Je Me Donne - La Transition

Après cet épisode de la cave assez soutenu, les choses ont repris le cours normal. A part Aldina, qui de temps en temps vient squatter mon lit avec Anthony, c’est plutôt calme. Faut dire que nous avons comme tous des soucis. La société ou je travaillais a supprimé mon poste, je suis donc sans emploi depuis 1 mois. Pour éviter que je m’ennuis, Aldina a proposé que je vienne de temps en temps l’aider dans son job de gardienne. J’ai pas été enthousiasmé par cette proposition. Faire le ménage, des courbettes pour ces messieurs dames, pas vraiment pour moi. Anthony m’a invité à avoir une occupation tout en cherchant un poste. Bon, j’ai écouté mon cher et tendre époux. Donc de temps en temps je suis allé aider la gardienne Portugaise. Finalement son job est simple, un peu de ménage, du papotage, recevoir le postier et faire de la présence, c’est tout. ment, Aldina a profitée des moments de poses pour se faire lécher la minette. Au début s’était une fois de part et autre, puis ça s’est rapproché de plus en plus, une fois par jour et même deux fois par jour. Et moi ? Rien, pas le droit à prendre du plaisir, uniquement m’occuper de son intimité toujours autant poilue.
Un midi, Aldina m’annonce que sa copine Marina passe pour revoir un peu ma coiffure et que c’était en accord avec mon homme, qu’il fallait revoir une nouvelle coupe pour que je puisse postuler sérieusement à des postes. Peut-être pas faux.
Marina arrive, toujours très pressée. Aldina étant absente, il est hors de question de commencer une quelconque coupe sans avoir une information, à croire que c’est Aldina qui décide pour moi. Ma coiffeuse passe un appel à Aldina pour la faire venir. 5 minutes plus tard, voilà notre gardienne qui arrive avec un grand et large sourire. Petit papotage avec sa copine et elle donne les directives.
-bon regarde cette photo, tu lui fais cette coupe ? Anthony adore
-ouais pas de soucis
Je ne sais pas à quoi je vais avoir le droit.

Marina s’occupe donc de mes cheveux sous le regard attentif d’Aldina. La surprise, c’est l’utilisation de la tondeuse qui passe sur ma nuque, je suis quand même inquiète. En une demi-heure, ma coupe est terminée. Aldina, prend un miroir et me fait découvrir ma coupe. Devant, j’ai une frange courte, les côtés sont un peu longs et remonte sur ma nuque, nuque qui est tondue à ras. Ce n’est pas moche, mais pas top non plus, ça fait un peu conne je trouve. Aldina me dit de reprendre le ménage dans les étages, pendant qu’elle reste avec Marine. J’imagine très bien ce qu’elles vont faire toutes les deux.
J’ai enchainée les entretiens d’embauche sans grand résultat pour le moment, je subit donc Aldina et mon cher mari qui profite de plus en plus de la gardienne d’immeuble. Cette situation commence à m’insupporter. Quelques semaines plus tard, je décroche enfin un poste. Je suis sous la responsabilité d’une femme avec qui je m’entends super bien. Ma période d’essaie passe super vite tellement je m’y sens bien. A la maison, Aldina est bien trop présente pour moi, maintenant que j’ai retrouvé un job, pourquoi est-elle toujours dans nos pattes. A croire que mon cher et tendre ne peut plus s’en passer.
A un moment, ayant reprise confiance en moi et en la vie, j’explose, un soir devant Anthony.
-Maintenant ça suffit Anthony, tu choisis entre moi et Aldina, je vais pas continuer comme ça à me faire rabaisser, si tu m’aimes tu arrêtes avec elle, sinon tu prends tes valises.
-Mais ma chérie, ne t’énerve pas comme ça voyons, je vais voir pour parler à Aldina.
-Ah non tu ne vas pas voir, tu lui dis stoppe immédiatement ou tu te barres immédiatement. Aujourd’hui, je travaille, je gagne plus que toi, même beaucoup plus que toi, alors je peux garder la maison seule, sans problème.
-Ma chérie tu me surprends, tu as été cool et là tu décides de reprendre les choses en mains.
-bah oui, mon homme est à moi, tu l’as suffisamment baisé, maintenant je reprends ma place de femme et c’est maintenant et à mes conditions.
Alors appel Aldina pour lui dire ce que tu fais.
Sans vraiment broncher, Anthony appel Aldina et lui annonce que maintenant il avait décidé de ne plus la voir. Je ne suis pas sûr qu’ils respectent le deal, mais je vais faire en sorte qu’Anthony tienne parole, même si je dois l’y contraindre. Je sais que durant quelques jours ils ont continué à se voir en cachette. Rapidement j’ai réagie en prenant conseil. Ma responsable ayant remarqué que je n’étais pas au top de mes capacité, elle m’a orienté vers des sujets alors pas connus pour moi. Je me suis confié à elle, étant une femme d’un certain âge, j’ai jugée que cela pouvait m’être utile de parler de mon problème.
Je n’ai donc pas perdue de temps pour mettre définitivement fin à la relation cachée d’Anthony et Aldina. Un vendredi soir je suis renté plus tard pour faire de petites courses. A mon arrivée, Anthony était là devant la télé. J’ai tout éteint et j’ai présenté les choses qui devaient changer.
-Anthony, puisque tu m’as pris pour une grosse conne, je vais te demander de faire tes valises et quitter la maison.
-Pourquoi ma chérie ?
-Pourquoi ? Aldina, tu ne la vois plus ? attention à ta réponse.
-Euh non, enfin si ça m’est arrivé, je l’avoue, je suis désolé ma chérie
-ok, alors tu pars.
-Non arrête je t’aime tu le sais et je veux pas te perdre, j’ai déconné, je ne recommencerais plus juré.
-donc tu veux rester avec ta femme ?
-biensûr, nous sommes liés à vie
-tu crois ça ?
-oui
-ok, alors tu restes à mes conditions.
-c’est-à-dire ?
-tu restes à mes conditions.
-quelles conditions chérie ?
-elle sont simples, pour être sur que tu ne vas pas tremper ta queue autre part, je suis obligé de la mettre en cage, donc regarde ce que tu vas porter.
De mon sac, je lui sors une cage de chasteté pour homme. Ses yeux sont énormes et il reste sans voix.
-A partir de ce soir tu vas commencer à la porter. Le vendeur m’a dit qu’il faut la porter progressivement, mais je vais passer outre, ce soir tu seras enfermé, par contre il est conseillé de te raser les poils.
Alors fil et ne revient qu’une fois rasé ou alors fait ta valise et adieu.
-Ma chérie tu es sans pitié, enfin c’était une expérience tout ça, je te voyais tellement épanouie…
-Tu choisis la cage ou la valise ?
-D’accord ma chérie je vais me raser.
-Bien, très sage décision.
Anthony part s’occuper de ses poils. Au fond de moi je suis fière d’avoir réussis cette pirouette, merci Annabelle, ma cheffe.
Anthony revient.
-Descend ton jogging que je puisse voir.
Il me montre son intimité.
-Je t’ai dit rasé par coupé.
-Mais c’est pareil.
-Non tu retournes et reviens lisse et vite fais et pas la peine de remettre le bas.
Pendant, qu’il se rase bien lisse tout ça, je me remémore les explications du vendeur sur la mise en place de la cage. C’est une cage en sorte de plastique noir. Anthony revient et cette fois il est bien rasé. J’inspecte tout et termine par valider. Je mets en place la cage en ayant auparavant lubrifié l’ensemble avec un gel. Anthony se laisse faire, ne disant rien, ayant je pense, compris que s’en était terminé de la fête avec Aldina et sa femme. Je suis contente d’avoir réussis la mise en place rapidement. Je termine la pose avec le clic du cadenas.
-Voilà, tu es en sécurité maintenant, donc tu vas la porter pendant une semaine complète, sans retrait possible, pour te laver, elle est prévue pour ça, tu vas douiller je pense, mais bon c’est la rançon de gloire mon cher mari, un conseil, évite juste de bander et ça devrait aller.
Anthony ne dit rien, ne s’attendant certainement pas à ce revirement de situation. Je prends son téléphone, fais une photo et l’envoi à Aldina « il est maintenant définitivement indisponible ».
Le lendemain, matin, Anthony se plaint déjà de la cage.
-Ah mais je crois que tu n’as pas compris mon chéri, tu vas souffrir le temps de t’habi, après ça ira, je vais te mettre un peu plus de gel, mais c’est tout.
Une semaine passe. Je décide de retirer la cage de mon homme.
Il part se laver et à son retour je le plaque sur un fauteuil, prend sa queue en main et le masturbe. Très très vite il monte droit et dur, je le masturbe uniquement.
-Suce moi ma chérie..
-Non, certainement pas.
-allez, prend moi en bouche, j’ai envie de jouir.
-alors vas-y jouit.
Je le masturbe plus rapidement, et il se vide tel un ado, d’un jus bien gluant, bien concentré. Je l’essuis, attends que son membre reprenne sa taille et clic, je le remets en cage.
-Voilà mon mari, maintenant tu es en cage pour deux semaines.
Anthony fait des yeux énormes.
-Par contre tu as le droit de me lécher la minette, juste un conseil, ne bande pas sinon…
Je retire ma jupe, ma culotte et m’assoie dans le canapé en écartant les cuisses. Mon sexe est mouillé, excité d’avoir fait jouir mon homme. Anthony plaque sa bouche sur mes poils et sa langue fait son travail. Ayant décidé de laisser ma toison complètement au naturelle, plus d’entretien, plus rien, il est très occupé à brouter. Je le vois par moment faire des grimaces, c’est certainement dû à l’excitation qu’il ressent alors que son membre est enfermé, mais je m’en moque. Je crois que je suis devenue garce, je repousse au maximum mon plaisir, pour qu’il souffre bien. Puis à un moment je lâche tout.
-aahh ouiiiiiiii……………..
Au travail, j’ai un collègue qui à la cinquantaine et qui m’a appris beaucoup dans mon nouveau poste. Avec lui j’ai noué petit à petit une relation amicale. Nous déjeunons ensemble, nous rigolons, nous sommes proche. Il a quasiment l’âge de mon père, donc je suis tranquille, il est devenu un super pote. Mon cher Anthony, semble avoir compris la place que maintenant il devait tenir. Il s’est habitué à vivre la queue enfermée, à être masturbé et seulement cela pour le moment. Moi je suis devenue sérieuse, pour le moment je suis sage, pas d’hommes dans ma vie, en dehors de mon mari, pas de relation extra conjugale, je me satisfait, pour le moment de la langue de mon homme. C’est vrai, qu’il me léche plusieurs fois par semaine, ça ne remplace pas un membre, mais pour le moment je suis bien comme ça. Et puis est arrivé une fête au travail. Le départ en retraite de ma cheffe, qui sera remplacé par mon super collègue. Je suis assez triste de ne plus pouvoir travailler avec lui, mais bon c’est ainsi. Donc, durant cette fête j’ai un peu abusé de l’alcool et Ludo, c’est mon super copain à décidé de ne pas me laisser prendre la voiture et me raccompagne chez moi. Arrivée chez moi, je suis accroché à son coup et mes lèvre sont venue se coller aux siennes, j’avais envie de me blottir contre lui, envie de beaucoup plus encore. Ludo ne m’a pas repoussé, juste dit que nous devrions pour ce soir en rester là. Une fois couché, alors que mon chéri dort, je repense à Ludo, à ce que j’avais envie de faire avec lui, certainement à cause de l’alcool.
Le lundi matin, j’étais un peu mal dans ma peau. Ludo m’appelle dans mon bureau.
-Maeva, pour vendredi soir ne t’inquiète pas, ce n’est pas grave.
Je suis devant lui, je l’écoute et je sens mon intimité se liquéfié, je sens ma culotte retenir ma mouille qui coule. Je me retient pour ne pas lui sauter au coup.
-Maeva tu m’écoute ?
-Euh oui, oui
-Non je ne pense pas, que se passe t-il ?
Il s’approche de moi gentiment, là je craque, je lui saute au coup pour l’embrasser.
-Arrête que fais-tu ? écoute ce midi nous déjeunons ensemble, il faut que nous parlions.
Je repars, ma culotte mouillée.
A midi, il m’invite dans un restaurant. Là je lui avoue que je suis très attiré par lui. Même en mangeant j’ai ma chatte qui mouille. Je bois ses paroles, je dis oui, je dis non.
-je m’en fou Ludo, tu es plus âgé que moi et alors, tu m’attires et non je ne cherche pas un père. Puisque tu es seul, c’est plutôt bien, Peut-être que je ne te fais pas envie ?
Ludo me regarde et me fais un grand sourire.
-Ne dit pas de bêtise, oui tu es mignonne et bien sûr que tu me plais, mais je ne veux pas de problème, ni au travail, ni avec ton mari.
-Mon mari, ne t’inquiète pas tu n’en auras pas, promis.
Le soir, après le travail, Ludo me propose d’aller chez lui. La porte à peine fermée, je lui saute au coup et nous nous embrassons. Lui toujours plein de tendresse, de délicatesse, jamais trop vite. Je le découvre, cheveux très court blanc, barbe courte quasi blanche, un corps certes pas musclé, mais pas bedonnant non plus comme nous pouvons voir des hommes de 50 ans, un corps poilu, un pubis taillé et un sexe de bonne taille au repos. Lui me découvre également. Il félicite ma toison pubienne, ma toison abondamment poilue. Il parcourt mon corps de ses mains, me caresse avec douceur. Sa bouche vient faire un passage dans mes poils pour venir et trouver mon clitoris qu’il lèche et prend avec ses lèvres. Que s’est bon de se laisser abandonner avec cette douceur. L’expérience de l’âge est bien là, avec sa langue c’est bon agréable doux. Je découvre son membre bandé, il est droit, de bonne taille et avec un gland assez gros, je le prends en bouche pour le sucer avec délicatesse, pour lui rendre ce qu’il m’a fait juste avant. Mon entrecuisse mouille de fou. Il m’allonge sur le lit et vient se présenter à mon intimité et prépare un préservatif.
-Non, ne mets pas ça, mon dernier test est bon, je préfère sans.
-Pour moi c’est pareil, ok
Son gland entre. Il force l’entrée de mon sexe et coulisse sur toute sa longueur. Je sens le bout de son sexe m’écarter, à chaque passage la sensation est super bonne, le plaisir est fort. Je suis sur le dos, jambes écartées, je vois son sexe entrer, même si ma toison cache. Lui il est droit, nous formons une équerre. Je trouve se moment intense. Je suis prise comme ça un long moment, par moment sa bouche vient retrouver la mienne, ses mains caressent mes petits seins, des doigts viennent masturber mon clitoris, accentuant le plaisir. Je sens que je parts dans le plaisir, quelques secondes après je sens son jus se déverser en moi.
-Aaaahhh je jouis……oh oui vieennnss jouiiiiiiiiiii
Je pars dans un orgasme. Du plaisir j’en ai eu, mais là, il a été différent, peut-être aussi en raison de mon abstinence avec les hommes depuis plusieurs semaines. Après ce plaisir j’ai dormi un petit quart d’heure, avant de rentrer retrouver mon mari.


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