Caro, Femme De Militaire - Djibouti
Caro et Mathieu sont mariés depuis deux ans. Il est militaire et pas toujours présent. Durant leurs premières vacances au Sénégal, elle a fauté sans le vouloir. Ils avaient choisi un club où tout était compris. Leur cottage était une maisonnette sur pilotis qui donné sur la plage. Après une soirée au club, bien arrosée, ils étaient rentrés se tenant par les bras. Pas mal éméchés, ils sétaient couchés sans faire lamour. Mathieu sétait directement endormi et ronflait. Caro narrivant pas à sendormir, alla fumer une cigarette sur la terrasse. Un peu plus loin sur la plage, elle remarqua un feu. Elle se dit que cétait des vacanciers et décida de les rejoindre. Elle enfila sa robe de plage éponge, ses sandales et la voilà marchant vers le feu sur la plage. Sa démarche nétait toujours pas assurée. Arrivée près du feu, il ny avait pas de vacanciers mais deux sénégalais, lun jouant de la guitare, lautre chantant. Ils fumaient du narguilé et buvaient du rhum. Elle sassit sur le sable et les écouta en frappant des mains. Elle ne put refuser de boire au goulot une gorgée de rhum. Le chanteur linvita à danser et elle se leva assez difficilement. Comme elle ne tenait pas bien sur ses jambes, il la sera contre lui. Profitant de létat fébrile de Caro, il lui caressa le dos avant de descendre sur ses fesses. Elle se sentait chatte et ria béatement lorsquil lembrassa dans le cou. Il senhardit en dézippant sa robe jusquà la taille et lui saisit un sein. Emoustillé par ce geste, elle laissa la main noire saisir le sein et titiller le téton qui pointait déjà. Elle ne saperçu pas que la musique avait cessé. Lautre homme, derrière elle, la saisit par la taille. Il dézippa totalement sa robe et lui retira. Elle avait quatre mains noires qui caressaient son corps. Elle ne seffaroucha pas lorsquils la couchèrent sur leur plaide. Un des hommes se coucha sur elle et lembrassa. Elle ne refusa pas le baiser, lui caressant même les cheveux. Le deuxième compère, glissa ses mains sous son copain pour retirer la culotte de Caro.
Mathieu accepta une mission de trois ans à Djibouti dans le corps darmée des renseignements. Cette mission lui permit dobtenir le grade de capitaine. Comme Caro ne travaillait pas, elle put le suivre. Ils étaient logés dans une maison et bénéficiaient dun boy et dune servante. Toutes les femmes de militaire se côtoyaient et se retrouvaient souvent autour dun thé racontant leur histoire, voire leurs aventures. Mathieu et sa troupe partaient régulièrement sur le terrain pour des missions de trois jours et quelques fois une semaine.
Cest lors dune de ces missions que Caro se retrouva seule pour son anniversaire. Les femmes étaient toutes au bal des officiers mais Caro ne se sentait pas dy aller sans son homme. Deux soldats frappèrent à sa porte avec deux bouteilles de champagne et un gâteau.
- Bonjour madame la capitaine et bon anniversaire dirent en duo les deux militaires.
- Bonjour messieurs. Merci. Mais installez-vous sur le canapé. Mamadou, verse nous trois coupes et apporte un couteau. Je vous remercie de me tenir compagnie.
- Cest naturel madame la capitaine.
- Plus de madame la capitaine sil vous plait. Appelez-moi Caro.
- On vous savez seule et nous ne voulions pas que vous passiez un triste anniversaire.
- je nai même pas reçu un message de mon mari.
- Vous savez en mission, il est interdit denvoyer un message ou de téléphoner sous peine dêtre localisé.
Ils burent les deux bouteilles de champagne et, une nouvelle fois, Caro était grisée entouré de deux hommes. Dans sa robe légère, elle croisait et décroisait ses jambes remontant légèrement sa robe sur ses cuisses. Un militaire posa sa main sur le genou de Caro. Sa seule réaction fut dallumer machinalement une cigarette. Lorsquelle lécrasa, la main caressait sa cuisse, retroussant sa robe. Elle tourna la tête vers lautre militaire et lembrassa. La situation évoluée favorablement pour les deux militaires. Un des militaires sadressa au boy.
- Retourne à la cuisine Mamadou.
Ils savaient que les femmes de militaire étaient lasses dêtre délaissée et savaient en profiter. Les événements avaient progressé et Caro avait le haut de la robe défaite affichant deux jolis seins tandis quelle caressait au travers des pantalons les sexes des soldats. Lun deux lattrapa sous les jambes et la tête et la transporta jusquau lit. Après sêtre déshabillés, ils soccupèrent de défaire la robe et la culotte de Caro. Elle était nue, offerte aux deux militaires. Lorsque le premier sallongea sur elle, elle lui demanda de la baiser. Elle avait conscience de ce quelle faisait.
- Oui, cest bon. Continue baise moi bien. Oh, cest bon, vas-y, laisse-toi aller.
Elle eut un orgasme lorsquelle le sentit jouir en elle.
- Viens dit-elle au second militaire.
Lorsquils échangèrent leur place, Caro vit que Mamadou les regardait à la porte en sastiquant un sexe de bon volume.
- Oh putain, elle est bonne aussi, tu me fais du bien.
Un deuxième orgasme la terrassa. Vidés, ils restèrent allongés quelques instants sur le lit.
- Dites, cest mon anniversaire et cest moi qui vous ai fait un cadeau.
- Désolé Caro, nous navions rien dautre.
Ils se mirent à rire tous les trois.
- Vous mavez offert deux orgasmes et cest un beau cadeau. Merci jeune gens.
Caro resta au lit et les congédia. Elle dormit comme un loir.
- Tu seras gentille de changer les draps, Amina.
En allant à la salle de bain, elle croisa Mamadou.
- Je tai vu mater, hier. Tu garderas ça pour toi.
- Bien sûr mdame.
Mathieu revint lessivé. Après un bon bain, il alla se coucher. Caro avait envie de lui et sest lové dans ses bras. Elle caressa le sexe de son mari qui ne tarda pas à prendre forme. Elle le suça avec délice. Il appréciait la fellation de sa femme. Bien en forme, il la pénétra. Elle gémissait de plus en plus fort de telle sorte que les employés de maison ne pouvaient ignorer ce quil se passait. Mathieu la retourna et la pris en levrette. Elle reparti de plus belle, adorant cette position.
- Jai envie de te prendre les fesses.
Il était toujours délicat pour évoquer ses désirs au contraire de Caro.
- Oui, vas-y encules moi mais fait doucement au début.
Elle écarta les fesses et Mathieu sy introduit sans difficulté. Il alla doucement au début dans de longs mouvements doux. Puis sur la demande de Caro, il accéléra ses mouvements et senfonça au plus profond de ses reins pour se libérer. Caro eut également un orgasme. Elle le laissa dormir et alla à la salle de bain prendre une douche. Par lentrebâillement de la porte de la cuisine, elle vit Amina à genou suçant Mamadou. Amina était pourtant mariée mais les ébats de leurs maîtres avaient dû les exciter suffisamment pour passer à laction. Elle regarda quelques instants avant de les laisser à leurs affaires et ferma la porte de la cuisine. Les jours suivants se passèrent comme dhabitude, Mathieu au travail et Caro en visite chez lune ou lautre des femmes dexpatriés.
Un matin, Caro se réveilla avec une envie de sexe. Elle rejeta le drap et les jambes écartées, se faisait du bien. Une fois de plus, Mamadou la matait. Il ne manquait pas une occasion de regarder sa maîtresse.
- Viens me lécher Mamadou.
Il sapprocha du lit et la tête entre les jambes de Caro, il titilla son clitoris avant de faire pénétrer sa langue dans son vagin.
- Utilise tes doigts, fais-moi jouir.
Mamadou enfonça un puis deux doigts avant de se redresser et la masturbait énergiquement Caro. Elle se mit à jouir dans un orgasme dévastateur. Il sortit son sexe dressé.
- Non Mamadou, ça suffit. Va-ten.
Prise de remords, alors quil lavait fait jouir, elle le rappela.
- Mamadou, revient, je vais te rendre lappareil. Viens au bord du lit à côté de moi.
Elle commença par lécher sa verge de bas en haut, pénétrant de sa langue le prépuce. Puis le prit en bouche et le suça en saidant également de sa langue. Elle avait un vrai savoir-faire dont son mari se délectait. Elle tenta de le prendre entièrement mais le sexe de Mamadou était trop long. Elle le laissa libérer ses seins et les caressait. Lorsquelle sentit quil allait jouir, elle le tenu par les fesses. Il se vida dans sa bouche et elle avala la semence. Pour Caro la fellation était un préambule à lacte sexuel ou alors une fellation quelle nenvisageait pas sans faire jouir son partenaire dans sa bouche. Elle aimait avaler la semence et le goût ne lécurait pas.
Un après-midi comme un autre, elle prenait le thé chez une amie avec les autres femmes de militaires. De confidences en confidences, elle raconta son aventure avec Mamadou. Elle apprit quil avait été le boy dune de ces amies et quelle avait dû sen séparer.
- Mon mari pensait que javais des relations avec lui.
- Et ce nétait pas vrai ?
- Cétait vrai mais je lai toujours nié et maintenant nous avons Monbléhou, que jappelle Hou. Mon mari est rassuré car cest un noir de 60 ans. Malgré son âge, je peux vous dire quil sait se servir de ce quil a entre les jambes. Oui, je suis accro au sexe des noirs. Mais il na pas le savoir-faire de Mamadou et je le regrette souvent.
- Dis-nous en plus.
- Comme avec toi, Mamadou aimait nous épier quand nous faisions lamour et je lavais remarqué mais quand jai vu son sexe bandé quil caressait, jai eu un orgasme foudroyant. Je ne pensais quà lui, il me le fallait. Un matin, ma servante malade, nous étions que tous les deux dans la maison. Lorsquil mapporta mon petit déjeuner, jai retiré le drap pour me montrer nue. Il a tout de suite compris et jai eu le droit au cunni de ma vie. Ensuite, il ma baisé avec une rage qui ma fait grimper au rideau deux fois. Dès que jen avait envi, il été toujours prêt à me prendre. Mamadou aime les blanches car il les trouve plus salopes. Bon, j'en ai dit assez.
Caro avait été troublé par ces révélations et voyait différemment son boy. Elle se questionnait et ne savait pas si elle voulait aller plus loin ou pas. Ce qui la perturbait cest que si elle couchait avec lui, elle savait quelle y reviendrait. Est-ce quelle sera comme sa copine, accro au black. Son souvenir de son aventure au Sénégal est trop embué pour lui permettre de répondre à cette question. Fidèle, elle ne lest pas. Ce nest pas ce qui la perturbe mais coucher avec son boy ! cétait un cap quelle ne sétait pas autorisé jusque-là. A force dy penser, ça lobnubilait maintenant. A partir de ce jour, elle laissait toujours la porte de la salle de bain entrouverte attendant de voir Mamadou lépier. Lorsquelle laperçu, elle ne prit pas la peine de sessuyer et ne laissa pas Mamadou se cacher. Elle lattrapa par la main et lentraina dans sa chambre quelle ferma. Elle le déshabilla et lembrassa. Couché nue sur le lit, il commença à lui faire un cunni avant de se retrouver en position 69. Pendant quelle le suçait, lui soccuper de son sexe et même de son petit trou. Elle appréciait en faisant des bruits comme si elle dégustait un met succulent.
- Baise-moi, maintenant
- Vous les blanches, vous êtes des salopes qui trompent leur mari.
Il la baisé comme lavait décrit sa copine, sauvagement. Elle gémissait sans discontinuer. Il la retourna pour la prendre en levrette. Son sexe était gros et elle lappréciait. Il se servit de sa cyprine pour dilater son ptit trou. Elle le laissa faire et ne fut pas surprise lorsquil y présenta son sexe. Ce fut difficile et elle eut mal au début. Dans cet orifice, il pouvait senfoncer entièrement. Il prit son temps pour quelle shabitue mais une fois prête et sans douleur il la sodomisa sans ménagement. Elle partit dans un délire qui la transporta au paradis. LorsquIl éjacula dans son cul, elle se mit à crier atteignant une nouvelle fois lorgasme. Le soir, son mari lui fit lamour délicatement en lui glissant des mots damour à loreille.
Cest à son tour dinvité ses copines. Elle leur annonça quaprès sêtre faite baiser par son boy, elle mettait fin à ces écarts. La seule femme fidèle et la plus jeune était ravie de cette nouvelle. Un peu plus tard, elles ne restèrent que trois. Caro, Manon la femme fidèle et Virginie la folle de sexe noir. Cette dernière ne put sempêcher, avec laccord de Caro, de rejoindre Mamadou. Du salon, elles pouvaient entendre les plaintes de Virginie. Caro, remarqua les yeux de Manon qui brillaient. Elle croisait et décroisait ses jambes, ne sachant pas comment sinstaller. Caro, compris que ces bruits la perturbaient. Elle eut envie de lembrasser, de la caresser. A la grande surprise de Caro, Manon lui offrit sa bouche. Elle lui caressa les cuisses et les seins mais nalla pas plus loin. Manon avait été troublé par les gestes de Caro. Il sensuit une discussion surprenante au lit avec Mathieu.
- Mathieu, que dirais-tu si javais une relation avec une fille
- Si je participe, je suis partant
- Cochon. Non sérieusement
- Cest-à-dire
- Pour être honnête avec toi, jai embrassé Manon cet après-midi
- Et ?
- Ne fais pas lidiot. Je ne lui ai pas fait la bise, je lai embrassé. Avec la langue
- Et elle a répondu à ton baiser ?
- Oui justement cest ce qui ma bouleversé. Je nai pas osé aller plus loin mais ça ma donné des idées, disons, érotiques.
- Houlà. En tout cas, je ne veux pas le savoir. Je vois régulièrement son mari et je serais trop mal à laise.
- Ça veut dire que tu ne ty oppose pas ?
- Ça veut dire que je ne veux pas le savoir. Mais cest une jeune mariée. Elle a lair si innocente.
La discussion ne sest pas prolongée, Mathieu ayant dautres envies avec sa femme. Ils firent lamour avant de sendormir.
Cétait le jour du bal des officiers et cette fois, son mari était là. Toutes les femmes, dont Caro, portaient de longues robes de soirée plus ou moins décotées. Lambiance était un peu trop guindée pour Caro qui ne se sentait pas si à laise. Heureusement, il ny avait pas le clan des hommes dun côté et les femmes de lautre. Elles passaient suffisamment de temps ensemble. Son mari et elle étaient avec un groupe dhommes assez drôles, accompagnés de leurs femmes. Finalement, ils avaient réussi à la détendre. Enfin arriva le temps des danses de salon. Heureusement pour Mathieu, les morceaux joués par un orchestre étaient plutôt lents, autorisant les piètres danseurs à inviter leur femme. Caro qui avait fait de la danse plus jeune, était plus douée. Deux danses suffirent à Mathieu. Le commandant en profita pour inviter Caro sans avoir omis de demander lautorisation à Mathieu.
Le commandant était assez grand et bien que chauve était plutôt bel homme. Il prit Caro par la taille et lentraina dans une valse. Sa main droite nétait pas, contrairement à la décence, au milieu du dos mais en bas des reins.
- Comment vous sentez vous Caro. ? pas trop difficile la vie dexpatriée ?
- Il y a peu dactivité mais nous avons formés un groupe de femme et nous tuant le temps en attendant nos maris.
- Oui, ma femme men a parlé. Cest vrai que les activités sont limitées mais vous avez déjà fait la moitié de laffection de notre Capitaine.
De banalités en banalités, il enchaina une nouvelle danse.
- Caro, vous êtes radieuse et charmante.
- Merci pour le compliment.
- Cest vrai, pour moi vous êtes la plus séduisante, ajoutant avec un sourire narquois, excepté ma femme bien sûr.
- Bien sûr, sourit Caro.
- Si jeu peux me permettre, vous êtes désirable.
- Désirable ?
- Vous me mettez dans lembarras. Comment le dire
Elle le coupa.
- Attirante, séduisante, appétissante. Il y a beaucoup dadjectif pour dire que vous aimeriez me mettre dans votre lit.
- Vous avez du répondant et je naurais jamais osé de tels mots mais cest lidée.
- Il y a pourtant un hic, mon mari.
- Oh, je peux marranger à léloigner.
- Ça, je nen doute pas.
La musique sarrêta avant denchainer et le commandant accompagna Caro auprès de son mari. Caro avait été troublé par laudace du commandant. Quil lui dise ouvertement quil voulait coucher avec elle la perturbait et elle y pensait souvent. Tout comme avec ce qui sétait passé avec Mamadou, à force dy penser ça lobsédait et elle se voyait bien dans les bras de ce commandant. La seule chose qui pourrait la faire reculer cétait la femme du commandant qui participait aux après-midis. Puis, elle se rappela que madame la commandant lui avait confié quelle avait couché avec le mari dune des femmes de leur petit groupe.
Deux mois plus tard, son mari du partir en mission. Le commandant avait pris son temps et Caro était tout émoustillée. Elle fit lamour à son mari avec une fougue inhabituelle. En fait, le commandant avait attendu que sa femme et ses s partent en vacances chez sa mère. Dès le deuxième jour après le départ du mari, le chauffeur du commandant lui apporta un message. « Caro, si tout comme moi vous éprouvait lenvoi de se revoir, je me permets de vous inviter à un tête-à-tête dans ma demeure demain soir. Mon chauffeur passera vous chercher. Il est très discret, mes employés auront un jour de congé, ma femme et les s seront en vacances. Jattends de vos nouvelles avec impatience. Votre commandant ». Caro donna sa réponse au chauffeur. Au dos du mot du commandant, elle ajouta « daccord mon commandant ».
Caro se prépara. Elle commença par sépiler soigneusement jambes et maillot, pris un bain. Elle opta pour une robe dété courte à bretelles avec un colle en V. celle-ci se prote sans soutien-gorge mais sa poitrine le lui permettait. Elle choisit comme dessous une culotte blanche en dentelle. Elle se coiffa mais ne se maquilla pas. Elle se sentait prête. A lheure dite, le chauffeur passa la chercher. Il était effectivement discret et le silence rendait latmosphère dans la voiture pesante mais ça naltéré en rien la détermination de Caro. Le commandant laccueilli sur le pas de la porte. Il lui fit un baise main et laccompagna dans le salon, où elle prit place sur le canapé. Il lui proposa dabord un digestif quelle accepta.
- Vous êtes splendide Caro, très attirante et vous savoir seule avec moi menchante.
- Lâchez-vous mon commandant, jespère que la soirée ne se veut pas mondaine.
- Quels mots espériez-vous entendre ?
- Je ne sais pas, par exemple, Caro vous êtes bandante ce soir.
- Nous pouvons peut-être commencer par nous tutoyer.
- Je préfère garder le vouvoiement, je trouve ça plus sexy.
- Je vous trouve très bandante Caro.
- Oui, il me semble voir ça. Embrassez-moi
Le baiser fut passionné et le commandant en profita pour passer une main dans son décolleté pour caresser ce sein dont il rêvait de toucher. Son autre main se posa sur la cuisse de Caro dont la peau était si douce.
- Voulez-vous que je vous suce, mon commandant.
- Oh oui, Caro faites-moi ce plaisir.
Elle sagenouilla, le dégrafa et sortit le sexe déjà raide du commandant. Elle le lécha de toute sa longueur avant de titiller son prépuce. Puis, elle prit juste le gland dans la bouche en donnant des coups de langue dessus. Puis elle prit une grande respiration avant de petit à petit le prendre en entier dans sa bouche. Pour cette occasion, elle sétait entrainée avec toute sorte daccessoire pour lui faire sa première gorge profonde.
- Oh Caro, cest divin. Quest-ce-que vous sucez bien.
Elle répéta cette pratique une deuxième fois puis le suça de manière plus traditionnelle. Elle se redressa et face à lui, retroussa sa robe et retire sa petite culotte. Elle sassit sur ses genoux et lembrassa. Il lui caressa les fesses tandis quelle caressait son sexe. Elle le fixa dans les yeux.
- Baisez-moi mon commandant.
- A vos ordres Caro, avec plaisir.
Elle avança son bassin pour se positionner à hauteur de son pénis. Tenant le sexe bien droit, elle sempala et le laissa la prendre profondément. Cest elle qui faisait les mouvements de pénétration. Déjà une onde de plaisir la parcourue. Après quelques minutes il lui demanda si elle ne préférait pas daller sur un lit. Par pudeur et respect pour sa femme, il lemmena dans une chambre damis. Caro retira sa robe pour se trouver nue devant lui. Elle lattendit, étendue sur le lit. Lorsquil sapprocha, elle put admirer son corps dathlète et son sexe quelle trouva beau. Il monta sur le lit par lextrémité et savança vers les cuisses de Caro. Il écarta les jambes et lui fit un cunni. Le clitoris, le vagin avez plus de secret pour lui. Caro eut un orgasme. Cest à ce moment quil sallongea sur elle, son sexe au bord du puit damour de Caro.
- Baisez-moi, commandant. Ça lamuser dajouter son grade à chaque demande.
Elle gémissait de plaisir tandis qui lui mordillait les tétons. Elle lentoura de ses jambes pour le sentir encore plus profondément. Il la baisait bien et elle prenait vraiment son pied. Après quelques minutes de ce traitement, il la retourna. Elle se positionna à genoux son cul bien cambré, attendant lassaut.
- Oh putain, quest-ce que vous me baisez bien. Oh oui, continuait, plus fort.
Le commandant lui-même grognait de bonheur de baiser cette jolie jeune femme.
- Mon commandant, enculez-moi.
- Pardon !
- Enculez-moi, prenez mon cul.
Il la fit pivoter, en position de la cuillère. Il prit son sexe pour le diriger vers le petit trou de Caro. Il y entra dabord le gland avant de sy enfoncer entièrement. Il alla dabord doucement puis voyant que Caro appréciait, accéléra ses mouvements. Caro exprimait son plaisir.
- Jaime votre sexe dans mon cul. Oh, cest trop bon. Ecartez-moi bien les fesses. Oh oui, comme ça, je vais jouir. Ça y est, je jouis.
Le commandant sentait quil nallait pas tenir longtemps.
- Non, mon commandant, jouissez dans mon sexe, je veux vous sentir juter en moi.
Il se repositionna en missionnaire et après quelques aller-retours violents, il éjacula en elle. Caro cria son orgasme. Ils sécroulèrent tous deux et Caro posa sa tête sur le torse du commandant.
- Caro, vous êtes une baiseuse hors pair. Je nai jamais une fille aussi déchainée. Vous êtes faites pour lamour.
- Lamour cest réservé à mon mari. Le sexe, je vous laccorde. Jaime ça et ça marrive dêtre très salope.
Pendant quils se reposaient, Caro lui massait le sexe. Au bout dun moment, il se remit à bander.
- Me permettez-vous de prendre une douche mais avant, mon commandant, je vais vous faire ma spéciale.
Elle se remit à le sucer avec son savoir-faire et usa de toute sa panoplie. Elle commençait à sentir des soubresauts dans le sexe du commandant. Elle stoppa, attrapa les mains du commandant quelle posa sur sa tête avant de reprendre sa fellation. Le commandant se mit à rythmer les mouvements puis sentant quil allait venir, maintenait la tête de Caro et se vida dans sa bouche. Elle se retira fit un bruit exagéré pour déglutir et lui montrer quelle avait avalé son sperme.
Le chauffeur la ramena à son foyer.
Elle avait passé un super moment et avait particulièrement apprécié de coucher avec le commandant. Cétait les vacances scolaires et la plupart des femmes de militaires étaient soit en vacances soit à soccuper de leurs bambins. Elle avait appelé Manon pour linviter laprès-midi. En fin de matinée, elle reçut de la part du chauffeur du commandant une lettre lui disant à quel point il avait aimé cette soirée. Elle lui répondit au dos de la lettre.
Après avoir parlé de tout et de rien, Caro engagea une toute autre discussion.
- Est-ce-que ton mari est ton premier.
- Non, jai perdu ma virginité à 17 ans et jai connu mon mari à 20.
- Quel a été ta plus chaude aventure.
- Je pense que cest de mêtre faite sauter dans les toilettes dune discothèque.
- Ouahou, je nimaginai pas ça de toi.
- A part cet écart, ma vie sexuelle a été très sage. Et toi,
- Oh, il y en a plusieurs mais à part avoir baisé debout dans un ascenseur avec un voisin, la plus chaude est une soirée avec une copine et deux mecs alors que nous avions 19 ans. Nous avons baisé toute les deux avec chaque mec. Ma copine sest même fait prendre en double, je ne pratiquais pas encore la sodomie.
- Tu aimes la sodomie ?
- Oui mais cest aux femmes den avoir le désir, il ne faut surtout pas être e. Il faut le faire avec une personne à qui on veut tout donner et pas ment ton mari. Manon, jai envie de tembrasser.
Manon se laissa faire et accueilli la langue de Caro dans sa bouche. Caro lui caressa les seins dabord au travers de sa robe puis dégrafant les premiers boutons, directement sur la peau. Caro mordilla ses tétons en malaxant lautre sein. Manon appréciait et posa une main sur la tête de Caro en approbation. Caro, ainsi encourageait, lâcha la main sur le sein pour lui caresser la cuisse. Manon commençait à faire des petits bruits de plaisir et écarta légèrement ses jambes. Lorsque Caro sentit un frisson de la part de Manon lorsquelle lui toucha le sexe à travers la culotte, elle se leva et entraina Manon dans la chambre. Manon réclama un baiser et Caro en profita pour lui ôter sa robe. Elle se libéra de la sienne et coucha Manon sur le lit. Manon sabandonna complétement en se laissant retirer sa culotte. Elle jouit sous la langue et les doigts de Caro. Tout était pour le plaisir de Manon et Caro nété pas froissé de ne pas être caressée. Elle prenait du plaisir à dévergonder Manon. Elle se coucha à côté de Manon et en lembrassant, elle lui branlait la chatte. Manon gémissait et écartait encore un peu plus les jambes pour se laisser branler plus énergiquement.
- Tu aimes ?
- Oh oui, jadore. Dit-elle en sanglotant de plaisir.
- Tu aimerais te faire prendre par un homme. Pas ton mari, un mec comme celui de la discothèque.
- Hum, répondit simplement Manon.
- Alors, ferme les yeux et imagine.
Caro sentit Manon au paroxysme de son plaisir. Elle lembrassa et frappa au mur. Cétait un signal que Manon ne remarqua pas.
- Tu sens lhomme dans la chambre ?
- Oh oui, je limagine.
- Tu sens le lit senfoncer ?
Manon ne répondit pas, tout à son plaisir.
- Je vais retirer ma main et un sexe va te prendre. Tu le veux ?
Manon était dans un état second.
- Oui
Le commandant sallongea sur elle et dirigea son sexe dans celui de Manon. Dabord surprise par la pénétration, elle entoura ses bras autour de lhomme pour lembrasser et ses jambes autour de la taille de lhomme. Elle gardait les yeux fermés. Caro, embrassé tantôt Manon, tantôt le commandant puis soccuper des seins. Manon jouit sous les assauts de lhomme et eut un réel orgasme lorsquil a joui en elle. Elle garda les yeux fermés et ne saura jamais qui était lhomme qui venait de la faire jouir. Elle se blottit dans les bras de Caro et lui dit merci.
On sait donc maintenant ce que Caro a écrit au commandant en réponse à sa lettre. Elle a donc imaginé que Manon cèderait à ses avances et quelle soffrirait à un homme.
Les trois ans à Djibouti sachèvent comme dailleurs plusieurs de ses copines. Elle gardera contact avec Caro. Cette histoire clôture ainsi les aventures de Manon à Djibouti.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!