Bablacar Suite 1
BlaBlaCar suite
La voiture sest arrêtée devant un superbe maison, en dehors de la ville et devant la porte, deux femmes nous attendent, lune la cinquantaine, très belle femme et à ses côtés une jeune femme pas plus de trente ans. Toutes deux se tiennent par la taille et sont manifestement très liées ; un détail me frappe : leur tenue on ne peut plus coquines: deux mini robes en fine dentelle, laissant leurs atouts pratiquement à nus ;
Lorsque je veux reboutonner ma robe, car Christian vient juste de me pistonner avant darriver, il me retient
« Non restes ainsi, elles vont apprécier soit en sûr , tu peux même lenlever»
Dun geste, il la retire brusquement et je me retrouve totalement nue , le ventre encore maculé de sa semence et ma chatte bien visible, doù sécoule encore sur mes cuisses le trop plein de son dernier ensemencement. Javoue que cela me gène beaucoup , mais fièrement, je mavance vers elle, essayant de dissimuler mon trouble. Cest sa femme qui maccueille, déposant un puissant baiser sur mes lèvres alors quun de ses doigts vient constater létat de mon abricot ; quand elle le ressort, brillant de cyprine et de sperme, elle membrasse à nouveau , cette fois fougueusement
« Je vois que tu as bien profité de mon homme, maintenant tu vas être à moi »
elle mentraine à lintérieur de la luxueuse maison, la jeune femme nous accompagne, une main sur mon fessier et parfois un peu plus loin dans mon sillon. Cest finalement sur un grand sofa que je me retrouve, allongée sur le dos, les jambes pendantes, bien écartelées. Alors quelle vient se positionner entre mes jambes, sa bouche me dévorant ma chatte béante et gluante de sécrétions, sa compagne vient elle se mettre au-dessus de mon visage et plaque sa vulve, déjà bien humide sur ma bouche ; si dans mon ventre une langue fébrile vient laper mon intimité, accompagnée parfois dun doigt investissant soit ma chatte soit mon petit trou ; entre deux gémissements, jai moi aussi la langue enfouie entre les petites lèvres , mordillant parfois le clito de cette jeune libertine, pour son plus grand plaisir, car tout comme moi, elle ne tarde pas à jouir, me maculant le visage de puissants jets de cyprine.
Alors que Karine (cest le prénom de la jeune femme, )maintient sa vulve sur ma bouche, se frottant abondamment la vulve sur mon visage, ma chatte est soudainement libre, avant que puissamment je me sente pénétrée ; cest manifestement un gode de belle taille qui mécartelée les parois venant rapidement buter sur le fond de ma matrice , avant de commencer à me dévaster par de puissants et rapides coups de bélier ; elle sait comment faire jouir une femme ; tout en me titillant mon petit bourgeon, bien saillant, alors que mes seins sont triturés par Karine, elle me possède, faisant monter mon plaisir qui éclate, mobligeant à quitter la chatte sur ma bouche, avant que puissamment elle se repose, métouffant sous la pression.
Quand elle se retire, sécroulant tout en jouissant à coté de moi, je peux alors constater que cest par un double gode que la maitresse de maison ma possédée et quelle y a pris elle aussi beaucoup de plaisir ; son visage est marqué par la jouissance et ses gémissement prouvent le plaisir quelle ressent. Pour la deuxième fois, elle vient de me faire jouir et il en est de même pour elle ; allongées toutes les deux , nous essayons de récupérer, mais Karine a entreprit , en simultané de nous enfiler dabord deux doigts, puis finalement la totalité de ses fines mains, pour un terrible fist qui nous laisse éperdues de plaisir ; quand elle se retire de ma vulve un gargouillis traduit lhumidité de ma chatte, alors quun grand vide dans mon ventre me perturbe. Nous restons un long moment ainsi, entre coupé de quelques caresses , aussi douces quappuyées, avant que Sylvia la maitresse de maison mentraine vers la salle de bain et la chambre.
Quand je reviens, après une bonne douche, tout le monde est au salon, et je découvre quil y a un nouvel arrivant ; un beau jeune homme, entre 25 et 30 ans, le fils de la maison ; les deux femmes sont toujours aussi peu vêtues et toujours aussi proches lune de lautre, ce qui est un peu surprenant au vue de la présence du fils ; jen ai rapidement lexplication, car il savère que Karine est aussi sa femme ; la situation ne semble pas le gêner et jen déduis que tout le monde est libertin.
Avec un grand sourire, mon chauffeur ( à tous les sens) sapproche de moi et me caresse à la fois les seins et mon sillon, bientôt suivi par son fils qui a déjà quitté ses vêtements ; je peux constater quil est bien pourvu et quand il se rapproche de moi, je me mets à genoux pour le gober, alors que son père a déjà deux doigts dans ma chatte et un dans mon petit trou ; jaime me faire prendre en double et je tortille mes fesses pour bien lui faire comprendre. Ma fellation ne dure pas, car sallongeant sur la moquette , le fiston me présente un mat bien dressé sur lequel je mempresse de me planter, menfonçant profondément sa tige, tellement je suis mouillée, ce qui me vaut dailleurs un commentaire bien senti
« putain , elle est pleine de cyprine et ma queue senfonce sans aucune difficulté ; «
En effet, même si son mandrin mécartèle les parois, son gland vient vite buter sur le fond de ma matrice ; me penchant sur sa poitrine, je sais que je dévoile mon sillon et à mon tour je provoque Christian
« Cet après-midi tu mas bien baisée par trois fois, mais ce soir ,jai envie que tu me sodomises ; enfiles ta queue dans mon petit trou et fais-moi jouir ainsi »
Ma provocation est sans doute trop réaliste, car son gland vient sappuyer sur mon anneau et dune poussée, il me perfore, sa queue dévastant le fin sphincter ; sous la violence , je ne peux retenir un hurlement, maïs il nen tient pas compte, ;alors que son fils , bien encré en moi, me retenant par le cou, lui continue sa pénétration, écartelant les parois de mes entrailles, puis sans attente, il commence à me percuter le fion, accroché à mes hanches ; jencaisse les coups de butoirs, douloureusement , puis mon anneau se dilate, bien habitué aux enculades et mon plaisir déferle.
« putain , ce nest pas vrai, elle est en train de juter sur ma queue, elle jouit en se faisant enculer, quelle salope, vas y défonce la , je crois quelle mattend que cela. »
Harmonisant leurs efforts mes deux pourfendeurs vont me posséder longuement, puissamment ; tantôt cest ma chatte qui se fait défoncer, tantôt cest mon cul qui encaisse, les deux pour mon plus grand bonheur ; mes jouissances se succèdent, mon corps nest plus que vibrations.
« Je vais te le remplir ton cul, comme je tai fécondé cet après-midi, putain que cest bon «
Presque simultanément les deux hommes se vident en moi, augmentant, si tant cela est possible ma jouissance ; je feule, je crie, je gémis encore quand enfin ils se retirent, laissant un grand vide en moi ; dévastée par ces nombreuses jouissances, je mécroue sur la moquette ; cest alors que je découvre les deux femmes en 69 se gouinant allègrement.
Epuisée, tenant à peine sur mes jambes et aidée par Karine, je regagne ma chambre, où tendrement elle membrasse avant de maider à prendre une douche , puis tendrement elle mallonge sur le lit en me disant «
»tu es merveilleuse, cest dommage que tu partes demain »
malgré ma fatigue, jappelle jean, pensant le réveiller, mais ne voulant pas quil pense que je lai oublié ; il men est rien , il ne dormait pas et il écoute en silence ma soirée, puis après mavoir souhaité une bonne nuit, il a ajouté :
« Tu es merveilleuse et si lenvie te dit de rester avec eux demain, ne tinquiète pas, je comprendrais. »
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