Les Fantasmes De Sandrine 05

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

05 – LE VOYAGE

Quand je reviens dans la cuisine, les trois hommes sont là. Ils parlent doucement, chuchotent presque. Je reste là, les pieds écartés, les mains dans le dos. Le Chef me prend à part :
• Petite bourge, nous allons partir !
• Bien, je vais me préparer !
• Mais nous n'avons pas prévu de t'emmener !
• Vous ne connaissez pas la région. Et une femme avec trois hommes passent inaperçus, alors que trois hommes seuls risquent d'être plus facilement repérés. !
• Ok, tu conduiras ! Nous partons dans une demi-heure !
Je remonte dans ma chambre. Je sors un sac de voyage et y jette quelques vêtements. Le Balafré arrive. Il retourne le sac, répandant mes vêtements au sol :
• Tu ne prends que des affaires de toilettes !
• Mais je ne vais pas circuler dans cette tenue ?
• Si tu seras très bien ainsi !
• Bien, si vous le voulez ainsi…
Je me dirige vers la salle d'eau. Je prends ma trousse de toilette. Je redescends. Les trois hommes arrivent. Ils ont quelques vêtements dans un sac. Il est jeté dans le coffre de l'Espace. Je leur pose une question :
• Que faites-vous pour mon mari ?
• C'est le chef qui me répond :
• Nous avons réglé le problème !
Mon cœur fait un bond dans ma poitrine :
• Comment cela ?
• Ne t'inquiète pas. Il est endormi avec un somnifère et attaché. Quand il se réveillera, un couteau est à ses côtés. Il pourra se libérer. Mais nous lui avons signalé que tu venais avec nous ! Ferme la maison !
Très rapidement, les hommes m'aident. Quelques minutes plus tard, je ferme le portail et reprends le volant. C'est le Chef qui est assis à mes côtés. Ma jupe trop courte remonte très haut sur mes cuisses. Le Chef me demande :
• Dis-moi, si tu as obéis, tu n’as pas de culotte, là ?
• Oui, comment vous l'avez exigé…
• Montre-moi vite, je veux voir ça…
• Mais je conduis et cela est dangereux !
• Ne m'ennuie pas, obéis !
Sans un regard pour lui, ne quittant pas la route sinueuse des yeux, de ma main droite, je relève doucement le bas de ma jupette et lorsque j’arrive à la hauteur de mon sexe je le découvre d’un coup sec avant de rabattre immédiatement mon vêtement.


• Ah non, je n’ai pas eu le temps de voir ! Montres-toi !
Je relève une nouvelle fois ma jupe. J'écarte les cuisses, pour lui montrer mon sexe nu. Surprise moi-même par tant d’audace, je pique un fard et tout mon corps s’enflamme soudain. J’ai la chatte trempée, le sexe dégoulinant. Une auréole gluante se dessine sur le velours du siège. Cela en dit long sur mon état psychologique. Le Chef se repaît de la vue sur ma chatte imberbe.
• Voilà, c'est très bien ainsi !
• Je peux la remettre correctement ?
• Non !
• Pourquoi donc ?
• C'est bien toi qui nous as demandé d'être notre soumise ?
• Oui, en effet…
• Eh bien tu l'es !
Cette nouvelle me laisse sans voix.
• Tu ne dis plus rien ? Tu ne veux pas ? Tu as peur ?
• Non. Oui… Enfin, je ne m'attendais pas à le faire en extérieur… Je croyais que je devais le faire dans ma maison…
Mais le Chef ne reste pas insensible. Une bosse déforme largement son pantalon. Il remarque mon regard. Il sourit et me lance :
• Petite cochonne ! Tu es une vraie salope !
La route est assez droite maintenant. Aussi n'écoutant que mes envies, je passe ma main sur la bosse. Le Chef baisse sa braguette. Son sexe raidi pointe droit hors de sa braguette. Je glisse ma main sur ce sexe tendu. Je caresse en s’attardant sur son gland. Je l'empoigne à pleine main. Je le masturbe. Il ne reste pas immobile. Sa main gauche glisse sur ma cuisse et trouve immédiatement mon sexe nu et baveux. Son majeur entre dans ma chatte. C’est exquis ! Je suis tout de suite au bord de la jouissance, mais je me retiens. J’ai du mal à ne pas crier. Je me mords les lèvres pour ne pas le faire. Un deuxième doigt arrive sur mon sexe. Aussitôt mon clitoris est pincé. Je pousse un gémissement sans équivoque, que les deux acolytes assis à l'arrière ne peuvent ignorer. Le Chef me tend un kleenex. J'éponge ma mouille qui inonde mon entrejambe. Je rabats ma jupe.
L’affaire a duré deux minutes maximum ! Je reprends vie doucement. Mais je pense à sa dernière remarque avant l'intermède sexuel. Après quelques minutes de réflexion, je trouve finalement cela très tentant en pensant que ça pourrait sans aucun doute très vite devenir excitant.
• Vous n'allez pas me demander de me balader à poil dans les rues ?
• Non, rassure-toi, il se peut que je te demande un peu de te montrer juste pour favoriser les choses…
• Comment cela ?
• Si des personnes s'occupent plus de nous, tu te montreras un peu pour détourner l'attention…
Je me tais. Je roule sur la départementale qui nous amène à l'autoroute. Le péage est passé sans encombre. C'est le deuxième jour de vacances. L'autoroute est peu chargée. Vers 12 heures, le Chef me demande de prendre la première aire de repos. Elle est dans quelques kilomètres. Il me guide sur l'aire pour aller à un guichet de distribution de sandwichs "drive". Je rabats ma jupe. Le Chef voit mon geste :
• Relève ta jupe comme avant !
• Mais…
• Il n'y a pas de mais ! Obéis !
Je relève ma jupe. Quand je baisse le regard je vois mon sexe nu, alors au guichet on va me voir ! Je n'ai aucune envie de croiser le regard du serveur ou de la serveuse. J'immobilise la voiture devant le guichet. Je descends la vitre électrique. Un "bonjour" sonore et tonitruant retentit. C'est un homme !
• Alors belle madame, que vous faut-il ? Avec ces trois hommes, vous ne devez manquer de rien !!
Un gros rire gras ponctue sa remarque. Je me sens rougir. Le Chef passe rapidement la commande et tend un billet. L'homme me rend la monnaie non sans bouger. Je suis obligée de tendre le bras et bien entendu, mon décolleté lui offre une vue magistrale sur ma poitrine libre. Il ne peut se retenir de me lancer un commentaire :
• Attention de ne pas laisser les deux pigeons prendre un rhume et attention que la chatte que j'ai vue ne les mange pas ! Apparemment, c'est une gourmande.
..
Si j'étais rouge de honte, cette fois, je suis cramoisie ! Mais curieusement, cette honte me génère un plaisir malsain qui me ravit. L'humiliation que le Chef vient de m'imposer me plaît et me fait mouiller. Le tissu du siège en connaît les conséquences. Le Chef me dit de trouver une place dans un coin isolé. Le parking est quasiment désert. Pendant cela, je sens le regard de l'homme installé à mes côtés. Il mate mes jambes offertes. Il faut dire que cette petite jupe vraiment très courte, trop courte. Enfin, je trouve une place, au bord extérieur de parking. Je me gare en marche arrière, le hayon face à un banc. Je signale au Chef mon envie d'aller aux toilettes. Il décide de m'accompagner. Il a peur que je me perde, sans doute. Il me suit. Connaissant son attrait pour mon cul, j'ondule du cul en digne représentante de la gente féminine. Puis pour le plaisir, je me penche, faisant semblant de rajuster ma chaussure, histoire de lui montrer mon petit cul et ma chatte dénudée. Ces sanitaires sont loin des parkings de passage. Le chef entre avec moi chez les "Dames" et me tient la porte ouverte. J'ai beau le prier de me laisser uriner seule, rien n'y fait. Encore une humiliation qui m'emplit de bonheur. Au retour, pour lui prouver que je suis bien à sa merci, je le regarde les yeux pétillants et d’un regard coquin. Je passe derrière la voiture. Je soulève mon top au-dessus de mes seins offrant ma poitrine aux regards des deux autres qui attendent patiemment. Et pour couronner le tout, je lève ma jupette toute petite mini-mini. Me voilà entièrement à poil chaloupant vers la voiture et m’exhibe à leurs yeux. Le seul commentaire qui suit ma prestation est :
• Quelle salope tu fais !!
Les deux autres ont installé le pique-nique près du banc. Le hayon est grand ouvert. Le balafré me dit de m'asseoir dans le coffre de l'espace. Je m'installe sur le côté. Il m'impose de m'asseoir au milieu du coffre. L'attelage me gêne et je suis contrainte d'écarter les cuisses.
Je comprends que c'était le but de la manœuvre : je suis installée en face d'eux les jambes largement écartées. Ils ont un point de vue très érotique, voir même pornographique. Je ne dis rien, cette "obligation" me plaît. J'excite ces trois hommes et cela procure du plaisir, malsain certainement mais cela me convient tout à fait. Nos sandwichs sont avalés rapidement. Ils ouvrent des bouteilles de bière. Celles –ci ont un col très long. Soudain, Blanche-Neige sort du paquet pique-nique, une banane. Un sourire illumine son visage noir. Il me regarde et se lève et me tend le fruit. Il retourne s'asseoir. Puis toujours avec son sourire désarmant me dit :
• Caresse-toi avec !
J'ai parfaitement compris sa demande, mais je n'ose pas subir cette nouvelle humiliation. Je lui réponds :
• Il n'en n'ait aucunement question !
Il me répond :
• Bon, ma petite bourge, fini les envies ! Obéit à MES envies ! Écarte bien les cuisses et caresse-toi avec la banane !
J'essaie de surseoir à cette demande :
• Mais elle a traîné un peu partout ! Elle est sale !
La réponse est nette :
• Pèle-la et masturbe-toi avec !
Le ton de la réponse me stupéfait. Mais ai-je beaucoup de choix ? Non à vrai dire ! Et, au point où j’en suis, vu tout ce que j'ai déjà fait, contrainte ou non, je peux bien faire cela. Je replie ma jambe droite et poser mon talon sur le pare-chocs. J’écarte ma jambe presque jusqu’à toucher le montant du hayon du genou. Mon sexe est grand ouvert, béant. Les petites humiliations subies depuis que nous sommes partis ont humidifié mon sexe. La cyprine déborde et trempe mes lèvres et mon entrejambe. Je suis en position. Je pose ma main sur mon sexe et me caresse. Immédiatement je débusque de l'index mon bouton d’amour. Je le titille pour le faire vibrer. L'excitation monte rapidement. Mon majeur remplace mon index. Mais ce dernier rejoint par mon annulaire et ensembles flattent mes lèvres intimes. Des frissons parcourent mon corps et électrisent mon bas-ventre. Chaque pression de mes doigts sur mon clitoris et mon sexe accentue le plaisir qui m’envahit doucement. Mon vagin s'ouvre. Mon majeur s'enfonce dans mon vagin, lentement, ressort, entre et ressort encore. La paume de ma main se pose contre mes lèvres. Mon jus coule et nappe mon périnée jusqu'à mon anus. Blanche-Neige s'impatiente :
• Alors, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?
Je saisis la banane et la pèle avec les dents. Elle est pas très mure donc assez dure. Mais elle est de belle taille. Pour faciliter l'introduction, je me bascule sur les reins et pose mes deux pieds sur le pare-chocs. Je suce le bout épluché de la banane. J'écarte les jambes au maximum. Je ne peux pas les écarter plus. Je tiens le fruit dans ma main droite. Les doigts de ma main gauche écartent les lèvres de mon vagin. Je promène le bout du fruit sur mon sexe pour bien l'humecter. Une sensation de froid me fait frissonner. Je le prends dans ma bouche pour le réchauffer et le suce de manière très érotique. Cette fausse fellation m'excite. Je pose le bout sur l'entrée de mon sexe. J'appuie doucement sur le fruit. Inutile de forcer pour le faire rentrer. Le sexe féminin est d'une facilité d'adaptation étonnante et surtout, je suis excitée de me masturber avec une banane sur un parking d'autoroute en face de trois hommes qui me matent. Mon sexe s'ouvre pour laisser le passage à la banane. Je pousse à fond le fruit. Il bute contre le col de mon utérus. Je le laisse planté en moi, sans bouger, pour apprécier le plaisir d'être emplie. Je le lâche faisant constater à mes trois admirateurs que j'ai réalisé leur envie. Je reprends la banane et j'entame de lents aller-retour tout au fond de mon sexe. Je caresse mes petites lèvres, mes grandes lèvres, je glisse vers l’entrée de mon vagin et revient taquiner mon clitoris. Et je recommence encore et encore… Ma respiration s’accélère avec la montée du plaisir.
Depuis ces deux jours, j'ai apprivoisé la montée de ce plaisir. Je maîtrise les vagues de bonheur qui monte de plus en plus fort du plus profond de moi. Je le fais pénétrer de quelques centimètres et laisse les sensations m’envahir. Mon souffle s'accélère. Je me baise. J'aime cela. J’accompagne la venue du plaisir d’un mouvement du bassin. Je me pénètre de plus en plus loin, de plus en plus fort. Je feule. J'ai trouvé ce fameux point "G". Je le titille. J’aime cette sensation et la fait durer le plus longtemps possible. Je veux profiter pleinement de ce moment. Je jouis brusquement. La honte de faire cela dehors, à la vue de toute personne décuple mon plaisir. Je me fais jouir plusieurs fois. Je n'arrête pas de jouir. Je reviens à moi. Blanche-Neige me regarde comme s'il voyait un OVNI. Il me dit :
• Alors là tu m'en bouche un coin !!!
Je le regarde d'un air étonné et lui lance :
• De nous deux, je sais qui a un coin bouché !
Nous éclatons de rire tous ensembles. Puis Blanche-Neige, un peu agacé de s'être fait piéger, me dit :
• Et bien si tu t'es bien bouchée, alors mange-là !
C'est à mon tour d'être un peu scotché. Je regarde le Chef. Il acquiesce en opinant de la tête. Je suis prise à mon propre piège. J'extrais de mon sexe, la banane gluante de mes sécrétions. Je la porte à ma bouche. Le parfum de la banane est quelque peu modifié. Mais je sais que je dois obéir, que je vais être encore une fois humiliée et que je vais y prendre encore une fois beaucoup de plaisir. Je suce le fruit. Je me délecte de mes sucs. Et en jetant un regard salace aux trois hommes, je mors brusquement et tranche la banane en deux morceaux. Je la croque en toisant mes trois mecs. Après avoir dégusté la banane, je m'essuie la bouche et le sexe avec une serviette. Le Balafré me regarde méchamment. Il me lance :
• Tu es une vraie salope ! Tu es prête à tout non ?
Je sais qu'il veut m'humilier encore plus.
• Oui, tout ce que vous me demanderez, je le ferais pour votre plaisir et pour le mieux !
Il sourit avec un air pas très engageant et me dit, d'une voix cassante :
• Tu vois ce que tu as entre les jambes ?
• Oui, bien sûr ! C'est l'attelage !
• Eh bien si tu veux me faire plaisir, assieds-toi dessus ! Empale-toi sur la boule d'attelage !
Je ne suis pas d'accord et lui fais savoir. Mais, il me dit :
• Obéis salope, sinon je t'assoie de force dessus !
N'ayant aucune envie d'être défoncée sur cette chose, je préfère accepter.
• Ok, mais doucement !
Je connais le diamètre de la boule d'attelage: 50 mm ! Un autre avantage, c'est qu'elle est propre. Mais le Balafré me tend une pochette. C'est un préservatif ! Je déchire des dents l'emballage et extrais l'objet en latex. Je l'enfile sur la boule. Le Balafré me dit :
• Je vais te dire ce qu'il faut que tu fasses !
Je hoche la tête.
• Caresse-toi la chatte et pince tes tétons ! Fais-toi du bien !
Je ferme les yeux. Je me mure dans mon monde. Mais le balafré ne cesse de me susurrer plein de mots excitants et me lance un discours pornographique. Je commence à gémir. J'aime me faire jouir avec mes doigts.
• Glisse deux doigts dans ta chatte !
Mon sexe avale les deux doigts.
• Mets-en un autre !
Le troisième entre sans difficulté. Je découvre avec stupeur que j'adore être guidée pour me masturber. Des spasmes de mon sexe serrent mes doigts. Mon corps est en feu. Mon plaisir monte du fond de mon ventre. Ensuite, il m’a dit de glisser du pare-chocs, de me mettre accroupie au-dessus de la boule et de m’empaler doucement. Je m'exécute. Je me penche un peu en avant pour m'installer correctement. Mon vagin est parfaitement mouillé. Alors, je positionne ma vulve au-dessus de la boule. La boule n'est pas si grosse que cela. La pénétration ne se fait pas sans une certaine résistance. Mais cette contrainte génère des sensations importantes. Pour permettre à la boule de me pénétrer, je fléchis un peu les jambes. Doucement, je plie et détends mes jambes. Chaque flexion permet à la boule à pénétrer un peu plus en moi. Les sensations sont puissantes. Le Balafré lance :
• Assoie-toi et empale-toi à fond !
Je n'écoute que l'ordre donné et je fléchis totalement mes jambes. La boule disparaît entièrement dans mon sexe ! La douleur et le plaisir engendré me coupent la respiration. Une fois la boule en moi, je cesse tout mouvement. Je cherche à reprendre ma respiration. Le Balafré me dit :
• Détends-toi petite bourge ! Profite !
Son discours m'excite. Je m'empale de plus en plus profondément sur cette boule d'attelage. Plus je m'assoie dessus loin, plus le plaisir monte dans mon ventre. Je frotte énergiquement mon clito. Je sens l'orgasme arriver, mais j'essaie de résister le plus possible. Cette pénétration légèrement douloureuse mais pleine, conjuguée à mes caresses sur mon clito, m'amène un orgasme violent.
• Crie ton plaisir salope ! Enfonce-toi encore plus !
Je me suis laissé aller. J'ai laissé monter mon plaisir. Je jouis. Je ne cesse de plier et tendre mes jambes. Je crie, comme il le souhaitait. Je jouis comme une salope. J'ouvre les yeux. Je lis dans son regard qu'il est satisfait : je suis devenue sa chose quelques instants ! Et moi je découvre une autre facette de moi, de mon âme ! Je suis prête à tout pour jouir ! Peu importe comment je jouis, pourvu que ce soit sous la contrainte, sous les ordres dans la honte et l'humiliation !
Je récupère doucement. En face de moi, rien, aucune manifestation ne vient parfaire ma prestation. Pourquoi ce silence, cette absence de tout signe qui me ferait comprendre que je suis une salope ? Le Chef se rend compte de l’état dans lequel je suis à cet instant. Il m'interroge :
• Ah ah, j'ai l'impression très forte que tu y prends goût ?
Ma seule réponse est un joli sourire malicieux. Je me soulève. Mon vagin libère la boule d'attelage dans un bruit de bouchon de bouteille. Toujours aucune remarque des deux autres hommes. Il se passe un grand moment où les trois hommes me regardent me faire une toilette sommaire. Le chef reprend :
• Bien, il nous faut continuer de rouler !
Je me lève et à cet instant seulement, le Balafré me lance :
• Tu es vraiment une sacrée "espèce de traînée"...
Le voyage reprend. Nous approchons d'une grande ville. Le Chef me demande de passer dans la zone commerciale. Je dois m'arrêter à l'enseigne d'un grand magasin de sports. Sur le parking, garé à l'écart, le chef part seul. Le Balafré me demande de passer derrière avec eux. Je ne discute pas l'ordre. Ils m'installent entre eux. Ma robe remonte plus haut que mi-cuisses. Je n’ose pas bouger. Les deux hommes ont les yeux fixés sur mes cuisses et sont à l’affût de tous mes mouvements. Le Balafré me dit dans l’oreille :
• Petite salope, je suis certain que ta chatte est prête à se faire baiser !
Immédiatement ma liqueur coule entre mes cuisses. Je lui réponds :
• Oh oui ! Je n’attends que ça, je n’en peux plus !
Le Balafré pose la main sur l’intérieur de ma cuisse. Il la remonte doucement jusqu’à mon sexe et l’effleure de ses doigts. Ce simple contact furtif, que j’espère depuis que je suis assise entre eux, m’arrache un soupir non contrôlé.
Blanche-Neige qui fait l'ignorant de ce que me fait le Balafré, me lance :
• Eh bien Sandrine, tu es aussi sensible que cela ??
Je baisse les yeux et rougis de honte. Bizarrement cette remarque m’excite beaucoup. Quelques instants plus tard, le Balafré se colle à moi et m’embrasse dans le cou. De nouveau la situation me gênait, mais me remplit de plaisir.
Blanche-Neige me prends la tête et me tourne vers lui. Il prend ma bouche et me donne un baiser long et passionné. C'est la première fois que j'embrasse l'un des trois hommes. Il est très excité et il commence à me caresser la cuisse. Sa main essaie d’écarter mes cuisses. Il veut me caresser la chatte. Je serre mes cuisses le plus possible pour ne pas m’exhiber sur le parking. Beaucoup de gens vont et viennent et peuvent voir dans le véhicule. Pourtant, la honte mêlée au plaisir me fait fermer les yeux. Soudain, le Balafré bouge ses doigts sur mes cuisses. Je garde mes yeux clos tellement j’ai honte. Paradoxalement, mon entrecuisse est brûlant et je n’ai qu’une envie : m’ouvrir aux mains des deux hommes ! Une main force de plus en plus pour écarter mes jambes. Une seconde main vient se poser sur mon autre cuisse pour l’aider. Vu la taille de cette main, je sais que Blanche-Neige est entré en action. Petit à petit je cédais et laissais mes cuisses s’ouvrir.
• Oh la cochonne, chuchote Blanche-Neige, tu aimes ça !
• Et trempée comme jamais !! lance le Balafré pendant que ses doigts caressent l’entrée de mon vagin.
Je bouge le bassin sous les caresses du Balafré. Mon excitation est terrible. J’ai tourné la tête et j’ai vu Blanche-Neige, lui aussi la queue dure et raide en train de se branler. Au moment où je regardais son sexe, la main du Balafré commence à me caresser la chatte. Je passe mes mains sur leur entrejambe. Ils m'aident à ouvrir leurs pantalons. Je sors leurs sexes. Ce n'est croyable. Ils bandent encore. Je les masturbe doucement. Je gémis, je me donne à ces deux hommes, j’ai envie d'eux, de leurs queues, de leurs doigts, de leurs langues. Blanche-Neige est certainement le plus excité des deux. Il reprend ma bouche et m'embrasse très violemment. C’est à ce moment qu'une langue, celle du Balafré me lèche le clito. Je me fais lécher et j’embrasse goulûment le noir. Je jouis immédiatement :
• Ouiii, que c’est bon ce que vous me faites, encore, encore…
• Salope ! me dit le Balafré. Suce ma bite, vas-y !
Mes deux amants se sont relayés pour me procurer mille et une caresses. Il m’en faut encore davantage, je suis excitée comme une folle. Des mots crus fusent. Ils me rendaient folle.
• J’ai très envie que vous me baisiez maintenant, j’ai envie que vous me défonciez la chatte, de vous sentir en moi, dis-je en leur lançant un regard de cochonne.
• Mais bien sûr qu’on va te baiser petite cochonne ! me répondit Le Balafré, on va même te sodomiser chacun à notre tour et ensuite, un par un on se videra en toi. Chacun dans un de tes orifices, chiennasse ! Choisis pour chacun de nous.
Je m’empressai de répondre à cette demande :
• Blanche-Neige, je veux que tu jouisses dans ma bouche, j’ai envie de t’avaler, le Balafré dans ma chatte, humm et ensuite l'un après l'autre dans mon cul !
Je me suis tournée sur le côté, offrant mon sexe à la queue dure du Balafré et gobant aussitôt la verge noire et énorme de Blanche-Neige. Le Balafré me lime la chatte avec force, très longtemps, ses coups de bite puissants me font jouir. Ensuite, ils prennent possession de moi de manière inverse. Je m’offre à quatre pattes et pendant qu’un des hommes me sodomise, un autre me présente sa queue à sucer. Je prends mon pied. Je n’arrive pas à m’arrêter, je veux encore de la queue. Ils sont deux, mais ils auraient pu être dix, ça ne m’aurait absolument pas gênée. Au bout d’un très long moment, le Balafré dit tous les mots crus qu’il sait que j’aime entendre.
• Espèce de putain, de salope ! Tu n'es qu'un trou ! Combien de bites te faut-t-il pour te rassasier ?
• Oh oui, répondis-je, j’en ai envie, j’aime tellement le jus d’homme, je suis à vous, vous me donnez tant de plaisir avec vos queues bien dures… Oui Le Balafré, je suis ta putain, je ferai tout ce que tu veux que je fasse !
Je suis à quatre pattes pour offrir mon anus à Blanche-Neige. Il se positionne debout derrière moi, présente son gland à l’entrée de mon anus et me pénètre brutalement, m’arrachant un cri mêlé de désir et de douleur.
• Vas-y Blanche-Neige, encule-moi fort, prends-moi bien mon petit cul !
Je suis en transe. Le Balafré jouit rapidement au fond de ma gorge. Il crache une grande quantité de sperme que j'avale entièrement. Je jouis encore comme une démente. C'est l'ouverture d'une porte qui nous rappelle à la réalité. Le Chef est là et vu son regard, il n'a pas l'air d'être très content. Il a un grand sac. Il le charge dans le coffre sans rien dire. Nous repartons. Quelques kilomètre plus loin, une aire de repos et annoncée. Le Chef me dit de m'arrêter. Je le questionne :
• Pourquoi ?
• Tais-toi, tu vas le savoir !
Le chef me guide au fond de l'aire de repos. C'est une aire simple avec sanitaires. Il n'y a que quelques poids lourds stationnés. Je gare l'espace à l'abri des regards derrière un petit bosquet de sapins denses. A peine arrêtés, le Chef descend, contourne la voiture et ouvre violemment ma portière. Il m'extrait par le coude et me lance :
• Vous êtes fou tous les trois ? Vous vous envoyez en l'air devant tout le monde ! C'est un coup pour se faire repérer ! Tu es vraiment une obsédée ! Sais-tu ce que tu mérites ?
Je ne sais quoi dire
• Une bonne fessée, il n'y a que cela qui puisse calmer tes ardeurs et ton feu aux fesses !
• Ça ne va pas ! Il n'en est aucunement question !
• Ah oui ?
• Oui et je ne vois pas qui pourrait me la donner !
• C'est moi ! Et pas plus tard que tout de suite !
Joignant le geste à la parole, il m'amène à l'arrière du véhicule. Un banc est tout proche. Il s'assoit, me saisit par la taille et me couche en travers de ses genoux. Mon bassin repose sur ses cuisses, son torse à ma gauche et mes jambes à sa droite, légèrement pliées et touchant à peine le sol. Je me débats et tente de me relever. Mais il s'attendait à ma réaction et très vite, il me ramène les bras au creux de mes reins. De sa main gauche, il immobilise mes deux poignets et appuie assez fortement dans le dos pour m'empêcher de bouger.
• Arrêtez-vous me faites mal !
• Tu nous as fait prendre des risques uniquement pour satisfaire tes instincts bestiaux de rut ! Après cela, tu réfléchiras un peu avant d'exciter mes deux comparses !
• Mais ils en avaient autant envie que moi !
• Tant pis ! C'est toi qui payeras ! Tu as besoin que l'on te remette les idées en place ! Cela ira beaucoup mieux après !
J'essaie encore de me libérer mais je comprends vite que ma force physique n'est pas suffisante pour m'échapper. De sa main droite, il retrousse ma mini-jupe qui recouvre mes fesses. Mon joli cul rebondi est rapidement dévoilé. Je remue un peu mes fesses pour l'amadouer. Cela marche pendant quelques secondes. Je sens qu'il se repaît du spectacle de mes deux magnifiques fesses rondes et bronzées. Mais il se ressaisit et il décide de mettre à exécution sa menace. J'essaie encore de me libérer. Le Chef appuie encore plus dans mon dos. La douleur m'oblige à cesser de résister. J'imagine la vision sensuelle et humiliante que j'offre à cet homme. Je suis comme soumise. Mais malgré cette honte d'être humiliée, la perspective d'être fessée comme une gamine désobéissante me ravit. Mon sexe se réchauffe et je sens une boule de chaleur envahir mon bas-ventre. Il pose sa main sur mon cul ocré. Il tâte, appréciant la fermeté et la douceur de mes fesses. J'ai un sursaut au contact chaud de sa main. Il ne dit rien. Je tente une dernière fois de le dissuader :
• Vous n'allez pas faire cela ?
Pas de réponse… Je murmure une supplique :
• S'il vous plaît...
Mais le ton de ma demande est plus un ton d'acceptation que de rébellion. Je sais que la suite est programmée et arrive. Sa main se lève de mon cul. Il se décide enfin à claquer mon postérieur. Une claque, deux claques et il s'arrête ... j'attends ... longtemps ... Puis il m'administre une série de petites tapes régulières, pas très fortes, mais elles claquent sur chacune de mes fesses. Je gémis doucement à chacune des claques. Mais c'est plus l'appréhension et le contact de sa main qui provoquent cette réaction. Je ressens une impression de chaleur qui irradie mes fesses. Bien que peu appuyée, la fessée provoque sûrement une rougeur sur chaque globe. Je la ressens. Je me tortille de plus en plus à chacun des claquements. Le Chef arrête son mouvement. J'inspire un grand coup pour lui dire ses quatre vérités, mais je n'ai pas le temps de prononcer un mot. Le voilà qui se lance dans une sarabande effrénée, sa main claque ma fesse droite, puis ma fesse gauche puis encore à droite puis à gauche puis je ne sais plus, ça va trop vite, c'est merveilleux c'est un manège fabuleux ... J'ai très chaud, je sens sa main sur mes reins qui s'alourdit, je sens mon désir qui monte parallèlement. Mes fesses me brûlent, je les imagine rouge pivoine. Et il continue encore et encore ... Mon Dieu, comment cette correction peut-elle m'apporter tant de bonheur, tant de plaisir ? Il ralentit enfin, et je sens qu'il reprend son souffle, j'ai même l'impression que sa respiration devient plus saccadée. La chaleur de la fessée irradie mon cul. Puis de nouveau, il pose sa main sur mon cul brûlant, et reprend sa fessée plus marquée et plus appuyée. Je ne peux arrêter cette correction. Mais maintenant, j'ai abandonné toute tentative de rébellion et je me soumets à ce traitement. Je ferme les yeux. Maintenant la chaleur est telle que chaque claque me brûle, avivant en moi des vagues annonciatrices. Je ne peux plus m'empêcher d'onduler. Quelques larmes perlent à mes paupières, je ne sais si elles sont dues à la douleur ou au plaisir. Sans doute un trop plein d'émotion. Je cache ma honte et le rouge de mon visage contre les cuisses du Chef. J'accompagne chaque claque, d'un petit cri. J'imagine la vision de la jeune femme soumise, et appétissante à la fois, offerte aux vues des trois hommes. Cela me trouble au plus haut point. J'accepte de subir sans résistance mon châtiment. Les tapes appuyées, ne revêtent aucun caractère violent, mais un peu sadique. Les tapes se concentrent sur les endroits les plus charnus de mon anatomie. La punition devient cuisante. La scène doit être d'une délicieuse sensualité. J'imagine le côté humiliant et extraordinaire de la situation. A un moment donné, le Chef me lâche les mains. Je suis surprise de sentir les émois du Chef. Dans cette position, son bassin est plaqué sur le mien. Je sens son ventre et son pubis, et surtout son érection prononcée. Je n'en profite pas de cette liberté retrouvée et reste installée immobile. Au contraire, je me cambre mieux, lui offrant, une vue plus érotique de mon joli fessier. Il doit apercevoir ma raie et au centre mon petit trou délicieux. J'accentue ma position. Mon sexe est tout congestionné. Je sens le renflement de mes lèvres charnues, gonflées et dénudées de tout poil. Les claques se font plus incisives et me provoque une petite contraction de toute cette région intime qui me fait penser que le plaisir et la douleur se mélangent. Parfois, le Chef arrête la fessée. Ses mains se font caressantes. Elles apprécient la chaleur de ma peau. L'une d'elles s'aventure entre mes fesses, descend jusqu'à mes lèvres intimes que je sens, ouvertes, décollées et humides de désir. Le Chef me fesse de plusieurs tapes plus prononcées. Je ne dis rien. Je suis soumise. Il me demande :
• As-tu compris ?
• Oui, Chef, je ne recommencerais pas !
Il me relève. Je m'appuie contre le véhicule. Machinalement, je me frotte les fesses. Ma main gauche sépare mes deux globes et mon index masse son œillet tout humide. Les doigts de ma main droite glissent devant et pénètrent sans aucune peine, entre mes lèvres d'amour. Ma respiration s'affole. Je pétris ma chair tendre et excitée quelques secondes et mon corps se cambre. Je laisse fuser une longue plainte de jouissance et de plaisir. L'orgasme me terrasse. Le Chef ne peut retenir un commentaire :
• Tu es une vraie salope et même un peu soumise !
Quels instants pour reprendre pied et le Chef me tance :
• Allez la bourge, on roule et on tache de reprendre le temps perdu !
L'asphalte défile. Un silence s'est installé. A l'arrière les deux comparses dorment. Je souris dans mon fort intérieur. Ils doivent récupérer ! Une centaine de kilomètres plus tard, le Chef rompt ce calme et me demande de me stationner sur le parking d'un magasin de la même enseigne sportive. Cette fois, c'est Blanche-Neige qui s'en va et revient avec un sac qu'il met dans le coffre. Nous repartons. La même opération se déroule dans une autre ville. Le Balafré réitère la même action. Je me tiens sage. La fessée m'a très sérieusement recentrée. J'ai honte d'y avoir pris du plaisir, honte d'être heureuse d'être humiliée…
Le voyage continue. Nous nous dirigeons vers les Pyrénées. La vallée que nous suivons mène à un cul-de-sac, un parking, lieu de départ de nombreuses randonnées pédestres. Le Chef me demande de stopper dans un petit village. Il s'absente un petit quart d'heure. Il revient avec un grand sac qu'il dépose dans le coffre. Nous repartons vers le parking. Le soir commence à tomber. Au parking, il n'y a qu'une seule autre voiture. Le Chef me demande de me stationner au fond du parking. J'arrête le moteur et interroge le Chef :
• Que fait-on maintenant ?
Le Chef me répond sèchement :
• Tu te tais et tu attends …
Quelques minutes de silence passent. Personne ne bouge. Tous les trois observent les alentours. Le Chef annonce tranquillement :
• Aucun randonneur en vue… Il ne passe plus personne à cette heure-ci…
Il se lève de son siège et passe à l’arrière, ouvre le coffre.
• Je m'équipe ensuite, chacun son tour !
Quelques minutes plus tard, il revient devant l'espace. Il est équipé en randonneur. Je l'interroge :
• Et moi, je ne vais pas vous suivre dans cette tenue !
Le Chef me regarde droit dans les yeux avec une lueur de méchanceté et de lubricité. Il sort, contourne la voiture, ouvre ma portière et m'extrait de mon siège. Il claque la portière et me colle face contre le véhicule.
• Appuie-toi contre la voiture et ne t'avise pas de bouger !
Le ton utilisé par le Chef me refroidit. Je n'ose pas remuer d'un pouce. Je m'exécute et attends dans cette position grotesque. Le Chef va vers le coffre et revient très rapidement. Mes poignets sont équipés de cordelettes et attachés à la barre porte-tout du véhicule. Je me révolte un peu :
• Que faites-vous ? Qu'allez-vous me faire ?
• Devine un peu ?
Je me retourne et tente de voir par-dessus mon épaule, ce que le Chef mijote dans mon dos. Le chef m'intime :
• Je croyais t'avoir dit de ne pas bouger !
Je reprends immédiatement ma position. J'ai peur ! Ils ne vont pas me laisser ainsi et partir. Des larmes embrument mes yeux. Comment j'ai pu être aussi bête ? J'aurais dû me douter qu'ils ne m'emmèneraient jamais. Que feraient-ils d'une femme dans leur fuite ? Hormis de satisfaire leurs instincts les plus bas, les plus vils…
Le Chef m'ordonne :
• Recule tes pieds !
J'obéis. Je suis en appui contre la voiture, totalement immobilisée. Je regarde sur l'arrière. Les deux autres sont équipés comme le Chef. Ma courte jupe se soulève. Une main du Chef se glisse sur mes fesses. Elle remonte le tissu et le coince dans ma ceinture.
• Qu'allez-vous me faire ?
• Je ne veux pas t'entendre, compris ?
• Qu'allez-vous me faire subir ? Vous n'allez pas me laisser ici seule ?
A peine ai-je terminé ma phrase qu'une violente claque tombe sur mes fesses. Je pousse un cri !
• Je t'ai dit de te taire. Tu verras bien !
• Vous n'allez pas recommencer ?
• Si !
• Non, je vous en supplie ! Pas ça !
• Ajoute encore un mot et je te bâillonne. Compris ?
• Non, s'il vous plaît, pas ça ! Pas comme ça ! Si vous ne me libérer pas immédiatement, je crie !
J'essaie de me libérer mes mains, mais sans succès. Le Chef retourne vers le coffre. Il revient et me bâillonne avec une écharpe. Puis il ajoute :
• Tu poses beaucoup trop de questions et pour te rappeler que c'est moi qui commande, je vais m'occuper de tes fesses !
Il commence à me fesser, à main nue. De temps en temps, il s'arrête et recule pour observer la partie charnue de mon anatomie se couvrir de rougeurs éclatantes. Chaque claque me fait pousser un cri étouffé par l'écharpe. Il s'arrête et appelle ses deux comparses :
• Venez voir notre gentille conductrice !
J'entends les pas s'approcher. Des rires me résonnent aux oreilles. Le Chef continue :
• Ce n'est que le début, petite bourgeoise !
• Je pense qu'après cela, tu te rappelleras qu'il ne faut pas me désobéir et encore moins nous faire repérer…
Le soir est tombé et je peux voir le visage du Chef dans le reflet de la vitre. D'un regard suppliant, je lui demande grâce à mon bourreau. Son regard me fait comprendre que c'est inutile et qu'il ira jusqu'au bout. Les claques reprennent, plus violentes qu'au début. Par moments, ma main se fait caressante pour amoindrir la douleur. Mais aussitôt, la fessée repart de plus belle. Je pleure maintenant à chaudes larmes. Jamais personne ne l'a fessée et encore moins en public. Mais curieusement, cette correction lui procure une honte, une humiliation. Et malgré tout, un plaisir malsain sourde entre ses reins. La correction s'arrête. Le Chef marmonne entre ses dents :
• Je ne vais tout de même pas me faire mal aux mains…
J'entends un glissement et Blanche-Neige dire à haute voix :
• Et fait attention, sans ceinture tu vas perdre ton pantalon…
Je pleure de plus belle. Je suis terrorisée en entendant le tintement de la boucle du ceinturon du Chef. J'avais déjà remarqué son large ceinturon d'un cuir épais et rigide. Je me débats pour tenter d'éviter la suite. J'entends la sangle glisser de passant en passant. La terreur doit se lire dans mes yeux à l'idée de ce qui va suivre, à l'idée de la douleur que provoquera sur mon fessier déjà endolori, les coups du cuir épais de cet accessoire vestimentaire. J'implore la pitié de mon tortionnaire. La plainte que j'articule à travers le bâillon est incompréhensible. Le Chef répond à mon grognement :
• Ça ne sert à rien, je ne comprends rien de ce que tu dis ...
Saisissant chaque fesse à pleine main, le Chef me chuchote à l'oreille d'une voie narquoise :
• Alors, cette correction t'a-t-elle fait comprendre qui commande ici ?
Je tente de répondre mais aucun son articulé ne parvient à sortir de ma bouche. Je secoue la tête de gauche à droite. Il continue :
• Bien comme tu n'as pas l'air de comprendre, tu vas t'en rappeler, belle petite bourge ! Pendant trois jours, tu ne vas pas pouvoir t'asseoir ! Tu vas méditer sur tout ce qui vient de t'arriver !
Lorsque le premier coup s'abat sur mon fondement, je pousse un grand cri étouffé, suivi de sanglots. Une brûlure me vrille. Des larmes coulent sur mes joues. A chaque impact, le bâillon étouffe mes cris perçants. Le Chef m'annonce tranquillement :
• Tu vas recevoir 20 coups de ceinturon !
Il marque un léger temps d'arrêt entre chacun des vingt coups qu'il m'applique consciencieusement, afin de me permettre de reprendre ma respiration. Mes sanglots rythment la punition. Le vingtième coup claque sur mes fesses. La correction est parvenue à son terme. Il se penche sur mon épaule et me murmure :
• As-tu compris ?
Je hoche la tête de bas en haut.
• Je vais te retirer ton bâillon mais tu ne vas rien dire, c'est d'accord ? Si je t'entends dire quoi que ce soit, je recommence OK ?
Il dénoue le bâillon. Ma bouche libérée, je sanglote comme une madeleine. Il caresse tendrement mon cul, m'embrasse dans le cou. Je me laisse faire savourant la honte, l'humiliation et la tendresse de cet homme. Il me détache les mains. Je me masse doucement mon cul devenu brasier. Je lui parle :
• J'ai mal, très mal !
Il se recule et regarde mon cul :
• Il est vraiment rouge ! Et même plus que rouge !
Les larmes ont maculé mon visage. Il ajoute :
• Que tu es belle quand tu pleures…
Il ouvre la porte et me pousse doucement et m'allonge à plat ventre sur les sièges arrières :
• Tu vas te reposer un peu comme ça, dans cette position, avec tes fesses bien écarlates. Comme cela, tu pourras méditer tout à ton aise sur cette correction bien méritée…
Je m'affale sur les coussins. Une grosse larme coule sur ma joue, et je ressens un mélange de honte, de douleur et de plaisir. Je tourne la tête. Nos regards se croisent. Il me sourit et son visage dégage un trop plein de tendresse.
Quelques minutes plus tard, je sens une présence. Le Balafré admire son derrière très rouge et commente :
• Tu t'en souviendras de cette fessée ...
Plus tard, la lune nous éclaire d'une lueur blanchâtre. Une envie brutale me traverse le ventre. J'ai envie de sexe. J'ai envie de me faire prendre, de me faire baiser, de me conduire comme une chienne, une salope, une pute !
Je me lève. Les trois hommes sont assis sur la table de pique-nique. Je m'approche d'eux. Je m'agenouille devant le Chef. Je pose ma main sur son entrejambe. Saisit de surprise, il ne peut s'empêcher de bander. J'ouvre son pantalon et je sors sa queue dure, gonflée, pour l'imposer à ma bouche. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Pas besoin de me prier. J'aime sucer, j'aime sentir et voir ce gros sexe m'envahir. J'aime être humiliée, insultée, dominée. Il me comprend et prononce les paroles que j'attends, les paroles ordurières qui m'excitent et qui font monter en moi le plaisir :
• Eh bien petite bourge ! Te voilà de nouveau en manque ?
C'est vrai, j'ai envie d'être une femme de mauvaise vie, d'être une pute, leur pute.
• Voilà, c'est bien... Comme ça, pompe bien... Tu as vraiment une bouche à tailler des pipes... Voilà continue comme ça, aspire-là bien à fond, comme une vraie salope !
Sa queue est énorme. Je sais ce qu'il aime. Je me caresse le visage avec et lui embouche les testicules.
• Tu es une bonne pute, une bonne salope ! Je suis sûr que tu mouille, ça t'excite petite pute !
Je le suce et le branle en même temps. Je veux qu'il se vide sur moi, sur mon visage. Excité, il m'insulte :
• Vas-y salope, accélère, branle-moi juste devant ton visage, tend ton visage, ouvre ta bouche, sors ta langue, je vais me vider de mon foutre, je veux te souiller de sperme ! Ça vient, c'est bon, salope, salope, encore, tu n'es qu'une sale pute, tu vas bouffer du foutre, tu aimes çà salope ! Oui, c'est bon... Je décharge sur ton visage !
Des giclées de sperme pleuvent sur moi. Elles jaillissent et s'étalent sur mon front, mes joues et bien sûr, dans ma bouche grande ouverte sur ma langue. J'essaie d'en attr un maximum. J'étale ce sperme sur mon visage de salope. Je lèche les dernières gouttes, lave sa queue.
• Continue encore, reste bien à genoux, tu es une femelle soumise, tu es notre femelle ! Mais je suis sûr que tu en veux encore ! T'aime trop ça... Je te sens très chienne, tu veux du mâle... Tu vas l'avoir… Les gars, elle en veut encore ! Vous pouvez la sauter encore une fois !
Autant de paroles, d''attitudes et de gestes qui ne trompent pas. Blanche-Neige et le Balafré me demande de m'approcher. Le Balafré me guide vers la table tandis que Blanche-Neige s'allonge sur cette table. J'ai compris leurs souhaits : me prendre ensembles ! Le noir a déjà extrait son sexe qui se dresse comme pour toucher le ciel. Je grimpe sur la table, relève ma jupette et m'empale sur cette chose énorme et très longue. Ma chatte est plus humide que jamais. Derrière moi, le Balafré s'approche. Il pointe son gland contre ma petite rondelle. La pression est immédiate. Je me cambre, creuse les reins et pousse sur mon anus pour l'ouvrir. Je lui demande :
• Vas-y doucement !
Le gland entre doucement apportant douleur, plaisir et honte. Blanche-Neige m'insulte :
• Tu n'attendais que cela ! Entre prise en sandwich ! Tu es une chienne, une vraie...
Le Balafré continue :
• En tout cas, ces queues qui te pénètrent, ça te plaît ! Tu vas jouir c'est sûr !
Le Balafré s'enfonce très fort, très loin sans mon rectum. Il continue sa litanie pornographique :
• Salope, t'avais envie de te faire baiser comme une pute, une vraie traînée, t'aimes ça te faire mettre à fond...
Les deux hommes accordent leur rythme. Ils me liment, me bourrent. Les mains de mon enculeur s'accrochent sur mes hanches. Je ne sais plus où j'en suis ! J'ai perdu totalement le sens des évènements. La douleur, le plaisir et surtout la honte de me conduire comme la dernière des traînées me transportent. Tout se mélange. Le chef reprend du service :
• Tu es une bonne soumise !
J'adore cette humiliation. Mon corps s'électrise et apprécie encore plus intensément de cette double pénétration constante. Je jouis, je hurle ! Les orgasmes s'enchaînent. Je m'entends demander à mes tortionnaires :
• Encore ? Oui, encore, j'en veux encore plus, baisez-moi ! Je suis une chienne ! Défoncez-moi ! Encule-moi, le Balafré, conduis-toi en homme soit un mec, un vrai !
Cette demande fustige l'homme. Il me pilonne comme un malade ! Blanche-Neige, pour ne pas être en reste me saisit les tétons et me les tord violemment ! Je hurle de douleur. J'ai l'impression qu'il va me les arracher. C'est extraordinairement bon et la jouissance arrive. J’ai le plus hallucinant orgasme !
• Salope, donne tes seins !
Il att ma poitrine, la malaxe. Je jouis très fort. Les deux hommes éjaculent simultanément. Les spasmes de vidage sont saccadés. Je m'allonge sur le torse de Blanche-Neige. Je conserve sa queue dans mon ventre. Dans mon dos le Balafré s'affale sur moi. Lui aussi reste dans mon cul. Nous restons ainsi pendant quelques minutes, pour retrouver notre souffle. Puis le Balafré appuie ses deux mains sur mes omoplates et sort de mon cul. Une légère douleur me rappelle sa taille hors du commun. Je gémis. A son tour, Blanche-Neige se retire de ma chatte. Je me suis mise à genoux. Je tremble encore. Je m'appuie sur un genou, soulevant l'autre. Le noir se relève. Le Chef leur tend un carré de papier essuie-tout. Ils font une toilette sommaire. Le Chef me tend un verre d'eau pétillante. J'avale ce verre d'un trait. Une dizaine de minutes plus tard, la tête me tourne. Le Chef m'installe sur les sièges arrière. Je me sens toute molle. Je m'endors.

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