La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1379)
soumis Amabalar au Château Histoire écrite par Amabalar - (textes améliorés par MDE) - (suite de l'épisode précédent N°1378) -
Après la surprise de linversion, que va-t-il marriver cette fois ci
.
- Mon chéri, écoute-bien, voici ta troisième et dernière surprise. Jai passé un contrat avec Monsieur le Marquis. Cest Lui qui dirigera ton inversion tout ce week-end. Il faut que tu saches que tu as devant toi, le meilleur Dominant qui puisse exister ! Cest un expert en la matière considéré par ses pairs comme un Grand Maître de la Domination/soumission. Je serais toujours présente mais tu devras toujours Lui obéir, en toutes circonstances et en tous lieux. Bon anniversaire, chéri ! Demande maintenant, pour mon plaisir, à Monsieur le Marquis de procéder à ton inversion, et que cela commence immédiatement...
Jai peur, jhésite, et en même temps je suis intrigué et excité par cette réalité
Une excitation improbable laquelle je naurai jamais pensé avoir en de telles circonstances. Je tremble devant lInconnu, mais comme Valérie sera présente, je me sens plutôt rassuré. Alors, je me lance en balbutiant :
- Monsieur le ;;; Marquis, je
je vous demande de
de commencer mon
inversion.., sil vous plait
- Très bien Claude, désormais, tu mappelleras Maître et tu ne parleras quavec mon autorisation, compris ?
- Oui, maître..
- Et je vais te donner un nom de soumis, tout de suite. Jai décidé que tu tappelleras Amabalar. Debout, Amabalar, vas au milieu de la pièce
parfait. Tu vas dabord être puni davoir humilié mon amie, Valérie...
Je me dirige vers le centre du salon dun pas hésitant, peu assuré.
- Face à moi, baisse les yeux
et je te veux nu, alors à poil !..
Jhésite et je ne sais pas quoi faire, je regarde Valérie qui me sourit et ça me rassure mais tout de même, je ne vais pas me déshabiller devant lui.
- Je ne le dirai pas deux fois, Walter, apprend lui lobéissance.
Le Majordome sapproche de moi, une cravache à la main. Je regarde Valérie qui me fait un signe affirmatif de la tête. Alors je cède et commence à me déshabiller, enlevant tout, allant même jusquau slip.
- Complètement à poil, jai dit !
Walter, emmène tous ses vêtements, il nen aura plus besoin avant son départ... Toi le chien, reste de face, ce nest pas la peine cacher ta nouille de chien, alors mains sur la tête ! Écarte les jambes, que lon voit bien tes attributs..
Je me sens profondément humilié alors je jette un il vers Valérie, qui semble prendre du plaisir à ce spectacle. Et quand je mets mes mains sur la tête, je ne peux pas cacher mon érection qui trahit clairement ce que je ressens
- Mais cest que ça lexcite, la lopette !, chien Amabalar, mains derrière le dos et demi-tour
Beau petit cul, ton mari
Penches toi vers lavant bien cambré et met en valeur ton cul de chien
Avec les mains, tu écartes tes fesses, montre nous ton anus et tes couilles en même temps
Penche toi, plus encore et écarte toi au maximum
Tu vois, Valérie, on lui voit bien son petit trou du cul, sa nouille qui ne peut sempêcher de se dresser et ses petites couilles tout en même temps, cest parfait
Tu ne bouges plus, tu attends Mes Exigences...
Durant ce temps, Walter remplit une nouvelle fois nos verres de champagne et ne perd pas une goutte de la situation en bon voyeur quil est, ce qui me met encore plus la honte et à la fois augmente mon excitation...
- Quen penses-tu, Walter ? interroge Monsieur le Marquis...
- Ce chien a un très beau cul et il semble que sa nouille réagit, tout cela doit plaire à Monsieur le Marquis, mais, si vous le permettez, Monsieur le Marquis, sera-t-il toujours aussi obéissant ?
- Ca vaudra mieux pour lui durant ce weekend
Et toi Valérie, cela te convient ?
- Oui, cest une bonne humiliation pour commencer, il le mérite, acquiesça Valérie
Ce sont les mots humiliants pour commencer que jai surtout retenu comme le fait dêtre ainsi exhibé.
- Relève-toi et retourne-toi !, exige Monsieur le Marquis
Valérie, ta lopette de mari bande encore bien plus ! Il trouve du plaisir dans lhumiliation, cest la marque du soumis par excellence...
Monsieur le Marquis se lève et sapproche de moi.
-Petite pute, ta bite dressée montre bien que tu es un soumis, une lopette, un chien. Eh bien soit, je te considère maintenant comme tel. Dis-moi à haute et intelligible voix : je suis la lopette de Monsieur le Marquis
- Je suis la lopette de Monsieur le Marquis dis-je en marmonnant
- Plus fort, le chien, je nentends pas
- Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, dis-je un peu plus fort.
- Comme je ne tentends pas, encore. Donc tu es puni
Walter fait ce que tu sais... dit le Marquis en me regardant dans les yeux de Son regard puissant, transperçant et tétanisant.
Le Majordome sapproche de moi
- Retourne-toi, mains dans le dos, le chien...
Jobéis car je ne résisterai pas à la force physique du Majordome. Deux cordes descendent du plafond que saisit Walter. Il me lie les poignets avec, et les cordes remontent. Je pense que cest télécommandé par le Maître des lieux. Walter fait de même avec mes chevilles, attachées à des anneaux au sol. Je me retrouve ainsi attaché, nu, en croix, écartelé, en attente de ma punition, la bite dressée.
- Merci Walter, une bonne volée de fessées est de mise.
- Cest parfait, Edouard
répond Valérie, sa voie enjouée trahit son plaisir.
- À toi Walter, 10 sur chaque fesse.
Je me crispe en attente de la première fessée. Javais repéré que Walter avait des mains énormes et vue sa force, je pense que je vais bien la sentir
- Un
..
- Aahhh
Je ne peux mempêcher de crier, tant par surprise mais aussi et surtout par cette douleur piquante sur ma fesse.
- Tu nas pas eu lautorisation de parler, Amabalar la lopette. Tu auras donc dix claques de plus, cela fait donc maintenant trente. Et ce sera 10 de plus à chaque fois que tu louvriras...
- Deux....
Je serre les dents mais je ne dis rien. Il faut que je résiste pour abréger mes souffrances qui ne font quaugmenter mon érection.
- Trois, quatre,
.neuf, dix..
Je sens mon fessier brûlant qui me fait mal. Il doit être tout rouge, mon cul.
- A chaque fois que tu désobéiras, Amabalar la lopette, tu prendras 20 claques sur les fesses.. dit Monsieur le Marquis
Walter les dix dernières fessées, tu les donneras beaucoup plus fortes, quil ne les oublie jamais. Quil souffre bien, cela lui ôtera lenvie de désobéir, à ce petit chien...
Onze, douze
La douleur devient insupportable. Des larmes coulent sur mon visage, Walter sabandonne et exprime toute sa force, cest une véritable qui... je dois bien lavouer, me fait encore plus bander !
dix-huit
dix-neuf.... Je serre encore plus les dents
vingt-cinq
vingt-huit
Je nen peux plus. Pour abréger mes souffrances, je mécris très fort
- Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans..
- Vingt neuf. Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans..
- Trente. Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans, criais-je dans un dernier souffle
- Parfait, sexclama le Noble.
Détaché, je mécroule par terre. Le Majordome me conduit de force vers la table basse. Je ne peux y aller quà quatre pattes, tant mon corps et mes fesses surtout me font mal, je me déplace comme un chien. Le Châtelain sadresse à Valérie :
- Tu apprécies, jespère, chère amie, la punition quil a mérité..
- Oh que oui, cétait même très excitant, répond Valérie.
Et, pendant que Walter installe la lopette que je suis devenu sur la table basse, Monsieur le Marquis savance vers elle.
- Très excitant dis-tu ? Alors écartes tes cuisses que je vérifie ton excitation, ce sera comme une validation de mon travail.
Son regard froid dacier et profondément Dominateur subjugue Valérie qui, sans pouvoir sy opposer, lexcitation aidant na aucun mal à écarter ses cuisses. Monsieur Le marquis y engouffre la main, et trouve une chatte complètement trempée. Ses doigts pénètrent et fouillent puis sattardent sur le clitoris particulièrement gonflé.
- Toi aussi, tu es en chaleur, ma belle ! Ne tinquiètes pas, je vais moccuper de toi aussi...
Pendant ce temps, Walter ma installé nu sur la table basse à quatre pattes, avec poignets et chevilles attachés aux quatre pieds de la table, la tête basse, un bandeau sur les yeux et la croupe bien rougie, ma nouille toujours aussi dressée
(A suivre
)
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