Josiane (7)

- Alain ! Cria ma mère. Un appel pour toi.
- Qui sait ? Fis-je en sortant de ma chambre.
- Je ne sais pas, mais ce que je sais c’est, c’est qu’il s’agit d’une femme.
Ma première pensée fut pour Josiane. Ma partenaire de cul du moment. Mais comment avait-elle fait pour que ma mère ne la reconnaisse pas ?
- Oui ! Disais-je en me saisissant du combiné que ma mère me tendait.
- C’est toi Alain ? Fit une voix que je ne reconnaissais pas dans l‘instant.
- Qui est à l’appareil ? Fis-je.
- Tu ne me reconnais pas ?
- Non !
- Et bien là tu me déçois ! Je te donne mon cul pour que tu y trompe ta nouille pour la première fois et voilà comment tu me remercie. Ingrat !
- Oh ! Excusez-moi. Je ne vous avez pas reconnu. Je suis
Désolé !
- Tu mérites vraiment une correction pour ton irrespect.
- Mais il en est rien madame, je ne vous ai pas oublié madame, tout au contraire.
- Ah oui ! Tu vas me faire croire que tu te branles en ressassant l’instant.
- Vous ne croyez pas si bien dire. Exactement !
- Tu me fais marcher là !
- Pas le moins du monde, croyez-moi madame.
- Eh alors pourquoi ne pas m’en avoir fait part. Tu sais pourtant où j’habite.
- Je n’ai pas osé.
- Mais il le fallait. Sache que pour ma part je ne t’ai pas oublié non plus. Depuis notre liaison mon imagination ne cesse de faire ressurgir des flashs de ta queue explorant mon intimité et m‘éclaboussant de sa jouissance. Tiens pour te dire ! Ce soir, à peine ai-je franchis la porte de mon appartement que je me suis précipité jusqu’à ma chambre. Une fois m’être assurée que j’étais seule, j’ai ouvert le tiroir où je garde bien cachée mon vibromasseur. Et tout en me remémorant certaines scènes érotiques, j’ai poussé le vibromasseur profondément à l’intérieur de ma chatte frémissante. J’ai pris un pied pas possible.
- J’admets que je suis dans le même point que vous.


- Tu vois ! Nous sommes faits pour nous entendre. Cela te dirait de venir me rendre une petite visite chez moi ?
- Oui ! Pourquoi pas.
- Demain soir, cela t’irais ?
- Oui demain, oui ! Pourquoi pas !
- Cela t’ennui que mon mari assiste ?
J’étais resté sans voix par cette annonce que je dirai choquante.
- Alain, Alain ! Allo ! Tu ais toujours avec moi ?
- Oui… oui… je vous écoute.
- M’as-tu entendu à propos de mon mari ?
- Oui j’ai bien entendu.
- Et alors qu’est-ce que tu en dis ?
- Je ne sais quoi en penser.
- N’ai aucune crainte il ne fera que regarder.
- Oui peut-être… mais...
- Enfin je ne te force pas.
- Je le sais… mais…
- Comme en dit la nuit porte conseil. Je t’attends pour 19H00 si tu ne viens pas je comprendrais. Bisous…
Alors que je m’apprêtais à poser le récepteur sur son socle je l’entendis me rappeler.
- Alain… Alain ?
- Oui je suis toujours là.
- Sache que je serais très déçu que tu ne sois pas au-rendez-vous.
À peine raccroché que déjà je me posais des tas de questions. Et cela dura tout le long du dîner. Restant par leurs fautes, absent aux discussions familiales. Et cela c’est poursuivi même jusqu’à devant l‘écran de télévision. Me ressassais sans cesse, avec le plus grand trouble ce qu‘elle m‘avait dit au téléphone. Me demandant si je devrais m’engager ou pas avec elle, dans un jeu que je devinais dangereux. Où je perdrais totalement le contrôle de ma conduite. Comme je n’oubliais pas aussi non plus, qu’elle m’avait donné un plaisir incroyable de m’avoir fait découvrir son sexe de manière très personnelle.
Plus tard, au fond de mon lit, une fois dans le noir, j’ai pu me remémoré sa chatte comme si je l’avais eu en gros plan devant mes yeux. M’empêchant même de trouver le sommeil. Excédé, je n’ai pas pu me résigner de glisser ma main dans mon slip. De me saisir de ma queue dure comme du bois et douloureuse à force d’être congestionnée, et de me branler.
J’étais si excité qu’il ne m’avait pas fallu longtemps pour jouir. Ce fut seulement après cela, que j’ai pu enfin trouver le sommeil.
Le lendemain à mesure que l’heure du rendez-vous approchait, et malgré la requête excentrique de Mercédès, je me sentais comme pris d’une impatience fébrile. Il m’a fallu que je prenne sur moi pour résister à la tentation de me rendre chez elle et cela avant l’heure convenue.
Ce fut tout de même avec un petit pincement au creux du ventre que je grimpais l’escalier qui me rapprocher marche après marche de la porte de son appartement. Une fois devant cette dernière et sans me poser la moindre question je toquais sur le bois verni. Qui s’ouvrit brutalement sur la maîtresse des lieux. Elle portait un déshabillé, dont la transparence laissée apercevoir des bas et un porte jarretière. Plus est, elle s’était maquillée avec soin. Son fond de teint était discret, ses cils peints en noir et ses lèvres en rouge vif. Un parfum agréable flottait autour d’elle. À ma vue elle m’avait paru comme soulagée.
- Ah ! Je suis heureuse que tu t’ai décidé de venir. Rentre, je t’en prie.
L’appartement sentait le fric. Un mélange de meubles anciens et de High-tech. J’étais tout pataud. Au point qu’elle dû me prendre par le bras pour me guider jusqu‘à la chambre où se trouver déjà son époux.
- Mon amour ? Lança Mercédès. Il est là.
Ce dernier se contenta d’un signe de tête. La pièce était bien éclairée. Je maîtrisais tant bien que mal un tremblement nerveux qui me secouait des cheveux aux orteils. Par la fenêtre grande ouverte, voilé d’un rideau épais, un peu d’air frais pénétrait. Cela ne m’empêchait pas d’avoir la gorge sèche et le corps moite de sueur.
- Bon mon amour ! S’impatienta Mercédès, on peut
Commencer ?
Confortablement installé dans un large fauteuil situé sur la droite du lit, l’époux lui donna son accord d’un signe de tête. Heureux de pouvoir assister à un spectacle dont j’en étais un peu près sûr qu’il était l’inquisiteur.
Sur l’instant je dois avouer que je ne me sentais de moins en moins à mon aise. Heureusement pour moi, Mercédès savait parfaitement ce qui convenait de faire pour satisfaire l’appétit vicieux de son mari. Sans un regard pour moi elle s’allongea sur le lit. Bras et jambes écartés, elle s’étira. Son mont de Vénus me parvint plus proéminent que lors de notre première rencontre. Les yeux au plafond, elle commença à se caresser les seins à travers le voilage transparent de son déshabillé. J’entendais sa respiration s’accélérer. D’une main elle continua à se caresser, alors qu’elle glissait l’autre entre ses cuisses. Du bout des doigts je la vis se masser les lèvres de sa chatte. Il me fallu faire un effort surhumain pour ne pas me jeter sur elle. Sur le lit, Mercédès replia ses jambes contre sa poitrine, m’exhibant son anatomie. Les nymphes de sa vulve formaient un ovale rouge vif débordant de mouille. Puis elle allongea de nouveau ses jambes sur le drap, les écartant autant qu‘elle le pouvait. Puis elle glissa son majeur entre ses grosses lèvres béantes. Au bout de quelques caresses, elle enfila deux doigts dans son vagin, et se branla.
Ma queue se sentait de plus en plus à l’étroit au fond de mon slip. Toujours sur le lit, Mercédès cessa la branlette pour laisser place à une caresse circulaire du bout des doigts. Elle haletait et poussait de petits grognements de plaisir, décollant de tant à autre les reins du lit. Sans doute lasse, elle ne tarda pas de changer de position. Pour cette fois se placer à quatre pattes sur le lit. Jambes éloignés l‘une de l‘autre, reins creusés.
- Qu’est-ce que tu attends ! Me fit alors le mari, en s‘adressant à moi.
- Je… je… fais quoi…
- À ton avis !
- Je ne sais pas si je dois…
- Bien sûr que tu peux. Tu le dois même. Tu es ici pour faire jouir ma femme. Si ce que j’ai entendu est vrai il paraît que tu ais du genre à bien te débrouiller pour donner du plaisir au sexe faible.
Pour ce faire je pris alors place derrière elle et lui palpais pour commencer les deux orifices.
Son trou du cul, sur lequel je me penchais, dégageait une odeur douceâtre qui m’excitait. Je posais ma bouche de son sexe et j’aspirai les huiles chaudes qui suintaient de la chatte aux lèvres roses. C’était savoureux, acidulé, un régal que j’avais déjà goûté lors de notre première rencontre. J’en profitais au maximum. Mon rythme cardiaque augmenta considérablement. J’enfonçais ma langue aussi loin que possible dans la chatte glissante. Sa respiration devenait comme torturée, et son souffle irrégulier. L’intérieur du conduit était pour sa part que velours. Puis mon intérêt se porta sur son anus. Que je m’empressais de lécher. Mercédès couina de plaisir sous les yeux témoins du mari. Dans son regard, j’y lu beaucoup d’excitation.
- C’est bien vrai qu’il fait ça bien ! S’est élevé la voix neutre de son mari.
J’ai durcis ma langue pour mieux la lui introduire dans le cul. Cherchant à lui donner un peu plus de plaisir. Quand je décidais de la lui retirer ce fut pour y pousser à sa place mon doigt. Que je fis coulisser dans son rectum. J’enfonçais deux doigts de mon autre main dans la moule baveuse. À l’aide de mon pouce je fis rouler son clito, pour le plus grand plaisir de Mercédès. Qui haletante fut submergée très vite par un orgasme. Qui fit palpiter son anus sur mon doigt. Fier de moi j’ai voulu prolonger mes caresses, mais ce n’était pas de l’avis du mari.
- Arrête de lui laver le cul et baise-là maintenant ! Fit-il de son fauteuil.
Pour réaliser le souhait de l’époux je me suis dévêtu. Ceci fait je me suis agenouillé entre les fesses de Mercédès. Faisant face à Monsieur.
- Ah oui ! Fit-elle, en se penchant en avant. Me tendant sa croupe. Mon regard croisa celui du Monsieur. Dans le sien, j’y crus lire une certaine perversion. Mais il ne bougea pas. Observant le spectacle qu’il lui était servi comme s’il était attaché à son fauteuil.
Je n’eus pas trop à tâtonner pour guider mon pénis dans le sexe humide, qu’elle maintenait grand ouvert par sa position. J’ai tout de suite senti les parois tièdes engloutirent ma verge d’un trait. Elle poussa un grognement quand mon ventre vint cogner contre ses fesses.
- C’est bon ! Fit-elle. Tu es bien dur, je la sens tout au fond ! Allez mon mignon branle ta queue dans la chatte de maman devant papa.
Excité par sa grossièreté mais aussi par la souplesse de son vagin, j’empoignais les fesses et me mis à la besogner à grands coups de reins. Ses gémissements furent couverts par le bruit mat de ses fesses contre lesquelles je venais me cogner à chaque va-et-vient, et cela jusqu’à qu’un orgasme lui arrache un long hurlement. Un flot de mouille vint enduire mon pénis alors que son vagin se mit à clapoter à chacun de mes coups de reins. Je ne tardai pas à jouir à mon tour.
- Tu l’as bien tiré ma femme ! Fit son mari. T’es vraiment une machine à baiser !
Il me gratifia d’un clin d’œil polisson, avant que sa femme
Ajoute :
- Tu ne peux pas savoir mon amour comment c‘était bon. Ce serait dommage de se priver.
- Je suis sûr que tu en veux encore ? Fit le mari.
- Je ne dis pas non. Répliqua Mercédès. Qu’est-ce que tu en penses Alain ? Tu vas pouvoir remettre le couvert ?
Pas le temps de répondre à la question qu’il m’était posé que déjà son mari prenait la parole :
- Je ne serais pas contre de voir autre chose.
- Tu veux qu’il me fasse quoi mon amour ? A lançait Mercédès.
- J’aimerais que tu le suces.
- Que je le suce ! Quelle bonne idée ! Si cela est ton souhait, alors pourquoi pas ! Ajouta-t-elle avant de s’agenouillant devant moi.
Elle émit un grognement de contentement en me prenant en bouche. La sulfureuse Mercédès se mit à me faire une superbe fellation. Je me tortillai de plaisir en lui caressant les cheveux avec tendresse. Sa langue qui tournait autour de mon gland m’électrisait. Alors que ses lèvres qui glissaient bien serrées sur ma tige attisaient un feu d’enfer dans mon bas-ventre. Une vrai gourmande cette Mercédès ! Pensais-je pour moi-même. Parfois, elle donnait de petits coups de dents sur ma verge, avant de l’engloutir presque entièrement dans sa bouche. Cette fellation appliquée me rendit la verge d’une vigueur plus approprié. Quand elle jugea que j’étais présentable, elle me recracha pour m’enjamber résolument. Elle me prit de nouveau ma verge pour la guider cette fois à l‘entrée de sa caverne humide. Elle avait lentement fait descendre son bassin enveloppant ma verge d’une gaine chaude et moelleuse. J’avais eu aussitôt la sensation que mon sexe était comme aspiré au plus profond de son corps. Et mon plaisir s’est avivé lorsqu’elle ondula des hanches. Allant et venant de haut en bas.
- Putain mon amour ! Le jeunot à une santé d’enfer ! A-t-elle commenté avec légèreté.
Je reconnais que la coquine avait un solide coup de reins. Et, même si je flottais un peu en elle, ses mouvements, amples et fiévreux, étaient particulièrement efficaces. Son vagin gorgé de nectar clapotait et, de temps à autre, elle émettait même une sorte de grognement humide. Ma queue et mon pubis reçurent une quantité impressionnante d’une cyprine chaude et épaisse. À n’en pas douter Mercédès avait un gros besoin à combler, au point d’accélérer encore la cadence. Elle se déchaîna, comme une furie. Faisant balancer ses nichons devant mes yeux exorbités. Un torrent de jus chaud a encore giclé sur mes cuisses. Elle venait de jouir en criant comme une bête. Essoufflée, Mercédès délaissa sa monture pour se tourner vers son mari.
- Tu es content maintenant ? Fit-elle en s’adressant à son mari. Tu as eu ce que tu voulais ?
- Pas tout à fait !
Sans autre précision, le mari a délaissé sa confortable place pour s’approcher de la table de nuit et d’ouvrir le tiroir. Il en a sorti un pot.
- Je vois… Répliqua la femme.
Il s’approcha de sa femme. Il retira le couvercle et sans se presser tendit le pot à son épouse. Cette dernière plongea ses doigts dedans. Quand ils réapparurent à mes yeux ils étaient porteurs d’une bonne quantité de gel transparent. Qu’elle s’empressa à enduire du côté de son anus tout en roucoulant d’aise.
Avec tout ça, je bandais toujours. Elle prit alors une position explicite avant de se saisir ma queue pour la guider là où elle le désirait. Sitôt la queue relâchée elle s’empressa d’écarter ses fesses à l‘aide de ses deux mains. Je poussais et le sphincter céda presque sans effort, avalant le gland dans sa bague rosée. Plus je m’enfonçais plus le visage du mari rayonnait.
- Il me la mit dans le cul… tu vois ça mon amour ? Il m’encule comme tu le désirais.
Je pesais davantage sur ses reins, contemplant l’orifice écarquillé qui mollissait sous la poussée.
- Ah oui ! Oui, je la sens bien !
Mon membre disparut entièrement dans son fondement. J’attendis un instant avant de violer son cul.
- J’n’ai jamais eu quelque chose de si bon dans le cul ! A-t-elle affirmé en faisant danser ses hanches.
En mon for intérieur, je me suis demandé ce que pouvait ressentir son mari en entendant de tels propos sortir de la bouche de sa bien aimée. Une chose que j’avais eue à l’époque un peu de mal à comprendre.
La coquine accéléra d’un coup le balancement de son popotin, exploitant pleinement toute ma verge pour se donner du plaisir. À plusieurs reprises, elle se retira entièrement pour donner à son époux la possibilité d’admirer son trou dilaté. Puis quand elle décida qu’il en avait assez vu elle vint de nouveau s’empaler sur moi.
- Ton trou est magnifique, chérie, fit-il d’une voix sourde.
J’ai finis par craindre qu’elle ne se lasse jamais de faire joujou avec ma queue qui devenait de plus en plus douloureuse. Heureusement pour moi quelques sensations familières parcoururent mes testicules. Que je connaissais étant le déclencheur d’un proche plaisir. Mais c’était bien le dernier des soucis pour Mercédès, qui projetait continuellement sa croupe contre ma verge. Bien malgré moi je poussais un grognement en jouissant. Elle tressaillit en sentant ma jouissance gicler dans son cul. Anéanti, je me laissais retomber sur elle. Mon poids la força à s‘écrouler sur son lit. J’en profitais pour finir mon travail d‘enculade, à grands coups de reins.
Quand je suis sorti de l‘appartement j’étais complètement lessivé. J’avais les couilles douloureuses, comme s‘ils avaient passé un moment dans une essoreuse. Je me sentais aussi, mort de honte d’avoir pour la première fois fais l’amour à une femme devant son époux.

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