Moi, Un Homme Soumis Par Un Autre Homme.
Pour commencer, je tiens à dire que le récit qui suit nest pas une invention de mon imagination. Je décris ce que jai réellement vécu. Si certains dialogues ne sont pas exactement retranscris, ils le sont le plus fidèlement possible et en gardant lesprit et lintensité.
2020, jai aujourdhui 47 ans. Je suis célibataire, jai une bonne situation professionnelle et vis seul au nord de Nantes après avoir longuement vécu avec une femme fabuleuse dont je vous parlerais peut-être un jour.
Je suis un homme lambda, passe partout, 1m70 un peu rond, pas membré comme un âne, les yeux très bleus et les cheveux gris poivre. Paradoxalement, jai eu de nombreuses aventures, mon métier me permettant de faire des rencontres et avec de lhumour, du caractère, de lesprit, beaucoup de choses sont possibles.
Dernier détail : je suis bi.
Si je vous parlerais de certaines de mes aventures féminines qui, je crois, peuvent vous intéressés par leur intensité, leur folie voire leurs aspects franchement comico-loufoques, mais je veux ici vous parler dune rencontre avec un homme particulier qui ma beaucoup marqué.
Je nai jamais fait beaucoup de rencontre avec des hommes. La 1ère s'est passé quand j'avais 21 ans, fidèle, exclusif et comblé, je n'en avais pas lorsque j'étais en couple, si bien que Jai passé des années sans relation bi. Quand en période de célibat, une envie me titillait, je la comblais via des sites de rencontres. Si avec les femmes, je suis très entreprenant, vraiment un actif qui aime prendre les ébats en main, avec les hommes, je suis au contraire très passif, ne recherche pas à jouir moi-même mais "simplement" un mec à sucer et naimant pas avaler, un facial final me convenait. Jaime prendre une queue en bouche, la sentir durcir et entendre le plaisir que je donne aux mecs. Nétant pas collectionneur, ni casse-cou, jai toujours cherché certains profils de mecs cools, sympas, cleans et discrets. Lautre élément essentiel, je voulais des hommes sûrs deux, qui savaient clairement ce quils venaient chercher.
Cest ainsi que jai rencontré cet homme que je nommerais H .
H était grand, châtain, poilu, très membré, franchement baraqué car avec un peu dembonpoint. Sélectif, on a échangé quelques mails et nos recherches convergeant, H et moi avaient convenus de se voir chez moi le surlendemain. Ayant été clair sur le fait que jaimais les mecs « directifs », il mavait dit de lattendre nu, à genoux face à la porte et dêtre prêt à le pomper.
Je lai donc attendu ainsi, excité. Ponctuel, à l'heure convenue, j'étais en position quand il a sonné à la porte puis est entré sans attendre que j'ouvre. Le fait d'être à genoux amplifiait encore l'impression de sa stature imposante, il avait l'air immense mais ses gestes souples, tranquilles, sa voix assurée m'ont tout de suite mis en confiance. Il s'est déboutonné, a baisé pantalon et caleçon et a sorti une bite impressionnante! J'avais sucé des queues longues mais trop fines ou l'inverse, d'autre courtes, les tailles et largeurs m'importaient peu, elles étaient juste plus ou moins jolies mais ce jour-là, j'ai été en face d'une bite parfaite, une poutre de chair droite et raide, massive mais équilibrée, juste ce quil faut de longueur par rapport à la largeur et cerise sur le gâteau, surmontée d'un gland magnifique, gros, large, bien décalotté, c'était un casque prêt à l'attaque.
H m'a ainsi mis son sexe sous le nez et m'a juste dit :
-A toi de prouver que tu es aussi bon suceur que tu le prétends!
Je lui ai prouvé, ses râles et gémissements ne laissaient aucun doute, il a eu droit à une pipe si belle, intense, sensuelle et sauvage, qu'il m'a inondé la tête de sperme!
Les giclées n'arrêtaient pas, mon visage était recouvert de foutre et je sentais son jus glissé de mon front vers mes yeux, le long de mon nez jusqu'au menton.
J'étais à genoux, je nen revenais pas. Il m'a dit de le reprendre en bouche puis il sest calmé. Je pensais qu'il allait vouloir partir comme le font tous les mecs, mais il n'était pas pressé. Comme Je lui avais proposé un verre avant de le sucer lors de nos échanges de mails, il m'a demandé si mon offre tenait encore, j'ai dit oui et je me suis levé pour aller me laver le visage et lui servir une bière.
C'est là que tout à commencer, il m'a dit :
-Te laves pas, gardes tout, je veux te voir avec mon jus .
-Surpris, j'ai dit "Arrêtes, c'est dégueu, je vais pas rester comme ça pour boire un verre"
Et là, très calmement, il a eu une phrase comme ça :
-Pourquoi ? ça te va bien et jaime bien délimiter mon territoire !
Ce n'était pas dit méchamment, un peu provoquant certes mais c'était comme un constat et je nai rien su répliquer.
Dailleurs comment aurais-je pus ? Comment pouvais-je faire le mâle, le cowboy face à lui alors que 5mn avant, j'astiquais goulument son gros calibre? Alors j'ai gardé son sperme qui descendait sur mon visage puis séchait pendant qu'on a bu un verre et on a discuté de sexe. Il m'a félicité pour mes talents de suceur en me disant que ça faisait longtemps qu'il n'avait pas été pompé aussi bien .
- Mais fais gaffe, je pourrais y prendre goût!
- Oh, tu ne dois pas avoir du mal à trouver des suceurs toi, vu comment tu es équipé.
- Cest sûr mais des bonnes salopes comme toi, jen trouve pas des masses. Tu sais y faire, ça fait du bien dêtre sucé comme tu fais. Je dirais pas non à revenir te voir. Ten dis quoi ?
- Moi, je suce de temps en temps, cest selon mes envies, cest pas régulier mais quand jai envie, cest vrai quun mec comme toi, cest sympa.
- Et tu as souvent envie ?
- Cest pas régulier. Et puis, tas compris que jétais sélectif, je pose des questions et les mecs, ça les emmerde de répondre alors je ne trouve pas tout le temps quand jai envie de sucer.
- ça je men fout. Moi cest un mec comme toi que je cherche, pas prise de tête, discret, sérieux mais assez chaud pour accepter mes fantaisies et surtout quest ce que tu suces bien !
- Bah, merci, jaime bien sucer de toute façon et ton petit scénario ma bien plut.
- Cest clair, toi tu es une vraie bouffeuse de bite et ça te vas très bien le jus plein le visage, tes bandant tout repeint. Mais je ferais mieux la prochaine fois.
- Tas vachement envie de revenir, toi !
- Cest clair, je garde précieusement ton numéro
- Je ne dis pas non à te sucer de temps en temps mais tas compris, discrétion totale, ce quon fait ensemble, ça reste entre nous.
- Tinquiètes, aucun souci avec ça. Discrétion 100% garantie. Du moment que je peux revenir quand jai envie dune bonne pompe.
- Si cest comme ça, je suis ok. Envoie-moi un sms quand tu veux passer et si je peux, tu pourras passer quand tu as besoin, dis je en le charriant.
- Dans un rire, il me dit : Nickel, ça tombe bien, jai des gros besoins, tu vas avoir du boulot !
- Tant que ça ?
- Oui, avec une bonne salope, je passe me faire sucer tous les jours. Ça cest le top.
- Oulà, calmos, je suce pas tous les jours moi ! le dernier que jai sucé, cétait y a plus de 6 mois et en plus, cétait pas terrible.
- Et là, cétait bien apparemment. Tu as aimé à ce que jai pût voir !
- Oui, cest vrai, cétait sympa, jai bien aimé, tu corresponds à ce que je cherche et tas une très belle bite, ce qui gâche rien ! Mais de là, à te sucer tous les jours
- Tu vas y prendre goût, tu verras que ça te manqueras les jours sans la prendre en bouche.
- On verra, rêves pas, je serais pas dispo tout le temps non plus et je bouge le weekend alors faudra que tu patientes ou que tu me trouves un remplaçant !
- Quand jai une bonne pute pour moi tout seul, je peux patienter un peu mais 2 jours pas plus !
- Tu vas un peu trop vite pour moi, toi ! Une pipe et je suis déjà ta pute !
- Bah, cest ce que tu es, non ? Tout le prouve ! Regardes, je tai dit de mattendre à poil, à genoux et clac, tu mas obéis
- Attends, cétait un jeu pour texciter.
- Ah bon ? Et tas quoi sur le visage ? Je tai dit de tout garder et cest ce que tu as fait sans broncher. Tas rien dit et tu as fait le service tranquille, mon sperme plein la tronche. Et ça va très bien à ta jolie petite gueule de salope, tas la tête à ça.
- Bon ok, je tai fait plaisir, ten avais envie, moi, ça ne me dérangeait pas plus que ça. Vas pas chercher plus loin.
- Tas tout dit, tu aimes faire plaisir même quand cest pas ton truc. Tas aimé mon scénario darrivée, parce que ça te met aux ordres, ça texcite et tu pompes super bien grâce à ça. Les mecs comme toi, cest rare. Cest pas souvent que je tombe sur une vraie salope, qui prennent leur pied à satisfaire des mecs comme moi. Cest ta nature, tu me las écrit, tu cherches des mecs directifs. Ya ceux qui commandent et ceux qui obéissent et il y a les baiseurs et les baisés. Ici entre nous deux, on sait toi et moi qui est qui.
- Cest peut-être beaucoup plus simple que tu le dis : Je suis passif, jaime sucer et cest tout. Juste sucer, peut être que ça memmerde alors je ne suis pas contre un peu de fantaisie pour varier les plaisirs. Et puis, jaime baiser, je baise des femmes.
- Je te crois, jai bien vu que tu sais ce quest une femelle. Mais avec un mec, tes pas un baiseur. Tu pourrais préparer tes scénarios mais tu préfères faire ceux des autres, ça texcite dêtre celui qui permet à lautre de séclater. Quoi que tu en dises, tu es un soumis prêt à lemploi.
C'était dit naturellement, sans forcer pour avoir raison, comme une évidence.
On était debout, il devait bien faire 1m90, moi 1m70, il devait peser au moins 120kgs, moi 90kgs, il était membré baléze, un bon 20X5 face à mon petit 15X3-4. Physiquement il m'était supérieur, j'étais un gringalet à petite bite face à un mâle baraqué à grosse bite. Et moi j'avais accepté sa demande d'être nu, d'être à genoux et surtout c'était sa queue que j'avais sucé, son foutre qui dégoulinait sur moi. Ce quil disait avait du vrai, je lai admis avec un peu de honte, les faits lui donnaient raison.
Avant qu'il parte, il m'a dit de le sucer à nouveau et il a éjaculé en bouche encore une grosse quantité de jus, mais à l'époque je n'avalais pas, je n'aimais pas le goût et ça me donnait des hauts le coeur.
Il n'était pas super content de ça mais en partant, il ma dit : à très vite !
Cette discussion mavait énervé. Cette assurance quil a eu à me décrire, cette sensation de mêtre fait disséquer comme un insecte mavait fortement déplu. Jai viré ses mails, ses sms, en me disant quil pouvait bien me recontacter, il naurait quà se finir à la main, comme le baiseur quil se disait être.
Dés le lendemain, il ma envoyé un sms auquel je nai pas répondu. Puis un autre, encore un autre dans les jours suivants, sans réponse de ma part.
Arrive le vendredi soir, jour daller faire quelques courses à lunique supermarché du coin. Jattendais dans la file, appuyé sur le cadie et smartphone en main quand arrive un de ses sms.
-Je te vois.
Je relève la tête, fait un 380° du regard quand arrive un 2ème sms.
-Je tattends.
Je réponds :
-Quest-ce que tu fous là ?
-Jhabite ici aussi. Je tattends, tu as des choses à rattr.
-Pas le temps. Pas envie. Laisses moi tranquille.
-Tu prendras le temps, pas le choix, tu as des jours de retard.
Jai vidé mon chariot, mon cur battait la chamade, il nétait pas loin, je savais quil me regardait et mattendait. Je ne voulais pas quon nous voit ensemble, je ne voulais pas desclandre. Jai payé et dun pas rapide, jai filé vers la sortie et rejoint ma voiture sans le voir, tout jeté dans le coffre et je suis parti dare dare. Arrivé chez moi, il mattendait.
-Tas pas mis longtemps. Tétais pressé ?
Dun ton sec, je lui réponds :
-Non, jai des choses à faire et jai pas de temps pour toi. Merci de ten aller, arrêtes tes sms et laisses moi tranquille sil te plait.
-Tu as une chose à faire et tout de suite.
Je restais interdit, ne sachant pas quoi faire ou dire pour le faire partir. Il nétait pas agressif, il était même plutôt souriant. Toute personne qui nous aurait vu, naurait rien put deviner de ce qui était en jeu à ce moment-là. Il était à distance de discussion, aucune pression physique ne transpirait pour les personnes extérieures. Une voisine est sortie de chez elle, ma adressé quelques mots amicaux, elle ne pouvait pas se douter que lhomme avec moi, qui avait tout lair dun ami, nétait là que pour faire de moi sa pute. Cette impression de secret partagé entre lui et moi ma touché, tout les deux savions ce qui sétait déjà passé entre nous, notre secret, notre discussion, nos actes.
Je lai regardé, son regard était fort, inflexible, jy ai lu son assurance de me faire plier à sa volonté, il navait aucun doute sauf celui du temps que je mettrais à prendre le chemin vers la porte.
Dun ton assuré et tranquille, il dit :
-Assez perdu de temps, tu sais ce que tu as à faire.
Jignore pourquoi je ne lui ai pas répéter de sen aller, je me suis dirigé vers la porte, il ma bien sûr suivi.
Aussitôt derrière la porte, il a pris les choses en main. Ordres de me déshabiller, de rester debout main sur la tête et jambes écartées.
Tu es fier et indocile. Jaime bien, même si cest très con de croire que tu pouvais décider de plus me voir. Mais bon, tu as essayé et cest à noter à ton crédit. Il vas pourtant falloir maintenant que tu ratts une semaine de vidange alors ça sera triple dose demain et double dose dimanche. A présent, à genoux et présentes moi tes excuses en me taillant ta plus belle pipe.
Il me présenta sa belle queue, bien en face de mon visage. Alors oui, je lai sucé comme jamais javais sucé auparavant, avec fougue, patience, intensité, tendresse et force. Il na pas tenu longtemps, il semblait même surpris de jouir aussi vite tellement il a été emporté par la chaleur et lhumidité de ma bouche. Il a explosé dans des gémissements affolants, des « Ha, Ha,Ho oui, Han HAN » accompagnaient chacune de ses giclées de sperme nayant même pas eu le temps de se retirer pour me facialiser. Je suffoquais sous le flot de son éjaculation puissante et épaisse. Pour la 1ère fois, javalais lintégralité de sa formidable éjaculation.
Il a mis longtemps à revenir sur terre. Ses yeux étaient dans le flou, il semblait dans un état second pendant quelques minutes. Je restais là, à ses pieds, attendant quil revienne, du foutre glissant de ma bouche.
Je fus surpris quil ne me dise rien, se contentant de me regarder tout en rangeant son beau matos. Son regard était étrange, à la fois comblé mais il y avait autre chose que je narrivais pas à comprendre, cétait comme le regard dun maître satisfait que son chien qui lui ramène son bâton.
Puis il ma dit avant de partir :
-Demain matin 09h00. A 4 pattes et à poil.
A lheure convenue, il était là. Il a tenu plus longtemps et ma inondé le visage.
En partant, il ma dit : sois prêt à midi et jusque là, gardes mon jus sur ta petite gueule.
Sauf que moi, javais du bricolage et du jardinage à faire et je ne voulais pas non plus quil se croit tout permis. Le sucer de temps en temps, je métais fait à lidée durant la nuit mais lui aussi devait comprendre que javais une vie et que je nallais pas être tout le temps à sa disposition.
Alors jai pris une bonne douche et je suis allé vaquer à mes occupations.
A midi, il revient et me trouve en train darroser mes fleurs.
-Tas rien oublier petite pute ?
-Chut, mes voisins peuvent entendre, dis je en baissant la voix.
-Jen ai rien à foutre de tes voisins ! Quest ce que je tavais dit, salope !
Flippé, je lui ai fais signe de parler moins fort mais il sen moquait complétement :
-Ecoutes, espèce de parc à bites, tu files à ta place et tout de suite !
Pour la 2ème fois de la journée mais sous des insultes nourries et je lavoue excitante, je lai sucé et il ma refait un facial terrible. Comment pouvais tu éjaculer autant de sperme ? il y a bien un moment où nous tous les mecs, on jute moins voire quasiment pas. Mais lui non, des éjaculations de gardien de phare après 6 mois en mer quasiment à chaque fois !
Mais il navait pas oublié mon impertinence matinale. Peut-être lavait-il dailleurs anticipé, je lignore mais il nétait pas venu les mains vides. Je crois vraiment quil navait pas lintention dutiliser le contenu de son sac ce jour-là car tout était encore emballé, pas du tout prêt à lusage.
-Puisque tu sembles ne pas comprendre ou alors tu joues au con, je vais taider. Sil faut te punir pour que tu obéisses, je vais te punir ! Jaurais préféré que tu obéisses par toi-même, mais tant pis pour toi. Maintenant lèves toi, tournes toi le dos vers moi et mets tes mains dans le dos.
Jai entendu quil ferraillait quelque chose dans son sac, un emballage quon déchire puis un carton quon éventre. Et dun coup, sa main prend un de mes poignets et je sens la morsure dune menotte, suivie dun clac suivi dun 2ème sur mon dernier poignet libre. Il venait de me menotter ! Je me retrouvais attaché les mains dans le dos, à poil, la bite à lair face à un homme très motivé pour me punir ! Sans trop de conviction, plaintif, je lui dit
-Sil te plait, fait pas ça. Je tai bien sucé non ? On était ok pour des pipes et facials, le reste, on nen as pas parlé, cest pas cool de ta part. Sil te plait
Mais il narrêta pas, au contraire. Je compris quil allait me mettre un collier. Bizarrement je me suis dit quil navait pas pris un vulgaire collier de clébard, cétait un beau cuir noir aux finitions soignées et aux crochets en beau métal. Il avait un goût classe pour ces choses-là et un goût basique, direct, primaire et vulgaire pour toutes les choses du sexe, ce qui je lavoue me plaisait. Mais les menottes, ce nétait pas au programme et je nai pas apprécié dêtre ainsi à sa merci.
-Bon voilà, tu es maintenant officiellement ma chienne, dit il en attachant une chaine au collier dun air satisfait.
-Sil te plait, enlèves moi tout ç.., mais il me coupa la parole
-Toi, apprends à te taire !
-Sil te plait, jai compris qu
-Tu vas comprendre quil faut que tu la fermes. Dans le sac, jai une beau baillon boule qui ne demande quà servir.
Il bluffe, pensais-je, je ne le crois pas, il me laurait mis sous le nez pour appuyer sa menace. Il argumente toujours en prouvant ce quil dit et là, il na rien montré.
- Ok jai merdé, mais tu as eu ce que tu voulais, ça sert à rien tout ça.
- Alors, comme ça, tu me prends pour une pipoteur ? ça, cest quoi ?
Et là, à ma grande surprise et plus grand dépit, il sort un baillon boule !
-Ça cest pour après, à présent, à genoux et pompes.
Alors comme je lavais fait le matin, je pris en bouche sa grosse queue et je lui taillais une pipe sans les mains cette fois ci. Impossible de lui caresser les couilles, impossible de le décalotter et de le branler, ce fut à la bouche, rien quà la bouche. Jai beau être endurant, cest plus fatiguant, surtout quand on a une bite aussi massive que la sienne à astiquer.
Alors il tira sur la laisse dune main, bloquait ma tête de lautre et il se fit plaisir en me baisant la bouche. Jai apprécié quil ne se comporte pas comme un bourrin, tapant au fond, bourrant jusquaux amygdales. Il est allé au fond mais ce fut une baise de gueule respectueuse.
Il a fini par un gros facial comme il les aimait tant, très gras et il avait vraiment le coup de main, si je puis dire :
Pour la 1ère giclée, il sécartait de 5-6 cm de mon visage et visait le haut de mon front. Elle partait comme un coup de fusil, dans un splash surpuissant qui explosait en de multiples coulées sur mon front.
La 2ème était la plus grosse, épaisse, grasse, chaude et visqueuse, là il visait au-dessus de mon nez si bien quaussitôt je sentais son jus glissé le long de mon nez, vers mes yeux et ma bouche.
Les giclées suivantes, car il juta encore 2-3 belles avant de fournir des résidus puis des gouttes, il visa les yeux et les joues, si bien que tout ce flot glissat jusquà pendre de façon obscène au bout de mon menton ou se figer en flaques visqueuses partout sur mon visage.
Et là, il fit une chose qui me mhumilia comme rarement je lai ressenti : Debout face à moi à genoux, je le vis sapprocher de moi, posant ses couilles pendantes sur mon nez et contre mon front, et je senti quil posa sa queue sur le haut de mon crâne et là, à ma grande honte, je lui ai servi de kleexex pour essuyer son gland plein de sperme, dans mes cheveux.
-Que voilà un beau sac à foutre ! superbe ! ça vaut une photo ! Voilà, parfait. Je vais y aller, mais je reviens à 18h00 pour ta 3ème dose de la journée, petit veinard que tu es. Il est 12h45, je te laisse tranquille pendant un peu moins de 05h15. Reposes toi, cest samedi. Bien sur, vu que tu nes pas très obéissant, je te laisse les menottes et le collier, ça te laissera le temps de réfléchir sur les vertus de lobéissance.
-Tes fou, me laisses pas comme ça ! je te jures que je serais prêt à 18h00, je gardes ton facial, tout ce que tu me veux mais détaches moi, me laisses pas comme ça, jai compris
-Faux, tu continues à beaucoup trop parler. Réponds : Qui est ma chienne ?
-Moi
-Moi quoi ?
-Je suis ta chienne
-Ok, alors je vais moccuper de toi comme ma chienne puisque tu me le demandes. Tu vas être une bonne chienne à la niche et surtout qui ne dérange pas les voisins en aboyant. Voyons voir où est ta niche.
Il tira sur la laisse et je dus me mettre debout pour le suivre. Javais son sperme plein les yeux, javais du mal à les ouvrir car ça me piquait, je les entrouvrais et je sentais que ça glissait lentement jusquau menton.
-Sil te plait, cest bon, arrêtes, on a assez joué. Ça va trop loin, quest ce quil faut que je te dises ? Pitié, me laisses pas comme ça !
-Tu joues toi ? Pas moi. Tiens voilà, jai trouvé ta niche. A genoux. Obéis, ne me force pas à tirer ta laisse !
Je me mis à genoux et il me poussa pour me plaquer le dos contre lescalier, et tendis la laisse pour bien me tenir la tête en lair et cest ainsi que je finis à genoux, les mains menottées dans le dos, un collier au cou et une laisse tendue, attachée aux montants de lescalier. Jétais bloqué, incapable de bouger, recouvert de son sperme. Il exprima sa satisfaction et conclut en disant.
-Voilà, ma chienne. Mais tu parles encore et jai dit que tu devais la fermer. Cest pour qui le joli baîllon boule ?
Que pouvais je faire pour my opposer, ainsi attaché face à un homme qui me dépassait de plus dune tête ? Il a placé la boule devant ma bouche, à forcer un peu pour louvrir mais il neut pas de difficulté à obtenir ce quil voulait, calant parfaitement la boule dans ma bouche et ajustant au mieux son maintien grâce aux 2 lanières en cuir quil fixa par une boucle à larrière de ma tête. Il se mit ensuite à me prendre en photo, de tous les côtés et fit des gros plans de mon visage plein de sperme et debout devant moi, me regardant comme un objet, il me dit :
-Il est 13h00, tu as 05h00 pour faire ton autocritique et comprendre ta vraie nature.
Jai passé ces heures à attendre comme un zombie. Seules les crampes aux bras, à la mâchoire et le mal de genoux me rappelait ma dure réalité. Quelle heure était-il ? Allait-il revenir ? Allait-il me laisser ainsi indéfiniment ? Pendant ces 05h00 qui mont paru en durer 10, 20 ou 24, jai connu tous les sentiments, la peur dabord, la crainte physique, la haine contre lui, Je me suis promis de me jeter sur sa sale gueule de pervers, de lui éclater les couilles à grand coup de genoux, jétais révolté dans un tourbillon de colère. Puis je men suis voulu, minsultant de tous les noms de me retrouver dans une telle situation de merde. Et si quelquun me rendait visite et voyant ma voiture, décide de passer la tête à la porte comme cela arrive fréquemment. Et si quelquun me trouvait ainsi, quel mytho allais-je inventer ? De toute façon, personne ne me croira. Dire quun inconnu ma violé et porté plainte ? Impossible, les flics comprendront très facilement que cétait le jeu sexuel entre 2 adultes consentants.
Consentant, létais-je ? A la face du monde, cest clair que je létais. Une pipe la veille, une pipe le matin, un facial le midi, javais eu tout le temps de refuser. Mais jai accepté. Oui, je dois ladmettre, jai accepté de pomper, pomper et repomper cet homme. Je lai accueilli chez moi en toute connaissance de cause et si je me retrouvais ainsi, jen avais une part de responsabilité. Et si javais obéi, comme prévu dès nos 1ers échanges de mails, comme je my étais engagé, oui si javais obéi, serais-je ainsi prisonnier de ma propre maison ? Javais initié ce que je vivais, javais dit à H lors dans nos 1ers échanges de mails que je cherchais un mâle, un mec viril qui savait ce quil voulait, qui saurait prendre les choses en main. Javais été franc et direct « Si tu es du genre à hésiter, ce nest pas la peine de venir, tu repartiras les couilles pleines. Par contre, si tu sais prendre ce que je te laisse à dispo, alors tu es le bienvenu et on va bien séclater ensemble ».
Je lavais écris et cétait mûrement réfléchi car jaime les mecs comme ça et eux seuls me titillent. H nétait que la forme bien vivante et bien réelle de ce que je cherchais. Et je navais reçu que ce que je méritais car lui, il allait au bout, il poussait toutes les manettes à fond. Ok, tu veux sucer alors ça sera tous les jours. Ok tu aimes les facials, tauras des facials de folie. Ok tu veux un mâle directif, dominant, tu vas en avoir un et un vrai, pas en pacotille.
Jai décidé dattendre. Si le jour sen allait, cest quil était largement plus tard que 18h00 et quil faudrait que je trouve une solution mais laquelle ? Et peut-être tiendrait il parole ? Jusquà présent, tout ce quil avait dit était vrai. Il a toujours fait ce quil a prévenu de faire. A chaque fois, les choses étaient définies clairement et jai toujours su sans équivoque ce quil attendait de moi, ce que jaurais à faire pour le satisfaire. Et quand ce ne fut pas le cas, pour ma faute, jai subi une punition.
Jai subitement été convaincu quil serait là à 18h00 précises et que tout se passerait bien, du moment où je ferais ce quil veut. Et ce quil veut, cest une chienne pour lui vider les couilles. Si je le faisais, je navais rien à craindre. Alors oui, je le sucerais et bien. Oui, si je suis disponible, je lui viderais ses si belles couilles et oui, je lui boufferais sa si belle queue. Je la voyais sa queue, elle était présente dans mes esprits comme un totem et je la trouvais belle. Elle était belle, puissante, massive, vigoureuse, à limage de cet homme. Submergé par lintensité des sentiments qui magitaient, cassé physiquement par mes menottes, mon collier de chienne, engourdi dans une position dobjet, jai lentement glissé dans une sorte de sommeil doù jai émergé dans un sale état et étrangement avec une violente érection. Mon sexe était dur, je sentais mes couilles se crisper au contact du carrelage froid et mes tétons si sensibles, si nerveux étaient pointés comme ma bite dans des allures obscènes. Quelque chose en moi aimait ce que je vivais, je me suis vu par flash dans une cage, ligoté, bailloné, jai senti des frissons de plaisirs dêtre lhumilier, dêtre asservi. Jai désiré quH décide de me garder, dêtre capable de combler un homme tel que lui car javais la chance quil mai choisi.
Il arriva sans dire un mot. Il détacha le collier et retira mes menottes. Il me fit signe de le suivre.
Quand il eu été assis, il me montra le sol devant lui, la place quil mattribuait. Puis il pris la parole :
-Tes genoux doivent être douloureux, nest ce pas ? Assis toi par terre devant moi, adosses toi au meuble, écartes les jambes, mieux que ça, je veux voir ta queue et tes couilles. Cest bien, poses tes mains sur tes genoux.
Alors, écoutes moi bien, je vais être très clair et je ne vais pas me répéter.
Des suceurs, yen a partout. Des soumis comme toi, beaucoup moins et des chiennes, ça court pas les rues.
Je parle des vraies chiennes, pas les joueurs, les vraies qui obéissent aux claquements de doigts, celles à qui je peux tout faire sans quelles disent non. Toi ten est une mais tu penses encore que cest pour de faux, que cest un jeu et quon est potes.
Tu ladmets pas parce que ça te dérange le cerveau mais admets le une bonne fois pour toute, tu es une chienne.
On nest pas pote. Pour moi, tu nes rien dautre quun vide couille, tas des couilles et une queue mais cest de la déco, tu nas pas le droit de ten servir car tu nen es pas digne. Pour sen servir, faut se comporter comme un homme, un vrai, avec des burnes en acier trempé. Le burné, cest celui qui commande et lindigne, il obéi. Tu peux prétendre au monde entier que tu es un mec et que tu as des couilles au cul mais on sait toi et moi que cest bidon et que les seules couilles que tu videras, cest les miennes. Que les miennes car tu es à moi. Ça te parait choquant ce que je te dis mais saches que tes états dâmes, jen ai rien à foutre. Tes envies, cest pareil.
Aujourdhui je tai mis à ta place. Alors à présent, tu as un choix à faire. Sois tu admets que tu es MA chienne, tu baisses la tête, tu baisses les yeux, tu obéis en disant « Oui, Maître », soit cest la dernière fois quon se voit.
Il a planté son regard dans le mien, il était clair et net, sûr de lui voire inflexible.
Jai baissé le regard et la tête et jai dit « Oui, Maître ».
A suivre, si cela vous intéresse bien sûr.
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