La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1545)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1516) -

Vanessa arrive enfin devant la porte du bureau, elle frappe et entend la voix du Marquis lui ordonner d’entrer... Elle ouvre la lourde porte, entre en conservant les yeux baissés, la referme derrière elle, puis s’avance en quadrupédie jusqu’au centre de la pièce. Là, elle se prosterne face au Maître, espérant qu’Il daigne lui accorder la parole :

- Bonjour soumise Keira MDE.
- Bonjour Maître.
- Tu as quelque chose à Me dire ?
- Si Vous me faites l’honneur de m’octroyer la parole, oui Maître.

Le Noble sourit, sa posture, son attitude, son ton, tout démontre une soumission parfaite, Il la regarde, savourant l’instant présent de la sentir Sienne.

- Hum... soumises Juliette et Justine, allez attendre derrière la porte, en position.

Les deux jeunes soumises qui étaient aux pieds du Noble, sortent dans le plus grand silence. Une fois la porte refermée, Monsieur le Marquis autorise Sa favorite à parler.

- Je t’écoute, soumise Keira MDE.
- Merci Maître. Je tiens à Vous remercier sincèrement pour Votre cadeau. Ce fût une soirée et une nuit exquises, et riches en émotion, sans compter l’autorisation de laisser mon plaisir s’exprimer. Je ne méritais pas autant, pas après avoir mis Monsieur Le Commandant en fâcheuse posture, et avoir porté atteinte à Votre parole.
- En quoi as-tu porté atteinte à Ma parole ?, interroge le Châtelain intrigué.
- Votre parole auprès de notre Colonel, Maître. Pour qu’il accepte notre couple au sein de la caserne sans ordre de mutation, Vous avez certainement dû intervenir et lui assurer que notre relation n'interfèrerait jamais dans l’activité professionnelle.
- C’est Laurent qui t’a informé que j’avais fait des démarches auprès du Colonel ?, s’étonne le Noble qui lui avait demandé de garder cette information secrète.
- Non Maître.

C’est une évidence, le Colonel n’est pas un adepte de la féminisation du service et encore moins des femmes qui montent en grade. Pour que je puisse monter en grade et obtenir le privilège de rester sous les ordres de mon compagnon, je me doute qu’il a fallu un homme d’influence, qui a le bras long, jusqu’au plus haute sphère de l’Etat, tel que Vous…

Le Châtelain sourit face à la perspicacité de la jeune femme.

- Effectivement, mais je ne lui ai pas donné Ma parole, je lui ai simplement fait comprendre qu’il avait tout intérêt à faire ces choix… Et en effet, pour avoir le bras long, comme tu dis, j’avoue bien connaitre le chef de cabinet du ministre de la Défense qui reste une vieille et appréciable connaissance !... Tu n’as donc pas porté atteinte à Ma parole... Bien, en position d’attente, je veux connaître tes ressentis pendant cette période, et soit sincère, aucun de tes mots ne te sera reproché, continue-t-Il.

La jeune femme se redresse, se place en position parfaite face au Maître qui s’est assis dans un fauteuil, puis Vanessa prend une grande inspiration avant de répondre :

- Maître, je ne sais pas si le plus difficile était de ne pas pouvoir vivre mon amour, ou de ne pas pouvoir être à Vos pieds. Voir mon compagnon sans avoir le droit de le regarder, le toucher, lui adresser la parole, ce fut particulièrement frustrant, mais cette frustration était une réponse parfaite pour la frustration que je Vous ai causée en ne pouvant disposer de moi à Votre guise. De plus, être entre les murs de Votre Demeure sans avoir l’honneur d’être à Vos pieds, était difficile, mais je me suis accrochée à l’attention que Vous me portiez.
- Tu as ressenti une quelconque attention de Ma part alors que je ne t’ai adressé aucun message ?, s’étonne le Châtelain.
- Oui Maître, Vous avez pris la peine de choisir une sanction, aussi difficile fût-elle, c’était moins douloureux que si Vous m’aviez simplement ignorée pendant cette période.
Ensuite, Vous m’avez confié à Votre bras droit le plus fidèle, Vous auriez pu choisir un simple serviteur. Enfin, Vous avez donné des ordres pour surveiller que la situation auprès du Capitaine restait supportable en toutes circonstances, répond-t-elle d’un ton empli de gratitude.
- Je suis heureux de voir à quel point tu as conscience de ce que je t’accorde. Cette période fut donc supportable, conclut-Il.
- Oui Maître, et nécessaire pour obtenir Votre pardon, je Vous remercie de me l’avoir imposée.

Le Noble la regarde un long moment en silence, les lignes de ses courbes, sa détermination, sa profonde soumission, sa force de caractère, Il ne regrette pas de l’avoir accepté dans Son Cheptel, ni de lui avoir octroyé la place de Favorite qu’elle mérite amplement. Il claque des doigts en ouvrant la boucle de sa ceinture, et sans avoir besoin de plus de précisions, elle s’approche, s’agenouille entre ses jambes et ouvre la bouche pour accueillir le sexe déjà dressé du Châtelain. Vanessa s’applique, offrant avec reconnaissance le meilleur d’elle-même au Maître qu’elle reconnaît comme tel. La fellation est délicieuse, voire parfaite, si bien qu’au bout d’un long moment à savourer cette bouche humide et chaude, ces lèvres pulpeuses, cette langue agile, ces va-et-vient pompant la hampe dressée, Il ne tarde pas à venir, remplissant la bouche de la jeune femme d’une quantité importante de sperme chaud giclant par saccades. Vanessa avale sur ordre, puis après qu’elle eut nettoyé la Verge semi-molle, le Maître ferme Son pantalon, et Il l’informe de ce qu’Il attend d’elle.

- Bien, j’ai prévu une après-midi particulière, Maître Roger qui est sorti de son hospitalisation et donc qui va beaucoup mieux, va venir récupérer Ses deux soumises, Juliette et Justine qu’il m’avait confiées. Mais elles ne le savent pas, je tiens à ce que ce soit une belle surprise pour elles. Tu es chargée de les préparer comme il se doit, Je les veux apprêtées comme n’importe laquelle de Mes soumises MDE.
Inutile de préciser que si tu laisses passer un seul défaut, tu en subiras les conséquences.
- Oui Maître.
- Tu vas les conduire dans le bureau de Walter, il te donnera les autres directives. Nous nous retrouverons au déjeuner dans la salle de réception. Evidemment, j’attends de toi la perfection devant mon invité et ami, Roger. Aller, file, j’ai à faire.

Vanessa incline la tête avec le plus grand respect, puis quitte la pièce, rejoignant les deux jeunes femmes, Juliette et Justine, derrière la porte. Elle se place debout et leur ordonne de la suivre. Arrivée devant le bureau du Majordome, elle frappe et attend l’ordre d’entrer. La porte s’ouvre, laissant apparaître Walter, elle s’apprête à s’agenouiller mais il la stoppe d’un geste.

- soumise Keira MDE, as-tu passé une bonne nuit ?
- Elle fût exquise Monsieur, merci de Vous en soucier.
- Bien, laisses ces deux chiennes ici et suis-moi.

Walter la fait entrer dans son bureau, puis referme la porte, lui désignant le centre de la pièce, qu’elle s’empresse de rejoindre pour s’y agenouiller.

- Je suis heureux pour toi de te voir de nouveau entre les murs du Château, lui dit-il d'un ton sincère.
- Merci infiniment Monsieur, et merci de votre bienveillance durant cette période.
- Tu as su t’en montrer digne… Bien, écoute attentivement, tu vas utiliser la salle de bain dans l’aile des esclaves, tu te prépares comme il se doit et tu prépares soumises Juliette et Justine par la même occasion. Tu as deux heures, c’est amplement suffisant.
- Bien Monsieur.
- Tu trouveras une tenue pour toi, Monsieur le Marquis veut avoir Vanessa à Sa table, ce midi. Lorsque vous serez prêtes, tu les mèneras dans la salle de réception en laisse, termine-t-Il en lui tendant deux fines chaînes d’argent reliées à une dragonne en cuir noir.
- Bien Monsieur.
- Parfait, je n’aurais pas le temps de vérifier, je compte sur toi pour faire un travail irréprochable, sinon je me chargerais personnellement de la sanction.

- Oui, Monsieur Walter, merci de Votre confiance.
- Dernière chose, fais monter leur excitation, qu’elles soient au bord de la jouissance, de la manière que tu le souhaites, mais ne les pousse pas à la faute, aucune jouissance.
- Entendu, Monsieur, vous pouvez compter sur moi.

soumise Keira MDE sort du bureau du Majordome, et arpente les couloirs du Château, toujours suivie des deux jeunes soumises Juliette et Justine, propriétés de Maître Roger. Arrivée dans l’aile des esclaves, elle les mène jusqu’à une vaste salle de bain qui a la particularité d’être spécifiquement équipée pour préparer les esclaves. Vanessa laisse les deux jeunes femmes au centre de la pièce et se dirige vers une grande armoire pour récupérer du matériel, avant de revenir vers elles.

- Ici les règles sont un peu différentes, nous sommes seules, il vous est donc autorisées de lever les yeux et de vous exprimer librement. Normalement personne ne devrait venir, mais si un Dominant venait à entrer, c’est silence complet et tête baissée. Je suis chargée de vous préparer pour l’après-midi, vous avez l’habitude de ce genre de préparation, donc je pense que cela ne devrait pas être un problème pour vous.

Les deux soumises lèvent les yeux pour découvrir une Vanessa souriante, le matériel de lavement à la main. Elle leur fait signe pour se diriger vers un coin de la pièce entièrement carrelé, muni d’une toilette à la turque. Elles s’exécutent, puis sans un mot présentent leurs postérieurs à Vanessa. La jeune femme commence sans attendre, prenant le temps de faire un lavement en profondeur aux deux soumises, afin qu’elles soient parfaitement propres, selon la volonté du Noble. Puis elle les redresse, retire leurs colliers, leur sourit encore et leur désigne un autre espace équipé d’un tuyau.

- Vous appartenez à Maître Roger depuis longtemps ?, questionne Vanessa en les aspergeant du jet d’eau froide avant de leur tendre un savon.
- Depuis 12 ans pour moi et 10 ans pour Juliette, répond Justine, savourant la gentillesse de Vanessa.
- Si longtemps sans jamais être séparées de Lui, Il ne vous manque pas trop ?
- Si, mais Il s’est assuré que nous soyons sous la protection de Monsieur Le Marquis, c’est un grand privilège, répond Justine, nous en sommes très conscientes.
- Et Monsieur Le Marquis nous garde personnellement à Ses pieds, en dehors de Monsieur Walter et de toi aujourd’hui, Il ne nous a confié à personne d’autre, ajoute Juliette.
- Monsieur Le Marquis a promis à Maître Roger de prendre personnellement soin de vous, c’est un homme de Parole, répond Vanessa en les aspergeant de nouveau du jet d’eau froide, après qu’elles se soient savonnées.
- Oui, nous avons pu le constater, et qui fait preuve de bienveillance à notre égard, nous ne méritons pas autant, répond Juliette d’un air triste.
- Pourquoi dis-tu cela ?, interroge Vanessa d’une voix douce.
- Parce que si je n’avais pas énervé le Maître, Il n’aurait pas fait ce malaise, il n’aurait pas été hospitalisé, répond-t-elle, retenant un sanglot.
- Ne te s pas l’esprit ainsi, les malaises cardiaques ne préviennent pas, tu n’es pas responsable, et il l’aurait eu ce malaise tôt ou tard et dans d’autres circonstances. Le principal est qu’Il soit tiré d’affaire, tu pourras bientôt lui demander pardon, répond Vanessa d’un ton bienveillant en leur tendant des serviettes.

soumise Keira MDE les laisse se sécher puis leur fait signe de venir s’allonger sur des tables de massage. Là, elle inspecte chaque partie du corps des jeunes femmes, armée d’une pince à épiler, retire le moindre poil qu’elle trouve, passe sa main avec douceur sur leur peau, n'omettant aucune parcelle, pour s’assurer de ne pas en laisser passer un seul. Elle s’occupe ensuite de leur coiffure et leur maquillage, puis leur ordonne d’aller se placer sur une table d’examen, les pieds dans des étriers, les jambes largement écartées.

- Je vais me préparer, profitez-en pour récupérer un peu avant ce qui vous attend cet après-midi, sourit la jeune femme d’un ton énigmatique.

Vanessa se douche rapidement à l’eau froide, se coiffe, se maquille et revient nue, voir les deux jeunes femmes. Elle s’approche de Justine, s’agenouille face à la table, sa tête devant son sexe offert et entreprenant de la lécher, avec un savoir-faire proche de la perfection, faisant rapidement monter le plaisir de la soumise. Après quelques minutes, elle stoppe, observe la jeune femme qui l’implore du regard de stopper, trop proche de l’orgasme, elle craint de ne pas tenir, mais Vanessa se contente de lui sourire et de continuer jusqu’à faire monter son plaisir encore d’un cran avant de stopper. Justine reste haletante, son corps tremblant d’un orgasme si proche et pourtant interdit, alors que Vanessa la délaisse pour passer à Juliette. De la même manière, elle fait monter le plaisir d’excitation de la jeune femme, prenant son temps, observant ses réactions pour le mener au plus proche de l’orgasme sans la faire fauter. Une fois qu’elle y est parvenue, elle se redresse, laissant les jeunes femmes récupérer, puis se dirige vers la tenue que le Noble a choisie pour elle. Elle découvre sans surprise une robe d’une grande élégance, dont la coupe lui va parfaitement, mettant en valeur ses formes, assortie à une paire d’escarpins relativement hauts. Elle s’habille, vérifie dans un miroir que tout est en ordre, sort la chaîne d’argent et ordonne aux deux jeunes femmes de la rejoindre. Vanessa fixe la chaîne à leurs colliers et les précède à travers les couloirs du Château…

(A suivre …)

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