Petites Histoires 2 Une Balade Champêtre
UNE BALADE CHAMPETRE
Ce week-end, nous sommes allés nous baigner avec des amis . Le temps était au beau et nous nous sommes retrouvés au bord dun petit lac à une trentaine de kilomêtres de chez nous. Nous avons passé une superbe journée. Nos amis sont très sympas et nous avons partagé un délicieux pique-nique, puis passé notre temps entre bronzette et baignade.
Beaucoup de citadins sétaient donnés le mot, et la place était assez encombrée par des familles qui séchappaient de leurs appartements pour faire prendre lair à leurs marmots, ce dont on ne pouvait les blamer.
Néanmoins, étant arrivés, pas trop tard, nous avons pu trouver un coin dherbe, au pied dun arbre. Paressant sur un drap de bain, jai pu, en jetant des coups dil discrets, me rendre compte que nos compagnes, ravissantes dans leurs maillots de bain, attiraient les regards des mâles environnants. Sandra était vétue dun deux pièces minimaliste formé de petits triangles détoffe reliés par des ficelles, alors que sa copine, Joelle, portait un maillot de bain une pièce, sans bretelles, dont le haut glissait sans arrêt, dévoilant ses tétons fréquemment. Quand elles sortaient de leau, le tissu collé à leurs corps harmonieux, elles étaient suivies du regard par bien des hommes, dont certains étaient rappelés à lordre par leurs épouses.
Laprès-midi sétire, et petit à petit le monde déserte ce paradis du dimanche. Cest bientôt notre tour de regagner nos pénates. Pendant que Stéphane et moi rangeons, parasols et glacières, nos amies se sèchent après un dernier bain et se changent. Joelle roule son maillot jusquà la taille nous montrant ses seins déjà bronzés, puis senroule dans une serviette pour quitter sa tenue de bain, et enfiler un string minuscule que je découvre quand elle déroule la serviette pour passer une jupe de toile, avant denfiler un débardeur, masquant sa jolie poitrine. Sandra, elle , a enlevé son soutien-gorge, et se sèche précautionneusement, ses seins bien ronds aux tétons pointus livrés à nos regards, mais très vite, elle endosse une robe de toile, très courte mais assez large, avant de faire glisser le bas de son maillot à terre.
Tout le monde enfin prêt, nous nous embrassons tous, avant de remonter dans nos voitures respectives, et de prendre la route.
Tandis que la voiture de Stéphane séloigne rapidement, Je roule lentement, en jetant des coups dil fréquents sur Sandra , un peu excité. Je pose ma main sur son genou. Elle ne réagit pas, ou je ne le vois pas, car elle porte des lunettes solaires aux verres opaques. Je remonte ma main sur sa cuisse jusquau bord de sa robe., puis un peu plus haut, entrainant létoffe vers le haut. Je suis stoppé par la fourche de ses jambes, et je sens sous mes doigts, sa courte toison.
-« Tu nas pas de culotte ? »
-« Non, javais oublié de prendre un change » répond elle sans bouger
Je tire le tissu vers le haut et dévoile sa fente dénudée sous sa toison en ticket de métro..
Ma main revient sinsérer entre ses jambes, caressant la chair douce, à lintérieur des cuisses. Avec un soupir elle écarte un peu plus les jambes, en une invite muette.
Conduisant dune main, je tatonne et entre en contact avec la chair chaude et humide de ses lèvres. Elle savance sur le siège et me laisse longer sa fente pour atteindre son clitoris en haut de cette vallée humide. Elle soupire doucement tandis que mes doigts sagitent sur son sexe et que je finis par y pénétrer mon majeur, pour la masturber gentiment.
Je ratt de justesse une embardée et me reconcentre un instant sur ma conduite. Je trouve enfin ce que je cherche, un petit bois, et un chemin . Jy engage la voiture sur quelques mêtres ; suffisamment pour être invisible depuis la route. Jimmobilise la voiture . Nous sommes entourés darbres qui dispensent une agréable fraicheur dans ce sous-bois.
Je me tourne vers ma compagne qui ote ses lunettes de soleil et me regarde dun air interrogateur.
-« Pourquoi on sarrête ? » demande telle avec un sourire narquois
-« Parce que jai du mal à faire plusieurs choses à la fois »
-« Et ? »
-« Et jai décidé de moccuper de la plus importante en premier » dis-je, avec deux doigts qui sintroduisent en elle.
Elle méchappe et descend de la voiture. Je fais le tour de lauto pour la rejoindre, et je lembrasse avant de lui dire
-« Tu mas excité tout laprès-midi. »
-« Je nai pourtant rien fait de spécial. Tu es sur que ce nest pas Joelle, ou les autres femmes ? »
-« Oh, je les ai bien regardées, mais celle qui me fait le plus deffet cest toi. »
-« Tu veux dire, que, juste ça, te fait de leffet ? » demande telle en faisant passer sa robe par dessus sa tête avant de lenvoyer dans la voiture. Elle tourne sur elle même, nue dans ses nu-pieds à talons avant de savancer vers moi.
-« Voyons ça » dit elle en palpant ma queue déjà bien tendue dans mon bermuda.
-« hmmm, effectivement, en voilà un qui a envie de prendre lair » dit elle en baissant mon bermuda qui laisse sortir ma queue bien bandée
-« Pas question de faire lamour dehors, ça grouille de bestioles, ici « mannonce telle avant déclater de rire devant ma mine déconfite.
Elle ouvre la porte arrière, et sengouffre sur la banquette, laissant ses jambes et son cul dehors. Je comprends instantanément et viens me coller à elle. Laccès est difficile, mais elle replie une jambe et mouvre grand le chemin de son intimité. Elle est déjà bien lubrifiée et je menfonce en elle dun trait.
-« Houmppff, cest vrai que tu avais envie. Tu es bien gros »
Je la pilonne lentement au départ, mais je sens que son fessier vient au-devant de moi en une demande sans équivoque. Je mapplique alors à grands coups de reins, mon pubis claquant vigoureusement contre son cul, qui rougit sous les coups.
-« HAN, han ! ouii ! cest bon ! » crie telle maintenant
Je suis tellement excité que je ne peux me retenir bien longtemps, et je jouis très vite dans son vagin.
Après un temps daccalmie, nous nous désunissons
-« Dis donc, cétait du rapide » commente telle
-« Désolé, javais trop attendu. »
-« En attendant, maintenant jai envie, moi » déclare telle « et cest mal barré » complète telle en voyant mon sexe en berne.
Je suis prêt à remettre mon bermuda, laissé par terre, quand elle marrête.
Sans un mot, elle me fait asseoir sur le siège passager, et bascule le dossier en couchette.
Je me retrouve étendu sur le dos, et elle vient, le long du siège, à lextérieur de la voiture, sa main saisissant mon sexe, pour le branler doucement. Jessaie de me détendre, comprenant ce quelle veut, et un fourreau chaud sempare de mon gland. Je baisse les yeux, et je croise son regard espiègle . Elle ouvre grand la bouche et lèche mon frein, faisant frissonner ma queue . Sa main sen empare et elle avale mon sexe encore mou, venant coller son nez dans mon pubis. Elle ne bouge pas, mais je sens sa langue qui sactive sur ma hampe, senroulant, dardant, puis remontant pour pointer sur mon méat qui sentrouvre. Pendant ce temps, ses mains ont attrapé mes bourses et les calinent avant de les serrer, lune après lautre. Sa bouche quitte mon membre qui reprend un peu de vigueur et vient gober mes testicules. Je sens mes boules secouées dans leurs poches par une langue en furie. Un doigt inquisiteur longe mon périnée et vient chatouiller mon anus. Mes bourses sont relachées et je la vois sucer son doigt en me faisant un clin dil. Puis elle reprend ma bite , en bouche. Je sens alors son doigt sinsérer doucement dans mon cul. Elle pousse sans ménagement et franchit mon sphincter. A lintérieur, le doigt se replie et masse ma prostate. Leffet conjugué avec ses lèvres qui aspirent ma queue est immédiat, et je sens mon sexe prendre du volume et de la raideur.
Elle la senti aussi et grimpe sur moi, à califourchon, guidant mon sexe pour sempaler dessus. Je retrouve cette sensation inimitable de son vagin qui me serre et mengloutit dans un va-et vient dicté par nos instincts primaires. Saidant de ses genoux, elle coulisse sur ma queue avec des gémissements de contentement. Je peux enfin jouer avec ses seins qui ballotent légèrement au rythme de ce coït, et je les masse en les maintenant.
Dun coup, je la sens ralentir, hésiter
-« Il y a quelquun »me dit elle tout bas
-« Où ça ? »
-« Là, au bord de la route, un bagnole sest arrêtée. »
Couché, comme je suis, je ne peux absolument rien voir.
-« Un type descend » minforme Sandra ; mais elle ne se désunit pas de moi
-« Il sarrête, il
oh, il sort sa bite. Il pisse »
-« Tu crois quil nous a vus. » risquai-je
-« Non, il a fini. Il va sen aller
Ah zut, il ma vue » annonce telle
-« Que fait il. Il sen va ? »
-« Non, il me regarde. Il doit voir mes seins. »
-« Il sapproche ? »
-« Non, il regarde cest tout «
-« Enlève toi, il faut quon se rhabille » dis-je, sentant mon érection ramollir.
-« Oh non » dit elle en reprenant son mouvement « caresse mes seins »
Nous reprenons nos ébats et je coiffe ses seins de mes mains. Au moins le type verra quelle nest pas seule. Sandra commence à gémir, et envoe sa main pour titiller son clito, tout en continuant de baiser.
-« Il est toujours là ? »
-« Oui, il a sorti sa bite. » répond elle sans cesser de remuer son bassin « ah, vas y, je la sens bien, tu vas me faire jouir. »
Je fais abstraction de ce voyeur et me concentre sur Sandra qui semble prendre du plaisir à la situation.
-« Il sapproche de nous » me murmure Sandra « Il a une grosse bite »
Elle se déchaine au dessus de moi et emet de plus en plus de plaintes, de gémissements quand ce ne sont pas des cris.
-« Ah, cest bon, il est tout à côté, il nous mate » dit maintenant Sandra, à voix haute.
-« Il se branle en regardant ta queue qui entre en moi ! il a vraiment une bite énorme !
Ah, que cest bon ! il va vouloir me baiser peut-être ! » crie telle suffisamment fort pour que le voyeur entende. La situation est incroyable : ma copine que je suis en train de baiser se fait mater par un autre. Cest tout à la fois, stressant et excitant. Cette baise est extrêmement chaude. Jatt Sandra par les hanches, et la percute de plus en plus violemment.
« AH OUI ! regarde comme il me baise bien ! Cest si bon ! je vais exploser ! Ah oui ! mon chéri, il éjacule maintenant ! »
Ne sagissant pas de moi, jen déduis quil sagit du voyeur.
-« Ah que cest beau, il a arrosé loin devant lui. Je vais venir ! je viens ! oh ouiiiiii ! »
Elle se raidit et se met à trembler dans un orgasme paroxystique, qui mentraine, moi aussi. Arc bouté sur mon siège, je la soulève et envoie de longues giclées, avant de retomber, repu. Elle sabat sur moi et membrasse passionnément. La présence dun inconnu me fait redescendre rapidement :
-« Quest ce quil fait ? »
-« Il sest rajusté, il séloigne. »
-« Comme ça ? »
-« Il ma fait un signe. Il monte dans sa voiture.il part. »
Quelques minutes plus tard, Sandra sessuie avec une serviette de notre sac de plage, et enfile sa robe. Je redresse le siège passager. Je suis stupéfait
-« Je nen reviens pas ! tu tes exhibée en train de faire lamour devant un type qui sest branlé pour toi. Et si il avait voulu plus ? »
-« tu maurais défendue, quoique
»
-« Quoique ? »
-« Il était vraiment bien monté. Tu aurais vu ça ! »
-« Oui tu parles, heureusement je nai rien vu et
» soudain jai un gros doute. Je quitte la route des yeux pour dévisager Sandra. Elle a de nouveaux ses lunette noires, sa robe remonte très haut sur ses cuisses nues. Elle a aux lèvres un sourire énigmatique.
-« Attends un peu ! qui me dit quil était là ce type ? »
-« Moi, je le sais, mon chéri. Toi tu ne sauras jamais. »
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