Une Femme Piégée Partie 4
Comme chaque matin depuis une semaine, Françoise se leva tôt pour aller à la plage et profiter d'un soleil printanier aussi chaud qu'en été.
Ses parents la couvaient de mille attentions et elle leur savait gré de ne pas poser de question.
Ils se doutaient cependant que tout n'allait pas pour le mieux dans le ménage de leur fille.
Laurent téléphonait de temps à autre pour prendre des nouvelles de Françoise qui écourtait systématiquement les communications téléphoniques.
Ce matin-là. elle arriva sur la plage vers neuf heures. Il y avait peu de monde.
Quelques mamans avec leur bambin, deux ou trois couples, et ce jeune homme de 20 ans environ, à la tête noire et bouclée qui, selon son habitude, sourit à Françoise.
Elle lui rendit son sourire et, bien sûr, comme à l'accoutumée, il vint s'asseoir à côté d'elle.
Dès le premier jour, elle avait engagé la conversation avec lui, elle ne se souvenait plus très bien comment cela s'était passé, mais la chose lui avait paru naturelle.
Elle se sentait très mûre auprès de ce bel adolescent à la peau d'ébène.
Il se prénommait Christian. Sa mère était martiniquaise mais elle avait quitté son père, un artisan-pêcheur.
Christian, très volubile, n'était jamais à cours de conversation, même si celle-ci n'était pas toujours intéressante, Françoise s'y prêtait de bonne grâce.
Ainsi, elle oubliait un peu Laurent, ses propres problèmes, elle désirait surtout ne plus penser à ce couple d'Allemands et à la nuit passée avec eux dans la caravane.
Ce n'était pas un souvenir pénible, bien au contraire. Cela la terrifiait quelque peu sur son propre comportement.
Des images terriblement lubriques l'assaillaient parfois, l'envie de téléphoner à Frida la torturait, elle se voyait en train de faire l'amour, de jouir follement.
Elle résistait de toutes ses forces, mais au prix d'un effort surhumain.
Elle feignait d'écouter le jeune Christian en songeant à prendre un amant qui calmerait le feu de son ventre, mais elle craignait de se lancer dans une idylle emprissonnante, de rencontrer un homme qui tomberait amoureux d'elle.
Elle n'était vraiment pas prête pour ce genre d'aventure.
Tout en pensant à cela, elle regardait Christian qui, à son insu, la tira de ses réflexions.
Tandis qu'il parlait, l'adolescent ne pouvait s'empêcher de porter souvent les yeux sur un point précis.
Françoise ne fut pas longue à se rendre compte de quoi il retournait. La touffe de son pubis rebondissait sous son slip de bain qui laissait échapper quelques frises brunes.
Par ailleurs, le garçon avait remonté les genoux sous son menton en serrant fortement ses cuisses l'une contre l'autre.
Pourquoi te tiens-tu toujours ainsi? questionna-t-elle.
Troublé, mal à l'aise, le jeune Noir changea presque de couleur. Françoise élargit son sourire et se fit rassurante:
«C'est moi qui te mets dans cet état-là?»
Comme un prit en faute, il baissa les yeux.
«Ne sois pas timide, c'est une chose naturelle, tu sais...
Il leva la tête. stupéfait:
Alors, vous n'êtes pas fâchée? Elle rit de bon coeur:
Pourquoi le serais-je? Au contraire, c'est flatteur pour moi. Tu n'as pas d'amie, de petite fiancée?
11 secoua tristement la tête:
Je suis trop jeune, Noir et laid!
Elle lui prit le menton entre ses doigts et le força à la regarder bien en face:
Tu es jeune, c'est vrai. Tu ne crois pas qu'il vaut mieux être jeune que vieux?
Vous ne pouvez pas comprendre!
Je comprends que tu as envie d'une fille. Tu n'es pas laid, je te trouvemême très beau, quant à la couleur de ta peau elle n'a vraiment rien de déplaisant...
Christian se leva d'un bond et courut vers le rivage. Il s'arrêta au bord de l'eau, se baissa, ramassa quelques galets et s'amusa à les faire ricocher sur les vagues. Il lançait une pierre ou deux, puis il jetait un coup d'oeil par dessus son épaule, vers Françoise qui, en l'observant, ressentait une étrange émotion. Christian était peut-être la solution à son problème. Ce ne devait pas être désagréable d'initier un adolescent, mais saurait-il tenir sa langue? D'autre part, ne risquait-elle pas de faire naître en lui des sentiments amoureux auxquels elle ne pourrait pas répondre et qui le feraient inutilement souffrir? A ce sujet, il existait un moyen d'éviter la chamade du coeur en reportant tout sur le sexe.
Françoise venait de prendre une «sage» décision qui l'empêcherait de retomber dans le vice, de se retrouver un soir dans une partouze organisée par le Comte de Saint-Florent; de surcroît, elle s'octroyait une joie nouvelle qui ne manquait pas d'un certain altruisme vis-à-vis de Christian. Elle le rappela instantanément et l'adolescent revint au pas de course. En le voyant revenir vers elle, Françoise remarqua que la bosse du sexe et des testicules sous le maillot n'était pas négligeable.
- Assieds-toi! dit-elle.
Quand il eut obéi, elle poursuivit:
- Tu sais, je suis beaucoup plus âgée que toi, tu ne me trouves pas trop vieille?
Il écarquilla les yeux et dit: «Oh non!»
- Cela te plairait que toi et moi fassions des choses ensemble?
- Des...choses?
- Tu n'es pas stupide, tu sais bien de quoi je veux parler...
N'en croyant pas ses oreilles, il déglutit difficilement:
- Vous le feriez vraiment?
- Cela dépend d'un tas de choses!
- Lesquelles?
- Je suis mariée et je ne t'aime pas! Enfin, je veux dire que je ne t'aime pas d'amour mais d'amitié, tu comprends?
- Oui, bien sûr.
- Il faudra me considérer comme une salope qui aime se faire baiser par un jeune Noir très beau! Mais il est important que ce jeune Noir très beau se taise! Parce que je suis mariée. Si on l'apprenait, j'aurais de gros ennuis, et toi aussi!
- Je... je n'arrive pas à y croire. Melle Françoise... J'ai tellement envie de vous...! Enfin, vous me comprenez?
Il voulut remettre les genoux sous son menton mais elle l'en empêcha:
- Non, reste comme ça...
Christian lança un regard paniqué autour de lui.
«Les gens sont trop loin, ils ne voient rien! dit-elle en observant la verge de l'adolescent qui enflait remarquablement sous le maillot.
Elle la frôla du bout des doigts et la sentit durcir davantage. Ce devait être un beau membre déjà adulte. Honteux, Christian se mit à plat ventre et. malgré lui, ne put s'empêcher d'imprimer un léger mouvement à ses reins.
- Tu en as très envie, n'est-ce pas?
- On pourrait prendre un pédalo et aller se cacher derrière les rochers? A cette époque, il n'y a jamais personne.
Françoise se sentit envahie par une énorme bouffée de chaleur:
- Je vais le louer, dit-elle. Tu me rejoindras quand je te ferai signe.
Assis l'un à coté de l'autre ils péda-laient en silence.
Quand le pédalo fut assez loin de la plage, Françoise ôta son soutien gorge et retira son slip de bain.
Extasié, Christian la contempla alors que son maillot ne pouvait plus emprisonner l'érection de sa verge, le sommet de celle-ci montait à l'assaut de son ventre, dépassant son nombril.
Adroitement, elle dégagea toute la hampe et la serra dans sa paume.
Le jeune homme bandait comme un taureau et son sexe atteignait des dimensions surprenantes.
Elle tira sur la peau brune du prépuce et dégagea un gland lisse, rond, étrangement rose.
Christian la laissait faire, éberlué, n'osant toucher les trésors féminins resplendissants sous le soleil.
Ce qui le fascinait le plus était la toison noire, enchevêtrée comme un nid d'oiseau.
Il savait que c'était là, entre les cuisses, qu'il planterait son épieu, et il se demandait quelle sensation il ressentirait.
Hamed et Dialo, ses deux copains plus âgés que lui, avaient plusieurs fois commenté la chose.
Une fois, Christian avait bien failli se laisser tenter, mais au dernier moment, il s'était enfui à toutes jambes.
Pourtant, la fille n'aurait certainement pas refusé.
Ce n'était pas une de ces vieilles putes du vieux Nice mais une de ces vicelardes qui revenaient de Monte-Carlo, bourrées de fric en voiture.
Celle-là était en robe de soirée, elle avait une trentaine d'années et le type qui l'accompagnait aurait pu être son grand-père.
Il avait hélé le trio qui déambulait sur la Promenade des Anglais.
Trente minutes plus tard, sur les hauteurs de Nice, Hamed se faisait sucer par la fille pendant que Dialo lui bourrait les fesses.
Le vieux regardait ça en astiquant sa queue molle. En y repensant, Christian se dit qu'il avait été stupide de ne pas profiter de la situation comme il en profitait maintenant.
Il se souleva un peu pour aider Françoise qui lui retirait son slip. Elle fit alors ce qu'il n'aurait jamais osé lui demander.
Il s'accrocha au siège du pédalo, tendit le ventre et fixa la tête de sa partenaire penchée sur lui.
Elle prenait sa pine en bouche et la suçait comme s'il s'agissait d'un délicieux sucre d'orge.
Christian n'avait jamais ressenti quelque chose d'aussi excitant.
La fille le manipulait d'une manière aussi extraordianire qu'imcompréhensive: quand il était sur le point de jouir, elle arrêtait sa succion, le caressait de la pointe de ses seins, puis elle le cerclait de ses lèvres et sa langue tournoyait follement autour du gland.
Le sentant à bout, Françoise ne lui refusa pas un premier plaisir.
Elle creusa les joues et tira fortement sur toute la raideur de la hampe qui durcit davantage avant d'expédier plusieurs flocons brûlants au fond de sa gorge.
Christian se tordit sur son siège en jouissant d'une manière phénomènale.
Curieusement, alors qu'il lançait ses giclées épaisses, Christian murmurait entre deux râle: «Oh! Melle Françoise... Melle Françoise... »
Quand elle eut avalé l'ultime fusée de sperme, elle dégagea sa bouche et, l'air un peu stupide, demanda:
- C'était bon?
- Oh oui, Melle Françoise...
Elle ne put réprimer un sourire: ce gentil puceau ne pouvait la tutoyer, ce qui d'ailleurs ne manquait pas de charme.
Quand le pédalo fut à l'ombre des rochers et à l'abri des regards indiscrets, Françoise dit à son jeune partenaire de s'agenouiller entre ses cuisses.
Bien qu'il ne se montrât guère empressé, il obéissait au moindre désir de Françoise.
Elle lui prit la nuque, l'attira vers elle et grommela sourdement:
- Bouffe-moi la chatte!
Christian commença par donner de timide coups de langue sur les poils.
Françoise écarta ses lèvres pour offrir son clitoris raidi et le garçon comprit que ce point s'avérait particulièrement sensible.
Il prit un certain plaisir en s'appliquant de mieux en mieux.
Quand Françoise poussa un bref gémissement aigu et qu'il reçut sur sa langue une rosée onctueuse, Christian se redressa, verge bandée, solidement empoignée par sa main.
Françoise se tendit vers lui et râla de plaisir en percevant le pieu tendu qui la forçait hardiment.
Le garçon s'emballait, il la baisait frénétiquement, et son inexpérience était largement compensée par une fougue peu commune.
En quelques coups de reins, il la mitrailla littéralement, mais alors qu'il éjaculait pour la seconde fois, il n'arrêtait pas pour autant son action.
Afin de mieux savourer la virulence du membre viril, Françoise se retourna et se fit prendre en levrette, un genou sur la banquette du pédalo, l'autre au fond de celui-ci.
Cette fois, Christian, moins pressé par l'excitation, fit jouir deux fois sa partenaire avant d'entrer lui-même dans un plaisir plus intense que les précédents.
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