Us Autem Invictus (10-1) : Chose Promise, Chose Due...

Je n’ai ni rancoeur ni d’amertume. Je n’ai pas d’égo sur-dimensionné ou de fierté mal placée. Ma susceptibilité est très limitée et je reste rarement longtemps fâché avec quelqu’un. Cet évènement n’échappe pas à la règle, et la première personne que je suis retourné voir, histoire de boire un verre et discuter, se fut Emilie :
"- c'est qu'un enculé !!"
En pleure à la terrasse d'un café, elle comprend enfin que trois semaines après la soirée en boite, mon frère ne lui donnera aucune nouvelle... Jmen doutais mais elle n'était pas encore prête à ça... Elle s'est trop accrochée, et mon frère a, je pense, la meilleure réaction à avoir ne pas lui répondre pour qu'elle l'oublie... Quand à moi, je suis juste un horrible meilleur ami... Car mes intentions sont vicieusement basses... Si je suis ce soir dans un bar avec Emilie, ce n'est pas vraiment pour lui remonter le moral, mais pour collecter des informations croustillantes sur lui... J'ai honte, mais après 5-6 vodka, elle ne se souviendra de rien, et moi j'en connaitrais d'avantage sur mon frère... La soirée va me coûter chère mais c'est le prix à payer ! Une fois ivre elle me dira tout ! En attendant faut qu'elle arrête de pleurer, il ne lui parlera plus jamais, à moins qu'il soit en pénurie de meuf à sauter et que ses couilles soient trop remplies. Quand je l'a sens mûre mon interrogatoire commence enfin. J'utilise dès manières détournées pour la manipuler. Genre "et puis je suis sûr que finalement c'était pas un si bon coup que ça", "il a pas du te faire beaucoup d'effet s'il a une petite queue"...
Et le tour était joué, y'avais plus qu'à l’écouter déverser son flot de compliments :
"- Axel. Désolé de te dire ça, mais tu ne te rends vraiment pas compte de qui est ton frère et de ce qu'il représente... Ton frère a le corps d'un mannequin de couverture de magasine... Il a le strip-tease dans le sang. Sa fierté, son orgueil et sa virilité se ressentent dans chacun de ses actes quand il te drague.

Il a une telle assurance que tu deviens une proie très facile, et plus il galère à obtenir ce qu'il veut, plus il est fier quand ça lui appartient enfin. J'ai bien senti que j'étais son trophée...
Sans te rendre compte de quoi que ce soit tu finis nue car quand il t'embrasse il te transporte dans un autre monde et tu ne te rends pas compte que ses caresses te déshabillent automatiquement..."
Ah. Mon frère, ce Casanova... Tu aurai juste du la baiser, là tu lui as sorti le grand jeu, elle ne t'oubliera jamais, et sera déçu de tout les autres mecs qu'elle va rencontrer. Elle va instinctivement tous les comparer à toi, et ils ne t'arriveront jamais à la cheville...
"Mon plus grand regret ? C'est qu'il ne m'ai pas laisser le sucer ! Oh pardon Axel jdevrai peut être pas parler de ton frère comme ça...
- tu plaisantes ? T'inquiète pas pour moi ! Jfais comme si c'ètait un inconnu. T'es ma meilleure pote ! Ca me fait plaisir si jpeux t'écouter et t’aider."
Bourrée comme elle est, mon argument est passé tout seul et elle reprend.
"Je suis sure que s'il m'avait laisser le pomper, lui montrer que je peux être une bonne suceuse, il sera déjà de retour à me supplier de le vider régulièrement....
-tu sais pourquoi il n'a pas voulu que tu le suces ?
-comme j'étais vierge, il ne voulait pas que j'ai peur de ses mensurations...
-ah ce point là ??
-franchement ? C'est clair... Si vous êtes vraiment de la même famille, tu devrais pas tarder à t'en rendre compte sur toi même.
-ca saute peut être une génération.
-j'espère pas pour toi ! Dans le cas contraire, jte jure que jpourrai te payer pour que tu me fasses comme lui !"
Alors qu’elle a l’alcool joyeux et qu’elle s’esclaffe de son imbécilité, je jubile de découvrir ces vicieux détails même si elle m’énerve à me faire languir sur des points essentiels que je désire enfin connaitre : la véritable taille de son membre. Elle trouve cela gros ? Ca reste une vierge qui découvre une queue, comment peut elle finalement vraiment s’y connaitre ?
"-mais.
.. Donc tu te souviens combien elle fait ?
-non non comme jte dis jlai jamais eu sous les yeux, donc aucune idée... La seule chose que je peux en dire c'est que quand il l'a prend à deux mains, une bonne partie n'est pas recouverte. Et surtout son diamètre... Sa queue à une largeur impressionnante, j'ai pas de point de comparaison mais au plus large on se rapproche dangereusement de la cannette de coca... Pour le coup, j'ai eu mal les premières minutes, mais avec sa manière de te parler et te caresser il te rassure et la douleur se transforme en plaisir intense. J'ai bien cru m'évanouir. Ton frère est un Dieu sexuel..."
Alors je lui vouerai un culte, jusqu'à ce qu'il accepte d'entendre mes prières... J'ai toujours cru que mon frère exagérait en parlant de sa queue, mais là... Elle me fait rougir et bander en moins de deux lorsqu'elle me confirme, ce que la nature lui a donné. Pourquoi la nature n'a pas eu le même effet sur moi ? Enfin je dis ça mais je n'ai peut être pas finit ma croissance : 18 cm à 18 ans c'est pas mal non ? Rien comparé à mon frère apparement…
"Il a jouis en toi ?
-je te le confirme... J'ai senti sa queue se contracter 10 fois, j'étais tellement sensible, et ses jets étaient tellement puissant que même au fond de ma chatte j'ai ressenti les 10 jets brulants m'inonder. Il était tellement fier... Et j'ai apprécié qu'il ne reparte pas directement après le travail finit..."
Mon dieu que j’avais honte dans ce bar… Plus elle buvait, plus le volume sonore de ses explications approchaient les limites du supportable. Plus les détails étaient croustillants, plus les tables autour de nous paraissaient discrètement choqués de notre conversation. Plus elle se donnait en spectacle et plus je m’enfonçais dans la capuche de mon survêtement, les joues rougies de honte, la queue durcie et trop serrée dans mon jean…
Gentleman jusqu'au bout le frero ? Tu parles il avait juste envie d'y retourner ouais ! Comment avouer à son frère qu'on rêve de sexuellement lui appartenir.
... Quand elle me décrit tout ça, je suis convaincu que je devrai être à sa place... Car je serais digne de lui... Car je serai digne de ses capacités, qu'il ne serai plus jamais frustré avec moi. Je veux être sa révolution. Et j'espère si ce n'est pas trop tard, le dépuceler de son côté homosexuel... Pour l'heure ma queue me fait trop mal, je décide d'aller aux toilettes me vider...
Emilie se commande un nouveau verre, moi je descend aux toilettes. Lieu public qui me fait de plus en plus fantasmer. En public je suis incapable d'aller dans les pissotieres. Pourtant cela devient de plus en plus intéressant de tenter d'apercevoir les queues des gens qui sont devant. Il y'a tous les types de personne. Ceux qui se collent au maximum à l'urinoir regardant partout autour d’eux pour être sur que personne ne regarde. Ceux qui sont à distance normal, mais qui cachent avec leur main ou leur bras et dont on devine leur action par les grands mouvements de bras, comme pour essayer de faire comprendre que leurs queues sont grosses et lourdes... Et enfin ceux qui n'ont pas cette gêne, bien détaché de l'urinoir, on peut observer avec plaisir leurs lourdes queues au repos se vider. En effet l'expérience m'a prouvé que plus l'homme se détache de l'urinoir plus il assume la virilité qu'il possède entre les jambes... Ils seraient presque entrain de regarder dans les urinoirs voisins pour comparer. Prenant leurs compères de haut, et sentant la fierté monter, ils mettent énormément de temps à agiter leurs lourdes queues pour faire tomber la dernière petite goutte. Celui qui s'y trouve actuellement serait plutôt de la troisième catégorie... Pour l'instant je ne le vois que de dos, le cul rebondi et moulé dans un costard. D'une main tenant fièrement son membre et de l'autre tenant la posture le point sur la hanche renvoyant sa veste de costard en arrière. Seule la veste aurai pu servir de cache entre l'urinoir et lui mais il a l'air de préférer s'exhiber fièrement. M'entendant arriver il tourne la tête pour me saluer.
Y'a rien a jeter chez lui. Même pas la tête. Soudain une pulsion folle me prend... Me poser dans l'urinoir juste à coté de lui. Du grand n'importe quoi.... Je suis incapable de pisser quand je suis à coté de quelqu'un... Mais sur le moment je n'ai pas réfléchis je voulais juste faire mon voyeur et ça en valait le coup vous pouvez me croire... Le mec en question s'était mis bien plus à l'aise que je ne le pensais. Sa braguette était ouverte en grand et il avait non seulement sorti son membre bien lourd mais aussi ses deux grosses couilles. Son paquet est tellement pendant qu’il est obligé de le soupeser avec sa main pour ne pas qu'il touche l'urinoir. Mes yeux passent très rapidement d'un urinoir à l'autre pour ne pas me faire griller. Malheureusement je vois bien le sourire se dessiner sur les lèvres du mec en costard. C'est à se demander si son paquet n'est pas sorti depuis longtemps attendant la première proie qui oserait enfin poser son regard dessus... Je sens que j'ai beaucoup de mal à me contrôler, ma queue déjà bien excité par la conversation avec Emilie reprend de la vigueur. Avant de me faire griller je préfère ranger mon matos et, quitte à passer pour un con, je pars m'enfermer dans un toilette avec porte et verrou.... J'entend le mec se marrer fièrement... Je rougis, m'assoit sur la cuvette et ressort ma queue pour me branler; essayant d'oublier ma vision de tout à l'heure. Mais c'était sans compter la ténacité de l'homme en costard. J'entend la porte de la cabine à coter de la mienne se fermer. Et rapidement je vois un bout de papier se glisser sous la paroi.
"Décroche le distributeur de PQ"
Très étonné je ne vois absolument pas où il veut en venir. Alors je lui "obéis" et là tout devient clair... En posant le distributeur par terre, je m'aperçois du large trou dans la cloison. Mais qu'ai je fais ?? Comment ai je osé aller jusque là ? Je fais n'importe quoi, je devrais fuir en courant. Venir à l’urinoir puis m’enfermer dans les toilettes lui a fait croire que je cherchais plus… Pourtant rapidement je vois ce large sexe se glisser à travers la paroi, je le vois délicatement faire passer ses larges couilles rasées avec sa queue... Le trou est complètement bouché.... Je ne sais plus quoi faire... Je suis rouge de honte et d'excitation... Mais jamais je ne pourrais poser mes lèvres dessus même si j'en meurs d'envie... Désolé mais pour une première fois je refuse que ça se passe ainsi...
Le sexe de cet homme m'impressionne. Le fait qu'il se soit rasé tout le pubis et les couilles, me font focaliser sur la place que prend son organe. Sa queue est imposante et impose le respect. Cet homme une fois nu, doit surement faire trembler son partenaire. Il semble très exciter car sans se caresser je vois sa queue faire de petit bonds surement en rythme avec les battements de son coeur. Et la transformation s'opère avec une lenteur excitante. On passe lentement d'une lourde queue pendante, a un membre de plus en plus droit, dont la peau se tend tellement de plus en plus que ça lui décalotte automatique son énorme gland qui se gorge de sang, les veines grosses et durcissent, ses couilles deviennent de beaux oeufs bien collés à sa tige.
Peu à peu la pièce commence à se remplir des effluves viriles qui émanent de sa queue. L'odeur est agréable ni trop forte ni trop insipide, on reconnaitrait les yeux fermés qu'il s'agit d'une queue bien viril qui mouille depuis un moment et qui doit être enfermé dans un boxer depuis ce matin. Je ressens l'impatience du mec, quand je vois sa queue bondir plusieurs fois de suite, l'homme contracte sa bite et envoie dedans comme pour m'appeler à lui. Je ne sais pas quoi faire... Je ne peux la mettre dans ma bouche même si j'en meurs d'envie... Toujours assis, tenant ma queue d'une main que je branle avec plaisir. Je m'approche de son membre. Et je souffle délicatement sur ses couilles pour les rafraîchir, je l'entend gémir, il doit être très sensible de la zone... J'approche mon nez pour respirer pleinement son odeur subtile de mâle. Quand à nouveau il fait bouger sa queue, sans faire attention et ayant le visage en dessous je me l'a prend de plein fouet sur le visage. Expérience hors du commun pour moi, première fois que je me fais "frapper" par un sexe d'homme... Ce n'est franchement pas désagréable... Alors je le laisse recommencer a plusieurs reprise, jusqu'à ce que son gland commence a mouiller abondamment et rende ma joue luisante...
A ce stade je déteste mon frère et son influence... Il m'a tellement retourné le cerveau et je me suis tellement mis en tête que ça serait lui et personne d'autre, que je suis incapable de gouter ne serait ce que la mouille de cet homme... Appétissante mais fruit défendu j'ai même l'impression de tromper mon frère alors qu'on ne sort même pas ensemble et que je ne lui appartiens pas.
Le laissant patienter, j’essaye de me rhabiller le plus vite possible. Je n’ai jamais quitter aussi rapidement des toilettes. Je ne me souviens déjà plus de son visage et ça m'arrange grandement. Même si dans les pissotières, j’avais mon sweet à capuche sur la tête, j’espère que lui non plus ne se souvient pas de moi. Je poursuis mon ascension des escaliers menant à la salle principale, en cherchant un ou deux billets pour payer l’addition, sans chercher à récupérer la monnaie, je cherche surtout à récupérer Emilie, à moitié bourrée entrain d’emmerdé son voisin de table. Je l’a soulève par le bras, ne lui laissant pas le choix. On quitte cet horrible bar, qui n’a perverti que ma main et ma joue, mais n’aura pas eu plus. Impossible d’expliquer pourquoi… J’en avais envie… Mais mon désir de me préserver pour un dessein plus grand est quelque chose d’inviolable… Je ne sais pas si c’est une force ou un défaut cette indéfectible volonté à respecter ce que je désir le plus : mon frère. Quelle connerie quand je pense à toutes les meufs qu’il peut se taper… Rien à foutre, pour moi, si ce n’est pas lui le premier, ça ne sera personne…
J’ai dis que je n’étais pas rancunier, pourtant… ce n’est pas pour ça que je ne compte pas prendre mon temps pour adresser à nouveau la parole à mon frère. L’ambiance est pesante à la maison et je pense fièrement y être pour quelque chose. Cela fait un mois, et même si c’est difficile car je rêve de lui demander comment il va, je rêve qu’il me prenne à nouveau dans ses bras, je résiste.
Entre temps, j’avais quelqu’un d’autre à revoir, et avec qui je devais remettre les points sur les i : FRED.
En boite, il m'a montré une autre facette de sa personnalité.... Je savais qu'on était des potes et des potes de sports assez proches et intimes. Mais là, il m'a carrément avoué être attiré par moi... J'ai bien senti qu'il essayait de se dresser contre mon frère.... J'ai évité la troisième guerre mondiale mais pour combien de temps ? Quand je repense au chantage qu'il essaye de m'imposer je trouve ça vraiment indigne de lui. Il a beau avoir de l'attirance pour moi, s'il cherche à entièrement m'avoir (je suis peut être fleur-bleu) s'il cherche à avoir mon coeur en plus de mon corps il s'y prend très mal... J'espère que c'était l'alcool qui parlait l'autre soir et que nous sommes passé au dessus de ça. Dans son SMS, il m'annonce qu'il a réussi à avoir les clés d’une autre piscine municipale afin de ne plus s’entrainer avec les autres mecs lourdo du club de natation…
Est ce une bonne idée de se retrouver seul avec lui ?
Je ne sais pas, mais je dois de toute façon le revoir pour au moins en parler, crever l’abcès et mettre les choses au clair. J’ai toujours aimé le danger... Surement parce qu'il ne m'ai jamais rien arrivé mais j'avoue que certaines situations font monter l'adrénaline et l'excitation. Traverser un bois en pleine nuit, prendre des ruelles sombres la musique à fond dans les oreilles, finir dans les caves d'une cité de rebeu... Je ressens la même montée d'adrénaline en retrouvant Fred à la natation, rien que tout les deux. Car je l'imagine déjà me forcer s'il n'obtient pas ce qu'il souhaite, et mes cries ne serviront à rien dans une piscine déserte si ce n'est à l'exciter un peu plus... Si je me pose trois secondes pour réfléchir à ceux que je suis entrain de dire... Mon dieu c'est n'importe quoi...
Je rêverais de me faire violer ? Je me mettrais régulièrement en situation où il est susceptible que ça m'arrive ? Mais dans quel but ? Comment peut on être fan du viole ?? A force de réprimer mon homosexualité j'ai l'impression que mes fantasmes se radicalisent. Personne ne doit être au courant de ma découverte... Trop de monde serait content de donner leur contribution à la réalisation de mes desseins… Quand je réfléchis je ne peux pas aimer le viole, ce dont j’ai l’impression d’avoir besoin c’est qu’on prenne la décision pour moi… Ce n’est pas une histoire de consentement mais comme je n’arrive pas à passer le pas, il faut que quelqu’un le fasse pour moi… Et ce quelqu’un… tant que ça ne sera pas mon frère, j’aurai l’impression que chaque autre personne sera susceptible d’être considéré comme un violeur…
Je pense cela et au même moment je saisi le digicode pour entrer dans la piscine où Fred m'attend déjà dans le bassin. La première réaction, le sachant dans l'eau c'est de fouiller ses affaires...
Dommage que son portable soit verrouillé par un code... Je peux au moins lire le débuts des deux sms qu'il a reçu en son absence :
"T'es le meilleur, bogoss! c'est ta soirée alors..." Abdul
"Des conseils, va au feeling ton corps fera le reste. Lâches t..." Yohann
Dans son sac, des capotes, du gel. J'ai envie de dire banal pour un mec de son âge... Il a vraiment raconté à ses potes que ce soir il voulait me baiser ? Devrais je faire demi tour ? Car je suis sûr d'une chose Fred est parfait mais ce n'est pas lui... Je ne pense pas avoir subit de lavage de cerveau par Romain mais... Ce n'est pas Fred... C'est mon frère que j'ai en tête. Partant de là, je connais ma volonté, rien ne pourra la briser...
Je prend quand même soin de détruire et jeter ses capotes et son lubrifiant avant de le rejoindre. Réaction très stupide je m’en rend compte, car à la limite s’il en a vraiment envie… ca serait le seul moyen de protection et que ça se fasse avec le moins de douleur possible… enfin trop tard c’est déjà au fond des chiottes…
On garde toujours l'habitude de se faire la bise, ce soir je trouve toute sa musculature particulièrement gonflée, je ne peux m'empêcher de lui faire la remarque. Il me répond en se caressant surtout les pecs, ce qui n'est pas pour me déplaire :
"Tu trouves ? Le truc bien dans cette piscine c'est qu'au bout du bassin tu as tout ce qu'il faut pour soulever de la fonte. J'en fais depuis 30 minutes vu que tu as 30 minutes de retard. Content que ça te plaise.
-j'ai pas dis ça...
-tes yeux l'ont dit pour toi..."
Je plonge dans l'eau quand je l'entend ricaner de moi...
Il m'a préparé un entrainement de folie. Comme je les aime. Le genre d'entrainement où on rentre la tête complètement vidée. Un de mes exercices préférés : à chaque longueur en crawl il faut sortir du bassin à la seule aide de ses bras et faire 5 pompes, puis retourner dans l'eau, faire une longueur dans l'autre sens ressortir du bassin et faire 5 abdo. Le nombre de répétition semble faible ? C'est normal car c'est un exercice d'endurance et il compte nous faire comme objectif plus d'une heure...
On a tenu 1h15. Enfin j'ai tenu 1h15 car lui aurai pu continuer. Pourquoi je vous parle de quelque chose qui ne semble pas excitant ? Si vous ne trouvez pas cela excitant c'est que vous ne l'avez jamais... Vous ne savez pas a quel point ça développe la musculature... Ses pecs sont tellement gonflés qu'on dirait que ça peau va s'arracher. Ses biceps ont doublé de volume. Et ses abdos sont en acier. Tout pour me plaire. Quand à moi... Je n'en sors pas indemne. Je me sens faible. Mes bras ne me répondent plus, transis par la douleur, je serais incapable de porter ne serait ce qu'un pack d'eau. J'ai la tête qui tourne comme si j'étais en hypoglycémie ou qu'on m'avait :
"Ca va Axel ? Je pensais pas que tu forcerais autant !
- tu me connais, je me contrôle pas du tout avec cet exo tellement je l'adore...
-jte comprend, des qu'on aime quelque chose ou quelqu'un on a beaucoup de mal à se contrôler"
Une fois dans les douches, je peux pleinement admirer son corps d'athlète. Le voir faire mousser le savon sur ses pecs... Mes bras tremblent tellement, les courbatures sont déjà ancrées dans mes muscles alors qu'ils ne sont même pas encore refroidit. Fred sourit en me voyant galérer.
"Attend je vais t'aider."
Il rempli sa main de gel douche et le dépose sur mon torse et commence à l'étaler délicatement sur mon torse. Je n'ai pas l'esprit très clair à cause de la fatigue mais je sais qu'il faut que je le stop rapidement.
"Arrête Fred, s'il te plait... Tu sais que c'est pas bien…

-chhut. Ne dit rien laisse toi faire…

-tu vas être déçu Fred, mais je ne compte rien faire avec toi.

-tu oublies que tu me dois quelque chose."
Je sens que son massage se fait insistant mais c'est pas plus mal ça casse mes crampes, mes gémissements de douleur ont l'air de lui faire de l'effet.
"Tu avais bu, Fred. Tu pensais pas ce que tu disais.

-Et toi tu étais sobre, car tu ne bois jamais. Et pourtant. Tu étais à genoux sur moi entrain de te frotter. Et tu aimais ça. Laisse toi doucement t’emporter..."

Il att mes mains et les posent sur ses pecs. Il sait à quel point les muscles sont pour moi signe de virilité, mon péché mignon, me font perdre mes moyens... Je commence à faire mousser le gel douche il fait de même sur moi en me parlant :

"Je sais à quel point tu kiff les hommes musclés. Je te grille tellement souvent. Tu ne mattes que ce type de mec et j'en fais parti. Jtoffre la possibilité de pouvoir me toucher. Profites en... Tu aimes la sensation ? N'ai pas honte, tu as le droit d'aimer. C'est fait pour ça. J'aime te plaire et j'aime voir à quel point ça te comble de bonheur."

Je n'arrive pas à m'arrêter de le caresser, il a totalement raison. Il connait mes points faibles et ça devient dangereux...

"Tu ne te rends pas compte à quel point tu es une petite merveille pour les mecs comme moi... Tu es mignon, avec un corps parfait, reflétant ta douceur et ta fragilité. J'ai qu'une envie, te protéger dans mes bras, te blottir contre moi. Tout chez toi m'excite. Ta naïveté rend ton dépucelage terriblement excitant. Et pourtant, naturellement tu caches en toi un vrai savoir faire de petite salope. Quand tu te dandinais sur ma queue en boite, je sentais à quel point tu avais envie de plaire, et tu savais comment faire du bien à un homme...! C'est le passage de ta carapace de pudeur, à ton attitude d'allumeur qui te rend si rare et précieux. J'ai autant envie de te faire l'amour que de te baiser comme une lope."

Son monologue me touche en plein coeur car il est véridique. A ceci près que la seule véritable personne à qui j'ai envie de donner mon corps, à qui je souhaite donner un maximum de plaisir chaque jour. C'est mon frère. Comme Fred l'explique. J'ai envie qu'il dispose de mon corps, qu'il me fasse l'amour quand il sent l'envie d'être tendre, et qu'il me baise quand il a besoin de laisser s'exprimer sa virilité. Je gemis pendant tout son monologue. Mes mains sont dans son dos, les siennes sont sur mes fesses. Nos corps se touchent. Il m'embrasse dans le cou pendant son explication. Me leche la gorge jusqu'au menton. Me regarde intensément dans les yeux. Et fièrement comme pour essayer de me conquerir il s'arrête à quelques centimètres de mon visage et me dit :

"Je veux que ca soit toi qui m'embrasse. Va s'y goutte mes lèvres".

Il me le répète une dizaine de fois jusqu'à ce que ses mains passent sous mon maillot. Il me malaxe bien les fesses jusqu'au moment ou je sens un de ses doigts se poser sans forcer, juste se poser délicatement sur ma rondelle. Je perds complètement notion de bien ou de mal et dans un total moment de faiblesse, je l’embrasse. je ne tarde pas à sentir sa langue pénètrer ma bouche. Il embrasse merveilleusement bien. Je sens son doigt partir de ma rondelle et il m'enveloppe dans ses bras bien serré contre lui. Quand je reprend mes esprits et cherche à me débattre il ne me laisse pas le choix. Lentement il me plaque avec son corps contre le mur de la douche, il n'arrête pas son baisé, et lève avec une extrême facilité mes bras derrières ma tête. On dirait qu'il avait tout calculé, je n'avais pas remarqué que j'étais nu, il tenait mon maillot de bain à la main et s'en sert pour m'attaché les deux peignés à la barre verticale de la douche. Il recule et contemple son oeuvre. Je suis nu, la queue dure et bien droite, les bras en l'air attachés.

"Non fait pas ça, jten supplie Fred. On est amis, fait pas ça alors que j'en ai pas envie...
- arrête ! Ne me supplie pas... Tu n'imagines pas à quel point ça excite un homme. Je n'avais pas d'autre choix... Et puis... Pour quelqu'un qui n'en a pas envie... Tu es bien dur..."

Il att délicatement ma queue qu'il décalotte entièrement lentement soupesant mes couilles imberbes. Même si j'ai très peurs des projets qu'il me réserve je dois avoué qu'etre attaché, ne pas pouvoir l'empêcher d'agir, m'en remettre à lui, et devoir lui faire confiance, est une experience tellement jouissive...

"S'il te plait Fred, écoute moi... Je suis fier de mon pucelage. C'est à moi de décidé à qui je l'offre. Et mon choix est déjà fait. Je suis désolé de t'avoir excité en dansant sur toi, c'est mon coté naif...
-Et qui est l'heureux élu ? Ton frère ??"

Je baisse la tête, trop honteux pour l'avouer....

"Ridicule ! Il te touchera jamais parce que c'est ton frère! Et il te le prouve chaque jour ! Sa jalousie maladive montre que comme il sait qu'il ne peut pas t'avoir, il refuse que quelqu'un d'autre puisse t'enlever à lui. C'est de la possessivité à deux balles, qui te gâche un bel avenir sexuel ! Et je vais te le prouver"

Il m'embrasse à nouveau et ses lèvres goutent peu à peu l'ensemble de mon torse. Il s'arrête sur mes tétons pour me faire gémir, puis continue de descendre. Ma voix est faible presque inaudible quand je lui demande d'arrêter tellement j'aime ça... Il finit à genou devant moi. Je ferme les yeux... Je sais ce qu'il s'apprête à faire mais je ne veux pas regarder. Soudain je sens sa langue brulante lécher mes boules et remonter sur ma tige déjà bien droite et qui pourtant me donne l'impression qu'elle continue d'essayer de durcir. Je le sens qui att ma queue d'une main et tire lentement pour me décalotter entièrement. C'est délicieux... Je ne peux pas dire le contraire c'est trop bon de sentir une autre main que la mienne aller et venir sur ma propre queue... Je le sens titiller mon gland du bout de sa langue, je gémis de plus en plus fort. Je ne peux pas l'empêcher de faire ce qu'il veut mais je suis tellement sensible que ça me fait limite mal...
Il se relève et m'embrasse partout dans le cou :

"Ta queue est excellente... Elle est déjà bien grosse alors qu'elle a encore le temps de grandir… Impressionnant. C'est normal si tu es sensible c’est tout nouveau mais je t’assure qu’avec le temps en l’expérience tu ne pourra plus t’en passer..."

Je n'arrive pas à lui répondre. J'ai qu'une seule envie, qu'il y retourne. Mais je suis incapable de lui dire et donc d'avouer ma défaite... Mais il y retourne de lui même et cette fois si je le regarde faire. Je le vois tenir fermement ma queue et avec le bout de sa langue forcer mon petit orifice. Puis lécher longuement mon gland. Je cri à cause de la sensibilité mais je ne l'empêche pas de continuer. Quand toute sa bouche recouvre enfin mon gland et que ma queue glisse lentement dans sa bouche, je suis aux anges. En une fois il parvient â l'avaler jusqu'à la garde. Je sens ma queue entre serrée dans sa gorge. Je me demande comment il fait pour respirer mais le plaisir est tellement intense que je manque presque de tomber...
Je n'arrive pas à croire qu'il est entrain de me pomper... J'ai l'impression que le temps s'est arrêté, ses lèvres sont agiles et douces, mais ses mouvements prouvent son impatience. Il me gobe de plus en plus rapidement. J'essaye de retirer sa tête quand je sens que ça monte. Mais il m'en empêche avec force.
Au bord de la jouissance mes muscles ne répondent plus et je lâche un énorme râle de plaisir, en éjaculant au fond de sa bouche. Les spasmes de ma queue me font terriblement du bien, surtout qu'il ne s'arrête pas immédiatement de sucer....
J'ai l'impression que tout mon sang s'est mobilisé au niveau de ma queue. Je glisse lentement jusqu'à finir sur le sol, l'eau de la douche coulant toujours pour nous réchauffer.
Face à moi, sans rien dire, fier de lui il s'approche pour m'embrasser. J'ouvre lentement la bouche comme si c'était le dernier effort que je pouvais faire. Soudain il se dresse sur ses genoux, m'obligeant à basculer la tête en arrière. Il m'att virilement la mâchoire sans me faire mal juste pour mieux me contrôler... Il commence alors à m'embrasser et je découvre peu à peu qu'il déverse tout mon sperme dans ma propre bouche. J'ai d'abord eu un petit haut le coeur car je ne m'y attendais pas du tout... J'avais déjà gouté mon sperme mais jamais en grande quantité... C'est d'ailleurs comme ça que j'ai découvert que mes réserves étaient plutôt volumineuses, vu tout ce qu'il m'a transmit. L'acte était terriblement excitant. Il avait l'air au summum de sa fierté en faisant ce geste, et encore plus excité de voir que je l'accepte sans rechigner... Vicieusement il me regarde avaler jusqu'à la dernière goûte mon sperme qui, je dois l'avoué, à vraiment un bon goût... Il finit de lécher mes lèvres et me demande si j'ai aimé. Impressionné par l'acte j'ai beaucoup de mal à lui répondre.
Il m'ouvre à nouveau délicatement la bouche, je sens à nouveau qu'il me donne encore quelque chose. Ai t'il encore du sperme ? Non... C'est autre chose... Sa propre salive coule au fond de ma gorge. C'est tellement excitant que j'ai l'impression que je vais me remettre à bander.
Il finit par se relever me laissant là, a moitié allongé devant lui... Il récupère sa serviette et juste avant de partir me dit d'une voix triomphale :
"- Pose toi les bonnes questions Axel. Demande toi, si ton frère aurait été capable de ça ? Si ton frère peut apporter tout ce que je peux t'apporter moi ? Réfléchit bien bébé, prend ta décision et revient me voir..."
Et il se casse, sans en dire plus, me laissant là, sous l'eau, ayant besoin d'encore 20 bonnes minutes pour reprendre mes esprits.
Lorsque je retourne me changer il n'est plus là. Il m'a juste laissé les clefs pour fermer...
Et en sortant et en consultant mon téléphone, je me rend compte de l'énorme bêtise que j'ai faite... Oublier de prévenir mon frère du changement de piscine... J'ai 20 appels en absence.... Pas un seul message vocal pas un seul texto... S'il dit rien du tout c'est encore plus mauvais signe.... La piscine longe une forêt et la ruelle est sombre... J'en ai pour une demi heure de marche... Apres une longue hésitation je décide de l'appeler quitte à me faire défoncer....

"-Allo Axel ?
-oui c'est moi Romain ! Je suis désolé j'ai compléte....
-t'es vivant ?
-ba... Oui... Pourquoi tu....
-tu sais où tu es ? Tu sais où tu vas ?
-oui oui je ne suis pas perdu. Jvoulais juste m'excus...
-ba c'est cool alors si t'es pas perdu. Rentre bien,  à toute ! »

Et il me raccroche au nez.... Impossible de m'expliquer ou de m'excuser... Je l'ai rarement mis dans un tel état... Bravo... Et maintenant il est sur messagerie, il a du mettre son portable en mode avion...
Je suis triplement mal... J'ai menti, oublié et trompé mon frère, pour ce Fred... Il suce divinement bien, sa plastique est parfaite, il aurait beaucoup à me faire découvrir certes... Mais ce n'est pas Romain... Ce n'est pas la même chose. J'ai profité du plaisir de jouir une demi seconde avant que les remords ne commencent à me ronger... J’ai beau essayer de ne pas culpabiliser, tout est prétexte à y repenser : mon sexe est encore sensible dans mon boxer et à chaque pas que je fais le frottement rêche d’un tissu trop souvent lavé me rappel à quel point la bouche soyeuse d’une homme est cent fois plus agréable. Qu’à chaque déglutition, la douce amertume de mon sperme est encore présente, que même en me rinçant à l’eau clair, je suis imprégné de ma propre odeur… Je ne pourrai jamais revenir en arrière, je dois vivre avec ce qu’il s’est passé… Dois je en avoir honte ? Vis à vis de l’acte lui même, absolument pas… J’ai envie que ça se reproduise encore un million de fois. Vis à vis de mes convictions, je considère l’avoir trompé… et ça… je ne m’en remet pas…
J'ai tant de chose à me faire pardonner Romain... Mais d'abord il faut rentrer....

Les bois me font flipper, comme s'il y avait une présence à l'intérieur... Je marche plus vite mais l'ombre s'accroche. Je suis le genre de personne qui quand elle marche dans une rue la nuit l’enchainement des lampadaires font que votre propre ombre s’éloigne et se rapproche de manière inquiétante. Pensant être suivi vous accélérez et du coup ce phénomène d’ombre continue de se produire de manière encore plus fréquente. Vous finissez par vous calmer quand vous vous raisonnez et que vous comprenez avoir peur de votre propre ombre… Mais ce soit ce n’était pas mon propre moi sur le sol, adossé à un lampadaire qui clignote faiblement, un homme avec sweet à capuche m'interpelle au moment ou je passe devant lui.
"T'as du feu bogoss ?
-non .... Non je ne fume pas"
Il ricane en se malaxant la boss dans le jogging. Jfais mine de rien avoir vu et je repars. Mais c'était sans compter ma maladresse, et la volonté du mystérieux fumeur de me faire tomber avec un croche patte.
"Tiens tiens voyons ça... Il est déjà à quatre pattes. Avoue moi tout, t'aime pas ma cigarette mais t'adore la pipe"
J'essaye de me relever mais direct il appuie sur mes épaules et me cale contre le lampadaire. Je commence vraiment à avoir peur.... Il a l'air très sérieux, et sa volonté est aussi dur que sa queue qui pointe dans son jogging....

"-Laissez moi tranquille, laissez moi partir !
-jcrois pas non. Tu vas être ma bouche à bite. Ta ptite voix de tepu m'excite trop. Tu vas bouffer ma bite. Tu vas t' avec"

Il att ma tête avec ses mains puissantes et me force à coller mon visage sur son jogging....

"Aller ouvre la bouche et bouffe salope... Ca fait trois heures que tu me chauffes sur Grindr, tu as cru que j’allais te laisser t’en tirer comme ça ? Un bon vide couille pendant que je bedave"

Je ne comprend rien à ce qu’il dit. La drogue doit lui être monté trop rapidement au cerveau, il se trompe clairement de cible. J’ai trop peur, je refuse qu'il continue, les larmes coulent... Je me met en position foetus, quand j'entend une autre voix. Je reste ainsi longtemps, faisant abstraction de ce qui se passait en dehors de ma bulle...
Quand je me déploie a nouveau... Je découvre le mec à moitié mort sur le sol, et un homme debout coulant de ses poings fermés... Son pied appuyant sur les côtes de mon agresseur.
A qui dois je ce sauvetage ? Je ne tarde pas à le découvrir. D'abord par sa voix :

"Estime toi heureux d'être encore en vie. Tu serai aller plus loin…»

Puis quand il se retourne cela confirme mes suppositions. C'est bien mon frère... Je suis tellement soulagé et heureux que j'en oublie la dent qu'il a contre moi, jme relève et m'approche de lui jusqu'à ce qu'il me retourne une énorme gifle que j'ai effectivement mérité… L’homme à terre, rampe misérablement, sifflant des excuses en se tenant les côtes, justifiant son acte par une erreur de partenaire. La violence du « ta gueule » hurlé par mon frère eu raison de ses excuses mais aussi de tout les petits bruits que la foret peut émettre au coucher du soleil… Je n’ai jamais vu mon frère prendre autant de temps pour se retourner vers moi. Je me tiens toujours la joue. Pour tout vous dire, la violence du choc ne me procure aucune douleur, juste un terrible engourdissement de toute ma mâchoire et une chaleur intense au point d’impact… Première fois que j’assume aussi bien de recevoir une gifle… Je mérite tellement sa punition… Je n’ai pas dis que ça me plaisait, il ne faut pas y voir un plaisir sadique à faire des erreurs pour être punis. Je n’arrive simplement pas à lui en vouloir. Je préfère ce genre de réaction à l’absence de réaction…

"Que ça te serve de leçon ! Jcomprend pas ce qui t'es passé par la tête ! Ca t'amuse l'adrénaline ? Tu veux faire tes propres expériences ? Un bon conseil, ne t'aventure que dans ce que tu peux contrôler. Relève toi on rentre !"

Au passage, il crache sur le pervers comme si c'était qu’une vulgaire merde...
Il marche vite, j'ai du mal à le suivre mais je lutte... Jusqu'au moment où il s'assoit sur un banc, les mains tremblantes de culpabilité il att sa tête. J'ose plus rien dire.... J'ai tellement honte…
Je tente de poser une main sur son épaule :

"Et ce qui me tue Axel. C'est que tu ne me fasses toujours pas confiance... Si jminquiete pour toi c'est justifié... 

-je sais je suis désolé frangin.... J'ai pas réfléchit...

-moi tu sais j'ai beaucoup réfléchit... Je suis trop présent pour toi et t'en oublie les principes élémentaires de survie... Jtetouffe…. Je prend les mauvaises décisions et en plus je suis violent…

-mais... De quoi tu parles ???

-Après Noël, j’ai trouvé une formation chez les sapeurs-pompiers militaires de paris. C’est ce qu'il y a de mieux à faire pour nous deux...

-mais... Tu rentres le soir après ton travail ?

-la formation est perdue à la campagne, c’est comme un service militaire, un an, loin de toi…»

Il se relève et part. C'est ça ! Fuit ! Tu viens de me poignarder.... Je le ratt en m'excusant des milliers de fois... Jcommence même à pleurer. Je veux pas qu'il me quitte ! Il peut pas partir pour un an de formation ! Mais rien n'y fait, il avance inexorablement vers la maison...

"Sèche tes larmes, soit un homme, tu fais pitié comme ça !"

Une fois arrivé, je file dans ma chambre sans rien dire de plus... Jmenfonce dans mon oreiller pour pleurer en silence. C'est une déchirure s'il part...
Il est tout pour moi, ma force, mon allié, mon dieu, mon fantasme, mon bonheur, mon plaisir, mon modèle... Je vais tout perdre...
Les semaines qui suivirent furent apocalyptiques... Je ne sort de ma chambre que pour me laver, et quand les parents m'obligent à diner avec eux... Quand à mon frère ? On se croise de moins en moins, on se parle de moins en moins. Bref gros retour en arrière, après tant de bons moments....
Afin d’écourter l’attention vous aurez les pensées de mon frère au prochaine épisode.

Merci pour vos messages de soutient, ça me motive à continuer. Je suis encore désolé pour cette longue absence mais vous l’apprendrez dans quelques épisodes mais… je suis soignant… du coup le confinement pour moi n’a absolument pas été de tout repos (et aujourd’hui encore…) justifiant mon absence… Je suis désolé j’aurai adoré vous faire voyager un peu pendant votre confinement malheureusement j’étais pas disponible… J’ai encore trop de chose à vous raconter, je ne suis pas prêt d’arrêter… Car plus j’écris et plus j’arrive à devenir Celui2Demain…

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