Petites Histoires 4 Mariage D'Amis
UN MARIAGE DAMIS
Cette histoire sest passée au début de ma relation avec ma première épouse Gabrielle. Je nen ai eu confirmation, par elle que bien plus tard. Cest pourquoi, je vais vous raconter ma version, et la sienne.
GABRIELLE
Je mappelle Gabrielle, mais mes proches mappellent souvent Gaby. Jai 22 ans et je suis en couple avec Steve depuis près dun an. Physiquement je suis Blonde aux cheveux bouclés. Les yeux bleus, un petit nez et des fossettes quon dit charmants. Je fais 1,70m et je suis assez élancée. Un peu complexée par mes tous petits seins, je suis , par contre, assez fière de mon postérieur musclé et de mes longues jambes. Adepte du bronzage intégral, dès que possible, jai une jolie peau dorée. Mon copain Steve est un romantique qui ma eue au charme. Il est à peine plus grand que moi, Brun aux yeux verts profonds. Il est commercial et gagne bien sa vie. Mieux que moi qui débute avec un petit boulot dans une boutique de fringues. Bon, ce qui est agréable, cest que je peux assouvir ma passion pour les vêtements sans que cela coûte trop cher, vu que ma patronne, me laisse emprunter ce que je veux, pourvu que je le lave et le repasse avant de le rendre. Mais revenons à Steve. Son visage, peu expressif est taillé à coup de serpe, comme son corps, plutôt musclé. Il est sportif et pratique la natation assidument. Nous avons emménagé, il y a dix mois dans un grand et agréable appartement. Cependant, il faut bien dire que nous ny passons que peu de temps. Nous sommes souvent sortis, en boite, au restaurant ou chez des amis. Chaque soirée est loccasion de nous demander ce que nous allons faire. Il faut dire que dès 18h, je suis à la maison alors que mon copain rentre souvent plus tard, et quil marrive de mennuyer ferme, dautant que nous navons même pas la télé.
Ce week-end, pas question de sennuyer. Un de mes copains dadolescence nous a convié à son mariage qui se passera dans lAude, du côté de Carcassonne.
Samedi matin, Nous bouclons deux petits sacs, et nous voilà partis. Jai Opté pour un tailleur, très couture de soie rose à motifs. Une jupe assez courte et une veste qui vient se croiser sur la peau, le soutien-gorge étant un accessoire inutile dans mon cas. Jai trouvé un string assorti à la jupe, quasiment invisible sous celle-ci.
Steve na pas manqué dapprécier dun sifflement admiratif, cette tenue. Il a sur lui, un classique pantalon bleu marine et chemise assortie, et une veste écrue, quil a accrochée sur un cintre à larrière.
Une fois sur la route, il me complimente sur ma coiffure agrémentée dune voilette et de perles. Je défais les deux boutons de ma veste et en ouvre les pans, dévoilant ma poitrine nue. Mes seins sont petits, mais jai de très gros bouts qui sérigent pour un rien. Sans quitter la route des yeux, il me caresse un peu et pince mes tétons. Sentant que ça risque de dégénérer, je lui conseille de se reconcentrer et je referme mon vêtement. Une heure plus tard nous arrivons. La place de léglise de ce petit village est noire de monde.Les hommes sanglés dans des costumes sombres, et les dames rivalisant délégance. Je produis mon petit effet en arrivant et jen suis secrètement flattée, mais il est lheure, et le curé nous invite à entrer dans léglise.
STEVE
Tous les invités se massent dans léglise, Avec Gaby, je me retrouve au cinquième rang, sur lextérieur. Le marié arrive au bras de sa mère, et la future épouse est accompagnée à lautel par son père. La cérémonie, nest pas passionnante, surtout pour moi qui suis agnostique. La tenue de Gaby, mévoque des pensées qui nont rien de bibliques, mais nous sommes entourés de monde et il faut bien se tenir. Le mariage célébré, tout le monde se rassemble dehors pour la traditionnelle cérémonie du riz.
GABRIELLE
Les cérémonies de mariage, cest toujours un peu long. en profite pour détailler les gens présents. Beaucoup dinconnus bien sur, mais je retrouve aussi mes copains de jeunesse, éparpillés ici et là
enfin, ceux qui sont devant moi, car je ne peux quand même pas me retourner. Les mariés échangent les anneaux, et sembrassent. Quel joli moment ! Toutes les filles, même si elles ne lavouent pas, en rèvent. Au dehors, tout le monde attend les mariés. On nous a distribué du riz à lancer pour leur porter bonheur. Sous les hourras, ils reçoivent en souriant cette pluie bénéfique. Tout le monde se précipite pour les embrasser, et je ne fais pas exception. Je leur fais mes vux, et me mets à la recherche de Steve, au milieu de cette foule. Sans arrêt stoppée par lun ou lautre des parents qui métreignent comme du bon pain. Je tombe nez à nez avec François, un de mes anciens copains.
-« Hé, salut toi ! je suis content de te voir »
Il se penche pour membrasser (il es très grand) et lorsquil me fait la bise, je sens une main qui caresse ma fesse.
-« Tu es très en beauté. » dit il « On se voit plus tard. » et hop, il est déjà parti
Je passe entre les gens, et tombe ensuite sur deux autres copains. Ceux là étaient les inséparables de la bande. Ils faisaient tout ensemble, et je me souviens avoir flirté avec les deux en même temps.
« Oh Jolie Gaby ! tu es venue ! » me dit Michel
-« Oui, je suis avec mon copain » réponds-je
-« Quel dommage ! » sexclame son pote Benoit. « Enfin, on est là pour samuser, non ? » complète til énigmatique. Les deux membrassent, en dérapant un peu, à la commissure des lèvres. Je rigole et méclipse, pour tomber, un peu plus loin sur un autre ami denfance. Un grand brun costaud, rugbyman qui faisait se pâmer toutes les filles au lycée.
Il me dévisage longuement avant de menlacer et de me serrer très fort contre lui. Cest très agréable, mais je sens se réveiller contre moi un engin qui mévoque clairement son envie.
-« Euh Erwann, tu devrais prendre tes distances, sinon, tu ne seras bientôt plus présentable » lui dis-je
-« Désolé, Gaby, mais jai toujours envie de toi, et si moi, je devais me marier un jour
»
-« Ola ! je tarrête tout de suite. Je tai déjà dit que je ne suis pas bonne à marier »
Je me dégage prestement et menfuis. Japerçois enfin Steve, et nous rejoignons notre voiture.
STEVE
Le cortège de véhicule défile en klaxonnant au travers de la ville, jusquà un château ou nous sommes tous conviés à lapéritif. Tous les invités parquent leurs véhicules et nous nous retrouvons dans la cour du château ou un buffet a été dressé. Le champagne coule a flots. Gaby me présente ses copains de jeunesse, beaucoup de mecs et quelques filles assez mignonnes. Japprends que la mariée était, tout comme le marié une de leurs amies et quils ont fait les 400 coups ensemble. Une petite rouquine aux formes avantageuses pouffe de rire en entendant lexpression
-« Les 400 coups, cest bien le mot ! » dit elle en riant
-« Ah bon ? »osai-je innocemment
-« Oh, oui, Elle et Gaby étaient les plus délurées, et 400 crois moi, cest un minimum. »
Gabrielle qui arrive juste, pique un fard
-« Tu ne peux pas la fermer, petite peste, au lieu de débiter des Äneries. ; occupes toi de ton cul ! » lui dit elle, visiblement en colère
-« Mon cul, je te rappelle que tu nas pas détesté ten occuper ! »
Je suis effaré par ce que jentends.
-« Ces temps là, cest du passé, justement, il est temps doublier »
La rousse ne répond pas et séloigne vers le buffet pour aller remplir son verre.
Pendant que tout le monde salcoolise, les mariés sont partis faire des photos dans le parc.
Connaissant assez peu de monde finalement, je pars explorer ce grand domaine arboré. Japerçois les mariés, au loin, avec le photographe, et je me dirige à lopposé pour ne pas les déranger. Je déambule depuis un moment quand , face à moi, je vois arriver la rouquine de tout à lheure : Stéphanie Elle se joint à moi.
-« Tu te balades ? » demande telle
-« Je visite. Il est immense ce parc ! »
Je me dis que je vais en savoir un peu plus
-« Dis donc, cétait tendu avec Gaby. »
-« Oh laisse tomber, on sest toujours chipouillées »
-« Pas toujours daprès ce que tu as dit »
-« AH, Il ne faut pas faire attention à ce que je dis. Cest des histoires de gosses. »
-« Comment ça ? »
-« Tu sais bien. On était ados. On découvrait nos corps, les garçons, la sexualité ; chacun à notre manière. »
-« Et Gaby, un peu plus que les autres ? » risquai-je
-« Oui, elle était moins timide. Entre elle et la mariée daujourdhui, cétait un peu comme une compétition, à celle qui aurait le plus dexpériences. »
-« Avec des filles aussi ? »
-« Humm, oui, elle aimait bien brouter des minous, mais bon, on a toutes essayé. En plus elle était douée. »
Je ne suis pas sur que ce compliment sur ma femme me fasse vraiment plaisir.
-« Et avec les garçons ? »
-« On était toute une bande, on se voyait tout le temps, on allait au ciné, à la piscine, on jouait à des jeux, on faisait des paris. »
-« Quel genre ? »
-« Oh des trucs bêtes, on se pointait sans soutif, ou sans culotte, ou on pariait quon caresserait le sexe dun des gars, ou quon arriverait à se faire embrasser par le copain dune autre. Evidemment, plus on grandissait, plus les mecs nous mettaient la pression, et plus les jeux étaient osés ; ça a commencé par le topless à la plage, puis les bains de minuit, à poil, ou les strip poker où on finissait peu habillés avec des gages un peu osés. »
-«Cest à dire ? »
-« Par exemple, si on jouait et que jaie perdu, jaurais pu avoir pour gage de te sucer. »
-« Avec ma copine présente ? »
A ce moment elle vient se coller à moi et envoie sa main sur mon sexe.
-« Oui, mais là, on est seuls » dit elle en baissant ma braguette
Je ne sais quoi faire. Je ne vais quand même pas menfuir comme un collégien.
-« Ecoute, je ne crois pas que
»
-« Chuuut, laisse toi faire » dit elle en mentrainant contre un arbre auquel elle madosse. Elle déboucle ma ceinture avec une dextérité certaine et mon pantalon glisse le long de mes jambes. Mon boxer suit et se retrouve à mes genoux, alors quelle a déjà empoigné ma queue quelle caresse en lenveloppant entre ses doigts.
-« Quel bel engin ! Il faut que jy goute. » me confie telle en sagenouillant. Sa bouche rouge et pulpeuse se referme sur mon sexe quelle se met à sucer avec application. Elle engloutit ma verge, de plus en plus loin dans sa gorge, et ressort de temps en temps, sa langue sexerçant sur mon frein tandis quelle lève vers moi son visage constellé de taches de rousseur. Elle replonge sur mon sexe avec avidité. Je ne sais pas si elle va me vider les couilles, mais pour linstant elle me vide le cerveau. Je narrive plus à penser. Je la relève. Elle se jette sur moi et me roule une pelle bien baveuse, sans cesser de caresser mon chibre qui doit être au maxi.
Elle se recule, et me dit :
-« Tu vois, cest mécanique, maintenant, je ne peux pas te laisser comme ça. »
Elle remonte sa jupe, et descend son string de soie blanche sur ses chevilles. Sincline et le ramasse, puis elle vient sappuyer sur le tronc darbre dune main, lautre gardant sa robe relevée sur ses reins, et elle cambre vers moi, un cul blanc, bien dodu, avec une fente bien épilée surmontée, un peu plus haut dun petit anneau froncé. Sans réfléchir, je viens me positionner derrière elle et je lembroche dun coup, avant de la limer a grands coups de reins. Cest un accouplement bestial et intense. Je la cramponne aux hanches et la pénêtre avec des « han » de bucheron.
-« AH ! cest bon, elle est bien dure ! vas y, secoue moi ! »
Jobéis et me déchaine, venant taper , contre son cul, en y ajoutant quelques claques qui font rosir sa peau. Elle vient rapidement et je la suis, de peu ponctuant ma jouissance de coups de boutoir ?
-« cétait bon » me dit elle en essuyant mon sperme qui dégouline sur ses cuisse, avant de remettre son string et de rabattre sa jupe. « Une petite coupe maintenant ? »
Sur le chemin qui nous ramène au château, japprends quelle nest pas mariée.
-« Tous les gars du groupe sont maintenant en couple, mais je nai jamais su me décider . »
-« Cest un peu triste non ? »
-« Pas du tout, je continue à les voir, de temps en temps. »
-« Et tu baises avec eux ? »
-« Je nai jamais voulu en choisir un, et puis, ce nest pas parce quils sont mariés que ça les gène. Au moins, je ne trompe personne. »
Cest un point de vue qui se défend.
GABRIELLE
Dans la cour du château, lapéro bat son plein. Steve a disparu. Le pauvre doit sennuyer au milieu de ces inconnus. De mon côté, je suis lobjet des attentions de mes amis retrouvés. François, Michel, Benoit et Erwann se sont regroupés autour de moi, pour évoquer le bon vieux temps. Les mariés Thierry et Ariane nous rejoignent et nous trinquons joyeusement.
Bien entendu, au milieu de ces mâles, les mains me frôlent, et jai droit à de petits bisous amicaux, pas si innocents que ça, à mon avis. A force de boire, ma vessie se rappelle à moi, et je dois mabsenter pour trouver les toilettes. Je quitte le groupe et me dirige vers les batiments,. Je suis suivie par François qui me demande où je vais. Informé, il me dit quil connaît les lieux et quil va maccompagner.
Jai eu bien besoin de son aide car ce château est un véritable labyrinthe. Finalement nous trouvons les toilettes dames, qui sont assez éloignées de celles des hommes, quil connaissait. Il me laisse à la porte. Ce château est équipé pour recevoir du monde. Lespace dames est luxueux, dallé de pierre, éclairé par des candélabres avec de magnifiques lavabos en forme de St Jacques équipées de robinets, façon belle époque. Pas moins de six cabines de toilettes impeccables. Je mengouffre dans lune delle et remonte vite fait ma jupe, avant dabaisser ma culotte pour me soulager. Ouf, il était temps. Je ressors après mêtre lavé les mains, et je trouve François dans le couloir qui mattend.
-« Cétait inutile de mattendre. Lui dis-je, Jaurais retrouvé la sortie »
Sans un mot, il me prend par le bras et mentraine dans le dédale de couloir, jusquà une petite alcove isolée, et voutée, ou il me fait entrer avant de mattirer à lui.
-« Je suis vraiment content que tu sois venue » me dit il et, il vient poser ses lèvres sur les miennes. Je garde la bouche fermée. Il se recule.
-« François, je ne suis pas venue toute seule. On est plus des gosses pour jouer à ça. »
-« Au contraire, me dit il, je sais maintenant ce que je veux. Je suis marié, comme tu sais et pas heureux en ménage. Ma femme voudrait des gosses, mais je ne vais pas lui faire ce cadeau. Quand je tai vue, tout à lheure, je me suis rappelé nos jeunes années, et je me suis aperçu que je navais jamais cessé de penser à toi »
-« François, tu as tort. »
-« Prouve le » dit il en se penchant sur moi et en prenant mes lèvres. Cette fois il insiste et jouvre finalement ma bouche. Nos langue se mèlent et notre baiser se prolonge. Ses mains parcourent mon corps, palpant mes fesses, et remontant sur mes hanches. Il déboutonne ma veste et dévoile mes petits seins quil empaume, faisant jaillir mes tétons bien durs. Cette caresse est très excitante. Il me dirige vers une meridienne sur laquelle il me fait agenouiller, les bras posés sur le dossier. Ses mains retroussent ma jupe sur mes reins, et découvrent mes fesses, Je sais bien ce qui va se passer. Il est encore temps dy mettre fin, mais je suis faible , déjà humide de désir, et je le laisse faire quand il fait descendre mon string, avant de lenlever complètement. Linstant daprès, jentends un froissement de tissu , et son sexe impérieux vient sinsérer dans ma fente, repoussant mes lèvres sans ménagement, se frayant un chemin en moi comme un trépan inexorable. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir quand il se met à me limer avec détermination. Lespace dun instant, je me vois, nue sur ce canapé, embrochée par cette bite qui distend ma chatte et ouvre mon petit trou, à la merci de nimporte qui passant par là. Je suis victime de mes sensations et , cette vision me déclenche un orgasme. François me relève et mattire à lui. Il me soulève et me plaque contre le mur, après avoir enlevé ma veste. Il me soutient de ses mains sous mes fesses et mempale sur son vit. Coincée entre le mur et lui, je suis secouée comme un pantin ; mes fesses et mon dos tapent durement contre le mur et ses bras musclés tirent mes cuisses mécartelant au maximum. Je sens sa bite qui monte et descend en moi, memplissant et je ne peux que maccrocher à son cou, pour éviter de tomber dun coup si jétais désarçonnée. Je gémis sans arrêt sous sa pénétration et finis par avoir un second orgasme, presque aussi violent que le premier. Il se dégage et me pose sur la méridienne, son sexe venant cogner sur mes lèvres. Je le prends en bouche et il matt la tête pour me baiser la bouche. Très vite, je le sens enfler et il menvoie plusieurs décharges de son suc. Je ne peux tout avaler et je recrache par terre, pour éviter de salir ma tenue.
Je mattendais à plus de tendresse, mais il se rajuste très vite et me dit :
-« Tu as toujours aimé ça Gaby. Je serais toujours là pour te satisfaire. »
Il ramasse mon string quil empoche et sen va.
Je me dépèche de remettre de lordre dans ma tenue, et je file au toilettes pour me rincer, et faire un raccord maquillage. Ma coiffure a à peine bougé. Lexamen
dans la glace est satisfaisant. Je men vais rejoindre le mariage, les jambes cotonneuses.
STEVE
De retour dans la cour dhonneur, je méquioe dun verre et vais dun groupe à lautre, saluant les autres invités. Stéphanie a rejoint un groupe de gars, et quand je passe, elle me fait un clin dil. Gabrielle nest pas parmi eux. Jen suis à mon second verre quand je la vois se faufiler vers moi.
-« Ah, tu es là mon chéri. Je me demandais où tu étais passé. »
-« Je faisais un tour dans le parc »
-« Cest chouette, hein ? et tu verrais lintérieur, un vrai château de princesse ! » raconte telle.
Elle avise les mariés qui vont dun groupe à lautre et nous entraine vers eux
-« Mes chéris, vous êtes vraiment splendides ! Ta robe est super Ariane. »
Effectivement, bien que je ne sois pas très fan des robes de mariées, celle-ci sort un peu du lot. Le bas, assez traditionnel est composé de plusieurs couches de dentelle fine, et dune longue traine. Elle est prise à la taille par une ceinture de soie blanche, et le haut est un voilage de tulle transparent brodé de fleurs et de motifs ornementaux qui masquent les endroits stratégiques, et laissent une épaule complètement dénudée. Un petit chapeau blanc est perché sur sa coiffure artistement agencée. Elle forme un couple harmonieux avec son époux, Thierry qui est un gars avenant au sourire sympathique. Ainsi que je lavais prévu, il a abandonné sa veste de smoking, mais son gilet écru et sa large cravate de soie, sur le strict pantalon bleu marine , restent très classe.
-« Dis moi, Ariane, je dois me changer pour la soirée. Y a til un endroit pour ça ? » demande Gaby. La mariée, sans hésiter lui repond :
-« Tu nauras quà venir avec moi, je dois aussi changer de tenue, et jai une chambre mise a disposition pour cela. Jy ai déjà déposé mes affaires. Tu pourras même te doucher. »
-« Super, fais moi signe quand tu y vas. »
Pendant ce temps, en parcourant lassemblée des yeux, je vois Stéphanie qui séloigne vers le parc en compagnie dErwann.
Ariane me présente deux jeunes femmes brunes à la peau mate. Japprends que lune delle, se nomme Christelle. Elle a une silhouette et un visage agréable. Plutot fine, de longs cheveux noirs qui tombent jusquau milieu de son dos. Cest la femme de Michel. Lautre, un peu plus petite, et plus mate de peau a des cheveux courts et une poitrine imposante. Elle sappelle Noélie et elle est en couple avec François. Toutes deux sont juchées sur des stilettos interminables et portent des robes fourreau très courtes mettant en valeur leurs jambes. Nous discutons un moment avec elles, mais lheure avançant lapéro se termine. Gaby nous quitte pour aller se changer
Je reste avec les deux jeunes femmes et notre conversation roule sur le sujet du jour ; le mariage. Christelle me demande si je vais me marier avec Gaby, et je lui réponds que nous navons pas encore réfléchi à la question. Noélie nous déclare que si cétait à refaire, elle aurait gardé sa liberté.
-« Tu nes pas bien avec François ? » demandai-je
-« Parfois, je me demande sil ne ma pas épousée pour faire comme tout le monde. Il continue de draguer, et de sauter des conasses comme si je nexistais pas. Au début, jétais amoureuses mais je me suis vite rendue compte que je ne comptais pour lui. »
-« Et toi, tu fais quoi ? »
-« Au début jétais fidèle, par principe, mais maintenant, si un type me plait, je me lenvoie. Cest pas souvent, mais je ne vois pas pourquoi je me priverai. »
Christelle est mariée avec Michel depuis trois ans.
-« La première année était merveilleuse » raconte telle « Nous étions fusionnels et nous faisions lamour partout, et puis petit à petit ça sest calmé. Après une période assez floue, où il na pas du être très fidèle, il a commençé à proposer de réaliser certains fantasmes, de plus en plus osés, des plans à plusieurs, devant des voyeurs, etc
»
-« Et ça sest mal passé » questionnai-je
-« Au début, javoue que jétais réticente, mais jai fini par mhabi, et même, parfois, à y trouver du plaisir. Cest comme ça que jai rencontré Noélie. Et toi avec Gaby ? »
-« Oh nous ne nous connaissons que depuis un an. Cest donc létat de grâce. Nous avons encore des habitudes de célibataires, mais nous sommes de plus en plus exclusifs. »
-« Elle a bien changé, alors. » emet Noélie.
-« Cest sur » renchérit Christelle « avant elle sautait sur tout les mecs potables. »
Décidément, jen apprends de belles sur ma femme.
-« Et donc, toutes les deux, vous êtes
»
-« Oui, mais rassure toi, pour un beau gars comme toi, on peut faire une exception. »
Mazette !
GABRIELLE
Jai récupéré mon petit sac, et je rejoins Ariane, qui mentraine à létage, dans le château, et nous entrons bientôt dans une superbe chambre, avec un lit à baldaquin, des plafonds de 4 m et de grandes fenêtres. La salle de bain est tout aussi spacieuse avec une grande baignoire, et une douche à litalienne, également immense, avec des jets balnéo.
Je commence par étaler ma robe fourreau pour la défroisser, avant de me déshabiller.
Ariane , qui est de lautre côté du lit, me voit enlever ma veste, ma jupe et sexclame :
-« Ah oui ! à poil carrément ! tu nas pas changé décidément !. »
Cest à son tour ? Je laide à se dégager de limposante robe, et je découvre quelle a un porte jarretelle blanc et des bas assorti, mais pas plus de culotte que de soutien-gorge.
-« On dirait que je ne suis pas la seule ! »
-« En fait, cest Thierry qui a voulu consommer le mariage tout à lheure. Javais une culotte, mais il me la arrachée et ma fait lamour comme un soudard. En plus, tu ten doutes, on avait pas de temps ; ça a été du vite fait. Un peu brutal mais le sexe avec lui, cest toujours bon. »
-« Tu passes à la douche en premier ? »
-« On peut y aller toutes les deux, elle est immense »
Nous voilà sous les jets de la douche. Le seul truc, cest quil faut faire attention à nos coiffures. On se savonne le dos, puis les fesses, et le lavage devient vite plus coquin.
Nous nous séchons ensuite mutuellement, et cest Ariane qui devient plus tactile. Elle passe la main sur mon minou juste orné dun petit ticket de métro.
-« Hmmm, cest doux. Toi aussi tu as adopté lépilation. »
Il est vrai que quelques années plus tôt, les filles qui sépilaient la chatte passaient pour des salopes, alors quaujourdhui, cest devenu la norme. En témoigne la fente bien lisse de Ariane, et ses lèvres gonflées.
Elle me repousse sur le lit et sa bouche vient embrasser mon intimité. Sa langue parcourt mon sexe, ma faisant frémir. Cette douce caresse, mouvre les cuisses comme un réflexe conditionné. Elle vient sur moi et je me retrouve face à ce sexe féminin que je connais si bien. Je mapplique à lui faire subir ce quelle me fait, et elle gémit son approbation. Je darde ma langue et écarte la chair rosée, pour trouver son clitoris qui est déjà bien gonflé.
Elle complète sa caresse buccale en menfonçant deux doigts dans le vagin, à la recherche de mon point G. Je fais de même, avec, 1 puis deux puis trois doigts. Jai limpression quelle pourrait absorber mon bras entier. De temps en temps, elle délaisse mon sexe pour soccuper de mes seins. Elle revient et avec toujours ses doigts en moi, entame une feuille de rose. La sensation est douce, et enivrante. Je sursaute, tout à coup. Elle vient de menfoncer un doigt dans le fondement, et lagite . Je le sens qui coince ma membrane contre ses autres doigts dans mon autre trou. Elle me masse lintérieur entre ses doigts, et provoque un orgasme soudain qui lui inonde le visage. Jai abandonné sa chatte et je suis en train de distendre son petit trou, qui a déjà avalé trois doigts, quand elle commence à marroser en bramant. Nous finissons ces ébats en nous embrassant et en nous léchant le visage.
-« Sois heureuse avec ton mari, ma belle » lui dis-je
-« Je vais avoir du mal à me passer de ces calins » me confie telle. « Tu crois que je pourrais y amener Thierry ? »
-« Ne sois pas inquiète, cest un des fantasmes masculins. Il suffit de bien lamener. »
Nous repassons, vite fait à la douche et nous dépéchons de nous préparer.
Pour moi, cest vite fait, car le fourreau noir, bordé de strass que jai choisi, est si près du corps que le moindre sous-vêtement se verrait. Je suis en train de boucler mes nu-pieds vernis alors que Ariane est encore en lutte avec son porte jarretelle et ses bas. Les mecs ne se doutent pas de lenfer que cest à enfiler proprement, sinon, ils hésiteraient à nous les enlever. Elle enfile ensuite un soutif et une culotte mini de dentelle blanche. Et glisse la jarretière sur ses bas.
-« Contrairement à toi, la culotte cest un peu obligé. Quand ils vont faire la jarretière, je ne veux pas montrer ma chatte à tout le monde. Les vieux pourraient faire une crise cardiaque. » mexplique telle avec un sourire. Elle passe au-dessus, une très jolie robe crème courte et évasée, mais bien cintrée, qui laisse ses épaules nues jusquà la naissance des seins. Un joli collier complète sa tenue. Petit passage au maquillage, et quelques minutes plus tard, nous partons pour la soirée.
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