Départ En Vacances 2
C'est très chaud que je sors des toilettes de l'aire de repos de cette autoroute. Je viens de sucer un inconnu et j'ai encore le goût de son sperme dans la bouche.
Il ne s'est écoulé que quelques minutes entre notre rencontre aux urinoirs et les giclées qu'il m'a copieusement craché en fond de bouche. Tout ça est allé trop vite et j'aurais bien voulu qu'il m'encule, dommage pour moi.
Mes parents, qui sont à se reposer près de la voiture au bout du parking, ont prévu de repartir dans moins d'une heure. J'ai encore un peu de temps .
Un homme se dirige vers la lisière très arborée de l'aire de repos et j'ai un flash; il se passe sûrement des choses là bas.
Loin de chez moi, personne ne me connaît ici, ce qui simplifie la situation, j'y vais sans me retourner.
Quelques mètres dans la végétation et je découvre un passage qui ressemble à un sentier.
Je suis vite rejoint par un homme aux cheveux poivre et sel qui semble m'avoir repéré. M'a t'il vu rentrer dans les toilettes et a-t-il compris ma disponibilité, c'est probable.
C'est un homme de corpulence normale, au profil très sportif, assez dynamique. Après un salut de circonstance pour ne pas m'effaroucher, il me passe direct la main aux fesses. Vu mon excitation, je ne proteste pas et il prend mon absence de réaction pour acceptation.
Je pense qu'il aime les petits jeunes comme moi et qu'il veut mon petit cul. Ma queue est déjà raide, rien que d'imaginer ce qu'il va me faire.
" Viens, on va aller un peu plus loin." me dit il
Il m'entraine derrière des arbres et une végétation plus dense. Visiblement, il connaît l'endroit .
Il se colle dans mon dos, m'embrasse le cou, passe une main sous mon teeshirt et me tripote les tétons pendant que l'autre main masse mes fesses. D'une dextérité incroyable, il baisse sans tarder mon short de sport et mon boxer. Mes petites fesses apparaissent au grand jour, lui laissant échapper un HUMMM
Il caresse ma queue et mes couilles et, satisfait de mon désir, vient chercher mon anus qui s'émoustille de cette visite.
C'est super agréable
je me tortille, le laisse me palper à sa convenance.
Sans parler, nos corps s'ajustent. Un de ses doigts force mon illet et y apporte un peu salive. Je suis aux anges, j'ai trop envie et je lui offre mon intimité sans la moindre résistance.
Un autre mec s'approche, il continue de me doigter, sans la moindre gêne.
" Laisses toi faire. On va bien s'occuper de toi.
Il est chaud, très chaud et me tourne face à un arbre pour que je prenne appui pendant qu'il baisse son pantalon. Sans attendre, sa bite qui me dilate la pastille. Par poussées successives, son nud détend ma rondelle, m'ouvre, force le chemin.
Je me cambre et couine sous l'effet de ce forage anal tant il m'impose sa virilité pleine d'ardeur. Bien calé dans mon illet, j'ai l'impression qu'il a une grosse barre de fer et qu'il va déchirer mon cul si je lui résiste, si ma rondelle ne l'accepte pas.
Je couine mais pas trop fort, j'ai peur qu'on m'entende.
" Détends toi.
Je geins, ma rondelle est distendue, prête à lâcher
Il se recule, met du gel que l'autre mec lui propose et m'enquille aussitôt
son piston s'introduit, ouvre l'ouverture, semble passer une frontière, glisse en moi...
Il savoure sa réussite avec un grommèlement de satisfaction et marque une pause. Sa queue dans mon cul, je tente de me relâcher. Ma rondelle me fait mal, j'ai peur qu'il se moque. Je serre très fort une branche pour me donner une contenance
" Penche toi !" m'ordonne t'il, en m'appuyant une main sur les reins.
D'une poussée sans hésitation, son mandrin s'enfonce en moi, me fore le boyau. Ah, le salaud, je sens la longueur rentrer.
Le mateur, devant ma bouche ouverte par cette saillie virile, se branle sans pudeur en constatant le vieux qui m'encule, qui me la mets bien profond.
Je couine mais c'est trop bon, elle est trop bonne sa queue. Satisfait et vicieux, d'un sérieux coup de reins, il s'enquille en moi jusqu'aux couilles pour gagner les derniers centimètres.
Comment a-t-il fait pour m'enculer si facilement, je ne sais pas. En tout cas, elle est bien raide et je l'ai super bien sentie me pénétrer. Je gémis comme un jeune enculé.
Je le sens plus autoritaire, plus dominateur, prêt à me baiser comme un puceau qui découvre la queue.
" Laisses toi faire."
même le ton de sa voix a changé.
" Elle est bonne, ma queue ?
" Oui
"
Et il commence à me coulisser le conduit
doucement au début. Chaque coup de piston me fais couiner mais c'est trop bon.
" Ah Putain, je vais le baiser moi aussi" gueule le mec à côté
Je m'accroche à la branche devant moi pour ne pas tomber et mieux me faire piner le cul. Il s'en réjouit, développe alors toute sa force et me perfore le fion comme un sauvage.
Avec ce vieux vicieux, c'est trop bon, bien meilleur qu'avec le jeune qui m'a enculé le mois dernier. Et pourtant j'avais trouvé ça bon.
Le mateur, un gros balèze le crâne dégarni mais poilu ailleurs, entend bien m'enculer à son tour et chausse une capote. Sa queue courte mais épaisse ressemble un peu à celle du mec que j'ai sucé il y a un quart d'heure dans les toilettes. J'en suis tout ébahi.
Le sénior redouble à ce moment là d'intensité. Ses couilles claquent contre mes fesses. Ma queue ballote dans tous les sens et laisse échapper du jus. J'ai l'impression d'être fouillé tant sa pine raide caresse et masse mes entrailles. Je sens que je vais jouir mais j'aimerais bien que l'autre m'encule avant.
Le chauve se branle, masse ses grosses couilles, bave d'excitation devant ce spectacle. Impatient, il apostrophe le sénior:
" Graisse lui le cul, il n'attend que ça." lui dit il.
Deux minutes torrides s'écoulent
la queue bien logée dans mon fion, le sénior s'immobilise et pousse un grand râle de satisfaction. Le mec balèze comprend que je me fait engrosser. Mon plaisir est immense et j'ai l'impression de me faire remplir les boyaux.
Il me retient fermement pour être sûr de tout m'envoyer profond, le temps de savourer son coup.
La dernière fois, le mec s'était retiré avant de jouir et cela avait frustré mon plaisir.
Dès ses couilles vidées, sans formalité, il se retire, me donnant l'impression de me laisser un vide. Je me retourne; Ah, oui, quand même ! une belle tige longue avec un gland magnifique, un superbe abricot. Il fallait se la prendre dans le cul! Je comprend pourquoi ma rondelle a souffert. Une goutte blanche perle encore, ne laissant aucun doute sur la livraison qu'il vient de larguer dans mon cul.
Sans attendre, le mec avec ses cuisses poilues me passe déjà la main au trou pour évaluer la situation. Son doigt s'enfonce sans problème.
Satisfait, il se positionne et ajuste son gros gland dans ma chatte de petit mec. L'espace d'une seconde, au contact de son manche de pioche, court mais épais, je comprends que je vais me faire défoncer par ce gros mâle en rut.
Bourrin, excité, sûr de glisser, il m'emmanche son gourdin jusqu'aux couilles.
Je crie tel un petit chat tant son braquemart s'est imposé dans mon fondement. Ses couilles touchent déjà mon cul. Je sais qu'il m'a mis son gros manche en entier et suis stupéfait d'être déjà rempli, de l'avoir au plein entre mes petites fesses.
J'en avais tellement envie et il me l'a mis. Heureusement que l'autre m'a baisé avant.
Je me sens possédé, à sa merci, sans résistance, vaincu, écartelé. Heureusement qu'il me tient par les cuisses sinon je serai tombé. Mon corps fluet emmanché et sailli par un bestiau pareil
J'ai les larmes mais je le veux; je suis à lui. Je ne pensais pas en avoir une si grosse dans le cul aujourd'hui.
" T'en avais trop envie." me dit le sénior, admiratif.
Je ne réponds pas, trop occupé à me tortiller, à chercher la bonne position. Oui, j'en avais envie. Mon cul semble avoir cédé et lâché prise devant un tel bambou. Les premiers va et vient sont un exploit à encaisser et les font rigoler. Je serai trop déçu s'il devait arrêter à cause de moi alors je me relâche
" Détends toi, tu vas voir, tu vas en redemander." poursuit l'ancien.
Je me penche un peu et tends ma croupe, comme il m'a dit il y a quelques minutes. Chacun comprend ma disposition à m'offrir.
" Tu la voulais, p'tite salope" me dit le chauve, ravi que sa bite me plaise tant.
Le voilà tout excité et il ne se gêne pas pour me pilonner et me niquer sans complaisance. .
Je l'entends gueuler des obscénités sur moi, dire que je suis serré, que j'aime bien les grosses bites, me traiter de salope.
Pendant ce temps là le vieux fait le guet et se rince l'il en même temps.
C'est un costaud mais il n'a pas la résistance du vieux qui m'a limé pendant un bon moment. Après m'avoir niqué de toutes ses forces, il se retire soudain, enlève sa capote et reprend son manche en main. J'ai trop envie de le sentir gicler en moi, je le veux encore
je tends mon cul, l'invite à revenir, me cambre, m'offre
d'un coup de reins majestueux, tous sens perdus, il saisit mes hanches et m'encule jusqu'à la garde, me fait crier, s'écroule presque sur moi.
Je jouis, ma bite gicle dans tous les sens et asperge mon short qui trainait là, le tronc de l'arbre, les herbes folles. Je sais qu'il vide ses grosses couilles en moi, qu'il prend son pied, qu'il décharge sa cargaison de foutre au fond de mon petit cul, qu'il me fait un petit.
Sous l'effet de ma jouissance, ma rondelle se contracte et je ressens toutes les vibrations de son manche qui me féconde de son sperme abondant.
Nous restons emboités, chacun savourant son bonheur, le temps qu'il crache la dernière giclée.
Satisfait de la manuvre, il reste en moi, reprends ses esprits, me caresse les flancs de ses grosses paluches.
Profitant de ce moment de plénitude et que je sois encore coincé contre l'arbre, le vieux m'impose, me roule une pelle gluante. Il est en forme et il ne faudrait pas grand-chose pour qu'il me rebaise.
" Tu as bien aimé, on dirait!
me dit il.
Le balèze ne dit rien et reprend son souffle. Il se retire et examine sa bite qui m'a donné tant de plaisir. Et dire qu'il m'a enculé avec sa grosse bite, j'en suis encore tout émerveillé.
Les couilles vides, il remet son bermuda et nous quitte en nous saluant. Je suppose que c'était un chauffeur routier.
Tout émoustillé, comme je le pensais, le sénior se colle à moi, me retourne et me loge son appareil reproducteur dans le cul. Il rentre tout seul tant le conduit est maintenant lubrifié par le foutre gluant de ces deux mâles.
Il bave comme un cerf en rut, me caresse, me pilonne le cul. Ma petite chatte est ouverte et son gland énorme va et vient, me ramone le conduit
Je rebande de plaisir.
Un autre mec se présente et s'approche mais il lui fait signe de dégager. Il entend bien me niquer tranquille cette fois ci et me féconder encore une fois.
J'aperçois soudain au loin, près des toilettes, ma mère qui semble me chercher. Le sénior comprend que je dois partir et accélère, se lâche complètement et jouit une dernière fois en moi tout le sperme de ses couilles.
Je remet mon short vite fait, tire sur mon teeshirt pour le défroisser.
Le cul rempli de sperme, je serre des fesses et rejoins discrètement mes parents qui commençaient à s'inquiéter.
" On croyait que tu avais fait une mauvaise rencontre aux toilettes.
" Non, pas du tout. J'étais à prendre l'air.
S'ils savaient que j'ai avalé le sperme d'un inconnu et que je m'en suis pris plein le cul par deux autres
!!
Il reste quelques kilomètres à faire pour arriver au gîte. Je serre des fesses avec difficulté et j'ai peur de tâcher le siège de la voiture.
Je suis en plein rêve en partant de cette aire de repos d'autoroute. Le sénior n'habite pas loin d'ici et m'a donné son 06.
J'ai mal au cul. Ils m'ont défoncé mais c'est trop bon.
Caramel35
Faites gaffe. Avec des capotes, c'est plus prudent.
Ah, ces aires d'autoroutes
si elles pouvaient tout raconter
.
Au plaisir de lire vos commentaires. Merci.
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