David Mon Loulou D'Amour

J'ai connu david par internet, il m'a tout de suite dit qu'il avait 24 ans et qu'il était à la recherche de mâles après nos photos échangées il est vite venu chez moi, on était souvent assis sur mon canapé entrain de se bouffer des vidéos de cul gay, au début, le voyant un peu timide on ne faisait pas grand chose, ok on se suçait la bite mais ça n'allait pas plus loin surtout qu'il ne voulait pas se déshabiller, moi j'aurais voulu le voir tout nu surtout que ce mec là avait l'air poilu, moi qui adore les poils, bon il ôtait bien son pull mais gardait tout le temps ce satané t.shirt, quelquefois je lui caressai la poitrine en passant ma main sous le tissu et il me regardait avec ses beaux yeux, l'air de me dire :
- ça ne te dégoûte pas tous ces poils ?
Je ne sais pas où il avait été chercher ça, le bogoss parce que pour être beau il est beau le loulou, il a une belle gueule, de belles dents blanches, d'ailleurs moi je trouve tout beau, tout bien foutu chez lui, ouais il a mis mon coeur en émoi et je suis vite tombé amoureux de David pourtant il me fait ramer je n'ose pas trop lui faire du rentre-dedans mais je lui dit :
- Non ça ne me dégoûte pas au contraire j'adore les poils chez un mec et j'aime ceux que tu as aux cuisses, t'es un vrai mâle, moi j'en ai mais c'est peu auprès de toi ...
- Toi tu as 36 ans, t'es mignon et tu me plaîs beaucoup, tu voudrais m'enculer ?
Alors lui pour être timide, il m'a lâché ça comme ça, moi qui y allait à petits pas avec lui voilà qu'il a trouvé la phrase qui me cause un frisson de chaleur dans le dos et un drôle d'effet dans la tête mais c'est bien ressaisi que je lui réponds aussitôt :
- Bien sûr, ça y est tu es prêt à te faire défoncer, tu me laisses te déshabiller, je vais te bouffer tout cru, laisse-toi faire mon coco

C'est sur mon lit que celui que j'allais enfin pouvoir aimer tout à loisir se retrouva tout nu, là il ne se cacha pas et je pu admirer son torse velu recouvert de poils noirs ainsi que son petit cul où les poils s'insinuaient jusque dans la raie des fesses, raie que je ne mis pas longtemps à écarter pour aller y engouffrer ma langue dans ce petit trou tant convoité, à ce stade ma queue avait triplé de volume et c'est ce gros bâton rigide que mon pote se mit dans la bouche tandis que son cul frétillait sous mes assauts bucaux où ma langue se perdait dans les profondeurs de son anus qui était déjà bien trempé, là David se déchaîna et s'enfonça à fond mes 22 cms dans le gosier puis retira ma queue pour respirer un peu :
- Putain ta pine, elle est longue et grosse mais qu'est-ce qu'elle est bonne, j'ai la gueule pleine de ta mouille, yanno, c'est bon, je la veux dans mon trou, tu vas bien m'enculer, mec ! je suis bien excité là, possède-moi, ah putain depuis le temps que j'en rêve, je veux t'appartenir !!
Evidemment je ne l'ai pas fait attendre et je l'ai enculé en le fixant dans la profondeur de son regard, je me suis enfoncé d'un trait tant son conduit était trempé de mouille et mes couilles arrivant aux siennes j'ai tout de suite senti le fond de son cul, c'était divin, archi bon de le posséder ainsi aussi je lui ai dit :
- David, je bute au fond de toi,t'es bien emmanché ma poule, je suis bien au chaud dans ton trou !
- Ouais je suis bien rempli là, tu m'encules bien, je veux que tu me défonces comme une bonne salope, tape-moi bien dans le fond du ventre, oui comme ça, ah putain ta queue, elle glisse bien dans ma chatte de mec, je vais venir, ma bite n'a jamais été si raide, aaah ouui, c'est bon je jouuuiis, yanno tu me rends fou, j'adore ta langue sur la mienne !!
C'est ainsi que mon foutre s'éjecta lorsqu'on entendit les claquements que faisaient mes couilles sur son cul, à toute vitesse je lui pilonnais le trou en me déversant au fond du tunel masculin qui abritait ma pine et qui s'était fait un abrit de ce muscle qui épousait bien la grosseur de ma tige qui était tout doux, tout chaud mais qui fut noyé par la vague de mon nectar qui se déversa en trombe, venant inonder le réceptacle masculin dans sa totalité, à ce stade David me prit par le cou et s'accrocha à moi pour vibrer des derniers soubressauts qui lui faisaient encore vibrer tout le corps puis un peu apaisé il lâcha :
- Waah, putain le pied, tu m'as plus qu'enculé, tu m'as carrément défoncé le cul, yanno je t'aime je veux toujours être pris comme ça, j'adore faire ma salope avec toi.

Je ne sais plus combien de fois je lui ai fait des bisous sur sa petite gueule d'amour, sur et dans la bouche, sur ses joues, ses yeux, le bout de son nez, on était bien, repu jusqu'au moment ou le loulou décida de m'essorer la queue de sa bouche pour y trouver encore un peu de sperme logé dans le tréfond de mes burnes pour s'en délecter le gosier, il tira la langue pour me faire voir la sauce qu'il y avait encore dessus, je lui fit une caresse sur la joue en lui disant :
- Toi je t'aimerais toujours, tu as boulversé ma vie, tu es à moi, je t'aime si fort !

David est resté un bout de temps avec moi puis un jour il m'a dit qu'il allait se mettre en ménage avec une fille, j'en ai eu des frissons dans la tête, j'ai été anéanti, laminé mais il m'a fait comprendre qu'il ne me quitterai pas pour autant, qu'il aimait les hommes surtout moi mais qu'il voulait être "normal" et avoir des s puis que diraient ses parents s'ils savaient qu'il était homo, de ça on en a discuté des mois et des mois, je lui ai dit qu'il devrait vivre sa vie de type gay, qu'il n'avait pas à se sacrifier mais rien y a fait, il est aujourd'hui en couple, il a deux gosses, est-il heureux, moi perso je ne le pense pas trop, il est de plus en plus gay et il vient chez nous, stéphane et moi, évidemment à défaut de l'avoir lui j'ai connu un autre homme et me suis marié avec, un autre beau gosse avec lequel je suis très heureux et comblé lorsque mon David est là et qu'on baise tous les trois. Dans ma vie j'ai connu plein de misères mais en amour j'ai eu assez de chance même si j'ai été déçu par mon premier mec qui a mis le feu à mon coeur et l'a éteint jusqu'à la dernière braise, David je t'aimerai toujours et Stéph n'en ai pas jaloux.

yannoweb@neuf.fr