Photographe Debutant 5: Épilogue
PHOTOGRAPHE DEBUTANT 5 : épilogue
Grace à quelques rencontres, jai suffisamment de matière pour préparer une expo photo. Je passe le plus clair de mon temps libre dans mon labo de développement. Comme lactivité hotelière tourne à plein, je nai plus vraiment de temps libre. Et suite à la séance photo avec la Madone, la semaine suivante est complètement occupée. Enfin, après avoir agrandi de nombreux clichés, je me retrouve inoccupé pour un après-midi, le temps que mes travaux sèchent.
Après le service de midi, au restaurant, deux jeunes stagiaires me disent que nai quà passer laprès-midi avec eux au bord de la piscine. Ce nest pas la coutume, et javoue avoir été assez surpris, mais dans cette entreprise familiale, le personnel peut profiter de la piscine comme les clients. Il faut dire quil y a rarement foule, vu que la majeure partie des clients est souvent à la plage, ou en excursion en Espagne.
Vétu dun bermuda et dun tee-shirt, me voici parti pour me baigner. Au bord du bassin, je retrouve les deux stagiaires, un couple de parisiens septuagénaires, et une famille venue de Paris également. Ils sont là depuis une semaine, et à leur arrivée javais tout de suite flashé sur la fille, une jolie blonde, très classe,en tunique et pantalon de soie bordeaux. Je me suis dit, à ce moment, que ce genre de nana nétait pas faite pour moi. Aujourdhui, alors quelle est en maillot deux pièces, à côté de sa mère, une jolie femme denvirons 45 ans, à la peau dorée. Je me dis que si la fille est comme la mère dans 25 ans, ce sera parfait. Dans un bikini noir minimaliste, ses seins assez découverts par un soutien-gorge corbeille sont fermes, ses jambes minces et sans cellulite. La culotte échancrée laisse entrevoirdes fesses musclées et des hanches, un peu larges mais sensueles.Le père de famille, un grand type aux cheveux grisonnants dune cinquantaine dannées, porte son age avec facilité, malgré une petite brioche, sans doute due aux repas daffaires quotidiens.
Nous passons un moment agréable, entre baignade et bronzette, avec quelques jeux comme ping-pong et fléchettes. Les deux jeunes clients se sont vite joints à nous. Caroline porte un bikini à rayures, et une tunique noire transparente par dessus, qui sarrête juste sous son maillot de bain. Elle a une peau de vraie blonde, légèrement hâlée par le soleil, mais dont la carnation fine ne deviendra jamais véritablement bronzée. Ses longs cheveux blonds cascadent sur ses épaules, étroites mais solides. Son corps est longiligne, tout en courbes élancées et douces, à lexception dune poitrine, haut perchée et ferme, mais plus voluptueuse que celle de sa mère. Son minois est charmant, et sorne par instants, dun sourire réveur. Sa bouche charnue dessine alors deux fossette symétriques dans ces joues, sous les pommettes hautes qui mettent en valeur les yeux bleu clair et le front dégagé. A ses oreilles, quon devine sous la chevelure, sont accrochés des pendentifs ornés de brillants, tout comme le collier en or qui descend dans la vallée entre ses seins. Lanimation est de mise et mon adresse au tennis de table me met en valeur.
Le septuagénaire, jusque là, en retrait, me propose alors une partie, quavec arrogance, jaccepte sans me méfier. Dès les premiers échanges, je sens que la tâche va être rude. Le jeu se durcit et je dois me concentrer pour arriver à maitriser le jeu, tout en effet, du papy.
Les spectateurs ne sy trompent pas et se regroupent autour de nous. Quelques touristes revenus de vadrouilles, les rejoignent. La lutte fait rage. Ce diable de bonhomme menvoie des balles aux rebonds aussi inattendus que vicieux, souvent difficiles à maitriser. Jessaie dutiliser ma puissance pour le contrer, mais cest peine perdue et il emporte la première manche. Une vingtaine de personnes sont massés sur les côtés, lors de la deuxième manche, dans laquelle je décide de couper court à son jeu en attaquant très fort, ce qui me réussit.
Un peu dépité, je range mon matériel, quand Caroline, sapproche de moi. Elle me prodigue quelques mots de réconfort. Les autres gars sont dans la piscine. Je lui propose de maccompagner, et je me dirige avec elle vers la petite maisonnette, à flanc de montagne que jhabite, non loin de lhotel.
Nous suivons le petit chemin herbeux qui serpente derrière les batiments, puis entre les arbres jusquà la petite clairière où se trouve mon home. Caroline se dit étonnée de découvrir cette maison. Elle vient ici depuis des années et ne se doutait pas de cette habitation, en pleine nature. Naturellement, je lui propose dentrer, bien que lintérieur ne soit pas vraiment nickel. En fait, comme lune des deux chambres a été transformée en labo photo, il ne reste plus que la plus grande chambre, une petite entrée et une salle de bain.
Elle découvre mon intérieur avec intérêt et sarrête sur les photos déjà développées qui trainent un peu partout.
Elle passe sur les nus, et les observe avant de me demander si ce sont des modèles professionnelles. Je réponds quil sagit juste damies qui acceptent de poser pour me dépanner. Je lui demande si elle accepterait de poser pour quelques clichés.
-« Tu crois que je pourrais poser pour toi ? » demande telle, en faisant passer sa tunique par dessus sa tête.
Jai cette fille magnifique, vétue dun petit bikini, à portée de main, chez moi. Je me demande si je ne suis pas en train de rêver.
Je bredouille un truc pas très intelligent, lui assurant que oui.
-« Tu voudrais que je pose nue, comme elles ? » ajoute telle
Mon regard croise ses yeux sans répondre. Elle savance et vient se coller à moi en me tendant ses lèvres.Notre premier baiser est long, intense, et libère la tension qui chargeait lambiance de la pièce.
-« Attends » murmure telle, et elle fait glisser la culotte dont elle se débarrasse, dévoilant un sexe à peine ombré par une courte toison blonde. Elle se colle à moi et fait glisser mon bermuda, avec difficulté, vu lampleur de lérection qui le distend. Enfin elle met à jour mon sexe bandé. Une fois nus, elle se colle à moi, saisissant ma queue dans sa main , et la caressant doucement. Elle couvre mon torse de baisers. Dans la pénombre de ma chambrette, je la découvre du bout des doigts,. Japprécie la douceur de sa peau, la rondeur de son sein, son sommet au bout duquel une framboise pointe sous ma langue, son dos délicatement cambré, le galbe de ses fesses, fermes et tendre à la fois, la vallée profonde qui les sépare, bien écartées, avec le petit gouffre aux abords plissés, au dessus dun fruit ourlé de poils blonds, subtilement fendu, gorgé de plaisir, qui sentrouvre sous mes phalanges, laissant apparaître la chair rose tendre brillante de désir. Mes mains courent sur ses cuisses pleines, musclées sans être fortes, et ses molets parfaits qui mamènent vers de petits pieds tous mignons, dont la cambrure saccentue sous la caresse de ma bouche.
Je remonte vers lintérieur des cuisses, et les sens sécarter quand je mapproche de son fruit défendu.
Elle me repousse sur mon lit et vient sallonger sur moi.
Ses longs cheveux dorés agacent ma poitrine quand ses baiser descendent le long de mon torse, jusquà mon pubis. A genoux, entre mes jambes, elle se relève et contemple mon sexe quelle na pas lâché, puis ses yeux remontent et se plantent dans les miens. Ses pupilles turquoises ne me quittent pas, alors quelle sincline et vient embrasser mon gland, une fois, puis deux. Elle sort la langue et vient le lécher, par en dessous, comme une glace, sans me lâcher des yeux. Dun seul coup elle plonge et je vois mon membre disparaître entre ses lèvres roses et charnues. Je ne dois pas la quitter des yeux. Dune façon, un peu maladroite, mais tellement sexy sa bouche coulisse sur ma queue, allant à chaque fois, un peu plus loin. Elle insiste quand mon gland appuie sur sa luette, déclenchant des spasmes. Elle sinterromp à peine, et reprend sa fellation. Ses mains soupèsent et pressent mes bourses. Je sens monter une vague de plaisir, et je tente de la repousser, mais elle sagrippe à mes cuisses en accélérant son rythme et appliquant une succion à mon gland. La vague de bonheur memporte et je sens mon sexe tressauter sur sa langue, les jets de semence inondant son palais. Elle grogne légèrement sans relacher son effort et déglutit pour tout avaler. Ensuite elle simmobilise et me garde en bouche, sa langue seule sagitant dans les moindres recoins pour en extirper les reliques de ma jouissance. Au fur et a mesure de cette toilette érotique, mon sexe reprend ses proportions dorigine, et elle le relache.
-« Je ne peux pas faire lamour » me dit elle. »JE ne lai jamais fait. »
-« Jamais ? Tu nas pas lair si novice. »
-« Jai lu des livres, vu des films, et jai déjà flirté. Je ne suis pas une nonne. » répond elle en venant sallonger sur moi.
Je glisse mes mains sur son dos et mempare de ses fesses.
-« tu mas donné beaucoup de plaisir » lui dis-je.
-« ça aussi cétait une première. » explique telle
-« tu veux dire que tu nas jamais
? »
-« Non, jamais sucé avant aujourdhui. »
-« Jolie comme tu es, ce nest pas les occasions qui ont dû te manquer. »
-« Les occasions, peut-être. Regardes ici. Tous les garçons en stage me courent après. Ils sont jeunes et superficiels.
-« Pourquoi moi ? »
-« Je tai remarqué dès le premier jour. Tu es différent. Le soucis, cest que javais beau trainer ici, tu nétais jamais là en dehors des services. Tu nes pas comme tous les autres à me tourner autour à longueur de journée. »
Je me lève et vais mettre un peu de musique. La voix chaude de Sting, envahit la pièce quand je reviens, elle est sur le dos, et sest recouverte dun drap que jécarte aussitôt.
-« Quand on a une plastique aussi avantageuse, la cacher est dommage » lui dis-je « A moi, maintenant de te donner du plaisir. »
-« Mais je tai dit que je ne peux
»
-« Il y a de nombreuses autres manières » dis-je en lembrassant. Puis je descends embrasser ses seins, et en mordiller les tétons érigés, ce qui la fait soupirer. Je ne mattarde pas et vais butiner son pubis, ma langue sinsinue dans sa fente et en écarte les lèvres. Elle gémit déjà quand je pince son clito entre mes lèvres et laspire, déclenchant un sursaut de son bassin. La pointe de ma langue sintroduit dans sa vulve et la trouve déjà bien humide. Mon index qui sintroduit en elle est accueilli par un gémissement de bonheur. Quand je commence à la masturber, elle décolle les reins du matelas, et pousse de petits cris. Un deuxième doigt rejoint lindex et les deux tournent dans le vestibule de sa chatte béante, effleurant parfois son hymen intact. Je cueille sa sève du bout de doigts et vais en enduire son périnée et les abords de son anus. Quand monmajeur commence à caresser la zone, je la sens se crisper.
-« Détends toi, ma belle, je vais te faire découvrir autre chose »
-« mais cest sale ! »
-« Non, en amour rien nest sale, rien nest dégoutant si on saime. »
Je reprends mon jeu sur sa chatte, et lui suce le clito en la faisant mouiller de plus en plus. Je sens son jus dégouliner sur mon menton, et entre ses cuisses. Elle plaque ses mains sur ma tête en jouissant/
-« Ah oui ! que cest bon ! ah, cest mieux que tout ce que jai connu avant ! continue ! ne tarrête pas !
-« Tu veux que jaille plus loin ? »
-« Oh oui ! encore plus, vas y !
-« Ici aussi ? » en appuyant sur son anneau froncé.
-« Oh oui, vas y ! fais moi découvrir. »
Mon majeur entre doucement dans son anus dilaté et humidifié, lui arrachant un cri de douleur. Je marrète.
-« Vas y, continues ! » intime telle
Obéissant, je rentre un peu plus. Le sphincter se relache et mon doigt entre complètement.
-« Haaa ! ça fait mal. ! attends. »
Je patiente sans cesser de lécher sa chatte ouverte. Au bout de quelques instants, je commence à faire bouger mon doigt dans son cul. Dabord lentement.
-« ça fait moins mal maintenant, vas y. »
Jaccélère un peu mon mouvement, en le faisant coincider avec celui des doigts dans sa chatte. Imperceptiblement, je sens sa réaction changer. Elle gémit toujours, mais pas de douleur.
-« Hmmm, vas y cest bon, je sens tes doigts des deux côtés, plus fort !
Je la branle de plus en plus énergiquement, jusquà ce quelle jouisse dans un long cri, arc boutée sur mes doigts, avant de retomber dun coup encore haletante.
-« Humm, cétait bon. Je nai jamais joui comme ça. » dit elle en membrassant et en léchant mon visage.
-« Alors, cest ce gout là quand je jouis. » constate telle « cest un peu aigre. Le sperme cest moins aigre, mais plus pateux. »
Je la regarde et ne puis mempêcher de rire.
Nous passons ensuite un bon moment à nous caresser sous la douche, mais elle doit vite se rhabiller et filer rejoindre sa famille.
Le lendemain Caroline et sa famille restent à lhotel et je nai que peu doccasions de la croiser. Le soir, elle me rejoint chez moi. Son frère la accompagnée. Nous passons une soirée à fumer et à écouter de la musique, tout en discutant. Deux jeunes stagiaires nous ont rejoint et la dévorent des yeux. Malheureusement, la présence du frère empèche toute approche. Lun dentre eux résigné, se retire rapidement. Nous restons à quatre et le temps sétire doucement. On somnole au son de la musique des Pink Floyd. Je pose ma main sur le genou de Caroline, qui me repousse, en indiquant des yeux son frère Philippe qui, les yeux clos, semble dormir. Un instant plus tard, je reviens à la charge, mais jessuie un nouveau refus. Une troisième tentative est tout aussi infructueuse, mais Caroline se lève pour changer le disque qui tire à sa fin, donnant un regain déveil à lassistance. La musique de Neil Young envahit la pièce et visiblement rassurés, les deux gars referment les yeux. Caroline vient se blottir contre moi, mais avant de sasseoir, elle relève larrière de sa jupe à volants, découvrant pour moi seul, ses fesses rondes à peine voilées par un mini slip noir. Elle sassied, et dispose sa robe en corolle autour delle, masquant jusquà ses genoux. Allongé sur le lit, derrière elle, je nai quà faufiler ma main sous le tissu, pour atteindre discrètement une fesse, qui se tortille daise. Je caresse un peu ses rotondités, tout en gardant un il sur nos visiteurs, qui visiblement planent. Mes mouvements sont un peu génés, mais dun geste , Caroline se soulève légèrement, comme pour rectifier sa position, et me permet de faire descendre sa culotte. Elle se repose en se mettant légèrement de biais, me laissant laccès a sa chatte humide, que je caline du bout des doigts. Je la sens salanguir contre moi. Ses jambes souvrent pour me laisser titiller son clito. Je la sens couler sur mes doigts. Je sens son corps sappuyer contre le mien. Elle contient sa respiration. Ses hanches oscillent au rythme de la musique. Je sens sa matrice se crisper sur mes doigts, et elle exhale un soupir pour toute manifestation de sa jouissance. Je suis sur que notre manège na pas échappé à Pascal, le stagiaire, mais il fait semblant de ne rien remarquer et nous annonce quil va se coucher. Philippe se lève à son tour.
-« Allons y, dit il à sa sur,je tombe de sommeil »
Nous nous saluons et Caroline après un chaste baiser trottine derrière son frère. Japerçois sa culotte qui est tombée sur ses chevilles. Elle dégage un pied, puis, de lautre, envoie adroitement valser le vêtement sous une chaise, invisible pour son frère.
Le jour daprès, alors que toute la famille se prélasse au bord de la piscine, je débarque avec mes appareils photos, et après avoir fait des photos souvenirs pour tous les résidents présents, je rappelle à Caroline quelle ma promis de poser pour moi, ce qui ne semble pas étonner ses parents, qui lui conseillent cependant de garder une tenue décente. La belle quitte son transat et passe une tunique noire très transparente par dessus son maillot. Elle me demande où elle doit poser. Je la fais poser tout autour du bassin bleu, dans diverses poses assez classiques, jouant sur les objectifs, la lumière. Après un quard dheure, jai épuisé les possibilités du lieu, et je lui propose de nous déplacer un peu plus loin, en pleine nature. Elle chausse ses nu-pieds à très hauts talons et nous voilà partis. Après quelques minutes de marche, nous sommes dans un chemin herbeux, bordé de chènes-liège. Je commence à la mitrailler, puis lui demande de men montrer un peu plus. Sans me quitter des yeux elle passe sa main dans son dos et dégraffe son soutif, quelle jette à quelques mêtres. Ses jeunes seins pointent sans pudeur sous le voile. Les clichés senchainent, de face, de profil, debout, allongée de dos ou de face. Jarrive à la fin de ma première bobine. Pendant que je change de pellicule, elle se relève, et fait glisser le bas de son maillot, le gardant juste accroché à une cheville. Avec sa tunique qui ne cache rien, elle dégage un érotisme torride, tout en gardant une candeur dans le regard.
-« Cest ce genre de photos que tu voulais ? » murmure telle .
Pour toute réponse, le déclencheur retentit en mode rafale, saisissant la moindre de ses postures. Elle se prête au jeu et réagit en prenant différentes poses. De dos, les fesses cambrées tendant le tissu de sa tunique. De profil, jouant avec la tension du voile sur ses seins épanouis, la tête penchée en arrière, sa chevelure blonde tombant en cascade lumineuse sur le noir du vêtement. Elle me tourne le dos et lentement découvre son cul rond et ferme. Ses mains remontent par dessus sa tête et la voilà nue, ondulant dans lombre ajourée de soleil des arbres. Elle se décide enfin et se tourne vers moi, sculpturale dans sa nudité, juste rehaussée par son triangle blond et ses bracelets dor. Sans attendre, elle étale sa tunique et sallonge à plat ventre. Je mitraille la courbe de son dos, la cambrure des reins et les fesses rebondies, prolongées par ses jambes longues aux attaches fines. A mon appel, elle se met sur le dos. Miracle de la jeunesse, ses seins pointent résolument vers le ciel, ronds et insolents, son ventre plat frémit et un légère brise agite sa toison légère, qui ne masque pas sa fente, longue surmontée de son petit bouton de plaisir, que le soleil a fait sortir. Sans un mot, elle écarte les jambes et les replie à moitié. Ses doigts viennent cajoler son sexe qui souvre comme une rose du matin. Nen pouvant plus, je pose mon boitier et me jette entre ses jambes pour gouter à son fruit défendu. Le contact de ma langue lélectrise. Elle gémit sourdement et son bassin décolle à la rencontre de mes baisers. Je minsinue dans les recoins de ses lèvres et titille son clito qui se gorge de sang et provoque des secousses désordonnées de ses hanches. Mes doigts viennent compléter ma caresse, allant jusquà buter sur son hymen, sans le déchirer. Son plaisir coule abondamment et inonde son entrejambe autant que mon visage, alors quelle jouit en râlant. Son corps se tend en arc, tétanisé, avant de retomber, ses mains plaquant toujours ma tête contre elle. Utilisant cette hydratation naturelle mon majeur sest introduit dans son anus. Je le fais coulisser en elle, et elle relève les jambes pour me faciliter laccès.
-« Je nai jamais
enfin, de ce côté là non plus » dit elle
-« Veux tu que jarrête ? »
-« Non, continues. Ça brûle un peu, mais ça va. Tu mas donné tant de plaisir. Je veux te donner quelque chose à mon tour, et découvrir une pratique nouvelle. »
Jajoute bientôt un doigt et continue à explorer son intérieur. Complaisamment elle écarte les cuisses au maximum. Elle se tourne sur le ventre et soulève son cul, le buste plaqué au sol, me tendant lobjet de ma convoitise. Je me cale entre ses jambes écartées à genoux, et continue de masser son petit trou. Sa main att ma queue etla caresse doucement, frottant mon gland le long de sa chatte qui mouille de nouveau. Une fois bien lubrifié, je dirige mon sexe et le pointe sur son anus déjà bien ouvert. Je pèse sur lorifice qui sélargit en arrachant un cri de douleur à la belle.
Aussitôt je minterromp.
-« Ne sors pas ! » me dit elle « rentre en moi. »
Je reprends ma poussée, et je sens son fessier pousser vers moi, jusquà ce que mon gland passe en elle. Sans hésiter elle pousse vers moi et me laisse menfoncer dans ses entrailles. Bientôt mon pubis est stoppé par son cul dilaté.
-« Là, tu es au fond. » commente telle. Se redressant à quatre pattes elle oscille davant en arrière et je sens ma queue bien enserrée, parcourir cet étroit passage de plus en plus vite.
Petit à petit, elle semble moins souffrir et imprime delle même un tempo plus rapide.
-« Cest bon maintenant, ça fait du bien. Prends moi fort ! »
Je lempoigne par les hanches et la tamponne de plus en plus fort. Les claquements de nos peaux qui se rejoignent ajoutent à lambiance érotique du moment. Lhésitation du début a fait place à un impérieux désir que nous exprimons, de concert. Je sens mon sexe grossir en elle et mon plaisir monter. Elle geint de plus en plus fort et mencourage à continuer de plus en plus fort. Pour finir je veux me retirer, mais elle se cambre et sa main vient empoigner ma cuisse la serrant jusquà ce que je gicle en elle avec puissance, dans un orgasme qui nous laisse pantelants. Je reste un long moment fiché en elle,lui embrassant la nuque avec tendresse.
Cest elle qui nous ramène à la réalité.
-« Si quelquun arrive
»
-« Tu as raison, allons nous doucher » répondsje en me dégageant
Cest nus, avec nos fringues à la main, ma semence dégoulinant de son cul, sans arriver à lui enlever une parcelle de son charme, que nous rejoignons ma maisonnette.
La douche est encore loccasion dexplorer nos corps. Je nai pas un sexe énorme, tout juste dans la taille normale, mais jai toujours eu la possibilité de recharger très vite mes batteries, et croyez moi : être capable de remettre le couvert de nombreuses fois est un atout auprès des femmes. Caroline, découvre une nouvelle érection sous leau de la douche. Elle sagenouille dans la douche et entreprend une longue et délicieuse fellation marrachant un cri de plaisir quand je finis par mabandonner dans sa bouche.
Quelques minutes plus tard, elle disparaît pour rejoindre sa famille.
Le soir même, alors que vétue dune longue jupe ample, et dun bustier à fleurs, je la regarde sourire et plaisanter sur la terrasse, me jetant discrêtement un clin dil quand elle sait quon ne peut nous voir, je comprends que cest celle que jattendais depuis longtemps sans le savoir.
Cette aventure nest pas restée secrète très longtemps, même si les détails sont restés entre nous. Sa famille, issue de la grande bourgeoisie ne voyait pas dun très bon il que leur fille soit avec un gars comme moi. Néanmoins ils eurent lintelligence de ne pas sy opposer fermement. Quelques jours plus tard Caroline et sa famille sont repartis. Jai rapidement eu loccasion dêtre invité pour un week-end, chez eux.
Malgré la chambre damis qui me séparait delle, Caroline a trouvé le moyen de venir me réveiller, et ce week end fut un intermède des plus sensuels.
De retour dans mon Sud, La saison se terminait et Mon expo photo avait eu un beau succès destime. Je ny ai exposé que les photos les plus pudiques de Caroline, gardant les plus osées pour moi. Je pris ma décision rapidement.
Après avoir vendu ma part de laffaire photo à Thierry, déposé à chacun de mes modèles, une enveloppe contenant lensemble des clichés et négatifs les concernant, je chargeais mes maigres possessions dans le coffre dune nouvelle voiture, et pris la route dune nouvelle vie, avec un seul objectif :Caroline.
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