La Vie De Famille 1
Une fois de retour chez ma mère à mon retour de vacances, j'ai pu lui dire que jétais devenue une femme. Elle n'est pas au courant de mes expériences, et à été très émue. Elle la raconté à mon beau père.
Mes parents sont divorcés, mon père na jamais été très présent, et ma mère a refait sa vie il y a 3 ans avec un homme nommé Albert, 45 ans, lui-même divorce d'une première union et père de deux garçons, Mathieu et Julien. Mathieu a 21 ans, il est en internat dans une école militaire et ne revient que de temps en temps. Julien lui a mon âge, et cest un connard. Le fait de vivre dans la même maison rend parfois la cohabitation difficile, dautant plus que lui sait que jai beaucoup pratiqué les mecs à mon école. Jai pu négocier son silence contre une photo de mes seins, mais je sais quil nattend quune occasion pour me baiser. Il nest pourtant pas laid, plutôt mignon et bien foutu, mais cest sa personnalité qui magace. Cest un vicieux sournois et hypocrite, et jessaye de léviter tant que je le peux.
Son père en revanche est toujours très gentil avec moi, et même si je sais quil me matte quand je bronze en maillot sur la terrasse, il na jamais eu la moindre remarque déplacée. Je lentends parfois la nuit niquer ma mère, je me demande toujours ce qui cassera en premier, le lit ou ma maman. Il est plutôt bien conservé et à un regard de séducteur. Je lai vu une fois en boxer lorsquil sortait de la salle de bain ; son paquet à lair imposant, ce qui explique les cris de jouissances de ma mère.
Mon beau père est resté neutre en apprenant la nouvelle de mon dépucelage, il ma juste demandé si je métais protégée, gênée jai menti. Jai eu limpression quil ne ma pas cru.
Le soir, alors que jétais dans ma chambre, Julien est entré. Je me suis vite cachée sous mes draps, étant en débardeur et en string. Au sourire carnacier de ce débile, jai compris quil avait eu le temps de bien mater.
Il me dit : alors paraît que tu tes bien faite baiser chez ta cousine ? Tas kiffé ?
Je lui réponds que ça ne le regarde pas, et quil ferait mieux de se casser avant que je ménerve.
Il me dit :reste tranquille petite salope, et parle moi mieux, jai de quoi te foutre dans la merde.
Il me montre alors son téléphone, et je vois une photo de moi, à genou dans les toilettes du lycée, une bite dans la bouche et une autre dans la main. Je reconnais ma tenue et me souviens que javais engueulé un des deux mecs, pensant quil envoyait des textos pendant que je les soulageais avec ma bouche. En fait ce connard avait gardé un souvenir
Je ne sais pas comment réagir, et le sourire victorieux de mon con de beau frère me laisse envisager le pire ;cette fois une photo de mes seins ne suffira pas.
« tes au courant que je suis un des seuls mecs du lycée à qui tas pas vidé les couilles ? Jai ton cul de pute sous le nez tous les jours et tu me laisse pas en profiter. En plus tu me méprise je le sais, mais maintenant tu vas fermer ta grande gueule sinon je ruine ta vie. »
Je suis piégée, ce demeuré me tient et il le sait.
« quest ce que tu veux Julien ? »
« pour commencer sors de ton lit et mets toi à poil, tinquiète, les parents dorment on sera pas dérangés »
Résignée je mexécute, et me retrouve nue, à genou sur mon lit, tandis quil me reluque en se touchant la bite à travers son short.
« tourne toi mets toi à 4 pattes et cambre bien »
Il me colle alors une fessée magistrale qui me laisse échapper un petit cri que jétouffe en énonçant la tête dans le matelas.
« mmh tas bien la marque de mes doigts sur ton cul de chienne, tes trop bonne jen avais marre de te mater sous la douche ça fait du bien de tâter le Matos. Bouge pas, cest pas fini »
Il me crache alors sur le cul, puis membrasse à pleine bouche la chatte. Je sens son nez titillé mon petit trou, et mes lèvres sentrouvrir. Malgré moi je gémis sous ce traitement.
_ « taime ça grosse pute, je bande comme un âne, je vais te baiser tu vas kiffer. »
_ « non fais pas ça, jai pas envie je taime pas »
_ »tas pas le choix, et tu vas kiffer, je suis monté comme mon père, tentends ta mère gueuler quand il la baise ? Tu vas adorer et ten redemanderas »
Le fait quil me parle comme ça mexcite, en plus il me doigte tout en me parlant, et je ne peux mempêcher de remuer sur ses doigts.
«daccord
vas y quon en finisse. »
Il me pénètre alors dun coup sec. La bite de Thomas était grosse et longue. Je me sens moins remplie en profondeur avec Julien, mais par contre jai limpression dêtre écartelée il me plaque la tête contre le matelas et met un coussin par-dessus, puis se met à me pilonner. Mes cris étouffés lexcitent, et il me baise sauvagement. Il ne tient pas longtemps, 2 minutes plus tard je le sens se raidir, puis il se décharge dans ma fente.
Sans un mot il se retire et sort de ma chambre. Je nai même pas vu sa queue.
Je me redresse et me remet à 4 pattes cette fois le cul face à mon miroir. Je vois ma chatte complètement ouverte, et du sperme épais stagne sur mes petites lèvres. Je récupère tout le jus, plongeant mes doigts au fond de ma chatte pour le faire ressortir, et javale tout.
Je me couche nue, épuisée par cet assaut soudain. Cest vrai que jai kiffé.
Le lendemain matin quand je me lève, je retrouve mon beau père attablé dans la cuisine. Il a un papier devant lui. En mapprochant, je vois que cest la photo avec laquelle son fils ma fait chanter la veille.
«Manon, il faut quon parle »
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