Philippe Ep 40 : La On Ne Rigole Plus
PHILIPPE
EP 40 : LA ON NE RIGOLE PLUS
Et voilà, c'est le dernier épisode de la saison.
On a suivi les aventures de David depuis Décembre 2014
( 28 épisodes un seul était prévu au début )
On a suivi les tribulation de Djé depuis Octobre 2017
( 93 épisodes cinq étaient prévus )
On suivait les déambulation de Philippe depuis Février 2019
( 40 épisodes
Heu !!!
Là je n'avais pas prévu de minimum )
Finalement je dois dire que je ne sais plus trop quoi rajouter à cette tout ça aussi j'ai décidé de prendre du recul vis à vis de cette histoire.
Il n'y a pour l'instant aucune suite prévue !
Ce n'est probablement pas définitif mais pour le moment aucune suite n'est annoncée. En fonction des idées que je pourrait avoir une suite, une autre série est possible. J'ai aussi pensé à ne plus écrire que des groupes d'histoire racontant des épisodes de la vie de ces héros. Par exemple en cinq épisodes '' Le mariage de Djé '', ou encore en trois épisodes un moment particulier dans la vie d'un des personnages
Rien n'est décidé.
Aussi nous dirons donc '' Au revoir '' à ces trois personnages pour le moment ( voilà, comme ça, en bougeant doucement la main de gauche à droite )
Le séjour dans cette école avait été trop court. J'avais vraiment envie d'y aller mais le prix en était trop élevé. Il fallait porter un dispositif de chasteté et comme vous le savez
Ça moi Ja-Mé !
Et c'est pas négociable !
J'avais complètement oublié que le choix de mes études était ' Biologie Végétales ' et non pas beaux arts
Mais je savais que mon père ne lâcherait pas, je devais faire des études qu'il considérait sérieuses ! Je réfléchissais à un plan pour le convaincre. J'avais bien réussi à le convaincre que je n'étais pas gay et ça, c'était pas gagné. Une chose était sûre, c'est les Beaux Arts que je voulais faire.
Le dernier mois avant les vacances allait commencé. J'avais complètement oublié la petite Juliette, je ne me disais même pas
Mais qu'est-ce qu'elle devient la petite Juliette depuis l'autre jour
Ou encore.
J'aimerais bien revoir Juliette
Non même pas ! Je l'avais complètement oublié. Remarquez avec la nuit qu'elle m'avait fait passer, je préférais avoir oublié parce que quand je m'en rappelais, mais je dis n'importe quoi j'avais choisi de ne me rappeler de rien et j'y parvenais très bien.
Je continuais ma petite vie tranquille dans laquelle il n'y avait aucune place pour une fille. Elle avait servi, elle m'avait aidé à me tirer d'une situation qui aurait pu devenir critique, il n'y avait plus qu'à la jeter
Oui je sais là je suis lourd, mais je vous jure que j'ai honte
( Éh, éh, éh)
Le premier soir qui a suivi mon retour, Luidji avait l'air tout triste, je me suis approché de son lit, on a parlé, il était résigné. Il supportait bien son dispositif maintenant, il avait envie ( besoin ) d'un peu d'aide. Vous savez comment je suis serviable, je me proposais. Mais uniquement pour faire plaisir ( comment je suis faux cul moi quand je dis des trucs pareil ! ).
Et bien j'ai pas regretté, il suce rudement bien maintenant le petit Luidji. Je sentais sa langue qu'il promenait avec délicatesse sur mon gland, puis sur le corps de ma bite. Je sentais ses lèvres se refermer sur ma queue. Je sentais ma queue s'enfoncer lentement dans sa bouche et je sentais enfin mon gland s'écraser au fond de sa gorge, il convulsait une seconde et je ressentais un plaisir immense sur ma queue.
Je préférais alors passer à la suite sinon je sentais que j'allais lui juter dans la bouche et c'est pas ce que j'avais visé au départ. Il ne faisait plus de difficultés pour se mettre en position, à genoux sur le sol, le corps penché sur son lit, il me laissait lui lubrifier longuement le cul, il ne réagissait presque pas quand je me mettais en position, il ne semblait pas se crisper quand il sentait ma queue contre son anus.
Luidji : Vas y doucement, s'il te plaît
J'avais une violente monté de romantisme qui garantissait des hurlements de sa part mais brusquement j'ai eu un peu pitié, ou je ne sais pas. Finalement je poussais tout doucement, il gémissait longuement pendant tout le temps que ma queue s'enfonçait puis il poussait une sorte de sanglot au moment ou mon ventre s'écrasait sur ses fesses.
Je faisais une pause, une pause courte mais une pause tout de même. Il semblait apprécier, je me retirais alors doucement, il gémissait de plaisir puis peu à peu j'accélérais les mouvements, il gémissait de plus en plus fort de plaisir. Ça ne durait pas bien longtemps il jutais en premier, je le serrais dans mes bras puis je jutais à mon tour en gémissant de plaisir, je terminais par quelques coups violents, il manquait d'air et on se calmait.
Il a bien dormi Luidji cette nuit là, j'étais fier de moi, de mon dévouement, je m'étais sacrifié pour lui être utile
( je ne sais pas si je n'exagère pas en disant sacrifié ? )
Deux jours plus tard, en revenant d'un entraînement sportif, avec Dominique ( Je ne vous ai jamais parlé de lui ?
Bon mais vous n'imaginez pas que je vous raconte tout quand même ).
Dominique donc, une petit gars qui a le feu au cul, il fait partie des deux tiers qui portent un tel dispositif. On avait discuté un moment puis on se retrouvait sous les douches. Je vous rassure il n'y avait pas de cours après aussi je n'y serais pas en retard ma moyenne d'engueulade n'augmenterait pas !
Je ne lui ai pas demandé son avis, il était là presque à poil juste à côté de moi ( je dis toujours presque quand je parle de quelqu'un qui porte un dispositif parce que à cause du dispositif justement, c'est pas complètement ), il était beau. C'est d'un geste totalement naturel que je passais ma main sur son dos. Avec douceur le lui savonnais le dos en commençant par son épaule gauche puis en terminant sur la fesse droite.
Lui je vous rassure c'est pas une petite nature comme Luidji, quand on l'encule il ne pleure pas, il en redemande. Il ne m'avais pas sucé mais bon, avec tout le savon qu'on avait utilisé, je veux bien le comprendre
Ma queue glissait toute seule, je n'avais pas à forcer, c'était le grand confort mais c'était bon. Rapidement je passais à la vitesse supérieure, mon ventre claquait de plus en plus fort contre ses fesses, il râlait de plaisir, il en redemandait et je lui en donnais.
Il a joui en premier, il a abondamment juté, j'ai senti son cul se resserrer et devenir plus étroit. Ça m'a stimulé et j'ai juté peu après.
On s'est rincé, on a fait un petit câlin puis on est reparti chacun de notre côté. Je retrouvais mon étude.
Le lendemain je me retrouvais dans la chambre de Peter. Bein oui quoi, Peter je ne vous parlais plus de lui mais il ne perdait pas ses habitudes. Théo s'y rendait régulièrement mais ce soir je retrouvais un garçon que je n'avais jamais vu que de loin, Joss, il ne portait le dispositif PK que depuis peu de temps. Il faisait comme de nombreux élèves. Prévoyant d'entrer à l'université PK il avait décidé de tester le dispositif. Juste histoire de savoir s'il pourrait le supporter.
Il était en manque. Sexuellement en manque, manque de branlette dans son cas, je supposais que c'était tout. Vous savez mon grand père qui a participé à la mise au point de ces dispositifs ainsi que Antoine son vieux copain avec qui il y a travaillé m'ont raconté.
Pour ce qui est donc de supporter ou pas ce truc
Si on n'a pas le choix on n'a pas le choix et on le supporte. L'objet est en titane indestructible donc
Ma très courte mais trop longue expérience personnelle m'oblige à confirmer qu'ils ont raison ! Joss n'allait pas tarder à s'en rendre compte donc.
Il me suivait sous les douches. Je ne vous ai raconté que quelques uns des événements qui s'y sont passé. Joss donc me suivait, j'en profitais pour bien me montrer à poil, je mexhibais longuement dans les vestiaires, il n'y avait personne mais j'apercevais Joss qui, très mal dissimulé derrière une armoire, me matait tel un voyeur.
Je passais sous la douche, j'étais seul, à part Joss, qui se glissait dans un coin. Je faisais semblant de ne pas le remarquer, me savonnais et ne tentais pas de retenir mon érection. Je me massais la queue. Au bout d'un moment Joss se tortillait trop, c'était amusant et je le regardais en rigolant. Il le remarquait, je suppose qu'il devait devenir tout rouge. Il tentait de se sauver mais je le rattrapais facilement.
Il jouait les voyeurs, il était en tort et j'avais bien l'intention d'en profiter. Je l'entraînais au milieu des douches, lui tendais le savon et lui faisais signe de se laver. Je rinçais bien ma bite, ça a meilleur goût. Il était tétanisé. Je prenais un air sévère, et lui faisait clairement comprendre ce que j'attendais de lui.
Moi : SUCE !
Bein quoi ?
J'avais dit ''clairement'', non ?
Il semblait pétrifié, il se mettait à genoux et finalement avec beaucoup d'hésitation il s'exécutait. Il ne s'en sortait pas si bien que ça. Il ne portait le dispositif que depuis peu de temps et même s'il était en manque, il ne l'était pas encore suffisamment !
Je lui donnais des conseils puis au bout d'un moment je décidais de passer à des choses plus sérieuses. Je le relevais et le prenais dans mes bras, je lui caressais le corps et l'embrassais. Il était toujours tétanisé puis peu à peu il se détendait, me rendait mes caresses et mes baisers.
Bon là il s'en sortait mieux, il embrassait bien et ses mains étaient douces. Au bout d'un bon moment je lui glissais à l'oreille.
Moi : Retourne toi je vais te prendre
Il n'avait pas l'air de comprendre tout de suite.
Moi : Tu préfères jouer les voyeurs, tu sais le mieux c'est de toucher !
Il avait l'air terrifier, et c'est comme un robot qu'il se retournait, il se penchait en avant. Je lui lubrifiais le cul et prenait position. Je le sentais trembler. Je poussais il râlait de douleur. Je poussais plus fort, il râlait de nouveau. Son cul était bien serré et résistait. Je poussais encore plus fort et je sentais son anus se dilater, s'ouvrir. Ma queue rentrait, il était étroit, je sentais tous ses muscles se contracter. Ça passait ma queue s'enfonçait bien à fond, mon ventre s'écrasait sur ses fesses. Il hurlait, à chaque respiration il hurlait. Rapidement il se dégageait sans que j'ai le temps de réagir, il chialait. Il se sauvait sans demander son reste, moi je jutais, mon cur battait très fort et je jutais mais je ne jouissais pas. C'était bizarre.
Par la suite, je passais à autre chose et tout continuait à bien se dérouler. Mon quotidien se passait ainsi, très bien jusqu'au jour ou on m'appelait dans le bureau du directeur. L'esprit léger, je m'y rendais. Nadine avait une mine sombre en me voyant.
Moi : Quelque chose ne va pas Nadine ?
Elle est gentille Nadine, je l'aime bien, c'est elle qui me donnait mes billets pour revenir en cours à l'époque ou je me faisais souvent virer par le prof. On se voyait souvent à cette époque.
Nadine : Non
Moi ça va
Enfin
C'est pour toi
Là elle commençait à m'inquiéter. On ne me faisait pas attendre. J'entrais dans le bureau. Il y avait là ma mère qui avait une mine sombre, mon père qui avait un regard sombre. Là je vous jure il m'a fait peur, mais vraiment peur. J'avais brusquement envie d'appeler mon papy. À cet instant j'ai vraiment pensé que j'aurais besoin de lui. Juste derrière le bureau il y avait le directeur qui me regardait d'un air navré. Il est gentil avec moi depuis quelques mois le directeur.
Le directeur : Voulez-vous bien vous asseoir Monsieur Philippe.
Je sentais comme un froid, un froid glacial. Je prenais place, j'avais l'impression que si mon père avait eu un fusil à la place des yeux je serais déjà mort.
Mon père : Tu n'as aucune idée de la raison de notre présence ici ?
Bêtement je hochais la tête de droite à gauche.
Mon père : Tu te souviens de la petite Juliette de qui tu as si honteusement abusé.
Je réfléchissais un instant puis remuais la tête de haut en bas.
Mon père : Tu te souviens de la manière dont l'a traitée.
Et mince moi qui avait réussi à l'oublier celle là
Je faisais oui de la tête.
Ma mère : Oh mon chéri, tu n'aurais pas pu rester sage.
Mon père : Et bien bravo tu as réussi ton coup !
J'étais dans la merde, il avait fini par comprendre que ce n'était qu'une mise en scène. J'étais mal, mais vraiment mal ! Je paniquais !
Moi : Mais non papa, c'est pas ça, c'est pas parce que ce que tu crois pas, en fait
Euh
Mon père : ( Il montait le ton ) Ne dis donc pas n'importe quoi, tais-toi tu bafouilles. Juliette est enceinte c'est tout, il n'y a rien à rajouter. Tu vas être père de famille, et moi je vais être grand père.
Moi : Pas cool ça ! ( ça m'échappait et j'avais une toute petite voie )
Mon père : ( le ton montait toujours ) NON PAS COOL ÇA ! Non mais tu te vois père de famille.
Moi : Beinnnnnnnnnn
Ma mère : Mais tu ne vas jamais t'en sortir.
Moi : Mais quand même maman.
Mon père : Tu es à peine capable de lacer tes chaussures ...
Moi : Oh béh si quand même
Mon père : Tais-toi, ne me coupe pas la parole . Alors tu vas assumer cette nouvelle responsabilité ! Tu vas te marier. Juliette entrera dans la famille. N'espère pas vivre uniquement sur tes rentes, tu vas travailler. Dans un premier temps tu vas faire tes études en Biologie Végétale, comme tu le souhaites mais dans la PK Université. Tu as intérêt à avoir tes diplômes sinon je t'embauche à mon bureau et je serai alors sur ton dos toute la journée. Ensuite tu seras un père exemplaire et un mari exemplaire !
J'étais livide ! Je regardais mes chaussures. Il tout de même, je sais lacer mes chaussures depuis longtemps. Je ne disais plus rien, mon cur battait fort, tellement fort que j'avais l'impression que mes côtes allaient exploser. Là j'étais mal. Je me demandais ou mon plan avait bien pu foirer. C'est vrai ça quoi, comment on fait pour tomber enceinte la première fois ? Enfin, la première fois pour moi je veux dire !
Mon père : Tu ne dis rien ?
Moi : Bein non papa, enfin si papa mais
Euh
Qu'est
Qu'
Je sais pas quoi dire moi.
Mon père : Tu dis juste ''
Oui papa ! ''
Moi : Bien papa, euh , pardon je voulais dire
Oui papa !
Je suppose que vous avez deviné la suite, enfin la suite immédiate. La PK université, c'est la PK
Et le port du dispositif PK est obligatoire, il n'existe aucune dispense !
Pas cool ça !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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