Petites Histoires 3 Une Grossesse Active
UNE GROSSESSE ACTIVE
Cette histoire vraie, tirée de mes expériences personnelles mest arrivée avec mon épouse Sandra dont jai déjà parlé dans les histoires précédentes.
Ma petite femme attendait notre deuxième . La première grossesse avait été une découverte pour elle comme pour moi, mais quand Sandra fut enceinte pour la deuxième fois, notre première expérience nous servit et cette période fut beaucoup plus agréable.
Mois après mois, le ventre de Sandra sarrondissait. Elle navait , fort heureusement aucune des difficultés que rencontrent parfois les femmes dans cet état, et resplendissait de bonne santé. Elle avait travaillé très longtemps et ne sétait arrêtée que quelques semaines avant laccouchement. Elle avait trimballé son bidon arrondi au Maroc, avec moi, et je métais rendu compte quen plus de ses nichons qui avaient pris quelques tailles de plus, elle avait une libido plutôt exacerbée, et ce séjour avait été loccasion de parties de sexe effrenées dans la chambre climatisée (chaleur oblige). Les locaux que nous croisions étaient prévenants et ne manquaient pas de caresser son ventre sous sa robe ample, et même parfois un peu plus métais-je laissé dire.
Jétais à ce moment là détaché sur la côte méditerranéenne non loin de Montpellier, et je ne rentrais chez moi que le week-end. Lété approchant, nous nous retrouvions cependant pas très éloignés, puisque mes beaux parents avaient un appartement sur la côte. Ils y passaient le temps avec Sandra, mais la plupart du temps nous en avions la jouissance pleine.
Un vendredi, alors que je terminais ma semaine, jinvitais deux collègues à diner. A 17h, nous étions partis, moi dans sur ma moto et eux, en voiture.
Quand nous arrivâmes au petit appartement, je leur présentai, ma petite femme, et à elle, je présentai les deux gaillard ; Toni, un brun très basané dorigine italienne et Christophe, un grand type blond et assez baraqué.
Comme le temps était au beau fixe, nous nous sommes installées sur la très grande terrasse, qui était la particularité de cet appartement.
-« Le bébé remue » mannonça Sandra.
Je mapprochai et posai ma main sur son ventre, pour ressentir, effectivement des coups qui déformaient le bidon.
-« Waouh, quest-ce quil remue ! »
-« Cest génial , non, jai fait toucher à Toni. Tu veux toucher Christophe. »
Mon collègue sapprocha et saccroupit devant elle, posant ses mains sur son ventre
-« Tu sens comme il bouge ? » demanda Sandra.
-« A mon avis, il est pressé de sortir »commenta Christophe
Après cet intermède pré-natal, nous sommes passés à table. Christophe, face à Sandra, et a côté de Tony, qui était en face de moi. Le repas fut le digne prolongement de lapéro et les bouteilles de rosé se succédèrent, sauf pour mon épouse, qui, bien entendu ne buvait pas. Je dois bien avouer quà la fin du repas je nétais plus très frais. Sandra, remarquant notre état, imposa aux deux gars de rester dormir, et de ne regagner Montpellier que le lendemain matin.
Une fois les gars dans le chambre, Sandra éteint les lumières dans le séjour, et vient me rejoindre sur la terrasse. Je suis déjà allongé avec juste un drap sur moi, et la télécommande du store banne, au cas où il y aurait un peu dhumidité. Sandra me rejoint et fait passer sa robe par dessus sa tête, apparaissant entièrement nue, éclairée par la lune et les réverbères de la marina.
-« Ma chérie, fais gaffe, on pourrait te voir »
Elle vient sallonger à mes côté et se pelotonne contre moi
-« Tu nas pas de culotte ? »
-« Non, plus rien ne me va, avec mon gros ventre, elles me cisaillent la peau, alors je nen mets plus » dit elle simplement « Tu es bien le seul à ne pas lavoir remarqué »
-« Comment ça ? »
-« Tes copains se sont bien rincé lil toute la soirée. »
-« Tu crois ? »
-« Ah, non, je suis sure. Le petit Tony a été le premier. Il a jeté un regard sous ma robe, et ma fait un clin dil. Quand au grand Christophe, il a fait tomber deux fois sa serviette pendant que nous étions à table. Quel maladroit ! »
-« Et tu nas rien dit ? »
-« Que voulais tu que je dise ? cest toi qui les a fait venir, après tout. Et ils nont rien fait de mal. Pas de geste déplacé, rien. Par contre, moi, en ce moment jai toujours envie. » murmure telle en saisissant mon sexe. Je caresse doucement son ventre rond et descends vers sa chatte que je trouve toute mouillée. Je glisse un coussin sous ses reins et me positionne au-dessus delle. Elle écarte ses jambes et maccueille avec un soupir de bonheur. Je menfonce en elle, mais son ventre ne facilite pas ma tache et je narrive pas à aller à fond, même en la soulevant sur mes genoux.
-« Attends »dit elle en se dégageant.
-« Tu matais la grosse »
-« Je ne suis pas étonné que les mecs te matent.
-« En tout cas, jai envie sans arrêt. Je suis allée faire un tour en bateau avec mes parents, et les secousses des vagues mont donné un orgasme. Jétais allée me planquer dans la cabine en prétextant le mal de mer. Pareil, quand tes copains mont maté, ça ma fait chaud au minou. »
-« Tu veux te faire mes potes ? »
-« Non, bien sur, mais rien que le fait quils me voient, cétait bon. »
-« Sil ny a que ça, tu peux recommencer demain »
-« Je ne veux pas leur donner des idées. »
-« Alors ne soit pas trop provocante. »
Le lendemain matin, quand jouvre un il le soleil tape déjà sur le store, que ma douce a du déployer. Elle sagite dans le coin cuisine à faire du café. Je la rejoins et prépare du pain grille pour nos invité. Ce matin elle porte une tunique longue et fendue très transparente, et je distingue parfaitement ses fesses que je ne peux éviter de caresser.
La table est vite mise et Toni arrive le premier pendant que Cristophe achève sa toilette.
Les deux gars détaillent ma femme de haut en bas quand elle arrive avec le broc de café
-« Salut les gars, bien dormi »
-« Bien » répond Tony « Tu es ravissante de bon matin »
-« Merci. Qui veut du café ? »
Mes collègues ont visiblement flashé sur la tunique en voile qui sentrouvre à chaque pas, pour dévoiler une jambe jusquà laine.
Une fois à table cest aussi bien pour nous tous car les seins de ma chérie sont parfaitement visible sous le voile, et il est difficile de sen détacher. Elle boit son café en silence avant de lâcher
-« Ils vous plaisent mes seins »
-« Euh non » bredouille Toni
-« Ah, donc ils sont moches ? »
-« Non, ils sont très beau « tente til de se rattr, déclenchant un éclat de rire de Sandra.
-« Ah les hommes ! il suffit dune paire de seins pour vous faire perdre vos moyens. Vous ne voyez pas que je vous charie ? Vu quhier je vous ai ai vu me mater, sans trop de discrétion, je me suis dit que vous alliez déchanter ne voyant comment je suis grosse. » dit elle en se levant et en mettant ses mains sur son ventre.
-« Désolé pour hier, Sandra, je ne voulais pas te manquer de respect, mais jai été surpris par ta tenue, et tu es une jolie femme. Steve a bien de la chance. »
-« Et surtout, tu es si jolie que même ton gros ventre te va à merveille complète Toni.
-« Tu entends ça chéri ? » sexclame telle en se tournant vers moi. »Allez, vous allez rentrer chez vous maintenant, parce que moi, jattends pour passer à la salle de bains. »
Les gars se lèvent de table et vont récupérer leurs affaires avant de venir nous saluer.
Une fois quils sont partis, Sandra se précipite dans la salle-de bain pour se doucher pendant que je range un peu. Elle ressort enveloppée dans une serviette qui ne parvient pas à couvrir son ventre, ce qui fait que les pans sont écartés laissant nus son ventre . Quand je sors de la douche tout propre, je la trouve allongée au soleil, sur le matelas.
-« Viens, jai envie » me dit elle
je la fais lever, et lui fait prendre appui sur la rambarde, face à la marina, surplombant les bateaux à lamarre. Je descend mon boxer et me colle à elle.
-« Humm je te sens dhumeur levrette » rit elle en tendant ses fesses vers moi et en écartant un peu les jambes. Je me mets à genoux et entreprend de la lécher longuement du clito à lanus. Sa fleur souvre sans attendre et elle commence à ronronner. Les terrasse de ces appartements sont heureusement bien séparées les unes des autres, par de hauts murs, et la terrasse est délimitée par une jardinière emplie de fleurs et plantes qui montent jusquà la balustrade en fer, et masquent notre occupation aux passants. Seuls éventuellement, les résidents de lautre côté de la marina au même niveau pourraient éventuellement deviner ce qui se passe chez nous.
Jai maintenant deux doigts dans la chatte de Sandra, qui gémit doucement. Je me redresse et viens planter ma queue dans son sexe qui dégouline. Je lime un moment mais elle se dégage et att mon sexe pour le positionner sur son petit trou.
-« Par là , ce sera plus facile, maintenant. »
Je lubrifie son anus avec sa mouille et je pousse pour mintroduire en elle. Elle se tend en arrière pour maider, et je sens mon sexe franchir ses barrières lui arrachant une plainte.
Je marrête , mais elle mexhorte à continuer. Je menfonce dans son cul jusquà ce que mon pubis vienne taper sur ses fesses. Je stoppe le mouvement, le temps quelle shabitue. Cest elle qui utilisant ses bras, se propulse au devant de ma queue et lui imprime son mouvement. Elle râle légèrement. Je passe ma main sous elle et viens titiller son clito, puis engager deux, trois doigts en elle la portant de plus en plus vers le plaisir. Son cul se trémousse de plus en plus vite . Elle halète en murmurant des mots incompréhensibles. Je sens la lave monter en moi, mais jessaie de tenir, encore un peu. Elle se démène, se seins balotant sous elle, frottant sur la rambarde, et subitement elle se plaque contre moi. Son cul remue encore par à-coups, et elle lâche un cri de jouissance, alors que je me déverse en elle.
Quelques instant pour revenir au calme et nous nous allongeons sur le matelas, nous embrassons longuement
-« Cétait bon non ? »
-« cétait divin ma chérie, merci pour ce cadeau. »
-« en fin de grossesse, comme ça, laccès nest pas facile par devant, alors jai pensé te faire plaisir. »
-« cétait réussi, même si les voisins ont dû comprendre ce quon faisait. »
-« pas grave. Dis chéri, on ira à la plage, cet aprèm ? Jai envie de baiser dans la mer
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!