Anne-Charlotte, Bourgeoise Pervertie
Nous sommes dans les années 60 dans la bourgeoisie ancienne école. Le père dAnne-Charlotte est propriétaire dun haras et passe ses journées à soccuper de la reproduction des juments et des entrainements des étalons et des courses équestres auxquels ils participent. Sa mère est une femme au foyer qui soccupe de lentretien de la maison de famille, de la cuisine et des comptes familiaux. Ils commencent à avoir des difficultés financières pour gérer le domaine même si leur niveau de vie reste très enviable. Anne-Charlotte a 18 ans, elle étudie la vie dune bonne épouse dans une école religieuse. Comme cela se passe dans ce milieu, la jeune fille est promise à un aristocrate. Les difficultés rencontrées, pousse ses parents à avancer le mariage dAnne-Charlotte et de Fernand. Il a une quarantaine dannées et se chargera du haras avec son beau-père.
Anne-Charlotte perdra son pucelage le soir des noces. Elle ne ressentira aucun plaisir ni cette fois ni les autres fois où son mari la possédera. Ils avaient une chambre dans la maison et Anne-Charlotte aidait dorénavant sa mère dans les taches ménagère. Le mariage de leur fille leur permit de garder un chauffeur et une servante qui vivaient dans une dépendance.
Les parents et son mari durent partir une quinzaine de jour pour des courses équestres. Cette fois, la mère voulu les accompagner mais pas la jeune fille. Ils décidèrent de donner des congés à leur employés et confièrent Anne-Charlotte à son oncle maternel.
Celui-ci, benjamin de la fratrie, navait pas suivi léducation bourgeoise et cétait marié à une roturière. Anne-Charlotte sest vite sentie à son aise auprès deux et avait une certaine liberté quelle ne connaissait pas. Elle avait pris sa tante comme confidente et discutait souvent avec elle. Elle osa questionner sa tante sur les gémissements quelle entendait le soir de sa chambre. Sa tante compris tout de suite quelle navait jamais pris de plaisir avec son mari.
La présence de sa tante lors de lauscultation la rassurait et laisse le médecin lexaminer. Elle du tout dabord retirer sa robe et se présente face au docteur en soutien-gorge et grande culotte. Elle sallonge sur la table dauscultation et subit les palpations du médecin. Il lui fait retirer son soutien-gorge et masse sa poitrine qui réagit. Elle na jamais vu ses tétons se tendre et durcir comme ça. Puis, il lui retire la culotte et caresse sa vulve. Il y enfonce un spéculum et Anne-Charlotte ressent des picotements dans son bas ventre. Il écarte les jambes de la jeune fille et deux doigts gantés sintroduisent dans son vagin. Les doigts bougent et elle a honte de sentir sa respiration accélérer et se retient de gémir. Lexamen est terminé et selon le médecin, tout va bien.
Sa tante lui explique quelle a, pour la première fois, éprouvé un peu de plaisir des mains du médecin. Elle savait que dans son milieu, la femme nétait pas là pour prendre du plaisir mais pour procréer et faire jouir le mari. Après en avoir discuté avec son mari, sa tante décida de lemmener dans une soirée un peu spéciale où sa nièce apprendra ce que le mot jouir signifie.
Le jour venu, sa tante lui prêta une robe de soirée rouge tandis quelle serait en noir. Arrivée à la soirée, on lui apporta un verre de champagne tandis que son oncle et sa tante se servait au bar. Pour toutes les femmes en rouge, il avait été ajouté aux verres de champagnes du LSD. Cette substance exacerbait les désirs tout en ressentant le plaisir et sans altérer les souvenirs. La jeune femme fut entourée de deux hommes de lâge de son mari qui tout en discutant, lamenèrent sur un canapé. Autour delle elle voyait les femmes sans retenue se laissaient caresser par un ou plusieurs partenaires. Anne-Charlotte assise au milieu des deux hommes ne soffusqua pas lorsquils posèrent leur main sur ses cuisses. Elle ressentait à nouveau ce picotement quelle avait ressenti chez le médecin.
De retour à la maison, elle ne demanda pas son reste et sendormie tout de suite avec des images jouissives. Le lendemain, elle exprima à sa tante le plaisir quelle avait ressentie et qui hantait encore sa mémoire. Le soir après le diner, elle sassit entre son oncle et sa tante pour déguster le café. Ils commencèrent à la caresser et elle se laissa envahir par le plaisir quils lui donnaient. Elle se laissa même embrasser par sa tante. Elle se donna à son oncle qui la prise par les deux trous. Comme sa tante avait lubrifié son ptit trou avec du beurre, elle aima la sodomie. Comme elle savait que sa vie monotone allait reprendre son cours, elle dormi plusieurs nuits avec eux, offrant son corps à leur guise. Elle se donna également à son cousin qui était venu voir ses parents.
Pour être sûr de ne pas tomber enceinte, elle avalait toujours la semence de ses partenaires. De retour chez elle, elle néprouvait toujours pas de plaisir avec son mari qui réussit à la mettre enceinte. Comme elle allait voir son médecin avec sa mère, il ny avait pas dexamen très poussé et donc sans plaisir. Sa débauche lui manquait et elle osa une nuit sortir discrètement du lit pour rejoindre les domestiques dans leur dépendance. Au troisième mois de grossesse, elle savait quelle ne risquait rien. Ravi quelle soffre à eux, ils disposèrent dAnne-Charlotte sans ménagement. Elle connu le cunnilingus fait par une fille tandis quelle suçait le sexe de lhomme. Elle se fit baiser, sodomisée et reçue léjaculation de lhomme dans sa matrice. Elle en ressenti un plaisir immense. A partir de ce jour, elle baisait de temps à autre avec le chauffeur.
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