Petites Histoires 5 Mariage D'Amis (Suite)

UN MARIAGE D’AMIS (suite)

Cette histoire s’est passée au début de ma relation avec ma première épouse Gabrielle. Je n’en ai eu confirmation, par elle que bien plus tard. C’est pourquoi, je vais vous raconter ma version, et la sienne.

STEVE
Après l’apéritif, dans un cadre magnifique, nous partons pour la soirée. A quelques kilomêtres, une salle des fêtes a été réservée, et le repas, est préparé par un traiteur, qui assure également le service. Les quelques 150 invités se répartissent autour de tables rondes qui encadrent une piste de danse en parquet.
Nous cherchons notre nom sur le plan de table. Nous sommes à la table 12. N’étant pas de la famille, les jeunes sont regroupés vers le fond de la salle. Nous nous installons et retrouvons, sans surprise des têtes déjà connues : Michel, Benoit et François ainsi que Erwann, Stéphanie, Christelle, Noélie, une blonde platine nommée Sarah, et un couple Philippe, un type plutot costaud, et sa femme Barbara, un magnifique jeune femme, grande, cheveux de jais ondulés, et un regard bleu gris dans visage mat. Quand son ami nous la présente, sa bouche charnue à la moue boudeuse s’ouvre sur un sourire qui illumine sa physionomie. Le repas s’annonce bien et la conversation est décontractée entre les convives, même si quelques allusions, et des échanges de clins d’œil ne m’ont pas échappé. Après tout, tout ceux là se connaissent. A peine le plat principal avalé, le marié nous annonce que, pour ceux que ça intéresse, une télé qui diffuse le match de l’équipe de France a été installée dans une pièce voisine.
C’est vrai que notre équipe nationale, rencontre aujourd’hui le Brésil, en quarts de finale de la coupe du monde. L’annonce est salué par un hourra ! des hommes présents, qui se lèvent aussitôt pour rejoindre la diffusion du match. Moi qui râlais de rater ce match, je suis rassuré, et je me joins à cette cohorte de supporters endimanchés.
Tous les hommes n’ont pas suivi, mais une bonne cinquantaine s’installent bruyamment sur les chaises placées en demi-cercle face à l’écran, pendant que la cérémonie des Hymnes annonce le prochain coup d’envoi.


45 minutes plus tard, alors que les deux équipes sont dos à dos, la mi-temps, nous laisse le temps d’aller déguster le dessert. Dans la grande salle, la fête bat son plein et la piste de danse est bien remplie par ces dames, qui, parfois dansent entre elles.
J’aperçois Gabrielle qui danse avec un monsieur d’une soixantaine d’années, qui la serre de près. Stéphanie danse avec Noélie, et Christelle tourne avec le marié. Ariane danse avec son père , me semble t’il. A la fin de la danse, tout le monde rejoint sa table, et le champagne est servi. Les femmes ne manquent pas de nous faire remarquer que nous les laissons tomber, et nous avons beau leur expliquer qu’il s’agit d’un événement exceptionnel, elles ne sont pas convaincues. Malgré tout, la bonne humeur rêgne, et nous devons très vite nous mettre en place pour la seconde mi-temps.
La deuxième période est tout aussi tendue, et nous avons droit aux prolongations. Heureusement, le marié a fait servir du Champagne à tout le monde. Finalement, c’est une victoire aux pénaltys, et tout le monde exulte.
Chacun rejoint sa table, dans la salle de bal, et la soirée de mariage commence, un peu tard, mais va se prolonger jusque tard dans la nuit.
La cérémonie de la jarretière a été faite sans nous mais les filles nous racontent que les hommes présents ont fait monter les enchères très haut pour apercevoir la culotte de dentelle de la mariée.
Vers cinq heures du matin, l’assistance est bien moindre,et après une dernière danse, nous rejoignons les endroits prévus pour dormir. Si les anciens sont logés à l’hôtel, les jeunes sont répartis chez des amis de la famille, ce qui coûte moins cher à tout le monde.
Nous suivons notre hôte du jour, chez qui nous nous retrouvons, avec les convives de notre table.

GABRIELLE
Quelle poisse, ce match de foot. Tous les mecs potables sont partis et il ne reste que les vieux. Enfin, eux au moins ont un peu de savoir vivre et respectent ceux qui les ont invités.

Impossible de refuser leurs invitations à danser. Je me retrouve en train de valser avec le père de la mariée, moi qui n’ai que peu de notions de la valse. Ce qui me console, c’est que mes copines n’y ont pas échappé, non plus. Après quelques tangos, et pasos où j’ai suivi le monsieur, de façon approximative, le DJ passe à des danse plus connues même si elles ne sont pas modernes et nous nous trémoussons sur des jerks, ou des twists, l’occasion pour moi, de me rendre compte qu’en dansant le twist ma robe fourreau a tendance à remonter. Je dois fréquemment la tirer vers le bas, pour ne pas avoir les fesses à l’air. Ce n’est guère mieux pour Christelle qui porte une robe longue, fendue très haut sur la hanche . Elle doit se méfier de ne pas trop écarter les jambes, au risque de laisser apercevoir son minou. Noélie a fait le choix d’une robe courte,évasée, et fendue qui laisse entrevoir son string dès qu’elle tourne. Stéphanie porte elle une robe bustier longue et élégante, fendue, mais discrètement, qui a tendance à descendre en permanence, et ses tétons flirtent avec la liberté. Le problème est le même pour Ariane, la mariée. Quand à Sarah, elle a une robe à bretelles avec un drapé haut qui dévoile ses seins si elle ne fait pas gaffe, le bas, fendu devant est étroit et doit la géner pour danser. Ceci prouve bien que ces tenues habillées ne sont pas propices à la danse, surtout si on veut rester décente.
A la première série de slows, je suis invitée par un oncle du marié. Il me serre de près et se dit ravi de danser avec une « mignonne ». Très vite, il profite de l’obscurité, car le DJ a éteint presque toutes les lampes, pour ce quart d’heure américain, et je sens ses mains glisser sur mes fesses qu’il empoigne, et masse sans vergogne. Je ne veux pas faire d’esclandre, et je laisse faire. D’ailleurs, il semble bien que nos tenues aient émoustillé ces messieurs, car peu dansent avec leurs femmes, préférant les jeunettes que nous sommes.
Christelle est au prise avec un septuagénaire qui a les mains sur ses hanches, sauf que le droite est passe sous la fente de la robe pour caresser sa fesse nue.
Au deuxième slow les tétons de Stéphanie débordent de sa robe, mais une main généreuse , les masque. Mon cavalier me serre contre lui en me faisant sentir son érection. Sa main remonte ma robe, et il me dit égrillard
-« Mais tu as oublié ta culotte coquine ! »
J’ai les fesses à l’air ! heureusement, au milieu des danseurs, personne ne s’en est rendu compte, et il lache ma fesse. Ma robe retombe. Le répit est de courte durée. Il faufile sa main par devant et sans ambage vient planter un doigt et exciter mon minou. A mon corps défendant, je secrète vite une huile qui ne lui laisse aucun doute sur mon excitation. Nous continuons à danser, serrés l’un contre l’autre, moi les jambes légèrement écartées par sa main et les deux doigts qui s’agitent en moi.
-« Monsieur, allons ! Si votre femme vous voyait ! » je le réprimande.
-« Ma femme, elle papote avec ses copines. Ne t’inquiète pas. »
La série de slows touche à sa fin, et je m’esquive, mais le tonton me retient un instant par le bras pour me dire. Rejoins moi dehors si tu veux que ton mari ignore quelle salope tu es.
Un peu chamboulée, je rejoins ma table ou tout le monde trinque. Un quart d’heure plus tard, nos hommes désertent de nouveau. Le bal est relancé. La chaleur est assez lourde et de nombreuses personnes sortent pour fumer ou tout simplement prendre l’air.
Dehors, je m’éloigne un peu. Mon tonton, aurait il abandonné ? En traversant le parc, je devine Christelle dos contre un arbre, la robe dégagée sur le côté ? Une jambe repliée sur le dos d’un monsieur en smoking qui lui pilonne la chatte à grands coups. Je m’approche un peu. Non, ce ,’est pas mon gars.
Je perçois un mouvement dans l’obscurité. Un peu plus loin, la robe rabattue sur sa taille, Stéphanie suce avec application un autre vénérable, les seins brinquebalant au rythme de sa fellation.
J’arrive au parking où je retrouve l’oncle qui fume une cigarette.
Il jette son mégot et me prend la main pour m’entrainer vers sa voiture, un gros 4x4.
Il commence à me caresser, et me dit :
-« Tu va voir ce que les vieux savent faire »
Il ouvre le hayon, et rabat la tablette, avant de me porter, pour me déposer dessus. Je suis assise, les jambes pendantes, face à lui. Il retrousse ma robe, et je l’aide en soulevant mes fesses. Je suis bientôt nue jusqu’à la taille. Comme je n’aipas envie de me tacher, je finis de me débarrasser du vêtement que je pose, non loin de moi. Il se penche et écarte mes cuisses pour me faire minette. Réticente, au début, je dois bien admettre qu’il sait jouer de sa langue et me procure volupté et désir. J’ouvre grand le compas de mes jambes et tends mon bassin vers sa bouche habile. En quelques minutes, je suis trempée et mon plaisir goutte sur la moquette du coffre. Il me retourne sur le ventre et continue , en écartant mes fesses sa langue s’insinuant dans les replis de mon sexe, dans mon sillon et dans les fronces de mon petit trou . Mes orifices sont tendus vers ce plaisir qu’il me donne. Je suis comblée, du moins, c’est ce que je pense. Son sexe s’appuie sur le mien et investit les lieux d’une poussée lente mais régulière. Il est gros et je le sens ouvrir ma fleur et repousser mes parois. Il va et vient en moi, posément mais profondément, ressortant souvent pour revenir, me faisant sentir, à chaque fois comme il est bien bandé. Pendant cette longue pénétration, il investit mon cul d’un puis de deux doigts, accordant le mouvement de ses phalanges sur celui de son braquemard. Il finit par ressortir de ma chatte pour venir appuyer son gland sur mon anus qui s’ouvre sans difficulté et le laisse passer sans douleur, tant il m’a bien préparée. Commence alors un ballet qui exacerbe mes sens. Il est tantôt dans mon sexe, tantôt dans mon cul, en changeant souvent, au point que je finis par ne plus savoir exactement ce qui me remplit, de ses doigts ou de sa bite. J’ai envie que ça dure éternellement, et en même temps, je voudrais qu’il me laisse enfin . Je jousi plusieurs fois, bruyamment, mais je le sens dur et fort en moi et je l’exhorte à en finir.
-« Ah, viens, baise moi ! plus fort, dans mon cul, dans ma chatte, plus fort, Donnes tout.
C’est tout, allez un effort, je ahhh ! je ne sens rien.
Il ahanne derrière moi et son tempo s’accélère. Il vient taper fortement contre mon cul à chaque élan. Je le sens enfler en moi, de plus en plus, et soudain avec un râle profond, il balance sa semence, dans mon cul. Il ressort et continue à s’épancher, je sens ses jets qui se dispersent sur mon dos, tandis que j’ai un ultime orgasme. Il s’abat sur moi et nous récupérons, essoufflés, mais il est plus fatigué que moi. Il a prévu une serviette et m’essuie le dos, les fesses et l’entrejambe , puis se relève. Je saute du véhicule et enfile rapidement ma robe. Je vérifie ma coiffure, et afin de ne pas qu’il prenne la grosse tête, je lui lance, avant de m’éloigner
-« Pas mal, mais un peu court Physiquement. »
Je cours vite rejoindre le mariage, à la fois satisfaite, et, un peu honteuse, mais c’est si bon.
Le match de foot se termine et nos hommes nous reviennent excités et joyeux. La soirée devient enfin festive et nous nous amusons jusque très tard. Les ainés sont partis depuis longtemps quand les derniers irréductibles finissent par rendre les armes.

STEVE
Nous sommes accueillis par un couple de sexagénaires, dans une grande maison qui doit dater de plus de cent ans. Ils ont pas mal d’espace, mais nous sommes assez nombreux et il faut se partager les couchages. Au rez-de-chaussée, il y a la chambre des propriétaires. Dans le salon, deuxs canapé se transforment en lits, et sont choisis par Sarah et Barbara.
A l’étage, autour du palier une porte donne sur une grande chambre dans laquelle, un grand lit jouxte deux lits d’une personne. D’office, Gabrielle prend un lit simple et Stéphanie l’autre. Christelle et Noélie posent leurs affaire sur le grand lit double. Cette chambre présente l’avantage d’avoir une salle d’eau, ce qui n’a pas échappé aux filles. A côté de cette chambre, un grand grenier aménagé en dortoir avec des matelas, à même le sol .
François, Erwann, Michel, et Benoit s’y installent, il reste une porte qui est l’accès à une mezzanine, au dessus du salon . Equipée de deux canapés, ce petit espace cinéma donnant sur le salon fera office de dortoir pour Philippe et moi.. Une fois les couchages répartis, nous nous séparons et après avoir fait nos lits, tout le monde se couche. Dans le séjour en contrebas, les rideaux laissent passer le jour qui commence à poindre.
Epuisé, je m’endors très vite malgré l’inconfort de la banquette.
Est-ce l’alcool ingurgité, un bruit, ou juste mon dos qui supporte mal les ressorts fatigués du canapé ? au bout de trois heures, je m’éveille.J’essaie de me tourner, et ferme les yeux, mais rien n’y fait. Dans la lumière grise de la rochelle, je constate que le lit de Philippe est vide. Je m’approche de la ballustrade, et jette un œil dans le salon.
L’angle de vue, me fait découvrir Sarah endormie, sur le flanc, sa chemise de nuit est remontée et met à nu un petit cul bien rond.
J’avance, un peu plus et, juste sous moi, je découvre Barbara. Elle n’est pas seule et Philippe, assis au bord du lit, lui caresse les seins. Il entreprend de dénouer les liens qui fermens sa nuisette et en écarte les pans. Je suis aux premières loges pour découvrir deux seins bien ronds, aux aréoles larges, un ventre plat qui palpite et des hanches pleines, qui avec les cuisses musclées encadrent un triangle brun, très court, séparé en deux par une fente légèrement boursoufflée. Sa main s’attarde sur le triangle, et la fille ouvre ses jambes, lui ouvrant le chemin de son sexe. Il en écarte les lèvres en les longeant du bout des doigts , et remonte à la recherche de son bouton de plaisir. Quand il l’atteint elle gémit et ouvre les yeux, me découvrant face à elle. Ses yeux s’écarquillent, et elle pousse un petit cri. Heureusement Son mec semble croire que c’est lui qui provoque cette réaction. Il continue à la caresser, en se déshabillant d’une main. Il arrive à se débarrasser de son caleçon et vient s’allonger sur elle. Je vois les jambes féminines qui se tendent de part et d’autres du corps qui la chevauche. Ses bras l’enserrent et elle cale sa tete par dessus son épaule, ne me lâchant pas du regard. Il s’agite en elle et je vois son regard se voiler. Elle jouit sans un mot ses yeux dans mes yeux.. Il n’a pas joui, et la fait passer au dessus de lui, en s’étendant sur le dos. Elle vient le chevaucher. Elle l’a fait remonter dans le lit et son corps me masque aux yeux de l’homme. D’où je suis, je vois son postérieur qui ondule sur la queue, son dos, bien droit qui monte et redescend. Le bassin qui bascule sans cesse . J’entends le gars qui halète.
Sarah est eveillée maintenant, et les observe aussi, une main entre les cuisses, les genoux relevés et écartés. Bar bara, se retourne et vient chevaucher l’homme face à moi, ou plutôt, au dessous de moi. Elle se dresse bien droite, et j’ai une vue plongeante sur ses yeux qui me fixent, ses seins aux pointes durcies. Sans me lâcher du regard, elle se penche en arrière, m’offrant un panorama des plus érotiques. Ses seins sont secoués par leur mouvement au dessus d’un ventre qui ondule d’avant en arrière. Ses cuisses contractées impriment le mouvement et on voit bien le sexe qui entre et sort de sa chatte dans de longs frottements ponctués de bruits mouillés. Ses yeux ne cillent pas. Mais son bassin entreprend une danse de saint Guy qui la mène rapidement à l’orgasme. Elle jouit dans un souffle long, le visage tendu vers moi. Son partenaire la désarçonne et éjacule sur son ventre et sa poitrine. Ils se désunissent enfin, et elle s’essuie avec le drap avant de se recoucher sur le dos, bras et jambes ouverts, son regard me cherchant, tandis que Philippe remet son slip en disant :
-« Eh bien, quel volcan. Je ne pensais pas que ce mariage t’avait autant excitée »
Je me dépêche de réintégrer mes draps. Il rejoint son lit, non loin de moi, et cinq minutes plus tard, commence à ronfler.
Allongé sur mon canapé inconfortable, j’essaie de trouver le sommeil, mais j’ai encore dans la tête les images que je viens de voir. La porte de la mezzanine s’entrouvre et dans un bruissement léger, un corps nu se glisse contre moi. Gabrielle aurait elle des envies elle aussi. Son corps chaud et souple se coule contre moi, et une main s’empare de mon sexe encore bandé. Un petit soupir d’appréciation se fait entendre, et je sens des cheveux chatouiller ma peau sur mon torse, mon ventre jusqu’à ce qu’une bouche brûlante s’empare de mon pénis. La coquine me lèche de haut en bas, et m’engloutit ses lèvres formant un anneau de chair qui coulisse tout au long de ma queue, et vient buter sur mon ventre en une gorge profonde . Je sens mon gland taper sur sa glotte, la faisant tousser un peu sans qu’elle songe à reculer. Pendant de longues minutes, je suis l’attention d’une véritable sangsue buccale, qui me met dans tous mes états, et je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir longtemps. Heureusement, sa bouche me libère , et son corps repte contre le mien, amenant ses fesses cambrées contre mon sexe. Instinctivement, ma tête chercheuse s’avance à la recherche de l’entrée de sa grotte, mais une main l’att et la dirige vers un orifice voisin. Sans mot dire, elle pousse son cul vers moi et m’aide à l’investir. J’entre en elle sans difficulté et la sentant prête, je la positionne à plat ventre, le cul remonté sur ses genoux, la tête dans l’oreiller, pour la pistonner avec vigueur. Il faut qu’elle soit vraiment excitée pour accepter une sodomie sans préambule. Elle halète sous mes bordées et étouffe un orgasme dans le coussin. Je sors de son cul. Elle bascule hors du canapé et me pousse pour que je me mette sur le dos. Elle m’enjambe et vient s’empaler sur ma bite qui veint rapidement taper contre son pubis épilé. Elle se dresse au-dessus de moi, et quand je prends ses seins, un rai de mumière qui passe entre les rideaux l’éclaire fugitivement.
Ce n’est pas Gaby ! Je tente de la désarçonner, mais elle me serre entre ses cuisses, se servant de mes ruades. Comme je suis à bout, je finis par gicler en elle. Mon sexe dégonfle et je sors, pendant qu’elle,jouit encore.
-« Mais qu’est ce que tu fais là Christelle ? ça ne va pas ou quoi ? »
-« Hmm, tu avais l’air d’aimer ça mon salaud. » me répond elle
-« Je croyais que c’était Gaby »
-« C’était moins bon ? » demande t’elle ingénument.
-« Là n’est pas la question, Je suis avec Gaby, je ne suis pas censé coucher avec une autre . »
Elle est allongée contre moi, et nous chuchotons, pour ne pas alerter les autres.
-« Pourtant tu devrais bien en profiter. » dit elle en me posant de petit baisers sur le torse, alors que sa main file vers ma bite.
Je lui att le poignet et la repousse.
-« Vous les mecs, vous démarrez au quart de tour. C’est pas difficile de vous faire bander. Après votre queue réfléchit pour vous. »
Je repense à l’épisode avec Stéphanie et me dis qu’elle n’a pas tort.
Elle se méprend sur mon silence et ajoute.
-« De toute façon, tu aurais tort de te géner. C’est pas le mariage qui a calmé Gaby »
-« Quoi, qu’est ce que tu racontes ? »
Elle se lève et me prend par la main.
« Viens avec moi. » me dit elle
Je remets mon boxer, et je suis cette fille , nue comme un ver, qui nous fait sortir de la mezzanine, et nous entraine vers la chambre des filles.

GABRIELLE
Aller se coucher après une soirée de fête n’est pas si facile, surtout quand on partage une chambre à plusieurs.
J’ai posé mon sac sur le lit, et attrapé ma nuisette et ma trousse de toilette pour passer en premier à la salle de bains. J’y arrive et me précipite dans la douche. Je peux enfin défaire ma coiffure , m’extirpe de ma robe, et me laisse aller sous les jets d’eau, me savonnant en profitant de la douce odeur de mon gel douche haut de gamme
Je commence à me détendre quand la porte de la douche s’ouvre et Noélie entre en me disant.
-« Il vaut mieux qu’on y passe deux par deux. Il y a suffisamment de place et on ira plus vite. Tu veux que je te savonne le dos ? »
Un peu contrariée, j’accède à sa demande, et lui tends mon savon. Ses mains sont douces. Elle caresse mes épaules et fait courir la mousse sur mon dos, mes fesses. Ses mains sont agiles et savent débusquer mon désir. A mon tour je m’occupe d’elle et notre douche se transforme en un moment de volupté.
Une main vient taper sur la paroi.
-« Eh les filles ! on voudrait se doucher, nous aussi ! »
Nous sortons et laissons la place à Christelle. Je n’ai pas prévu de dortoir commun et ma nuisette est très transparente, avec des pan qui s’ouvrent sur mon minou . Noélie n’est pas mieux lotie. Elle s’enroule dans une serviette de toilette pour aller jusqu’au grand lit, avant de l’abandonner pour se glisser sous le drap. Je gagne mon lit et fais de même. Les deux autres filles sont dans la salle de bain. Après quelques minutes, Stéphanie arrive, vétue d’un débardeur long, sideboobs blanc. Nous la chambrons un peu. On ne sait de ses fesses laiteuses ou de ses gros seins, lesquels bougent le plus. Elle tortille du cul jusqu’à son petit lit, en réponse à nos sarcasmes.
C’est le moment que choisit Benoit, pour entrer sans frapper.
-« je suis venu vous souhaiter bonne nuit les filles ! Mais oh ! quel spectacle ! « dit il en s’approchant du lit de Stéphanie, qui cache ses rondeurs sous la couverture.
Christelle sort de la salle d’eau en râlant
-« Vous auriez pu laisser une serviette assez grande ! »
Elle s’arrête au milieu de la pièce en constatant que Benoit est là. Elle recule vers la porte, mais celle-ci s’ouvre sur les trois autres gars.
-« Waouh ! c’est la fête ici ! » s’exclame Michel en prenant dans ses bras la jolie brunette.
C’est lequel ton lit ? »
Une main sur les seins, elle montre le lit double. Il la prend par la main et l’accompagne galamment jusqu’à la couche. Il l’invite à s’y installer. Puis va éteindre la lumière et revient se coucher dans le grand lit. Les filles après avoir grogné un peu le laissent s’installer entre elles. Benoit, de son côté est en train d’embrasser Stéphanie, qui le deshabille.
La porte de la chambre s’ouvre et la blonde Sarah apparaît et demande.
-« Je peux utiliser la douche, on crève, dans le salon »
-« Pas de soucis, je vais t’accompagner » dit Erwann en l’entrainant dans la salle d’eau avant d’en refermer la porte.
François se rapproche du grand lit et demande aux occupant s de se pousser. S’ensuit un grand remue ménage et Christelle sort du lit en disant,
-« je laisse ma place à Sarah, je vais dans le salon . ce sera plus calme. »
Michel la suit.
A la lumière de la lampe de chevet, je vois, à ma gauche, François en train de caresser Noélie, et, à ma droite, Stéphanie qui Chevauche Benoit, le débardeur enroulé autour de sa taille, les seins ballotant au rythme d’un coit musclé, sa courte toison de vraie rousse absorbant un sexe bien érigé.
Noélie est prise en missionnaire par François,
Dans la salle de bains, ça doit s’agiter car on entend Sarah manifester son plaisir
-« Ah oui ! Oh que c’est gros ! oui ! encore, ah ! ça va rentrer ! ah ouiiiii ! »
Bref une ambiance qui n’incite pas à l’endormissement, et je sens des papillons se manifester dans mon ventre. Un moment plus tard, Michel revient. Sans hésiter, il se dirige vers mon lit et me dit
-« Christelle est fatiguée. Tu ne me ferais pas une petite place ? » tout en s’allongeant le long de mon corps.
Je ne bouge pas et lui dis
-« On est plus des ados, Michel. »
Pour toute réponse, il enlève son tee-shirt et son bermuda en disant
-« Justement. »
Je lutte mollement quand il pose ses mains sur mes seins et sur mon ventre, mais le bruit et la vision de ce qui se passe à côté m’a déjà bien échauffée. Il trouve ma vulve bien humectée et me prend rapidement en cuillère, ses mains cramponnées à mes nichons , son bassin ondulant le long de mes fesses.
La chambre s’est transformée en un véritable lupanar ou chacun palpe, suce, pince, où les couples s’unissent et baisent sans complexe.
Quand Erwann et Sarah sortent de la salle de bain, Il entraine la blonde sur le grand lit, et , la dépose, à quatre pattes pour l’embrocher, François et Noélie se sont poussées et observent la copulation voisine. Il faut dire que Erwann est dôté d’un colosse de près de 30cm, au diamêtre impressionnant. On se demande s’il ne va pas exploser Sarah, véritable brindille . On voit son bas ventre se déformer, à chaque fois qu’il se propulse en elle. Il caresse son petit cul, mais elle refuse la sodomie. Erwann se tourne alors vers Noélie, qui consulte François du regard. Comme ce dernier ne dit mot. Elle attire Erwann à elle, et le prend dans sa bouche, avant de le chevaucher en 69. Elle a beau y faire, le grand Erwann est trop membré pour entrer dans sa bouche. Tout juste arrive t’elle à entourer et suçoter son gland. Après quelques minutes, il reprend les rènes, et la guide pour qu’elle vienne s’empaler sur son énorme gourdin. Ça a l’air d’étre compliqué, mais, petit à petit, l’énorme piston coulisse dans sa matrice jusqu’à être englouti jusqu’à moitié longueur. Les jambes, quasiment en grand écart, on voit la chatte distendue avaler cet énorme couleuvre. A petits coups de reins, Erwann finit par amener son pubis contre le ventre qui le reçoit tout entier. Il commence à ramoner la fille qui la bouche grande ouverte, essaie de reprendre sa respiration. Elle lubrifie et s’aide de ses jambes pour coulisser le long du long pénis. Erwann s’impatiente et envoie des coups de reins énervés. Ils accordent leurs cadences et finalement se lancent dans une cavalcade effrenée, où c’est maintenant Noélie qui imprime le tempo. François, spectateur privilégié jusqu’alors, vient se positionner derrière le couple. A genoux, il dirige son sexe , d’une main, contre le petit trou de sa compagne, et s’y enfonce d’un coup. Elle tressaille à peine. Prise en double , Noélie feule sans arrêt. Les deux hommes se démènent en elle, la secouant comme une poupée de chiffon. François, finit par être éjecté, et Gicle sur le dos de sa compagne en éructant. Noélie Crie son plaisir et explose à son tour. Erwann s’extrait, son sexe géant toujours bandé.Tous les occupants de la chambre sont spectateurs, et observent avec des yeux concupiscents ce qui se passe dans le grand lit.
Stéphanie passe à l’action. Elle prend la main de Benoit et l’entraine vers le grand lit. Elle se défait de son débardeur, et vient prendre la place de Noélie et François qui s’esquivent vers le petit lit où ils s’installent.
Stéphanie, saisit le sceptre de Erwann d’une main et ce lui de Benoit de l’autre. Elle les masturbe un peu, puis commence à les sucer. Elle rencontre les mêmes difficultés que Noélie, mais déploie des trésors d’inventivité pour le lécher partout, absorber ses boules, tout en le chatouillant de ses doigts. Benoit a droit au même traitement alternativement. Michel m’échauffe doucement en pianotant sur mon clito, pendant que j’entretien son érection d’une main cajoleuse. François et Noélie, se caressent mutuellement en matant le trio dans le lit. Stéphanie se couche sur Erwann, et guide son mandrin contre sa chatte où il s’introduit d’une longue poussée rectiligne et ininterrompue. Elle l’accepte avec un soupir de pleinitude :
-« Ah ! c’est vrai qu’elle est balèze. »
Puis son cul commence à onduler et on voit le membre turgescent coulisser, bien huilé dans sa chatte distendue. Quelquefois, il ressort son gland, juste pour le plaisir de la ré-investir d’un ample balancement. Benoit présente son sexe à la belle et elle lui pratique une fellation langoureuse, au gré des basculements imposés par celui qui la baise. Benoit saisit la tête de Stéphanie, sa chevelure rousse enroulée dans son poing et utilise sa bouche comme un sexe, étouffant les gémissement de la rouquine. Erwann entre un doigt dans l’anus de Stéphanie. Elle continue sans rechigner à engloutir la bite de Benoit, qui grogne en donnant de violents coups de reins. Erwann ajoute un doigt dans le cul, sans cesser de la bourriner. Stéphanie libère sa bouche pour crier son plaisir avant de se jeter de nouveau sur le sexe de Benoit, qui se cambre.
Dans la faible lumière de la chambre, Noélie se manifeste.
-« Vas y ma copine ! tu vas l’avoir ! »
A leur tour François, puis Michel encouragent Erwann, comme si c’était une compétition.
-« Vas y Erwann, c’est une gourmande ! »
-« Encules là ! »
Erwann, motivé par ses copains présente maintenant son dard monstrueux à l’anus dilaté de Stéphanie. Le gland écarte les chairs et se fraye un passage dans son cul. Stéphanie grimace de douleur et laisse échapper quelques plaintes, malgré sa bouche baillonnée par le sexe de Benoit. Les reins de’Erwann décollent du lit et enfoncent son engin dans les entrailles de Stéphanie. Le chemin a déjà servi, et il arrive sans trop de difficulté à faire disparaître son manche de pioche entre les fesses de la jolie rousse, sous nos applaudissements. Il agrippe les hanches de Stéphanie et lui fait faire le yoyo sur sa queue. Pris dans l’ambiance, on ponctue chaque claquement de Stéphanie qui se plaque contre Erwann, d’un han ! des moins discrets.
Stéphanie ne tient pas longtemps et commence à haleter sous les coups de boutoir. Michel les rejoint, et propose de la prendre par devant. Erwann, la fait pivoter sur son sexe et elle se retrouve, dos à lui, les jambes bien écartées. Michel n’a qu’à s’approcher, à genoux pour s’introduire dans son vagin. Il remue faiblement au début, mais fini par s’accorder au rythme des deux partenaires. La rouquine a maintenant deux queues qui entrent et sortent de ses orifices, et Une qui s’agite dans sa bouche. Pas pour très longtemps d’ailleurs, car Benoit éjacule dans sa bouche. Ne pouvant tout avaler, elle ouvre grand la bouche et le sperme déborde sur son menton, ses seins et son ventre. Elle est concentrée sur son plaisir, et jouit , au moment où François sort d’elle pour gicler sur son ventre, mélant sa semence à celle de Benoit, tartinant le tout sur ses seins et sa gorge.
Erwann décule toujours aussi impressionnant. Stéphanie rend les armes et s’écroule sur le côté. François rejoint Noélie qui en bonne observatrice remarque :
-« Il ne reste que toi Gaby. »
Je me doutais un peu de ce qui allait arriver.
Erwann, me fait son plus beau sourire et me lance :
-« Allez, viens me rejoindre, jolie Gaby »
Je me lève, toujours en nuisette et rejoins le grand lit, sous les encouragements, un peu pervers des autres participants.
Stéphanie, abandonne la couche pour aller se coucher dans mon lit.
Erwann s’allonge à mes côtés et se penche sur moi pour m’embrasser, d’un long baiser accompagné de caresses sur tout mon corps, déjà bien excité. D’aussi loin que je me souvienne, Erwann a toujours été très amoureux de moi, et tout notre groupe d’ados le sait.
Je suis un peu inhibée au départ, mais, sa main large sur mes fesses, sa langue qui s’enroule autour de la mienne, ses caresses sur mes tétons, mon ventre, et son sexe impérieux qui bat contre ma jambe, me font oublier qu’on est pas seuls. Quand ses doigts prennent possession de ma chatte, je suis déjà toute humide, et mon ventre se soulève malgré moi pour aller au devant de sa main. Ses doigts s’insinuent en moi et repoussent les parois de mo, vagin pour venir gratter mon point G. Sa bouche est sur ma vulve et stimule mon clito qui sort de sa capuche. A tatons, j’envoie ma main et saisis son arbre de plaisir. Il est si gros que je ne peux en faire le tour. Il est circoncis et je découvre son gros gland mafflu au toucher de soie. J’en dessine les contours et entrouvre le méat. Je trouve le frein et m’amuse à le titiller. Chaque caresse le fait sursauter dans ma main. Je le dirige vers ma chatte, maintenant béante et le pousse vers l’intérieur. La pénétration est lente, profonde, et j’en savoure chaque centimêtre. Son colosse distend mes parois, et y fore un tunnel dont les parois sont electrifiées par le désir.
Je comprends maintenant pourquoi toutes les copines lui couraient après et me dis que j’ai été bien sotte de me refuser. Heureusement, ce moment est arrivé et je le déguste pleinement. Jusqu’où va t’il aller ? ça ne semble pas vouloir s’arrêter et je me sens prise à des profondeurs insoupçonnées. Enfin, son ventre rejoint le mien . Ses couilles viennent cogner à l’entrée de mon sexe. Il est dedans, complètement. Je relève mes jambes toutes droites vers le plafond en les écartant, pour gagner, si c’était possible 1 ou deux centimêtres.
Il me regarde dans les yeux et me murmure :
-« ça va ? tu es prête ? »
Prête à quoi, ?il est déjà au fond de moi.
Il fait alors marche arrière et libère la place, si bien investie, jusqu’à ce que son gland flirte avec mon clito. Puis il s’enfonce à nouveau, un peu plus vite, et mon vagin accueille son engin de plaisir qui sollicite mes terminaisons nerveuses un peu plus vite. J’ai à peine le temps de ressentir son passage qu’il est reparti, pour mieux revenir, et encore, et encore de plus en plus vite. La vague du plaisir me submerge, et je jouis en gémissant, mais ce n’est qu’un début et il continue, telle une machine à orgasmes, à coulisser en moi. Je ne suis plus qu’un vagin brûlant, certaine qu’après, il ne me restera qu’un grand trou carbonisé par les orgasmes successifs. Sans pouvoir me contrôler , je me mets à crier , à rire, à pleurer même. J’ai envie que ça ne s’arrête jamais. Je sens des mains qui triturent mes seins, mon cul,ma bouche. Un sexe vient mes cris et instinctivement je le suce en émettant des borborygmes de bonheur. Des doigts s’enfoncent dans mon cul, Mes seins sont tétés, mordus, pincés, mais rien de tout ça ne peut surmonter ce pylone qui me transperce et provoque plusieurs orgasmes sucessifs. Les coups de boutoir s’accélèrent, je sens le monstre grossir encore en moi, et soudain des jets brûlants viennent frappe ma matrice.
C’est intense, long et la massue se dégage progressivement, laissant s’écouler un flot de sperme entre mes jambes. Il me faut récupérer. Quelques minutes de répit pendant lesquelles je me rends compte qu’on est plusieurs dans ce lit. Michel et Benoit sont postés chacun d’un côté, et me cajolent.
-« Il y a tellement longtemps que j’en avais envie » me dit Erwann, en embrassant mes pieds, mes jambes, mes cuisses.
-« Je suis bien » m’entends-je articuler. Les mains de mes trois partenaires me ramènent au concrêt. Je suis, dans leurs bras un objet de plaisir qu’ils s’offrent pour fêter ce mariage.
Ils me retournent et me mettent à plat ventre pour mieux s’occuper de mon dos, de mes fesses. Mes jambes sont écartées, et des doigts fureteurs s’immiscent dans mon sillon fessier, Ils vont s’humecter à ma fente qui déborde et lubrifient le sillon et mon petit anneau froncé, qui sous l’effet de ce coit monumental, est déjà entrebaillé.Un doigt huileux s’y introduit sans dommage, puis deux, et bientôt trois.
Un bras passe sous mon ventre et me soulève à quatre pattes. Ils s’occupent de mes orifices, pendant que, la tête entre mes bras posés sur l’oreiller, je me contente de petits cris d’encouragement.
Au bout d’un temps, les doigts se déplacent et reviennent martyriser mes seins. On me redresse à quatre pattes et Michel vient me présenter son sexe tendu que j’embouche pour entamer une fellation. J’oscille sur mes membres le long du sexe qui s’enfonce dans ma gorge. Deux mains se posent sur mes fesses et les immobilisent. Je sens alors un sexe se placer contre mon anus. C’est Erwann, je le sais déjà. Il pousse sur mon trou lubrifié et les muscles s’étirent pour laisser passer son chapeau violacé. La douleur s’empare de moi et je grogne, malgré la queue qui continue à aller et venir dans ma bouche. Plus il avance en moi, et plus la douleur est intense. Si ça continue, il va m’ouvrir en deux. Au moment, où je me sens perdre conaissance, son gland passe mon sphincter. Je me suis évanouie quelques secondes. Quand je reprends mes esprits, les sensations sont différentes. La douleur est moins présente, plus sourde. Le sexe de Michel gonfle etil jouit dans un râle. J’ouvre la bouche et laisse échapper la majeure partie de sa semence qui dégouline sur mon menton, ma gorge, et mes seins. Derrière moi, Erwann appuie et son énorme sexe parcourt mes entrailles. Je commence à sentir un plaisir diffus, venu de la membrane qui sépare mon vagin de mon rectum. Des milliers d’étoiles éclatent dans ma tête, et je bascule d’avant en arrière pour me faire enculer jusqu’au plus profond de mes entrailles. Benoit se glisse sous moi et me dit :
-« Je vais te baiser en même temps qu’Erwann »
En même temps, il fait coincider son sexe avec ma chatte. Je n’ai qu’à me laisser descendre pour qu’il entre sans soucis dans mon vagin. Je m’empale sur lui, sans perdre le mat de Erwann qui me pilonne le cul. Je sens ma fragile matrice sollicitée des deux côtés, par le frottement de ces deux bites . Je ne peux résister à une nouvelle vague et je crie mon plaisir. Ensuite, je m’applique à onduler du bassin pour que ces deux mandrins m’investissent simultanément en rythme m’apportant un plaisir intense. Je suis au summum du plaisir, et les visages, autour de moi me sourient . Michel, François, Stéphanie, Noélie, Sarah, se caressent tous en regardant notre trio. Benoit jouit en criant et provoque l’orgasme de Erwann qui m’emporte aussi. Avachis, les uns sur les autres, nous soufflons, et nous désunissons.
Je constate alors, avec effroi que la porte du palier est ouverte. Depuis quand, impossible de savoir. Steve, se tient dans l’ouverture, et me regarde avec un air horrifié. J’essaie de prendre un air détaché, comme si ce qui venait de se passer n’était qu’un jeu, mais je sens bien que je me suis laissée entrainer trop loin. Erwann, a rabattu le drap sur lui, et Benoit, a réussi à enfiler un caleçon. Je suis figée sur ce lit et je vois très bien ce que voit mon mari : sa femme, dans une nuisette ruinée, la chatte et le trou du cul ouverts, couverte de sperme. Même si il n’a vu que ça, c’est déjà trop. Je cherche mes mots, mais il se recule et la porte se referme sur lui. Je vais devoir faire preuve de diplomatie et même plus. Après ça, l’ambiance est cassée. Chacun regagne son lit en silence. Je vais me doucher avant de venir me coucher.
J’avais envie de cette baise depuis longtemps. J’ai résisté longtemps, pour finir par céder une fois mariée. Quelle stupidité !

STEVE
Après ce que j’ai vu, je suis fixé. J’ai épousé une salope qui s’envoie en l’air à la première occasion. Je rejoins la mezzanine et ramasse mes affaires. Quelques minutes plus tard, j’ai rejoint ma Miata. Je jette le sac dans le coffre et je démarre. Alors que je manœuvre, je vois une silhouette qui s’approche en courant. J’ai d’abord un coup au cœur, mais ce n’est pas Gabrielle. La grande fille qui court vers moi, cheveux au vent, c’est Barbara. Elle est vétue d’un short en jean et d’une chemise du même tissu, nouée sous ses seins, laissant son nombril apparent. Ses longues jambes bronzées sont chaussées de tennis immaculées.
Elle vient s’appuyer sur ma portière, et se penche vers moi. J’ai une vue plongeant sur des seins opulents que la chemise a du mal à contenir.
-« Tu vas vers Toulouse ? » demande t’elle
Je la regarde. Elle est vraiment belle, mais je ne suis pas sur que son copain Philippe, la laisse partir seule.
-« Je n’ai qu’une place » dis-je sous entendant que je ne pourrais pas les emmener tous les deux
Elle enlève ses lunettes de soleil et je retrouve le bleu profond de ses yeux plantés dans les miens.
-« Emmène moi » dit elle simplement
Je soupire, mais lui fais signe de la tête.
Elle va jeter son petit sac dans mon coffre, et s’installe sur le siège passager.
Après tout, je n’ai peut-être pas tout perdu.
J’ai divorcé deux mois plus tard. Je vis avec Barbara depuis cinq ans.

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