J'Ai Tout Vu

Au début du confinement, je rentrais à l’appart, sans trop m’annoncer. Dans l’entrée, le sac de Paulo. Paulo est rentré ! Youpiii ! Je me mets à le chercher : salon, salle à manger, chambre…personne. Ne reste plus que la salle de bain. La porte est entrouverte. Ca me permet de voir Rémi et Paulo, en slips tous les deux, entrain de s’embrasser à pleine bouche. J’ai envie de me mêler à la fête, mais, sur un coup de tête, je me retiens et décide de les observer, sans me montrer. De les voir ainsi, tous les deux, me fait de l’effet instantanément. Je me mets à bander.
C’est Rémi qui a l’air d’avoir pris l’initiative. Voir « Une infinie douceur », « Une infinie jouissance » et « Rémi » ) En plus de dévorer la bouche de Paulo, il farfouille dans sa chevelure fournie, attirant encore plus sa tête vers lui. Le baiser a l’air fougueux, passionné…Tiens, tiens…Maintenant, je vois les mains de Rémi qui empoignent les épaules de Paulo, le collant encore plus à lui si cela était encore possible. Elles descendent doucement vers sa chute de reins. A la vue de la bosse qui gonfle le slip de Paulo, il a l’air d’apprécier et se laisse faire bien volontiers. Cela fait maintenant plus d’un an que Rémi vit avec nous. Rémi est amoureux de moi. Très souvent, à chaque fois en fait, on baise à trois. Mais je n’avais jamais imaginé que Rémi et Paulo, par devers moi…
Rémi a maintenant glissé ses mains sous le slip et pétrit le fabuleux fessier de Paulo, tout en continuant à lui dévorer la bouche. Il lui baisse légèrement, je peux ainsi voir son majeur parcourir sa raie et lui titiller la rondelle au passage. Ca m’excite de plus en plus. Sans bruit, je me dessape, ne gardant que mon slip. Rémi finit par dégager complètement le slip de Paulo ce qui a pour effet de lui libérer la bite qui vient se dresser, tel un mât de cocagne, entre eux deux. Je vois Rémi quitter la bouche de Paulo et descendre doucement le long de son cou, glisser entre ses pecs et venir agacer ses tétons du bout des dents.

Puis sa bouche vient lécher ses abdos et se met à suivre sa ligne de poils. En chemin, elle rencontre le gland de Paulo. Pourquoi lui résister ? Il le gobe doucement et descend le long d sa hampe. Paulo bascule sa tête en arrière, attentif à la caresse. Il tire la tête de Rémi pour que celui-ci l’engloutisse à fond. Je me mets à me caresser, excité comme un pou. Je sens mon gland mouillé sous mes doigts.
La radio diffuse, en sourdine, une bossa nova tout à fait de circonstance. Je vois Paulo qui se met à onduler lentement du bassin, baisant la bouche de Rémi autant qu’il lui la baise. Quelle belle bite, quand même ! A chaque fois que je la vois, il faut que je m’extasie. Il y en a qui sont vraiment chanceux ! La nature leur a tout donné : la beauté, de beaux attributs…Rémi a l’air de la trouver tout à fait à son goût. On dirait qu’il la déguste comme une glace ou un sucre d’orge… J’entrevois aisément la suite des évènements car, Tout en le pompant somptueusement, Rémi commence à le doigter sérieusement. D’ailleurs, il le fait se retourner, jambes écartées, en appui sur le lavabo. Il va falloir que je me déplace légèrement car Paulo risquerait de me voir dans le reflet du miroir. Comme j’ai envie de déguster ce spectacle jusqu’au bout, il ne faut pas que je trahisse ma présence. Ce qui m’intéresse au plus haut point c’est surtout quel est le rapport exact qu’il y a entre eux deux. Est il seulement sexuel, ou non ?
De là où je suis maintenant, je vois parfaitement Rémi lui lécher la raie à grands coups de langue, lui titillant à chaque fois sa feuille de rose. Il se met à le doigter doucement. Un puis deux doigts, puis la langue ? J’entends Paulo gémir doucement. Il a toujours adoré cette caresse. D’ailleurs, il tend à Rémi le pot de gel. Rémi le tartine copieusement. Paulo se retourne, fait glisser prestement le slip de Rémi, ne résiste pas à l’envie de lui sucer deux ou trois fois la bite à fond et se met, lui aussi, à l’enduire. Puis il se retourne, écarte les jambes et l’attend, offert. Rémi commence doucement ses pressions sur son trou. Paulo, n’y tenant plus, a empoigné la bite de Rémi et se l’est presque mise lui-même ! Mais Rémi est d’un naturel très doux en amour et il ne faut pas le brusquer. Il se met à le limer très très très lentement. Du bout de sa bite d’abord puis de toute la longueur de sa tige. Doucement, doucement. Est-ce un jeu. Voilà Paulo qui se met à coulisser sur la hampe de Rémi en faisant d’amples mouvements d’avant en arrière avec son bassin ! Charmant spectacle ! Je me malaxe furieusement la bite et les couilles. Ce charmant manège, une fois Paulo, une fois Rémi et on recommence va ainsi durer un sacré bout de temps. D’autant plus long qu’ils adorent ça tous les deux.
A un moment, j’entends Paulo qui demande à Rémi :
« -Now, fuck me hard, please. Fuck me hard !! ».
Rémi n’a rien contre l’idée, bien au contraire ! Il se réenduit copieusement la pine et le voilà parti dans un va et vient soutenu. Dans le miroir, il cherche le regard de Paulo. Il plante ses yeux dans les siens et ne les quittera plus. Paulo l’encourage à le fourrer sèchement. Paulo, forçant sa nature profonde s’active de plus en plus sur le trou de Paulo. De là où je suis, je vois les contractions de son fessier à chacun de ses coups de bite. Rémi aussi a un très joli cul ! Paulo gémit à chaque coup de reins. C’est alors, qu’en une fraction de seconde, Paulo se retire, se retourne face à Rémi, se réenfile la bite de Rémi et se met en suspension sur ses mains posées sur le lavabo, ses jambes enserrant la taille de Rémi des ses longues jambes fuselées. Rémi redouble d’ardeur dans ses coups de bite. J’entends ses couilles claquer et claquer, sa bite chuinter en glissant dans le fourreau de Paulo. Son souffle se fait court. Je le sens prêt à exploser.
« -Oooooh ! Paulo ! I come ! I come !
-Come ! Come ! Flood me ! »
Alors, dans les dernières minutes, Rémi agrippe Paulo, le soulève, le colle le dos au mur et l’embroche d’un seul coup d’un seul. Puis il se met à le défoncer furieusement. Il donne tout ce qu’il peut. C’est exactement ce que Paulo voulait, se faire défoncer à tout va. Paulo a attrapé la tête de Rémi et le mordille partout : dans le cou, sur les lobes d’oreilles…Il ne veut pas l’embrasser pour ne pas lui couper son souffle car il en a grandement besoin. Dans un grand cri Rémi se tend et jouit, jouit, jouit dans le ventre de Paulo. Presqu’aussitôt, il retombe dans ses bras, épuisé. Paulo le serre et le couvre de bisous sur tout le visage. Attendrissant.
« -Great ! It was great ! Thank’s. »
Ils s’embrassent à nouveau longuement, paisiblement. Mais Paulo laisse à peine à Rémi le temps de récupérer car, passablement échauffé, lui aussi veut sa part de jouissance. De route façon, Rémi le sait parfaitement car cela se passe toujours ainsi quand on baise à trois. Il l’entraîne vers la grande douche italienne. Je me déplace légèrement pour mieux les voir, toujours sans être vu. Paulo, très fraternel, entreprend de bichonner Rémi et de lui faire retrouver ses esprits. Il le shampouine, l’enduit de gel de douche partout partout en le caressant. Il s’occupe particulièrement de sa bite et de ses couilles. Puis il le rince avec différents jets. Il entreprend même de lui rectifier sa toison et sa raie au rasoir mécanique. Il sait que Rémi adooore particulièrement ça… Entre deux coups de lame, il ne rate pas une occasion de lui sucer sa bite qui a déjà repris un petit peu de volume…Puis, il fait mettre Rémi à genoux, face à lui. Pas besoin d’explications. Mission acceptée ! Rémi entreprend de lui faire une somptueuse fellation. Il déploie tout son savoir faire qui est déjà grand pour son âge ! Lui aussi aime ça, faire des pipes. Ca se voit rien qu’à la façon dont il s’y prend. Pendant tout ce temps, il a le regard levé vers Paulo pour suivre sur son visage les effets de ses manipulations. J’ai comme l’impression qu’il passe quelque chose en plus dans leurs regards…J’entends Paulo ronronner comme un chat. L’eau ruisselle sur leurs corps : trop beau. Mais Rémi sait bien que ce n’est pas ainsi que Paulo a envie de jouir, il ne le pousse donc pas à bout, bien que je sache que Rémi adore tout avaler.
Paulo le fait mettre en levrette et se place face à lui, à genoux. Il permet ainsi à Rémi de s’occuper un peu de sa bite pendant que lui s’active à préparer le trou de Rémi. Doigt, langue, doigts, langue…La dilatation est rapide. Prêt ! Il se déplace à nouveau derrière li, prêt pour une belle séance de défonce de cul. Paulo alterne les séquences lentes et rapides, brutales ou plus douces. Rémi qui adore se faire mettre par Paulo, est aux anges. Il se redresse parfois presqu’à la verticale ou au contraire s’abaisse au maximum pour ressentir différemment la bite de Paulo. Un petit expert notre Rémi ! Paulo li « infligea » une belle et longue séance. De là où j’étais, je voyais parfaitement bien son membre luisant qui, tel un vérin ou un piston, allait et venait dans le ventre de Rémi avec force. Il le bourrait, le labourait, le pistonnait – c’était exactement ça, il le pistonnait, tel une machine à vapeur -. Quel spectacle ! J’avais une furieuse envie d’y participer mais je voulais aussi leur laisser savourer ça à deux.
Rémi, sous les coups répétés sur sa prostate commençait à perdre les pédales. Je le voyais à son visage, à sa bouche grande ouverte. Il avait l’air complètement submergé par ce qui se passait dans son ventre. Il se mit à se caresser les cheveux, le visage, le corps de plus en plus rapidement, frénétiquement…il se mit à hurler :
« -Encore ! ENCORE !! Bourre moi ! Bourre moi !! OOOOOOH ! » .
Paulo était ravi du plaisir qu’il réussissait à lui procurer par la seule puissance de sa bite. C’était très flatteur pour lui. Il comprenait que Rémi était entrain de jouir du cul, si peu de temps après avoir joui de la bite. Rémi décolla longtemps, plusieurs fois. Il retomba, anéanti par tant de jouissance.
Paulo comprit alors qu’il lui faudrait conclure rapidement. Il allongea Rémi sur le dos, à même le sol de la douche. Rémi s’accrocha à sa bouche et lui rendit un long baiser pour le remercier de ce qu’il venait de lui donner. Paulo se mit alors à le trombonner à toute allure, collé à lui. Les jambes de Rémi, remontées à la verticale et écartées dessinaient des arcs de cercles sous les coups de reins de Paulo. Paulo jouit assez rapidement – pour une fois -, en plusieurs ruades sauvages. Ils retombèrent, collés l’un à l’autre, anéantis.
Que faire ? Les rejoindre ? Leur laisser ce moment ? Je décidais de les laisser savourer et je me glissais dans le lit. Quand ils revinrent se coucher, ils furent étonnés de me trouver là. Embrassades, retrouvailles. Paulo m’avoua aussitôt qu’il venait de faire l’amour superbement avec Rémi – ce que j’avais remarqué-. J’appréciais sa franchise. Rémi, lui, avait l’air un peu gêné.
Ca n’empêcha pas Paulo de s’occuper royalement de mon cul au cours de la nuit, et moi du sien. A côté de nous ; dans le même lit, Rémi dormait, repu de plaisir.
Décidément, le confinement commençait bien !