Collection Homme Femme. Violoncelliste. Saison V (18/21)
« Je rentre chez moi à Bordeaux, veux-tu maccompagner ? »
Cest cette phrase que prononce Daniel qui me met en joie.
Chez lui à Bordeaux, alors quil y a encore peu de nombreuses femmes bien plus belles que moi étaient présentes.
- Il faut que je ramène Valentin, lorage est imminent.
- Valentin tu me trompes déjà, dit moi où est-il, je vais lui faire sa fête.
- Tu es bête, embrasse-moi, jadore ta façon dembrasser.
Valentin cest mon violoncelle, regarde il est seul sur son estrade, à part ce couple là-bas roulant sur la pelouse, il doit se sentir abandonné.
Si je lui disais les moments fusionnels que lon peut avoir ensemble, surtout comme ce soir où jai joué nue.
Il le prend en main après que je lai rentré dans son étui avec mon archet et comme sil sagissait dun kilo de plume il le porte vers la chambre où jai mes vêtements.
Moi qui me casse le dos quand je le transporte, la facilité quil a grâce à ses muscles me promet des moments non dénués dintérêt.
Nous arrivons à la chambre, la pièce est éclairée et pour la deuxième fois en quelques heures je vois maman dans une position sans équivoque.
Émilie et elle se broute tête-bêche et David comme derrière lestrade est dans une de ses intimités.
Où est-il, dans le trou doù je suis sortie ou la sodomise-t-il ?
Je me garde bien de lui demander cest leur affaire.
- Tient Baby te voilà, viens embrasser ta grand-mère.
Je vois que tu as pris sous ta coupe notre petite violoncelliste.
Avec Bijou nous rentrons à Biarritz.
On se téléphone les s.
Vous venez Baby, je refermerais le portail.
Trois minutes et je suis prête.
Marie monte au volant dans une Ferrari rouge habillée d'une combinaison blanche.
Bijou étant le trans qui embrassait Daniel, lui aussi dans une combinaison justaucorps bleu à paillettes qui lui va très bien, tellement il est effilé.
Il marche dans des chaussures à très hauts talons genre drag-queen.
Il ou elle a refait son maquillage digne de la gay pride parisienne.
Pour ma part cest dans une Porche décapotable que Daniel minstalle en parfait homme du monde mayant ouvert la portière.
La voiture est si basse que ma courte jupe remonte, montrant ma chatte sans culotte.
Nous prenons la route de Bordeaux suivie par Marie conduisant ce bolide malgré son grand âge.
Le vent prend mes cheveux car il appuie sur le champignon.
Je me penche à son oreille pour quil mentende.
- Dis-moi, pourquoi ta grand-mère ta appelé Baby.
- Dois-je te le dire cest loin dêtre un épisode simple de ma vie.
- Raconte, je veux tous savoir de toi.
- Bon, daccord.
Quand jétais , jétais petit et chétif.
Jétais lhéritier et je devais faire honneur à la famille.
Ça a créé des frustrations en moi alors que jétais un esprit brillant.
Je confondais les M et les B cest ainsi quau lieu de dire Mamy, je disais Baby.
Seule ma grand-mère a le droit de mappeler comme ça.
On ma élevé dans un cocon, nurse, prof perso.
Ils faisaient tous mes caprices.
Un jour jai vu des jeunes jouer au foot.
Javais déjà 12 ans.
Jai demandé den faire, alors on ma acheté tout léquipement et inscrit aux Girondin de Bordeaux.
Mes parents venaient de sinstaller à la Teste alors quils avaient leurs affaires à Bordeaux.
Je suis allé au club une seule fois pour un match.
Jétais arrivé avec mes crampons et ma belle tenue.
Tout le match je suis resté sur le banc des remplaçants à espérer rentrer.
Les deux autres lon fait mais moi non.
Le plus dur restait à venir, quand nous sommes revenus au vestiaire l'entraîneur a donné lordre daller à la douche obligatoire.
Les autres garçons se sont dénudés me montrant leur anatomie mieux développée que moi.
Certains plus vieux avaient déjà des poils alors quà part ma bite tendu le matin ayant mouillé mes draps, aucun.
Je suis parti en courant évitant à jamais de revenir.
Jai tellement eu honte dêtre un gringalet que je me suis fait payer par Mamy.
Tu remarqueras que jarrive à le dire après de nombreuses années dans les mains dune orthophoniste qui a gommé ce défaut de prononciation.
Mamy donc ma payé ma salle de musculation et en plus dun diplôme darchitecte et dune agence à Bordeaux, voilà lhomme que je suis devenu.
Tout en roulant, à grande vitesse, sa main débute par la cuisse trouvant rapidement ma chatte dénudée.
Un petit regard vers moi et ses doigts viennent me caresser.
Heureusement nous sommes aux abords de Bordeaux et il doit ralentir et faire plus attention.
Il me caresse jusquà quitter mon vagin pour appuyer sur un bouton et que la porte dun garage souterrain souvre.
Jai le temps de voir quen bas il y a ce que doivent être son cabinet darchitecte une plaque lindiquant.
Dans le garage, plusieurs voitures qui doivent être de collection.
Il y a des voitures bizarres.
- Tu regardes ma collection, 2 cv Citroën, celle-là cest une 4L Renault, elle a appartenu à Mamy, je savais à qui elle lavait vendu et je lai racheté à prix dor.
Elle marche impeccable.
Chaque fois que Mamy vient me voir, elle adore la conduire ça lui rappelle sa jeunesse.
- Elle est riche pour rouler en Ferrari ?
- Crois-tu que je taie emmené chez moi pour parler de cette DS21 coupée sport ou de ma grand-mère avec tout le respect que je lui dois ?
Il me prend dans ses bras et nous nous échangeons un baiser qui me fait fondre.
Ça doit être ça le coup de foudre.
Surtout que jaurais pu choisir un plus moche, du genre de ce quil était avant de se transformer en Schwarzenegger.
- Faire ça dans une voiture surtout une Porche, il y a plus confortable, montons chez moi.
Cest en courant que nous arrivons au troisième, il a un ascenseur mais semble pressé de me sauter.
Il ouvre sa porte et me prend dans ses bras.
Nous nous embrassons fougueusement, il défait sa ceinture et me prenant sous les cuisses me permettant de mempaler littéralement sur ce morceau bien supérieur à ce quil aurait pu montrer à ses copains dans son vestiaire de foot.
Je suis de nouveau rincée, trempée et sa verge semble infinie quand je sens que jai atteint ses couilles.
Il me fait monter et descendre à grande vitesse.
Il faut que je trouve de lair mais lorgasme qui me submerge est si fort que cest une femme amoureuse quil emmène toujours sa verge au fond de moi vers sa chambre.
Il me pose, me montrant toute sa vigueur aussi je plonge sur elle et je la lèche récupérant ma cyprine qui la macule.
- Jai faim, nous sommes partis sans que tu aies le temps de prendre une collation au buffet.
Je vais voir ce que ma mère ma mis dans mes frigos.
- Cest Émilie ta maman qui gère ton frigo ?
- Oui, je suis dans lincapacité de le faire et surtout mon temps mest compté.
Jai un boulot monstre dans mon cabinet malgré les deux collègues que je dirige.
Il quitte sa chambre me montrant son joli petit cul, il a deux magnifiques fossettes.
Je lentends farfouiller dans la cuisine et revenir avec un plateau où se trouvent quatre choux à la crème avec une bombe de chantilly et dans son autre main une bouteille de champagne et deux coupes.
- Ma mère connaît mon péché mignon, les choux à la crème surmontés dune tonne de chantilly.
Chaque fois quelle remplit mon frigo, jen trouve quatre.
Avec toi je vais les partager.
Cest rare, mais avec toi, je ferais une exception.
Javais peur quil me trouve moche comparé aux filles qui étaient à la soirée de ses parents.
Pourtant cest moi quil a choisi.
Je regrette que Valentin soit resté chez son père, je me serais dénudée.
Non, ça sest fait.
Nue donc, jaurais fait vibrer mon instrument comme je vais faire vibrer le sien quand prenant la bombe de chantilly, je lui en badigeonne sa queue
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