle avait le temps de découvrir le plaisir anal. A la place, il la conduisit sur la table de la cuisine où il lui infligea une pénétration en droite ligne qui la fit hurler de plaisir. C'était la première fois de sa jeune vie où elle se faisait prendre en dehors d'un lit. Il lui fit faire le tour de l'appartement sur sa queue avec l'aisance de son corps athlétique, ce qui la mit en transes et lui fit proférer des mots incompréhensibles. Il la "termina" sur le lit par une rafale de coups de bite et quand enfin il éjacula, elle était totalement échevelée, en nage, le feu aux joues, le corps en fusion. C'était la première fois qu'elle avait été vraiment baisée. Une révélation inouïe.
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Marjorie la retrouva le soir même souriante, détendue, l'oeil vif, méconnaissable par rapport à la veille. "Julio a réussi son coup", se dit-elle. Le sujet ne fut pas abordé jusqu'au lendemain quand le livreur fit à nouveau son apparition. Marjorie décida de jouer franc jeu en présence de Virginie :
- Bon, je sais que tu as fait l'amour avec ma fille et j'espère que tu l'as bien fait. Je ne tiens pas à l'exclusivité. Nous sommes libres tous les trois. Mais je tiens à ce que cela se passe chacun de son côté.
Les deux autres approuvèrent. Ainsi commença un trio un peu particulier où le même homme honorait la mère et la fille avec la même ardeur. Mais à la longue, Marjorie comprit qu'elle devait peu à peu s'effacer et laisser sa fille vivre sa vie sexuelle avec un expert du genre. Virginie s'épanouissait à vue d'oeil. Son amant l'initiait à tous les plaisirs. Réticente au début à la sodomie, elle finit lors d'une nuit particulièrement torride à accepter qu'il entre dans son cul, il est vrai copie conforme de celui de sa mère, ce qui ne pouvait que stimuler le livreur. Après un début laborieux, ce fut pour elle une révélation et elle connut cette nuit là l'orgasme anal. Contrairement à sa mère, elle devint très réceptive à l'enculade, à la grande joie de son amant qui adorait son fessier. Finalement, le jeune couple s'entendit si bien que leur relation devint durable. Julio courut moins la gueuse, il se stabilisa dans ses emplois et Virginie poursuivit ses études avec succès. Le hasard fit que Marjorie rencontra un copain de son ex amant qui lui donna encore pleine satisfaction. La simple relation sexuelle devint peu à peu une liaison durable, si bien que les deux couples dînaient régulièrement ensemble. Et ces soirs là, devinez ce qu'ils mangeaient ? Des pizzas bien sûr...
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