Il N'Y A Pas D'Age En Amour

C'était en février 2019, une mutation sur Avignon pour moi 42 ans, tous les 4 ans environ je laissais mon épouse 40 ans et mes 2 s de 5 et 8 ans pendant quelques mois, le temps qu'ils finissent l'année scolaire et que je trouve un nouveau nid douillé
L'hôtel en attendant c'était le moins possible je préférais trouver un petit chez moi qui permettait de se sentir mieux et de recevoir éventuellement ma famille.
Après 15 jours sur place et je trouvé un petit appartement à louer dans une maison à quelques km de mon travail. Très intéressé je me rendais à la visite, j'étais reçu par René et Daniele qui proposaient une location sympa au RDC de leur maison, une grande pièce avec 2 chambres le tout super bien aménagé. Le courant passé bien, ils souhaitaient simplement quelqu'un de sérieux et éventuellement en disposer les vacances quand ils recevaient leurs s, 2-3 fois par an. C'était parfait, de toute façon je rentrais quasiment tous les WE à 400km et en juillet je quitterai les lieux.

J'étais ravi de quitter mon hôtel et de m'installer dans ce coin de paradis, d'ailleurs peut-être je pourrais trouver une maison dans ce secteur.
Je me retrouvais donc la semaine suivante dans ma nouvelle demeure, il était convenu qu'aux vacances ma famille viendrait passer une semaine, pour le reste, je ne voyais que peu mais propriétaire, je ne rentrais pas avant 19 h et souvent j'allais courir. Toutefois il m'arrivait de discuter avec René pour qu'il m'indique des chemins pour courir où si j'avais besoin de renseignements sur la région.
Au bout de quelques semaines ils m'invitaient d'ailleurs à prendre l'apéritif, pour faire plus amples connaissances. J'appris alors qu'il était artisan et elle secrétaire avant leur retraite prise il y avait 10 ans, René avait 75 ans et Daniele 74. Ils avaient 2 s et 4 petits s qui n'étaient plus sur la région. Retraités très actifs, lui beaucoup de vélo et marche, elle salle de sport, piscine, ils aimaient recevoir leur nombreux amis.

Je remarquais d'ailleurs qu'elle était toujours pimpante même si marquais par l'âge.

Nous avons rapidement sympathisé et nous partagions régulièrement l'apéritif, c'était même devenu un rituel pour René et moi le jeudi.*
Une fois chez moi une fois chez lui, mme ne participant qu'aux soirées chez elle.
C'était pour Renè une façon de s'évader et il attendait le jeudi avec impatience, nous abordions tous les sujets, il avait une bonne culture et c'était très agréable pour moi aussi, finance, politique, avec quelques verres histoire coquines, nous pouvions parler de tout, il avait constater ma grande ouverture d'esprit qui facilitait les choses.

Un jeudi du mois d'avril, nous étions chez moi et nous avions un peu sur l'alcool, peut être volontairement pour mon hôte. Je sentais qu'il voulait me dire quelque chose et je pensais que peut-être il avait besoin de l'appartement et qu'il n'osait me le dire!!!

Mais ce n'était pas cela, je n'y était pas du tout, à un moment il me regarda avec sérieux et me dit
- François je voudrais te demander quelque chose, ce n'est pas facile, peut-être un peu plus simple avec toi car il n'y a que quelques mois que nous nous connaissons, mais je ne voudrais surtout pas que ça nous fâche et si tu n'es pas d'accord on oubli tout.
- Qu'y a t il donc René, tu as besoin d'un service, de l'appart
- Plutôt d'un service, dit il en rigolant
- Quoi dis moi
- Voila avec Danièle ça fait 60 que l'on se connait et nous n'avons jamais eu d'autres partenaires, nous aurions aimé, amis ce n'était pas aussi facile qu'aujourd'hui et compte tenu de notre âge et de notre éducation pas simple de dépasser la ligne blanche.
-Oui et alors
- he bien je voudrais faire un cadeau à Daniele
- Un truc coquin que tu veux que j'achète?
- Non pas tout à fait, lui offrir un autre homme.
- Vous avez raison profitez de la vie un maximum, tu me connais ce n'est pas moi qui vais m'offusquer
- Oui je sais mais cette homme si tu voulais ce serait toi.
silence
- Oui nous faisons encore des câlins et nous pensons souvent à ça dans nos fantasmes et elle ne dirait pas non avec toi
- Tu crois que je serais l'homme de la situation,
En fait je ne savais pas quoi répondre, je n'y avais pas pensé
- Mais si tu ne veux pas François on tourne la page et terminer, c'est vrai que ça pourrait être ta mère
- Franchement cela ne me gène pas,
Que pouvais je dire d'autre, non impossible, en revanche j'étais pris de court.
- Et comment tu vois ça, elle est d'accord?
- Pour tout te dire je ne lui en ai pas vraiment parlé, c'est un cadeau pour ces 75, mais je sais qu'elle ne dira pas non
- Ecoute ce que je te propose vous en discutez et on s'en reparle mais ok.

Une fois suel je restais un peu abasourdi, aurais je envie d'elle et si je ne bande pas, ça lui ferai mal.
Toutefois le soir je me masturbais en pensant à elle…..

Quand je revins après le WE chez, il m'indiqua que j'étais invité à diner le mardi soir.

A 20 h je me présentais, nous buvons 1 verre ou 2 et passons à table, je sentais qu'il y avait une géne, je décidais de crever l'abcès.
- Alors Daniele, Renè vous a dit que j'étais d'accord
Je la vois devenir rouge écarlate
- François je ne voudrais pas que vous me preniez pour une obsédé ou autre, j'ai honte qu'il vous ai demandé cela, on se connaît peu et je ne voufrais pas ternir une image que vous avez de moi.
- Mais Danièle, Renè certes me connait mieux que vous et il connait mon ouverture d'esprit et bien au contraire je trouve ça fabuleux qu' à votre âge on profite encore des bonnes chose de la vie, je vous envie, croyais moi et je ne vois pas pourquoi parce que l'on est maman, grand-mère, femme intéligente on aurait pas droit au plaisir.
-Merci de me dire cela c'est réconfortant et rassurant, mais je ne pense pas que tout le monde comprenne, jamais nous pourrions en parler à nos amis
- Détrompez vous peut-être qu'eux aussi font des choses sympas
L'atmosphère se décontractait et il partir tous les 2 dans un fou rire imaginant un tel où telle batifoler.
La suite du repas était plus cool, il fut finalement décidé que jeudi soir jour de son anniversaire nous prendrions l'apéritif et qu'après quelques verres qui nous désinhiberaient, Danièle et moi irions dans la 2éme chambre, elle préférait que pour cette 1er Renè n'assiste pas pour qu'elle se sente plus à l'aise.

NOus voila le jeudi, à vrai dire j'étais impatient, une bonne douche et à 19h30 j'étais dans les lieux, l'alcool coulait pour oublier et nous nous rapprochions avec Danièle, des petites caresses, des petits geste tendres et tout à coup elle me prit la main et me demanda de la suivre.

Nous voila dans la chambre bien tamisée, j'avais décidé de lui mettre un bandeau, pour qu'elle soit plus à l'aise, et elle resta debout, elle était dans une robe noire très élégante je lui tournait autour en l'embrassant et dans le cou, en lui caressant un sein, touchant délicatement ses fesses.
La situation m'excitait, je l'embrassait enfin sur la bouche et elle me rendit le baiser.
on se frottait je sentais également son désir monter, je décidais de lui ôter sa robe, elle était encore bien conservée dans son soutien gorge noire à dentelle et son tanga, je la couchais sur le lit, pour descendre jusqu'à son minou, bien épilé, ma langue titillait son clitoris et des sons de plus en plus bruyants sortaient de sa bouche, elle était trempe, moi qui pensais que le femmes ne mouillaient plus avec l'âge;
Son désir grandissait et elle lâcha un rale bruyant en disant ouiiiiiiiiiiouiiiiiiiiii continues ça ne s'arrète pas, son corp tremblé de toute part, j'eu peur de l'avoir épuisé.
Elle se remit tout doucement de cet orgasme et pris mon sexe tendu dans sa bouche, c'était très agréable elle suçait divinement bien.
Mais son envie c'était que je la prenne, une levrette, je la pénétrais, c'était de petit cris contrôlés qui sortaient de sa bouche, elle me disait que c'était bon, qu'elle en rêvait, de continuer, elle n'arrêtait pas de parler, je ne l'avais pas imaginé comme cela, vas y, vas y baise moi fort, et d'un coup elle me dit ohohohh ça vient, ça vient et la tête sur l'oreiller elle retenait ses cris alors que moi aussi j'envoyais une quantité de sperme non négligeable dans son ventree.

Une accalmie enfin, l'un contre l'autre on discutait tranquillement, elle était heureuse, me dit qu'avec son mari ça avait toujours était le bonheur, qu'elle était épanouie, même si avec l'âge c'était différent, mais qu'elle rêvait avant de mourir d'essayer avec un autre
Ils avaient essayé plein de choses, des jouets de plus en plus utile dit elle avec le sourire, des films mais ça, ça manquait

Excitaient par tout ça nous avions envie de recommencer et nous avons encore fait l'amour avec fureur, installée sur moi elle nous embarquait dans un nouvel orgasme

Il était tant de nous séparer, elle enfila sa culotte et quitta la pièce en me disant de prendre mon temps que René devait l'attendre tout excité

Je me levais moi aussi et quittais la chambre pour rejoindre mon appart, je ne pus m'empêcher de m'arrêter devant leur chambre, petit voyeur que j'étais, Renè l'embrassait, essayait de lui demander comment ça avait été, sans la laisser répondre, je voyais qu'il bandait bien le cochon, elle lui dit enlève ma culotte et prend moi, il grimpa sur elle, lui dit ma chérie je crois que je ne tiendrais pas longtemps, ce n'ai pas grave mon amour répondit elle c'est ton plaisir qui m'incombe à l'instant, en effet le pauvre Renè ne tint pas longtemps et éjacula dans un râle sans fin

Je regagnais mon lit, je vous raconterais plus tard le prochain épisode de ce séjour