Petites Histoires: 1 L'Agression
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
1-LAGRESSION
Cette histoire véridique est arrivée, il y a longtemps, au début où nous partagions un appartement, ma femme et moi, avant dêtre mariés.
Ma femme Sandra est de taille moyenne, 1,65m, très fine, mais avec des formes là où il faut.
Elle a un joli visage, avec son petit nez mutin, ses yeux verts, et ses lèvres pulpeuses.
Elle est très féminine et, à cette époque portait souvent des mini-jupes qui dévoilaient ses jambes bronzées.
Un soir, après le boulot, nous rentrons à notre appartement, mais il ny a plus de pain. Quà cela ne tienne, nous voici partis pour en acheter, chez le boulanger, avant quil ne ferme. Comme jai aussi besoin de cigarettes, je marrête non loin dun bistrot qui en vend, et je laisse ma compagne Sandra, qui séloigne vers une rue adjacente, pour aller acheter une baguette.
Il y a du monde pour acheter des clopes, et je perds bien un quart dheure, avant de ressortir du bar, mes cigarettes en poche. Je mattends à retrouver Sandra dans la voiture mais elle ny est pas. Pas grave, je démarre, et me rapproche de la boulangerie, en voiture, quand je la vois sur le trottoir, arriver en sens inverse. Jarrête le véhicule à sa hauteur et lui ouvre la portière. Elle sengouffre dans le véhicule, et jette le pain sur la banquette arrière. Je me tourne vers elle et lui trouve un drôle dair.
-« ça va ? »
-« ça va. » me répond elle sans me regarder.
Je redémarre pour aller chez nous, mais jai à peine parcouru quelques centaines de mêtres, quelle reprend :
-En fait, non, ça ne va pas. Je me suis faite agresser par des types. »
Je pile instantanément .
-« Quoi ? »
A ce moment je remarque que son chemisier, est assez largement ouvert, et sorti de sa jupe.
-« Trois types mont suivi, et mont tripotée. »
-« Qui ? Ils sont où ? Je vais les retrouver ! » Je crie en faisant demi-tour, prêt à en découdre.
-« Non laisse tomber » me dit Sandra.
-« Quoi, des mecs tagressent, et je devrais laisser tomber ? »
-« Ecoute, Il ny a pas mort dhomme, et puis quest-ce que tu vas faire si tu les trouves ? Tout seul contre trois ? »
-« Eh bien, je vais
Je vais
»
-« Tu vas te faire casser la figure, et je serais de nouveau en danger. Non crois moi, inutile de faire des vagues. Je men suis sortie, cest lessentiel. »
Nous nous murons chacun dans notre silence.
En arrivant à lappart, Sandra se deshabille. Quand elle ote son chemisier, dont un bouton et arraché, je constate que son soutif a disparu. Pire, elle fait tomber sa mini jupe, et je me rends compte quelle na plus de culotte. Elle file rapidement à la salle de bains pendant que je reste planté, à me demander ce qui sest passé.
Une demi-heure plus tard, je frappe à la porte de la salle de bains.
-« Entre » me dit elle.
Elle est dans son bain, recouverte de mousse.
-« Ma puce, tu veux me dire ce qui sest passé. Je ne pourrais pas dormir sans savoir. »
-« Je suppose que je te le dois, mais jai un peu peur de ta réaction. »
-« Naies pas peur, je ne vais pas te juger. Quest il arrivé exactement ? »
-« Bien, je tai quitté pour aller à la boulangerie, mais trois types qui sortaient du bar où tu étais entré ont croisé mon chemin. Ils avaient lair passablement éméchés, et en me croisant ont fait des commentaires un peu salaces, comme quoi javais lair bonne, etc.. Jai fait semblant de ne rien entendre, mais ce nétait pas, visiblement la bonne attitude. Lun deux sest retourné et ma crié que je pourrais lui répondre quand on me faisait un compliment. Jai continué mon chemin, mais ils ont fait demi-tour, et mont suivi. Comme ils marchaient plus vite que moi, ils ont eu tôt fait de me rattr. Le plus bavard des trois ma alors attrapé un bras, et ma obligé à marrêter.
-« Aloors, la bourge, on est pas assez bien pour toi ? »
-« Si, répondis-je effrayée.
-« Ah ouais, dit un autre, eh ben maintnant on te cause. On te trouve canon, et on sest dit que tu étais surement bonne ! Quest ce que ten dis ? »
-« Ah, euh, merci du compliment, cest gentil ? Maintenant je dois y aller, mon copain mattend. »
-« Ben, il va attendre un peu » dit le troisième, en posant sa main sur un de mes seins. »Il faut bien quon vérifie si on sest pas trompés. »
Le plus grand des trois ma enlacée, et ma dit « Viens avec nous dans le parc, ma chérie. »
Entrainée, par le type, et un peu poussée par les deux autres, jentrais dans le petit parc, non loin de la boulangerie. Jespérais arriver à les raisonner mais lun des trois passa rapidement derrière moi et vint menlacer, ses deux mains sur mes seins, par dessus ma chemise. Il tira sur le décolleté et fit sauter un des boutons.
« Enlève ça » dit il
A ce moment, je me suis dit que javais intérêt à protéger mes vêtements. Jai rapidement déboutonné ma chemise, et il en a écarté les pans pour semparer de mes seins et les faire jaillir de mon soutif avant de les palper sans vergogne. Pendant ce temps, le plus grand sétait planté devant moi et descendant son pantalon a fait jaillir devant moi son long sexe bandé. Jaurais du crier, me débattre, même si je savais que ça naurait servi à rien. Au lieu de ça, jai tenté de négocier :
-« Ecoutez, les gars, je vais pas faire ma sucrée. Vous êtes en position de force. Je vous branle , et je vous oublie. Daccord ? »
-« Ok, on va commencer par ça. » dit celui qui était en face de moi.
Jai attrapé sa queue et je lai branlé, en espérant quil éjacule rapidement. Je me suis dit que si jarrivais à mes fins, ils seraient satisfaits, et ne pourraient pas recommencer. Mais ça ne sest pas passé comme ça. Un des deux autres a dit
-« Et nous, on va te peloter, pendant ce temps.3
Jai senti une lame dans mon dos, et jai vraiment eu peur.
-« Tu ne crois pas que tu vas y arriver comme ça ? » demanda til « Allez amenez là par ici » dit il aux deux autres qui me poussèrent vers lui, et appuyèrent sur mon dos mobligeant à mincliner sur son sexe tendu, jusquà ce quil soit en face de mon visage. Je compris, à ce moment là que javais accepté daller trop loin et que jallais en payer les conséquences. Ils me lachèrent dun coup, et je faillis tomber. Je dus me rattr en saisissant le dossier du banc, de part et dautres du gars assis. Vaincue, je commençai à le sucer. Les deux autres, profitant de ma position, roulèrent ma jupe sur ma taille, et lun deux ne tarda pas à venir se coller à moi. Il tatonna quelques secondes et me planta sa queue dans la chatte. Je sentais sa grosse bite se frayer un chemin en moi. Il commença à me baiser à grands coups de reins, pendant que je continuai de sucer le premier, qui me plantait régulièrement son sexe au fond de la gorge, me cramponnant la tête et la tirant à lui jusquà ce que jétouffe, et hoquette avec des hauts le cur. Néanmoins, à mon corps défendant, je prenais plaisir à cette pénétration . Je sentis mon violeur grossir, puis cracher en moi, avant de se dégager.
-« Elle est bonne la salope ; quest-ce quelle mouille, suce bien ça va venir ; on va ten mettre plein ton gros cul, etc
»
Je sentis celui que je suçais se cabrer et linstant daprès il juta plusieurs jets dans ma bouche, me plaquant contre son ventre, en me disant : avale salope !
Je déglutis et malgré ma répulsion, je réussis à avaler sa semence.
Celui qui était encore en moi , mattrapa alors par les seins et redoubla de coups de boutoir, qui déclenchèrent un orgasme que jeus du mal à masquer.
« Tu aimes ça Salope ! attends un peu, on va soccuper de ton cul »
A ce moment là, un voiture, ralentit à lautre bout du parc, et les éclairs bleutés dun girophare traversèrent la nuit. Les trois types me lachèrent aussito
-« Les keufs ! tirons nous » entendis-je.
Les trois types disparurent comme par enchantement. Je me retrouvais seule, au milieu de ce parc. Dès que je pris conscience quils étaient partis, je rabattis ma jupe sur mes cuisses. Je ramassai mon chemisier que jenfilai. Jai retrouvé mon soutif sectionné, et je lai glissé dans mon sac, qui était resté par terre, mais je nai pas retrouvé ma culotte. Quelques instants plus tard, je suis ressortie du parc, et jai croisé un flic qui ma demandé si tout allait bien. Jai répondu que oui, mais, pendant quil méclairait avec sa lampe torche, il a du voir mon chemisier déchiré, ma coiffure ébouriffée, mais il a fait semblant de me croire. Je me suis éloignée rapidement vers la boulangerie, où jai acheté le pain, juste avant quils ne ferment. Je tai retrouvé en sortant. »
Sandra sarrête de parler et me regarde, les yeux pleins de larmes. Que dire.
« Le pire, cest que jy ai pris du plaisir » me dit elle.
Je lembrasse tendrement et je la laisse tranquille.
Un peu plus tard, alors que je suis devant la télé, Elle arrive entièrement nue, et se plante , face à moi, ses jambes écartées de chaque côté des miennes, me dévisageant dun air songeur.
-« Voilà, je me suis débarrassée de cette crasseuse histoire. Maintenant je veux quon fasse lamour. Que tu me fasses jouir. Je vais te sucer, tu vas me lécher. Tu vas me prendre, en missionnaire, en levrette, tu vas menculer si tu veux, et on recommencera tant quon pourra. »
Comment refuser ?
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