Collection Homme Femme. Violoncelliste. Saison Vi (24/26)
Jai quitté ma chambre ayant repris du poil de la bête après la nuit de débauche que jai passée dans un club échangiste pour me laver de la tromperie de Daniel, le bel étalon à Agde.
Je vais voir le spectacle où je rencontre deux jeunes garçons Lionel semblant sûr de lui et Pedro un peu plus timide.
Il vient nous rejoindre et mentraîne derrière une porte à glissière.
Il fait glisser la porte me prend par la taille et me fait chuter.
Nos bouches se trouvent.
Il a dû manger un chewing-gum ou un bonbon à la menthe, car son haleine est agréable.
Maman est une bonne jouisseuse car malgré la porte qui nous isole des images, le son est en stéréo.
Ça me bloque surtout que mon partenaire semble être un timide de la braguette.
Mais je reprends lavantage me sentant en concurrence avec ma maman.
Que cest bon de dire « maman » moi qui était persuadée quelle faisait exprès pour me rabaisser surtout en me piquant mes amants.
Cest moi qui fais tout, je déboutonne son jean avec difficulté, cest un collector et ce sont des boutons.
Comme de nombreux jeunes il a oublié de mettre un boxer, jai directement sa verge en main.
En main puis dans ma bouche quand je commence à lui faire une fellation.
Il est timide mais mieux monté que son copain de lautre côté de la cloison.
Sans le vouloir, maman a choisi le plus harde mais la plus petite bite.
Certes, ma chatte est un peu sensible de toutes les pénétrations subies dans la boîte échangiste dAgde, mais je suis devenue tellement accro au sexe, que je vais prendre sur moi quand il me pénétrera.
- Ah ! Ah ! Ah !
Pardon.
Merde un éjaculateur précoce ou un puceau subissant sa première sucette.
Pendant ce temps-là, maman semble au sommet de son art.
Elle crie sa jouissance, certainement un bel orgasme.
Une nouvelle fois, moi qui croyais avoir tiré le gros lot, je me retrouve avec une giclée de sperme au fond de ma bouche le reste sur mon visage après le mouvement de retrait que jai eu surprise par tant de précipitation.
- Pedro reste calme, on a toute la nuit à ton âge tu vas rebander très vite et pouvoir me pénétrer et te dépuceler.
« Au feu, vite, sortez, ça crame sur larrière. »
Quelquun tape à la porte du camping-car.
Par la petite fenêtre sur le côté je vois une lueur rouge.
Ça semble cramer dur.
Par chance, je suis toujours en tenue correcte contrairement à maman qui elle avec son amant sétait en partie dévêtue.
Je suis la première à sortir les pieds-nus pour venir faire une fellation à Pedro, je les avais enlevées.
Les deux garçons sortent lun après lautre Lionel à poil.
- Mamam sort, vite ça prend de partout.
Vite maman je ten supplie.
Le lit doit déjà cramer car de la fumer sort par la porte.
- Jai téléphoné aux pompiers, ils arrivent.
Je pense que pour maman le voyage sarrête là, je veux aller la chercher.
Un bras me retient juste au moment où elle apparaît entièrement rhabillée à la limite de sêtre remaquillée.
Je suis dans ses bras.
- Lionel, que va dire papa, ils venaient de lacheter pour leur retraite.
Je leur ai piqué.
Ils devaient lassurer lundi.
- Avec tes conneries de vouloir voir le podium, tu es dans la merde.
Dans la merde et toujours puceau, sale journée pour lui.
- Isabelle, viens, tirons-nous.
- Maman, tu rigoles ces pauvres garçons.
- Tu veux voir dans les journaux demain.
« Deux salopes, musiciennes de la tournée de Cécilia se faisaient sauter dans un camping-car qui a cramé. »
- Ou à peu près ça surtout avec le sperme qui macule ton visage.
Détalons, ils sont assez grands pour baiser, ils seront assez grands pour se démerder.
Difficile les pieds nus mais rapidement nous entrons dans lhôtel.
Par chance le concierge de nuit doit faire une ronde ou dormir, car il brille par son absence.
Nous prenons lascenseur.
Nous tombons dans les bras lune lautre éclatant de rire comme deux vieilles complices.
Elle me regarde pouf et me donne un coup de langue sur ma joue.
- Il avait bon goût.
Lascenseur sarrête alors que nous éclatons de rire au risque de réveiller toutes les autres amies musiciennes qui elles sont restées sélectes.
Je récupère la chambre, maman la suivante.
Quand jentre, un train entre en gare, il va rester près de moi jusquau matin après avoir pris une douche effaçant les traces de mes nouveaux débordements même sils ont été brefs.
Le train, cest Nat qui ronfle comme une loco à vapeur.
Je la vois sur le lit, les seins à lair, plus que des obus, de vraies mappemondes ou ballons pour le hand.
Par chance elle porte, un caleçon style boxer comme les hommes certainement taille 4XL.
Elle prend la moitié de la place, petite souris je me glisse à ses côtés.
Je suis éveillée quand se retournant sur le côté son bras se posant sur ma poitrine, moins grosse que la sienne.
Elle me saisit le sein et cest ainsi que jarrive à mendormir, car en ce tournant le train sest arrêté.
Au matin, jémerge, Nat est partie.
Je sais où elle est, au restaurant.
Cest toujours la première et souvent ce qui est le cas ce matin elle a mangé toutes les viennoiseries.
Je men fiche, le matin cest pain avec beurre doux, café noir.
Maman et Claire sont là.
- Isabelle lit.
Elle me tend le journal.
« Cette nuit près du centre-ville, un camping-car a pris feu.
Ce serait un alternateur fonctionnant avec du gasoil qui serait la cause de cet incendie.
Notre journaliste sétant rendu sur les lieux a reçu le témoignage des deux occupants.
Lun deux était même nu.
Lhomme ayant réveillé les occupants lui a dit que deux femmes sont sorties du camping-car.
Il lui a été impossible de les retrouver.
Mystère
»
Je finis de lire, cest à loreille quelle me glisse.
- Dit merci à ta maman, chérie.
Une nouvelle fois nous éclatons de rire manquant de repartir quand nous voyons la tête de Claire et Nat.
Cette dernière arrêtant de croquer son dernier croisant.
- Jespère que ces deux femmes sont étrangères à notre groupe.
Ce serait une catastrophe si Cécilia apprenait que cest deux dentre vous.
Il brandit le journal comme une menace.
Claire se penche vers nous
- Cest vous.
- Claire, comment peux-tu penser que jaurais pu aller baiser dans le même camping-car que ma fille.
Cest mal me connaître.
- Pardon Hilary.
- Après avoir été au restaurant, nous sommes allées nous promener sur la plage.
Jignore si Claire nous a vus partir avec les deux garçons.
Ce quil y a de sûr, cest que le car prend la route de Marseille
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