La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1378)
soumis Amabalar au Château Histoire écrite par Amabalar - (textes améliorés par MDE) -
L'inversion Vendredi 18h30 -
- Voilà on est arrivé
Pas mal, hein ?, me dit ma femme, Valérie, en arrêtant le moteur de la voiture. Cest la première des trois surprises pour ton anniversaire : Un weekend à la campagne mais dans un riche et beau Château en gîte de luxe...
- Wouhaa ! Un weekend de rêve ! Oh, merci ma chérie, lui répondis-je un large sourire empli de gratitude
Agréablement surpris, jouvre la porte de la voiture au pied du perron dune Demeure majestueuse, très impressionnante. Je descends, prends quelques mètres de recul et admire ce spacieux Château dans toute sa splendeur, tout en métirant le dos. Ensuite, je me dirige vers le coffre pour prendre les valises.
- Laissez, nous nous en occupons, ou plutôt vous ne vous occupez de rien, vous êtes Mes hôtes...
Je me retourne dans la direction doù provient cette voix, den haut du perron.
- Je me présente : Monsieur le Marquis dEvans, Propriétaire de ces lieux et des Terres forestières sur les 5 kilomètres tout autour jusquaux portes du village
. Jespère que vous avez fait bon voyage. Je vois que vous êtes à lheure, cest une bonne chose, la ponctualité. Je suis très strict sur lexactitude et la précision...
- Bonjour Monsieur le Marquis, merci de votre accueil
Oui nous avons fait bon voyage. Je vous présente ma femme, Valé
- Bonjour Valérie, comment vas-tu ?, me coupa le Noble tout en arborant un large sourire à ma femme.
- Bonjour Monsieur le Marquis, ça va, merci, ça fait longtemps..
- Mais ?... Vous vous connaissez ?... Je men étonne car Valérie ne ma rien dit. A moins que ce soit cela sa deuxième surprise ?
- Oui en effet, depuis longtemps, répond le Châtelain. Cest une longue histoire que je vous raconterai plus tard
- Oui, on se connait depuis longtemps, on sest même perdu de vue.
- Venez, montez. Walter va soccuper des bagages et de la voiture et il vous conduira à votre chambre. Je vous présente Walter, cest mon Majordome...
Je me retourne alors et je vois ce Walter saisissant les bagages dans le coffre. Cest un homme à la musculature forte et au regard sévère. Je pense tout de suite quil ne faut pas trop le chatouiller... Le regard insistant quil me lance avec un petit sourire pervers me saisit, cela me confirme quil ne faut pas trop jouer avec lui
Arrivé en haut du perron, je maperçois que Monsieur le Marquis est un très bel homme de grande stature aux gestes raffinés et quil dégage demblée un impressionnant charisme, une présence que lon ne peut pas ignorer. Il se tourne vers moi, et je découvre ses yeux dun bleu azur profond et hypnotique. Son regard dun homme qui sait ce quil veut, me transperce le corps, me faisant froid jusquau bout des extrémités. Jai limpression quil est venu me visiter lesprit uniquement par Son regard scrutant et perçant. Jen suis très impressionné et je me sens subitement tout petit face à ce quimpose cet homme dune grande classe indéniable. Et cest en bégayant, très intimidé que je dis :
- En
enchanté, je
je map
appelle Clau
Claude, et
- Bienvenu Claude, me coupa le Noble
Il est 18h40 et au Château, nous mangeons à 19h. Vous avez juste le temps de rejoindre votre chambre, de vous préparer et de descendre dans la grande salle à manger pour 19h. Suivez Walter et vos valises. Je vous attends dans 15 minutes. Nous aurons tout le temps de bavarder, ensuite
Sur le chemin de la chambre, je dis à Valérie que son ami est plutôt rigide, genre aristo-bourgeois.
- Oui, cest normal cest un Noble issue de la Grande Noblesse de France. Son aïeul était même un ami très proche du fameux Marquis de Sade.
- Mais, tu ne mavais pas dit que tu le connaissais.
- Oh cétait dans une autre vie, il y a vraiment très longtemps. On était ensemble au collège. Et quand jai pensé à lui pour ta surprise, jai pu le retrouver sur internet, ainsi nous avons pu correspondre par mail.
Nous suivons Walter jusquà la chambre. Il ouvre la lourde porte et dépose les valises.
-Ne perdez pas de temps, Monsieur le Marquis exige de lexactitude. Je vous envoie Lucie dans cinq minutes, cest une escl
Je veux dire une servante, et elle vous conduira dans le salon. Vous serez à lheure, et ensuite elle reviendra soccuper de vos affaires. Ne rangez rien, ce nest pas la peine, nous le ferons.
- Alors tu es content de cette surprise ?
- Un Château, des domestiques, rien à faire, le weekend sannonce bien, cest super.je sens que je vais aimer. Et les autres surprises ?
- Tu verras, tu le sauras au cours du repas, me répond, Valérie avec un petit sourire.
Ce sourire me laisse à penser quelle a prévu des choses intéressantes
Le temps dun brin de toilette et dun coup de peigne, on frappe à la porte.
- Je suis Lucie au service de Monsieur le Marquis, êtes-vous prêts ? Monsieur le Marquis naime pas attendre
Cest bien, allons-y. Monsieur le Marquis est le Maître chez Lui, ne loubliez pas. Il naime pas être contrarié. Je vous préviens...
Décidément, ils sont un peu bizarres dans cette maison, pensais-je. Lucie frappe et ouvre la porte du salon après un « Entrer ». Monsieur le Marquis reste au fond près des grandes et hautes fenêtres et nous nous avançons vers Lui:
- Approchez, je vous attendais. Vous êtes ponctuels, japprécie. Je vous propose de prendre un apéritif, asseyons-nous, je vous en prie.
De profonds fauteuils dépoque nous tendent leurs bras.
- Valérie, tu te mets ici et vous, Claude, vous vous installez dans celui-là.
Sen suit une longue conversation sur leur passé respectif à laquelle je fais semblant dêtre attentif
Etant au collège ensemble, je comprends mieux pourquoi Valérie tutoie le Châtelain. Et au bout dun moment, le Noble interroge ma femme :
- Valérie, tu as donc pensé à moi ?
- Oui. En fait, je voulais faire une surprise à Claude pour son anniversaire, un week-end dans un Château. Et je te remercie davoir accepté. A vrai dire ce nest pas une, mais trois surprises que je veux lui faire. Mais Claude, pour linstant, nen connaît quune seule !
- Oui, jai lu cela dans les mails que nous avons échangés
- Comment ça, Monsieur le Marquis connait mes surprises ?
- Allons Claude, arrêtez dêtre jaloux, me rétorque Le Noble, en me regardant bien au fond des yeux.
Comme tout à lheure, Son regard est si puissant que je ne peux répondre, je me sens fouillé à lintérieur à tel point que je baisse les yeux instinctivement tout en frissonnant dun étrange bien-être que je ne saurai expliqué à ce moment-là.
- Valérie, pour calmer Claude, tu peux peut-être lui dévoiler ta deuxième surprise. Mais avant, jai fait préparer des toasts et des canapés pour manger comme un buffet, ceci nous permet de rester ici dans nos fauteuils. Walter apportera du champagne. Dautre part, jai un couple damis qui doit venir me saluer dans la soirée, jespère que cela ne vous dérange pas. Nest-ce pas Claude ?
Le Noble me regarde de la même façon et je sens que je ne peux quaccepter cette proposition, dautant plus quil est chez lui !
- Non, non, cela ne me dérange pas, Monsieur le Marquis.
- Alors, Valérie, cette deuxième surprise ?
- Bien, alors voilà
Claude, jai décidé, comme jen ai le droit, que ce séjour sera mon weekend dinversion.
Aussitôt, je me sens rougir, devenir écarlate et je tremble car cela fait partie de ma vie intime et privée avec Valérie.
- Et cest quoi un week-end dinversion ? interroge Monsieur le Marquis, curieux.
- Ecoute bien, Edouard, mon cher ami, je te raconte.
Moi, je ne sais plus où me mettre, je suis si surpris que je narrive pas à prononcer un mot. Valérie poursuit :
- Une nuit, après mavoir fait lamour, et ça il sait faire, pendant que je reprenais mes esprits, Claude en profita pour mattacher les mains et les pieds aux quatre pieds du lit.
- Monsieur le Marquis na pas besoin de savoir cela, cest notre vie privée qui ne regarde personne, dis-je
- Taisez-vous Claude, ninterrompez pas votre femme, répliqua-t-il dun ton froid, glacial et calme mais qui étrangement accentuait son autorité.
- Oui tais-toi, dit Valérie. Il a alors pris un rasoir, jai essayé de me débattre mais la vue du rasoir ma convaincue de ne pas bouger. Peu de temps après, je navais plus de poil au sexe. Cela a dû particulièrement lexciter car retrouvant de la vigueur, il ma pénétrée de vive force comme une bête. Il sest arrêté brutalement. Il ma détachée, retournée de force et à nouveau attachée. Jétais ainsi toute écartelée et allongée sur le ventre. Il a écarté mes fesses, a fini le rasage puis ma enculé vivement, à sec et en forçant mon anus vierge en me limant un long moment, jusquà son éjaculation dans mes entrailles.
- Et ensuite, interroge Monsieur le Marquis, visiblement intéressé.
- Je ne sais plus bien, mais le lendemain matin, au petit-déjeuner, il me dit ceci : « Tu as pris cher hier, pour moi cétait parfait ! ». Je ne voulais pas en rester là car je me considérais très humiliée. Aussi, je lui ai proposé une sorte de revanche, un contrat : La prochaine fois, cest moi qui dirige et quil devra mobéir. On appellera cela linversion. Je déciderai du lieu et de la date. Cela semblait lémoustiller, lexciter et il a accepté. Et puis les mois ont passé, mais pas mon besoin de prendre ma revanche et de passer à cette inversion. Eh bien voilà, ça y est, nous y sommes, mon chéri. A partir de maintenant, ce vendredi 20 heures jusquà dimanche minuit, Claude, cest linversion.
-Tout cela est particulièrement intéressant, dit Monsieur le Marquis.
- Et comment comptes-tu ty prendre, ma chérie ? Et pourquoi ici, dans ce Château ?, demandais-je
- Pour commencer, Claude, tu nas la parole que lorsque je ten donne lordre.
Me voilà bien coincer, je tremble de tout mon corps, des gouttes de sueur perlent sur mon front mais paradoxalement je ressens, je ne sais que dire, comme une excitation naissante laquelle je ne contrôle pas et me surprend de ressentir comme un début dérection, malgré la forte gêne que ma vie intime soit étalée à ce Marquis...
- Je pense que voilà un beau cadeau danniversaire et je propose de porter un toast. Walter, amène nous du champagne, enchaîna le Châtelain.
Walter arrive rapidement avec du Dom Pérignon 1955.
- Je propose un toast à lanniversaire de Claude, dit Monsieur le Marquis en levant son verre. Et se tournant vers Valérie : Pour que cela soit complet, il faut maintenant dévoiler la troisième surprise, chère Valérie...
Après la surprise de linversion, que va-t-il marriver cette fois ci
.
(A suivre
)
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