Collection Histoire Courte. Police De La Route (1/1)
- Chéri, merci pour cette bonne soirée, le resto sympa et jai passé un bon moment dans ce bar à vin.
Veux-tu que je prenne le volant pour rentrer ?
- Tu es aussi bourré que moi et comme lon dit boire ou conduire il faut choisir.
- Si tu y tiens, mais monsieur le député arrêté au volant de sa voiture pour alcoolisme au volant ça va faire désordre.
- Mais tu as raison, jai autant bu que toi alors je conduis.
Nous montons en voiture et nous démarrons.
- Que cherches-tu dans la boîte à gants Louloutte ?
- Ça !
- Merde un joint, tu rigoles je suis déjà bourré.
Je prends mon briquet et je lallume.
- Où as-tu eu ce shit ?
- Cest Florence qui me la donné, je lavais mis dans la boîte à gants pour une bonne occasion.
Je lui tends le joint, il tire une taffe.
Puis deux, puis trois.
À tour de rôle nous tirons dessus jusquà ce que je lécrase dans le cendrier.
- Cétait de la bonne Florence peut en avoir encore ?
- Je lui demanderais.
- Laisse ma main, je conduis.
- Ralenti, on évitera laccident.
- Mais tu es nue sous ta robe et ta culotte !
- Quand je suis allée aux toilettes au bar, javais trop attendu et je lai mouillé.
Elle est dans mon sac à main.
- Tu mouilles ma salope.
- Jaime quand tu me traites de salope.
Salope, si cétait vrai !
Laisse-moi faire, tu bandes.
Je viens de lui mettre ma main sur sa braguette.
- Attends que lon soit à la maison, jai envie de te baiser et de faire de toi ma chienne.
- Chéri, jai toujours eu un fantasme de baiser dans notre voiture, pour une fois que nous sommes seuls, arrête-toi à droite sur le parking de lancien routier.
Tu las contraint à la faillite quand tu as obligé les conducteurs à passer par lautoroute pour rejoindre Lyon en interdisant cette route aux gros culs.
Son parking évitera que nous ayons un accident.
Le routier est fermé mais deux lampadaires sont toujours en service nous nous arrêtons entre les deux où la lumière est plus discrète.
Jouvre la braguette de Jean et lui sort sa verge.
Il bande déjà quand je le prends dans ma bouche.
Je le suce rarement mais ça nous arrive les rares fois où au fil du temps il me baise.
Cest à ce moment que dans la nuit nous entendons une sirène de police.
Une moto de gendarmerie sarrête à la hauteur de la vitre conductrice.
Le gendarme cale sa machine et sapproche en saluant et faisant signe à Jean de baisser sa vitre.
- Gendarmerie nationale, veuillez me présenter vos papiers.
Permis de conduire, assurance et carte grise.
- Monsieur lagent, je suis arrêté.
- Certainement, mais je vous suis depuis quelques kilomètres et vous louvoyez sur la route.
- Je suis.
- Je sais le député de cette circonscription, vous vous croyez au-dessus des lois que vous éditez ?
- Dites-moi quest-ce que ça sent dans votre voiture ?
Vous avez fumé un joint ?
- Cest ma femme, jai juste un peu bu.
- Nous allons voir ça, vous allez me suivre jusquà la gendarmerie où nous ferons un contrôle dalcoolémie et de drogue dans votre sang.
Je pense que vous allez vous attirer bien des ennuis quand la presse saura ce que fait un serviteur de l'État.
- Monsieur le gendarme, je descends, nous allons discuter, je pense que cest un malentendu, il doit y avoir moyen de sarranger.
- Où vas-tu Louloutte ?
- Laisse-moi faire, il faut savoir se sacrifier quand on a fait des conneries.
Je descends de la voiture et je la contourne passant dans les phares qui étaient restés allumés.
Ma robe légère doit montrer à ce garçon ce que je veux quil voie au travers de ma robe.
- Et si je mettais la main là, on pourrait sarranger ?
- Subordination dagent de létat dans lexercice de ses fonctions, vous aggravez le cas de votre mari.
- Chérie arrête, on va aller au poste, je verrais le supérieur de ce monsieur et il nous arrangera le coup.
- Jean ferme ta gueule, regarde notre ami bande, je voulais te sucer, cest lui qui va profiter de ma bouche.
Je me sacrifie pour que nous gardions notre rang social.
Je refuse que Florence mayant donné le joint que nous avons fumé se foute de nous quand tu iras pointer à Pôle Emploi.
Je sors la verge du gendarme qui se laisse faire, finissant le travail car son pantalon est très serré.
- Tu vas avaler son sperme, Louloutte cest dégueu.
- Quand ton attachée parlementaire te suce et avale ton sperme, tu trouves ça dégueulasse ?
Je marque un point, il se tait.
Un jour alors quil croyait que jétais sortie il a téléphoné à son attachée et jai su que jétais cocu quil la baisait.
- Tu vas voir jusquà où vas mon esprit de sacrifice.
Je me relève, tourne le dos au gendarme et je mappuie contre la voiture écartant mes jambes en soulevant ma robe.
- Louloutte arrête.
- Baisez-moi fort, très fort.
Oui, sortez-moi les seins et malaxez-les.
Tu mas trompé, mais jai autant à perdre que toi.
Donne-moi ta main, ça mencouragera car contrairement à toi, ce que ce garçon me fait cest sans aucun plaisir.
Ah !
- Mais tu jouis chérie.
- Putain si tu savais il est monté comme un taureau, il me défonce à mort.
- Ah Ah Ah !
Salopard tu décharges, excuse Jean, ça me submerge.
Mon amant dun moment me remplit le vagin mapportant un méga orgasme.
- Bon cest bon pour cette fois, vous pouvez partir, votre femme est un bon coup et elle a su être convaincante.
Je reprends mon souffle, la bourrasque a été immense, un vrai tsunami.
Le motard rajusté enfourche sa moto et nous quitte me laissant pantelante.
Je reprends place dans la voiture, ma chatte dégoulinante.
- Je.
- Tais-toi et pour ton attachée et pour ce que jai été obligé de subir.
Surtout quand mon corps ma lâché et que jai joui sous les assauts de ce soudard.
Roule, jenterre ça dans ma mémoire et toi tu remets ta verge dans ton pantalon à Paris.
- Oui ma chérie, tu sais Juliette cétait une passade.
- Ta gueule on rentre, jai besoin dun bon bain.
Ta pétasse je men fous.
Nous rentrons, un bain et au lit, cette soirée m'a épuisée quoi que
- Louloutte, mon taxi mattend, je reviens dans trois jours après les questions au gouvernement.
- Va voir ta pute, laisse-moi dormir.
- Je te promets.
- Part.
Je lentends partir la queue basse.
Apprendre que sa femme sait que vous avez une liaison ça dû être un choc pour lui.
Dès que jentends le taxi démarrer, je cherche des affaires affriolantes.
Je suis prête quand ça sonne à la porte.
Jy vais en courant sautant au cou du garçon derrière la porte.
- Salope, on a réussi à le faire, baiser devant ton mari.
Jai failli tous foirer quand tu lui as pris la main comme si tu voulais son assentiment.
- Quand tu seras plus vieux, tu apprendras ce quune femme est capable de faire pour se venger dun pourri.
Viens dans ma chambre, jai joui cette nuit mais jen veux encore.
Je lentraîne dans notre chambre et je me fais prendre en levrette sur le lit conjugal.
Boris, le gendarme de cette nuit du moins celui qui ma baisé en tenue de gendarme est mon amant depuis que jai découvert que Jean me trompait.
Il y a peu, sur loreiller après une nouvelle fois mavoir fait monter au mât de cocagne, il ma fait des confidences.
Il a un frère jumeau faisant partie de la police de la route.
Ce week-end avec sa femme, ils partaient à Venise.
En plus de son travail, il fait de la moto.
Cest là que jai eu lidée de me faire baiser devant mon cocu de mari pour me venger.
- Si tu savais comment jai eu du mal à entrer dans le pantalon de mon frère.
La chemise ça allait.
- Je lai vu jai eu du mal à te sortir ta belle queue.
En disant cela, je recommence à le sucer.
- Au fait, tu as perdu ton pari quand je tai dit que jarriverais à me faire baiser devant lui.
- Cest dans mon sac à dos, cinq cents grammes de bons shits comme celui que vous avez fumés avant que je vous arrête.
Voilà, herbe, sexe, jai trouvé lamant idéal pour satisfaire ma libido que la trahison de Jean a réveillée.
Je lève une de mes jambes et alors quil me pétri les seins il me pénètre de nouveau de son gros sexe par-derrière.
Je plane.
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