La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1377)
Les Nuits de Sophie au Château (histoire écrite par Monsieur de Silence et textes améliorés par MDE) (Suite de l'épisode N°1341) -
- Jouis petite chienne, je te laccorde
Je maffaissais sous les vagues de plaisirs, mes paupières tressautant comme mon corps qui en avait subitement perdu la force. Toutes les digues qui mavaient permis de tenir à lentièreté de ces derniers jours avaient cédé face à Lui. Une fois mes esprits repris, il me fit nettoyer les saletés que javais laissées sur Sa main, laquelle il me permit ensuite dembrasser.
- Merci Monsieur le Marquis, de mavoir accordé tout ce plaisir, lui dis-je pleine de reconnaissance.
- Ce nest que le début, petite chienne, et si tu atteins encore Mes attentes, ce ne sera pas la dernière fois cette nuit. Mais rappelle-toi, sur Mon ordre uniquement.
- Oui Monsieur.
- Bien, pivote avec précaution et vient te placer en levrette, ton cul au bord de ce lit.
Je mexécutais selon Sa volonté et Lui présentais ma croupe, sans pudeur. Il passa une main baladeuse sur chacune de mes fesses, les flattant avant de les écarter.
- Ne bouge pas, je veux bien tautoriser à gémir seulement, ce qui tarrivera assurément.
Je savais que je nallais pas lui donner tort, Sa réputation le précédait. Monsieur le Marquis senfonça lentement dans mon anus, distordant mes parois anales de Son mandrin épais et si rigide. Il ne sarrêta que lorsque Ses nobles bourses arrivèrent contre mon cul en butée. Il marqua une pause, le temps que je mhabitue avant de commencer un va-et-vient saccadé. Le Châtelain alterna vitesse et profondeur, enfonçant Ses fortes mains dans mes fines hanches pour prendre pleinement possession de mon cul, comme loffrande que jétais. Jétais à Lui. Autant physiquement que psychologiquement. Le Noble mavait aliéné. Il mavait déjà donné tellement de plaisir alors jessayais de Le lui rendre, même si mon étroitesse faisait déjà le plus gros du travail pour le pomper
Après plusieurs minutes de ce savoureux traitement, je sentis quIl était prêt à jouir en moi une première fois.
- Tu es étroite comme je lapprécie. Tu es comme Mes esclaves bien formés à la sodomie, ayant la même retenue que toi, dit-il en se retirant. Bien, jouis désormais, je le veux, déclara-t-il en massénant une claque sur mon séant.
Ce fut la deuxième fois que je succombais à mon plaisir, mes bras cédant sous mon poids, je me retrouvais à haleter, mon visage contre le lit, secouée par de multiples vagues. Le Noble me laissa le temps de reprendre mes esprits, un temps où il me caressa les jambes, remontant progressivement vers le prochain de mes trous, dont il comptait avoir lusage. Une minute me suffit à reprendre mes esprits ainsi que mon souffle. Il me ramena à Sa volonté en introduisant un pouce délicieux entre mes lèvres intimes qui avait toujours en mémoire linfâme quelles avaient subie. Jallais me remettre dans la position que javais perdue par faiblesse, mais il me maintint comme jétais en appuyant contre mon dos dune main alors que Son pouce me quittait pour être remplacé par Sa noble queue, pour encore plus de plaisir. Elle sinsinua en moi en un mouvement et avec un angle lui permettant une saillie plus dure et savoureuse. Je la sentais profonde en moi venir taper les parois de mon vagin, me donnant un plaisir difficilement descriptible. Il glissait en moi sans grande difficulté tellement jétais humide, me limant de grands mouvements arrêtés pour repartir et qui me faisait aller davant en arrière, mécrasant toujours un peu plus contre le lit.
Jétais Son objet, Sa chose, une petite poupée de plaisirs dont il avait pris le contrôle total.
- Monsieur le Marquis, je vous en prie
grâce
, implorais-je à bout de souffle et de force.
- Bien
Soit !
Alors jouis esclave !
Je jouis en même temps que Lui dans un feu dartifice de sensations. Mon corps nétant plus quun ciel orageux semé de décharges électriques. Après cela, je nétais plus bonne pour ce quil pouvait attendre de moi pensais-je, toute ladrénaline que javais accumulé durant la soirée était redescendue. Il se retira de moi et en claquant des doigts dune main, il enleva les cheveux collés par la sueur à mon visage.
- soumise Keira MDE, nettoie Ma noble verge et vient ensuite nettoyer notre invité. Dans les deux cas, noublie pas que goûter Ma semence est un grand privilège. Tu pourras la rafraichir avant de la mettre dans mon lit. Toi, tu dormiras au pied du lit, tu devras faire attention à ses besoins éventuels.
La soumise MDE sexécuta soccupant dabord du Maitre et ensuite de ma petite personne. Je sentais sa langue passer avec attention et délicatesse, recueillant chaque goutte qui avait coulé sur mes cuisses avec envie. Elle me traina ensuite sous les draps au côté de Monsieur le Marquis. Je sentais Sa chaleur à mes côtés ce qui me troublait car je ne dormais quaux cotés de femmes. Il menserra contre Lui dun bras et je nosais plus respirer. Je pensais que nous étions installés pour dormir, mais Monsieur le Marquis voulait discuter.
- Tu es très agréable et tu Mas bien servi, je nai entendu que des compliments à ton sujet, mais toi quas-tu pensé de ton séjour en Mon noble Château ? Réponds-moi sans détour.
- Bien sûr Monsieur, je noserais pas Vous mentir. Jai vécu sous Votre toit des choses incroyables et lune des choses qui ma le plus marqué est la Dévotion totale et sans faille de Vos esclaves. Je comprends encore plus facilement désormais le Soleil que Vous êtes pour eux. Vous êtes juste et donc de fait, un grand Dominant.
- Je te remercie de ces paroles. Jai pu moi-même voir ladoration que tu portes à la Maitresse qui te soumet et qui se trouve également être ta noble Mère adoptive.
- Je laime plus que les mots nen peuvent donner idée, plus chèrement que la vue, lespace et la liberté
me décidais-je à dire dans un soupir que seul mon amour pour elle pouvait provoquer.
Il parut surpris.
- Tu cites Shakespeare à merveille et dune manière que je sais fort à propos, même si je ne te souhaite pas une fin identique.
Le Châtelain maccorda ensuite de mendormir, ma tête contre Son torse, bercée par Sa respiration et les battements réguliers de Son cur. La nuit se passa ainsi à être sollicitée par deux fois étant réveillée pour Lui servir de vide-couilles, prise par la chatte en levrette et la seconde fois, par la bouche à avaler Sa noble semence. Javais donc peu dormi jusquau matin et je me réveillais, seule dans le grand lit du Maitre.
- Bonjour Sophie, dit soumise Keira MDE.
Je sursautais vivement ne métant attendue nullement à ce que quelquun soit présent. Javais à peine eu le temps douvrir les yeux.
- Je te prie de me pardonner, Sophie, je ne voulais pas vous faire peur, sexcusa-t-elle immédiatement suite à ma réaction.
A mes yeux, elle navait pas besoin de sexcuser.
- Tu as passé la nuit ici ?
- Oui Sophie, Monsieur le Marquis dEvans ma autorisé à passer la nuit aux pieds de Son noble lit afin de veiller sur toi.
soumise Keira MDE semblait si heureuse de ce fait, je la comprenais parfaitement. Si ce nétait plus possible pour moi jétais heureuse que quelquun puisse jouir de ce devoir et incroyable privilège au prêt de Maitresse.
- Le Maitre vénéré qui me possède corps et âme tinvite à utiliser Sa salle de bain personnelle pour ensuite Le rejoindre dans le petit salon prendre le petit déjeuner en compagnie de ta Noble Mère adoptive.
Cette invitation était-elle toujours dactualité ? Je ne savais pas quelle heure il était. Jen questionnais soumise Keira MDE qui me répondit que Monsieur le Marquis venait à peine de descendre et quainsi javais du temps devant moi... Je ne pouvais pas me rendre à la salle de bain seule, au manoir quoique cela ne me soit pas permis, jaurais pu me débrouiller seule dans une certaine mesure. Ici, cela métait impossible. Après avoir attendu encore quelque instant, je me hasardais une fois de plus
- Je ne sais pas comment my rendre, tu pourrais maider, sil te plait ?
- Bien évidemment Sophie, répondit-elle immédiatement. Javais une fois encore limpression que certaines choses étaient planifiées.
Une fois que je fus descendue du lit, Keira MDE me prit par le bras pour memmener, comme je leur avais indiqué à mon arrivée au Château, il y a de cela deux nuits. Dans la salle de bain, je choisis de prendre une douche rapide ce à quoi maida Keira MDE, une fois encore après que je lui eus demandé. Il fallait que je lui demande pour tout ce que je devais faire et où son aide métait indispensable. Leau chaude, le savon, les serviettes, puis ensuite la coiffure, le maquillage et lhabillement. Mère avait tout prévu et savait comment elle me voulait aujourdhui. Japparu donc au bras de Keira MDE dans le petit salon une fois annoncé par Monsieur Walter qui me semblait veillé au grain. Jétais vêtue dune petite robe estivale en soie dos nu, ne tenant que dun nud derrière ma nuque, un nud que lon retrouvait en écho pour tenir ma coiffure. Javais le symbole de notre famille sur mon collier ainsi que sur mon dos, jen étais fière et heureuse.
- Mais, tu es radieuse petite chienne, ce matin, sexclama Monsieur le Marquis.
- Mille merci Monsieur, répondis-je sentant mes joues senflammer. Javais encore le souvenir de la prise de possession quil avait fait sur moi la nuit même
La situation était pour moi surréaliste mais se déroula pourtant avec le plus grand naturel. Comme durant la prise dun petit déjeuner en famille, nous discutions de tous et de rien névoquant aucun des évènements précédents si ce nest la qualité de mon sommeil une fois endormie.
- A ce sujet, jespère que Ma soumise MDE aura su répondre à toute tes besoins, petite chienne Sophie, senquit Monsieur le Marquis.
- Je
Oui
Elle ma aidé en tout point et je la remercie, Monsieur le Marquis, bafouillais-je en réponse.
- Jen suis heureux, elle avait pour cela été choisie parmi Mes favorites.
Le petit déjeuner fini, il fut temps de partir faire le voyage retour. Keira MDE maccompagna jusquau perron du Château, puis me transmit à Caroline que je reconnus immédiatement. Jaurais voulu la serrer contre moi, mais javais un rôle à tenir comme je lavais compris.
- Monsieur le Marquis, je vous remercie de mavoir accueillie en Votre magnifique Demeure et je Vous remercie encore de Vous être occupé de moi, récitais-je devant Lui, après avoir réalisé une légère révérence.
- Monsieur le Marquis, il est lheure des adieux effectivement.
- Madame votre présence parmi nous fut des plus rafraichissantes, dit-il à Son tour. Petite chienne Sophie, jespère que nous aurons le loisir de nous revoir.
Nous montions en voiture, cette dernière se mettant immédiatement en mouvement, cétait la fin de cette escapade
(FIN du passage de Sophie au Château
)
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