Nadia
Nadia
Je suis une hypersexuelle, onaniste et voyeuse, docteur. Du moins, je ne pense pas me tromper dans les termes utilisés
avoua Nadia après quelques secondes de silence.
Le docteur Rigaud écoutait sa nouvelle patiente, les bras croisés sur son bureau. Il ne sourcilla pas dun millimètre, ses yeux bleu clair restaient apparemment inexpressifs.
Si cest un problème pour vous, pourquoi mavoir choisi pour en parler ? Je ne suis pas votre médecin habituel et je suis généraliste, pas psychanalyste ni sexologue.
Je suis entrée parce que ça ma pris devant chez vous.
Rigaud ouvrit des yeux ronds.
Quest-ce qui vous a pris devant chez moi ?
Une envie pressante de me masturber. Je voulais masseoir dans la salle dattente où je laurais bien fait sur place, il ny avait que quatre personnes, mais par respect pour vous je suis allée aux toilettes. Jespère que lon ne ma pas entendue.
Pourquoi par respect pour moi ?
Il marrive de me caresser en public, je suis aussi exhibitionniste.
Le voyeurisme et lexhibitionnisme sont les deux faces dune même médaille, mais vos scrupules vous honorent, fit Rigaud sarcastique.
À ces mots, Nadia se leva et prit ses affaires qui étaient posées en vrac sur un fauteuil à côté delle.
Excusez-moi, je vois que je me suis trompée
Le médecin leva vivement la main pour arrêter son étrange patiente.
Non, restez sil vous plait. Désolé je suis maladroit, mais admettez que la situation est exceptionnelle, pour moi comme pour vous si jai bien compris.
Il poursuivit :
Il nest que dix-neuf heures, vous êtes ma dernière patiente ; nous avons tout notre temps pour bavarder
Nadia se rassit et reposa ses affaires sans dire un mot.
Laissons tomber les circonstances de votre venue si vous le voulez bien. Parlons de ce qui vous amène.
Je navais jamais eu le courage avant
Je ne sais pas par où commencer.
Essayez par le début, fit Rigaud en souriant à Nadia pour détendre latmosphère.
Le début oui le début
Nadia réfléchit une quinzaine de secondes, prit une profonde inspiration et se mit à sexprimer dune voix blanche.
Je mappelle Nadia, jai vingt-six ans et cest un ami du père de ma mère qui ma caressée la première fois quand jai eu dix-huit ans. Mes parents et moi rendions visite à mon grand-père toutes les deux semaines dans sa maison à la campagne où il résidait depuis sa retraite. Il était veuf, ma grand-mère était décédée de nombreuses années auparavant dun cancer du sein. Un dimanche matin, ma mère me demanda de prendre mon bain et sortit avec mon père pour aller faire des courses. Cétait habituel, mais jappris plus tard que, si mes parents me laissaient seule avec mon grand-père ce nétait pas souvent pour faire des achats, mais jy reviendrai. Alors que je mamusais dans leau avec des jouets pour bébé qui dataient de ma petite enfance un ami de mon papy, il habitait à lautre bout du village et tout le monde lappelait lami Georges, entra dans la salle de bains. Il était chez mon grand-père comme chez lui et vice versa. Sa femme était décédée dans un accident de voiture et le veuvage avait rapproché les deux hommes. Sa présence ne me dérangeait pas, même si je nétais plus une , je me mettais encore nue devant les adultes de ma famille et les proches quand je devais changer de vêtements. Il faut dire quà cette époque, je nétais pas vraiment délurée. Cette fois-ci, au lieu de vaquer à des occupations quelconques à laquelle je naurais prêté aucune attention, il sapprocha de la baignoire en souriant et sagenouilla. Il saccouda, trempa sa main dans leau et fit quelques vaguelettes qui éloignèrent les jouets de moi. Puis son bras senfonça plus profondément, il fit glisser ses doigts entre mes cuisses, je le laissai faire et
vous devinez la suite.
Avez-vous eu un orgasme ?
Oui, je crois.
Continuez.
Quand ce fut terminé, lami Georges membrassa sur la joue en exigeant la promesse que tout cela resterait entre nous et se retira. Je demeurai dans le bain et, fermant les yeux, je passai doucement mes doigts sur ma vulve et mon clitoris. Mes organes restaient sensibles, mais il ny avait pas eu pénétration de sa part et joubliai vite lincident. Cela dura six mois pendant lesquels, à chaque fois que je prenais mon bain chez mon grand-père et que nous étions seuls, je me laissais masturber avec de plus en plus de plaisir, je dois avouer. Il navait plus besoin de forcer mes cuisses à souvrir, jécartais les jambes de moi-même et lui présentais ma chatte ouvertement. Quant à lui, il devenait de plus en plus imaginatif pour mamener à lorgasme. Il essaya bien quelquefois de faire pénétrer un doigt dans ma vulve, mais ny parvint pas. Je pensais que je nétais pas prête à cela ou bien que jétais trop contractée pour laisser entrer quoi que ce soit dans mon intimité. Jignorais alors que mon vagin serait à jamais impénétrable. Le lendemain de mes dix-neuf ans, mon grand-père mourut. Ma mère hérita de la maison, mais nous continuions à venir à la campagne tous les quinze jours. Lami Georges ne vint plus, la disparition de mon grand-père lavait affecté au point quil résidait maintenant dans une maison de retraite spécialisée. Quand je prenais mon bain à la campagne, il me manquait quelque chose et rapidement, ma main remplaça celle de Georges. Ayant eu de nombreuses fois loccasion dobserver et de ressentir ses gestes, je me masturbais avec délice dans la chaleur de leau.
Le faisiez-vous chez vos parents ?
Au début non, je nen éprouvais pas la nécessité et pour moi, cétait réservé à la maison de mon grand-père. Mais comme je métais aperçue que je navais plus besoin de lami Georges, je me mis à pratiquer la masturbation également chez moi surtout dans mon lit et dans le bain, mais aussi sur la cuvette des W.C. ou encore, debout derrière la porte des toilettes du lycée pour ne pas être surprise.
Nadia fit une pause.
Auriez-vous quelque chose à boire ? Sil vous plait.
Oui bien sûr.
Le docteur Rigaud se leva, entra dans son cabinet dauscultation et emplit un grand verre deau du robinet quil posa devant Nadia. Debout à ses côtés, il réalisa que sa curieuse patiente était une jolie femme aux cheveux couleur châtain foncé coupés en carré. Toutefois, ses yeux noirs accentuaient la détresse qui émanait de sa personne. Elle prit le verre et le porta à ses lèvres tandis que dans le même temps, elle remonta rapidement sa jupe de sa main restée libre juste en dessous de la ceinture. Elle avait des bas résille noirs, le haut de ses cuisses était dune blancheur anémique et labsence de sous-vêtement laissait voir un triangle noir de jais dans lequel elle fourra deux ou trois doigts.
Que faites-vous ? fit Rigaud mal à laise.
Il faut que je me branle devant vous. Je nen peux plus de résister, cest maladif. Restez sil vous plait, implorait Nadia.
Dans ce cas, allez vous allonger dans le cabinet dauscultation, fit le médecin, impératif, lindex tendu.
Daccord si vous venez me regarder.
Je regarde OK, mais je ne touche pas. Je ne suis pas lami Georges.
Rigaud accompagna Nadia et la fit allonger. Ayant quelquefois affaire à des femmes qui ne souhaitaient pas particulièrement consulter un gynécologue, la couchette était équipée détriers qui permettaient de garder les jambes largement écartées pour lexamen de rigueur.
Rassurez-vous, dit-elle, avec lhabitude cela ne prend pas plus de deux ou trois minutes. Dautant que vous êtes là à me regarder, jai plaisir à imaginer que je vous excite.
Rigaud, confus, baissa les yeux.
Oui, je vous le confirme, je ne suis pas de bois.
À ces mots, le visage de Nadia séclaira. Son médius glissa entre ses petites lèvres puis vint titiller le clitoris pendant quelques instants. Le lubrifiant que Nadia sécrétait était adroitement récupéré et permettait une caresse douce de son petit bouton. Nadia navait pas menti, au bout dune minute à peine elle se mit à gémir doucement. Le doigt allait de plus en plus vite sur le clitoris et récupérait les sécrétions plus souvent. Enfin, elle poussa de petits cris plaintifs dont le volume sonore samplifiait de manière significative. Malgré linsonorisation du cabinet et le fait que personne ne devait plus se trouver dans la salle dattente, Rigaud était inquiet et coula un regard rapide vers la porte pour vérifier que celle-ci était bien fermée. Les petites plaintes cessèrent brusquement, Nadia retenait sa respiration et semblait fournir un effort surhumain. Le doigt tournait de plus en plus vite sur le clitoris lorsque soudain, ny tenant plus, Nadia poussa un long cri dorgasme en expirant tout lair bloqué dans ses poumons. Quand elle neut plus de souffle, elle se caressa encore une quinzaine de secondes du plat de la main et enfin cessa tout mouvement, gardant sa paume sur son sexe comme pour le cacher.
Ça va mieux ? demanda le médecin, un imperceptible sourire aux lèvres.
Oui, murmura-t-elle. Laissez-moi quelques minutes sil vous plait, continua-t-elle en descendant de la couchette et en rabattant sa jupe.
Je vous attends au bureau.
Nadia revint sasseoir peu après en face du médecin sans vraiment oser le regarder en face. Quant à lui, il lobservait fixement.
Jy suis obligée
finit-elle par dire dune petite voix comme si elle sexcusait.
Je vous écoute pour la suite, fit le médecin ignorant la remarque.
Où en étais-je déjà ?... Ah ! Oui. Quand je maperçus que je navais pas besoin de Georges pour me masturber, je prenais plaisir à me caresser aussi souvent que je le pouvais, mais toujours en cachette. Mes seules spectatrices restaient mes poupées. Un dimanche matin toutefois dans la maison de campagne, lorsque mes parents me dirent quils allaient faire des courses, je leur trouvai un air bizarre. Aussi, au lieu de prendre mon bain comme jaurais dû le faire, je les suivis du regard par la fenêtre. Comme je my attendais, ils ne montèrent pas en voiture pour aller au village voisin, mais se dirigèrent vers le fond du jardin où se trouvait ce que mon grand-père appelait pompeusement le « chalet ». Cette construction sommaire en bois était parfois utilisée comme cuisine dété et comme chambre dappoint lorsque les invités étaient nombreux. Mes parents pénétrèrent dans le chalet et refermèrent soigneusement la porte derrière eux. Je voulus en avoir le cur net, aussi je laissai passer quelques minutes puis sortis dans le jardin pour mapprocher discrètement de la cabane. Par une lucarne poussiéreuse, à moitié dissimulée par de la vigne vierge, je jetai un il curieux à lintérieur. Ce que je vis me choqua énormément. Mon père était assis sur le lit, nu, les pieds posés à terre et les jambes écartées. Ma mère, nue également, était à genoux devant lui et lui suçait la verge goulûment. Je mesquivai rapidement de peur davoir été remarquée, le cur battant la chamade. Jattendis quelques minutes et je regardai à nouveau. La situation navait pas changé, je navais dyeux que pour le pénis de mon père qui, raidi, me paraissait énorme. Je navais jamais vu de sexe masculin auparavant hormis de temps en temps, à la plage, celui minuscule des petits garçons. Je sentis dans mon bas-ventre lexcitation sexuelle qui montait et ne pus mempêcher de glisser la main dans ma culotte et de commencer à me masturber tout en observant mes parents. Je fus encore plus surprise et effrayée à la fois, quand mon père pénétra dun coup de reins le vagin de ma mère et quil pratiqua de grands va-et-vient qui la faisaient gémir. Moi qui ne pouvais entrer mon petit doigt dans le mien, je minterrogeai fortement sur la conformation du sexe de ma mère. Comment pouvait-elle absorber un tel engin ? Jappréciai le spectacle pendant quelques minutes puis, bien avant moi, elle hurla de plaisir suivie de près par mon père. Je nignorais pas, et pour cause, quune femme avait des orgasmes, mais cétait la première fois que je voyais jouir un homme. Je ne métais dailleurs jamais posé la question de savoir si un homme avait aussi des orgasmes. Toutefois, je ne vis pas de sperme, car mon père avait éjaculé dans le vagin de ma mère. Jen fis la connaissance plus tard seulement quand mon père se laissait branler, car même quand il se faisait sucer, je remarquais que ma mère déglutissait plusieurs fois et que la semence ne ressortait pas. Ma main et ma culotte étaient trempées et enfin ce fut à mon tour de jouir. Bien quétouffé, mon gémissement attira momentanément lattention de mes parents et je craignis avoir été découverte. Heureusement, il nen fut rien, mais je pris mes jambes à mon cou et retournai à la maison. Je fonçai dans la salle de bain et dès que la baignoire fut pleine, je my précipitai et me masturbai une seconde fois en me remémorant ce que je venais de voir.
Je marrangeais avec mes règles et leur lot dinconvénients surtout pour moi qui en étais arrivée à me caresser tous les jours de lannée. Par ailleurs, javais pris lhabitude de surveiller mes parents lorsque nous étions à la campagne et dès quils disparaissaient de ma vue, je mapprochais subrepticement du chalet pour les regarder baiser en me branlant. Cela dura plusieurs mois ; or un jour, alors que je les observais faire lamour et que javais la culotte sur les chevilles pour me masturber plus facilement, japerçus les broussailles de la propriété voisine qui bougèrent. Le chalet était au bout du jardin et seul un grillage à larges mailles délimitait les deux terrains. Je compris tout de suite que jétais épiée et, au lieu de me cacher de honte je réalisai que, comme avec mes poupées dans ma chambre, jétais encore plus excitée. Je remontai ma robe de ma main gauche tandis que de la droite je me caressais langoureusement et ostensiblement. Je fis faire un quart de tour à mon bassin afin de présenter mon sexe et mes doigts qui le masturbaient vers la propriété du voisin doù je savais être observée. Je ne moccupai plus de mes parents et je jouis bien plus fort quhabituellement.
Quel âge aviez-vous à cette époque ? interrogea Rigaud.
Un peu moins dune vingtaine dannées. Je peux vous demander de leau à nouveau sil vous plait ?
Bien sûr, puis se ravisant : Vous voulez aussi vous allonger dans la salle à côté ?
Comment avez-vous deviné que jen avais encore envie ?
Pas difficile. Votre récit finit par mexciter, je pense que pour vous il en est de même.
La jeune femme sourit.
Oui, mais je reste sur la chaise.
Rigaud eut un geste dimpuissance et soupira :
Soit.
Le médecin revint peu après avec un verre deau, Nadia avait déjà commencé. Cette fois-ci, elle avait totalement ôté sa jupe quelle avait posée près delle ainsi que son pull-over. Ignorant le soutien-gorge comme la culotte, elle navait conservé que ses bas. Rigaud admirait cette jeune femme qui exhibait ainsi son corps et son regard sattarda un moment sur la pointe de ses seins qui durcissaient. Il porta ensuite son attention sur le triangle noir quil connaissait déjà et où la main de Nadia saffairait. Comme la jeune femme était assise, il ne voyait que les doigts remuer, la vulve restant masquée. Il revint vers la poitrine et le visage où les yeux, troublés par lexcitation, scrutaient Rigaud avec insistance. Les petites lèvres du sexe de Nadia émettaient un bruit de succion lorsquelles étaient caressées et une tache se formait sur la chaise au milieu de ses cuisses écartées. Rigaud eut beau sen défendre, mais devant ce spectacle, il sentit son pénis entrer en érection. La jeune femme se pencha soudain vers le bureau en gémissant et posa la tête sur son bras replié. Le médecin ne voyait plus que le dos et la moitié de la raie des fesses de sa patiente ; son corps avait des soubresauts. Nadia se releva brusquement, poussa un cri en se tournant vers Rigaud les jambes écartées et eut un orgasme puissant. La jeune femme demeurant pantelante sur sa chaise reprenait sa respiration. Elle remit sa jupe et son pull, finit son verre deau et fixa son regard sur le médecin, lair de dire : « Je suis prête pour la suite ». Baissant les yeux, elle aperçut, sous le pantalon, la bosse que faisait son sexe en érection. Nadia sourit.
Ça ne vous laisse pas indifférent, dites-moi.
Sans mot dire, Rigaud se rassit.
Navez-vous jamais eu dexpérience avec un partenaire ?
Si, une fois avec un homme et une autre fois avec une femme. Mais je suis toujours vierge, ça vous étonne ?
Je vous écoute, répondit le médecin sans relever.
Lhomme que jai connu commença Nadia, cétait mon voyeur de voisin. Il avait bien fini par sapercevoir que javais deviné que quelquun mespionnait quand je me masturbais le dimanche devant le chalet. Il en avait déduit, à juste titre, que jaimais mexhiber et cela lencouragea pour tenter dobtenir plus de moi. Il était mon aîné de deux mois à peine et, un dimanche matin, une fois la séance du chalet terminée et ma culotte remontée, il se présenta de lautre côté de la clôture.
Bonjour, je mappelle Laurent et toi ?
Moi, cest Nadia.
Tu peux sortir cet après-midi ? On ferait un tour dans le bois.
Je nétais pas complètement idiote et je compris bien quel était le but de sa manuvre. Mais comme moi-même jétais de plus en plus intriguée par lappareil sexuel masculin, je lui fixai rendez-vous dans laprès-midi sur la route à la porte de chez moi. Habitant la région toute lannée, Laurent connaissait bien les environs. Il mentraina dans des bois épais par un chemin forestier quil nous fit quitter pour se diriger vers un abri de chasse sommaire en planches. Comme ce nétait pas la saison de la chasse, il mexpliqua que nous ne serions pas dérangés. Dès que nous fûmes arrivés, il menlaça et chercha à membrasser en poussant sa langue entre mes lèvres jusquà ouvrir ma bouche. Je fus tout dabord surprise, je ne savais pas comment répondre à un tel baiser puis je maperçus que cétait bien facile et agréable. Cette longue caresse de nos langues mexcita rapidement et ma vulve se mit immédiatement à mouiller. Voyant que je nopposais aucune résistance à ses élans, Laurent senhardit en passant sa main sous ma robe et dans ma culotte. Il fit glisser cette dernière, non sans mal, jusquau milieu des cuisses et se mit à me caresser les petites lèvres. Je fondis littéralement sous la caresse et Laurent tenta sans succès de pénétrer mon vagin de ses doigts mouillés. Il sénervait, je regimbais puis comme il me faisait mal je méchappai de son emprise pour me réfugier à lautre bout de la cabane. Je réajustai ma culotte et peu après il revint vers moi en sexcusant. Je lui fis comprendre que je voulais bien beaucoup de choses, mais pas ça. Il devint plus doux, membrassa à nouveau avec sa langue et fouilla maladroitement dans sa braguette. Il réussit tout de même à sortir son pénis qui bandait. Il me prit la main et me le fit enserrer. Je la retirai vivement comme si quelque chose de chaud mavait brûlé puis je repris la verge à pleine main. Jétais subjuguée par la douceur de la peau que je caressais longuement et par cette partie du corps masculin que je navais jamais touchée auparavant. Prenant mon poignet, il le fit aller et venir deux ou trois fois, ce qui eut pour effet de découvrir et de recouvrir le gland. Ayant déjà observé ma mère masturber mon père, je compris ce quil voulait et je continuai le mouvement seule, il enleva sa main et mit sa bouche contre mon cou et poussant de petits gémissements. Jen profitai pour regarder ce que je faisais et je me régalais de me voir branler ce membre, nettement moins imposant toutefois que celui de mon père. Je nétais pas peu fière de faire comme ma mère. Au bout de quelques minutes, je sentis Laurent se crisper, pousser un long soupir et je vis, émerveillée, une giclée de sperme jaillir de sa verge en me mouillant les doigts et une partie de ma robe. Plusieurs jets sensuivirent, de moins en moins puissants, mais mon compagnon soupirait à chacun deux. Quand plus rien ne sortit, alors que je le masturbais toujours avec la même vigueur, il stoppa ma main fermement, car pour lui cétait fini. Jétais trempée dexcitation. Maintenant que Laurent avait joui, il fallait que je jouisse aussi, cétait impératif. Je lui pris la main et la fourrai sous ma robe. Il comprit aussitôt, baissa ma culotte doucement et se mit à me caresser les lèvres et le clitoris, il nessaya plus de me pénétrer. Il avait certainement déjà eu une expérience, ou plusieurs que sais-je, avec une femme, car il était très habile de ses doigts pour son âge et tout cela sans tenter de sintroduire dans mon vagin. Jétais toujours debout, et excitée comme je létais de lavoir masturbé, je ne mis pas longtemps à pousser de petits cris suivis dun long soupir dorgasme. Les contractions de mon vagin expulsèrent la cyprine que je sécrétais en quantité. Laurent garda sa main trempée sur mon sexe sans le caresser, jusquà ce que je la lui fisse retirer doucement.
Il ne vous a rien demandé dautre ?
Si, mais plus tard, je vais y venir. Mais je veux dabord votre bureau.
Pardon ?
Oui, je veux mallonger sur votre bureau et me caresser.
Rigaud, que laspect médical du récit passionnait de plus en plus répondit, résigné :
Daccord, attendez, je fais un peu de place.
Le médecin débarrassa rapidement divers documents de la surface du meuble. Nadia, qui cette fois-ci avait enlevé la totalité de ses vêtements, sallongea dessus de tout son long en laissant pendre ses jambes à partir du genou. Elle écarta les cuisses ce qui permit à Rigaud, qui était devant elle, de contempler les moindres détails de son anatomie, notamment ceux de son sexe. Sa main parvint doucement de son ventre à son mont de Vénus où elle sarrêta. Le médius se tendit à limage dun pénis en érection et vint soulever délicatement la peau qui recouvre le clitoris pour se glisser en dessous et commencer un lent mouvement circulaire. La fente des petites lèvres se mit à briller sous la lumière presque instantanément. Les sécrétions furent utilisées savamment par Nadia qui, comme à laccoutumée, eut un orgasme violent dans les trois minutes qui suivirent. Rigaud se surprit à triturer son sexe en érection à travers la poche de son pantalon. Après avoir repris son souffle, Nadia interrogea :
Alors ? Toujours excité ?
Évidemment ! lâcha nerveusement le médecin. Comment voulez-vous quun homme normalement constitué reste insensible à ce spectacle ?
Jaime que vous me le disiez. Plus je sais que jexcite mes spectateurs et plus je jouis fort et rapidement.
Venons-en au fait, fit Rigaud qui ne voulait pas continuer sur ce terrain.
Laurent et moi allions à la cabane régulièrement et nous nous offrions mutuellement des masturbations divines. Plusieurs mois après notre première fois, peut-être lassé par nos jeux de mains, il défit son pantalon et le fit glisser ainsi que son slip jusquaux genoux. Je découvris son sexe dans son intégralité, je navais jamais bien vu ses testicules même si je les avais déjà caressés auparavant. Il se mit devant moi, je lui pris la verge comme dhabitude, mais il retira ma main. Je le regardai étonnée, mais il posa ses mains sur mes deux épaules et appuya doucement, mais fermement. Je compris quil voulait que je magenouille. À genoux, je me retrouvai avec son sexe en érection sous le nez et il appliqua délicatement son gland contre mes lèvres. Ayant déjà vu ma mère pratiquer une fellation à mon père, je décidai de me lancer à mon tour et ouvris la bouche en fermant les yeux. Le pénis entra jusquà la luette ce qui me fit réprimer un haut-le-cur et Laurent poussa un soupir daise. Je repris le contrôle et commençai par un va-et-vient de son gland entre mes lèvres avec de temps à autre, des caresses appuyées avec ma langue. Laurent gémissait comme je ne lavais jamais entendu faire lorsque je le masturbais, même sil mavait appris toutes les techniques quil connaissait en la matière. Je le suçais avec un plaisir inégalé, je sentais ma culotte se tremper au fur et à mesure de mes caresses quand soudain je pensai affolée :
Il va falloir que je fasse comme ma mère quand il jouira. Elle na jamais laissé ressortir le sperme, jai bien vu quelle lavalait.
Excitée comme je létais, cette idée ne me parut pas plus désagréable quune autre et je continuai mes caresses buccales avec entrain. Le moment approchait, jétais prête, je lattendais. La première giclée de sperme me remplit la bouche, je la déglutis immédiatement. Laurent poussa un profond soupir, me prit la tête par larrière et enfonça sa verge le plus loin possible, mais je ne laissai pas aller jusquà la luette. Il éjacula une deuxième fois avec force, puis rapidement une troisième et une quatrième sans me laisser le temps davaler. Je déglutis vite ce que je pus conserver, mais sentis tout de même un peu de sa semence déborder de mes lèvres, couler le long de mon menton et tomber sur le sol. Les autres éjaculations furent moins volumineuses et je pus les avaler sans effort. Les soupirs que Laurent avait poussés avaient été de vrais râles de plaisir. Il avait eu un orgasme que je navais jamais réussi à lui faire atteindre avec ma seule main. Je le devinais tout mou sur ses jambes. Mes lèvres entouraient toujours son sexe immobile et il me tenait encore larrière du crâne. Puis il se retira doucement, je sentis une dernière fois sa verge glisser hors de ma bouche, il était épuisé. Je me relevai, remontai ma robe rageusement et lattachai dans cette position avec la ceinture. Je baissai ma culotte que jenlevai et me mis à me masturber violemment devant lui qui me regardait sans réagir, son envie ayant momentanément disparu. Jeus également un orgasme exceptionnel. Cela avait été tellement inhabituel pour nous quau bout dune demi-heure, nous refîmes la même chose. Je fus étonnée toutefois de la petite quantité de sperme recueillie que je mexpliquai par le peu de temps écoulé entre les deux éjaculations. Javais pratiqué une fellation comme ma mère, jen étais heureuse.
Laurent ne vous a pas fait la même chose ?
Un cunnilingus, vous voulez dire ? Rigaud hocha la tête.
Non. Je découvris ça peu après tout de même, mais pas avec lui.
Alors à quelle occasion ?
Quand jai couché avec Delphine.
Racontez.
Oui, mais il faut me laisser dabord le temps dun entracte.
Encore ! ne put sempêcher de dire le médecin.
Si vous voulez le faire à ma place
Vous savez que je ne dure pas longtemps.
Rigaud luttait contre la tentation, Nadia était séduisante. Son sexe, déjà raidi en pensant à cette éventualité, lui ordonnait de se laisser faire, mais sa tête le suppliait de ne pas sortir de son rôle de médecin. Ce fut la raison qui lemporta.
Faites ce que vous avez à faire, répondit-il simplement.
Nadia sourit étrangement. Nayant remis que son pull depuis la fois précédente, elle se leva à demi nue et sadossa contre un mur du cabinet. Écartant les jambes, Nadia regarda Rigaud droit dans les yeux comme si elle le défiait et entama une masturbation de plus. De sa main gauche, elle souleva le capuchon du clitoris et du médius de son autre main, elle cueillit un peu de lubrifiant. Elle revint vers le petit bouton quelle titilla rapidement. La manière dont elle sy était prise fit que lorgasme nattendit vraiment pas longtemps. Elle se mit à gémir presque simultanément au contact de son doigt sur son clitoris et elle jouit dans les trente secondes suivantes. Les sensations avaient été, toutefois, assez pauvres.
On dirait que je vous fais moins deffet ? fit-elle déçue au médecin.
Je commence à être un peu blasé, répondit Rigaud en soupirant.
Si vous êtes moins excité, moi ça me fait moins deffet aussi et ça, je ne le veux pas ! dit-elle en colère.
Nadia repassa sa jupe nerveusement et sassit devant le bureau lair un peu renfrogné. Rigaud la dévisagea, elle boudait comme une .
Alors ? Delphine ?
Nadia soupira et reprit sans enthousiasme apparent.
Delphine et moi nous sommes rencontrées à la fac. Nous avions un peu plus de vingt et un ans chacune. Cétait une nouvelle expérience pour nous deux et nous ne nous connaissions pas auparavant. Nous avons sympathisé rapidement et avons commencé à aller lune chez lautre pour le travail personnel que nous devions accomplir et aussi pour le plaisir de se retrouver. Lors de mes rencontres avec Delphine, je devais marranger pour gérer mes envies. Je me masturbais avant et après notre entrevue. Si ça me prenait pendant, je le faisais aux toilettes. Un samedi cependant, alors que jétais chez elle, elle me laissa seule dans la chambre pour rejoindre sa mère brièvement. Je ne sais pas ce quil me prit, mais jétais en robe sur son lit et je nai pu mempêcher de glisser ma main dans ma culotte et de me caresser pendant son absence. Jarrivai tout naturellement à lorgasme et quand ce fut fini, la porte de sa chambre souvrit doucement. Delphine entra en me regardant tendrement et sapprocha de moi :
Je ne savais pas que tu te faisais plaisir comme ça, dit-elle en me caressant les cheveux.
Tu as aimé me regarder ? fis-je heureuse. Si javais su, je laurais fait devant toi bien plus tôt. Et toi, tu te caresses ?
Oui, la nuit et dans mon bain.
Oh oui ! Cest bon le bain, répondis-je en pouffant.
Delphine sallongea à mes côtés, prit mon visage entre les mains et membrassa amoureusement avec sa langue. Je répondis volontiers à ce baiser, mais je jetais quelques regards inquiets en direction de la porte.
Ne ten fais pas, mon père est au travail jusquà ce soir et ma mère vient de partir chez le coiffeur. Nous avons bien trois heures devant nous.
Delphine ôta ses vêtements et je fus surprise de lui voir un pubis rasé. Elle était blonde et sa peau était dun blanc laiteux. Je fis de même et, nues toutes les deux, nous roulâmes enlacées sur le lit. Delphine quitta ma bouche pour membrasser les seins, puis le ventre et le pubis où elle se mit à jouer avec mes poils en les tirant légèrement avec les lèvres. Mon sexe débordait de lubrifiant, Delphine sen aperçut, posa ses lèvres sur ma vulve et commença à exciter mon clitoris avec la langue. Je navais jamais éprouvé pareille sensation, elle mamena à lorgasme en peu de temps et mes contractions vaginales lui emplirent la bouche de mes abondantes sécrétions. Delphine releva la tête, le menton et les joues toutes luisantes de mon plaisir, elle semblait être aux anges. Elle se mit alors à genoux en me tournant le dos et me chevaucha le visage. Javais son sexe à portée de lèvres et, immédiatement, je lembrassai avec la langue comme si cétait sa bouche. Delphine, comme moi, lubrifiait beaucoup et jaimais avaler régulièrement ce liquide incolore au goût de fer. Moins experte quelle et elle moins sensible que moi, je mis plus longtemps à la faire jouir, mais à son râle dorgasme, je sus que jétais parvenue honnêtement à mes fins. Nous passâmes le reste de laprès-midi à nous caresser avec la main ou avec la bouche pour notre plus grand plaisir mutuel.
Le lendemain dimanche, quand ma mère me leva pour partir à la campagne, je repensai subitement à Laurent. Que vais-je lui dire ? Je savais maintenant que Delphine comptait pour moi bien plus que lui et que je ne voulais pas faire de peine ni à lune ni à lautre. Javais rendez-vous avec Laurent laprès-midi même dans la cabane de chasse et javais pris la décision de le quitter. Mais, en guise dadieu, je décidai de lui faire un cadeau particulier. En effet, lorsque jespionnais mes parents dans le chalet, il marrivait quelquefois de les voir faire une chose étonnante : ma mère à quatre pattes et mon père derrière la baisant en levrette. Toutefois, son sexe ne semblait pas toujours aller et venir dans son vagin, mais parfois dans son rectum. Jai longtemps cru avoir mal vu, mais je finis par comprendre le terme « sodomie » que javais déjà entendu. Ainsi, même moi je pouvais être pénétrée ! Cest Laurent qui en sera le premier et peut-être le seul bénéficiaire. Laprès-midi, à lheure de la rencontre, je me dirigeai vers la cabane de chasse. Laurent my attendait déjà et se jeta sur moi pour membrasser à pleine bouche. Je lui rendis son baiser et, impatient, il sortit sa verge en érection de sa braguette pour que je la suce. Au lieu de cela, je remontai ma robe au-dessus de la ceinture, ôtai ma culotte et minstallai à genoux dans la position du ftus, mais les jambes écartées, sur la table précaire de labri. Mes fesses étaient à hauteur de sa braguette, il défit son pantalon et son slip et sapprocha de moi. Le bras dans le dos, je lui saisis le pénis et le posai sur mon anus. Sachant quil ne pouvait pénétrer mon vagin, il comprit ce que je voulais et commença à forcer doucement le sphincter. Le passage fut long à se former et je serrai les dents en gémissant de douleur plus dune fois, mais je tins bon. Enfin, mon anus sécarta et mon rectum, souple, enserra aisément le membre de Laurent qui entama dinterminables va-et-vient. Cela dura longtemps, je jouissais non pas physiquement, mais psychologiquement en pensant au plaisir que joffrais à Laurent. Et puis enfin, un homme me pénétrait de sa verge ! Jétais devenue légale de ma mère
Laurent glissa sa main par devant et se mit à me caresser le clitoris. Effet du hasard ou habileté extraordinaire de mon amant, nous jouîmes simultanément et intensément pendant un temps qui sembla une éternité à chacun de nous. Épuisée, je mécroulai sur la table éjectant le pénis de Laurent de son écrin, il se coucha sur moi et nous mîmes plusieurs minutes à récupérer. Nous nous rhabillâmes et vint le moment pour moi de partir.
Cétait la dernière fois Laurent, je suis désolée, mais nous ne nous reverrons plus, dis-je en baissant les yeux.
Quoi ? Avec ce quon vient de faire ?
Cétait mon cadeau dadieu.
Un autre homme ? Mieux que moi je parie ?
Ce nest pas un homme, mais une femme.
Je partis en courant, clouant sur place Laurent et son air hébété. Cela me fendait le cur de lui faire tant de peine et puis il avait été si tendre et compréhensif avec moi
Mais jétais amoureuse de Delphine et elle me le rendait bien, du moins je le pensais. Notre idylle ne dura que le temps de lannée universitaire. Lannée suivante, Delphine avait déménagé avec ses parents et nous ne nous vîmes plus. Je neus plus que la masturbation pour me consoler et je ne men privai pas. Je me caressais non seulement nimporte quand, mais surtout nimporte où et devant nimporte qui. Cest alors que lon prévint mes parents et quils memmenèrent consulter un médecin.
Et la suite ?
Petit entracte ! répondit Nadia, lil malicieux. Rigaud poussa un soupir de lassitude.
Comme ça na pas lair de vous réjouir, cette fois-ci on change. Vous allez vous mettre à la place de Laurent, vous verrez comme je fais bien les pipes.
Vous ny pensez pas !
Je vous observe depuis tout à lheure qui bandez quand je me caresse. Il y a même des fois où vous vous touchez. Ce nest pas vrai ?
Oui, mais ce sont des réflexes idiots, se justifia le médecin penaud.
Nadia nécoutait plus et sapprocha de lui. Elle fit tourner le fauteuil pivotant dun geste ferme et se mit à genoux entre les jambes de Rigaud médusé, incapable de bouger. Elle ouvrit la braguette, agrippa avec un peu de difficultés le pénis raidi quelle décalotta dun coup sec. Elle approcha sa bouche grande ouverte, mais au dernier moment Rigaud sortit de sa torpeur et se leva dun bond pour se rhabiller hâtivement.
Non et non ! Ce nest pas possible, dit-il.
Nadia vexée repoussa vivement le fauteuil qui roula sur deux mètres, remit sa jupe, ses bas et se rechaussa. Furieuse, elle partit et claqua la porte sans prononcer un mot. Rigaud se précipita dans le couloir et laperçut par la fenêtre qui marchait dun pas rapide et saccadé sur le trottoir puis il poussa le verrou de son cabinet. Il revint à son bureau où il sassit, abasourdi.
Cest une folle ! dit-il à haute voix. Cest une folle
Il mit quelques minutes à se remettre de ses émotions et, quand il fut calmé, il décrocha le téléphone et composa un numéro.
Clinique psychiatrique de Seryset, bonjour.
Allo ? Passez-moi le docteur Fardony sil vous plait de la part du docteur Rigaud
Allo, Germain ? Cest Fred. Je viens de vivre un truc incroyable, une cliente pour toi ! Il faut absolument que je ten parle demain après ta conférence.
Fardony répondit rapidement :
Si je la fais ! On est dans la merde en ce moment. Une patiente sest tirée hier, on ne la pas encore retrouvée.
Ah ? Et comment est-elle ? questionna Rigaud inquiet.
Cest une jeune femme brune qui na pas trente ans, elle est mignonne, mais dangereuse. Elle a une espèce datrésie vaginale inopérable qui lui taraude le ciboulot.
Dangereuse ? Vraiment ?
Au début non, elle jouait de la mandoline cinquante fois par jour devant tout le monde. On essayait de lisoler, mais elle sest mise à aguicher les mecs qui sen repentirent vite. Lautre jour, elle a arraché le gland à un interne à qui elle taillait une pipe dun coup de dent ! Le pauvre type braillait comme un cochon quon égorge. En tout cas maintenant, il est tranquille pour sa descendance.
Rigaud déglutit avec difficultés :
Et
comment sappelle-t-elle ? senquit-il, la voix tremblante.
Diana Descars.
À ce nom, Rigaud murmura un « ouf ! » de soulagement.
Mais son prénom ne lui a jamais plu, elle préfère Nadia, cest son anagramme.
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