Vacances Étudiantes (Partie 3)
(Pov Sophie)
Jentendis la porte souvrir derrière moi, puis se refermer. Jen conçus un prodigieux agacement : ok je partageais cette chambre avec trois autres filles, mais franchement, je pouvais pas avoir cinq minutes de paix ?
« Je peux être tranquille bordel ? dis-je dun ton acide. »
Je me relevai, et me retournai. Et mon cur manqua un battement. Mon beau brun se tenait dans ma chambre, devant la porte.
« Je peux te laisser tranquille si tu veux. »
Il ferma à clé, un sourire aux lèvres, et ajouta.
« Mais je crois que ten as pas vraiment envie
»
Il sapprocha de moi. Il marchait dun pas lent, mais confiant. Jétais tétanisée, incapable de bouger ou de parler. Péniblement, mon cerveau mexposait la situation : jétais enfermée dans une chambre, en tenue assez sexy, le mec sur qui je fantasmais depuis des mois savançait vers moi inexorablement, un sourire coquin aux lèvres, et cela faisait trois jours que je lui faisais du rentre dedans. Je savais pertinemment ce qui allait se passer, et ça me donnait le vertige.
Il arriva juste en face de moi, et plongea ses yeux bleus dans les miens.
« Ça va ? me demanda-t-il. »
Il semblait intrigué. Je devais être bizarre, paralysée comme jétais.
« Oui
oui, parvins-je à bégayer. Je
cest juste que
»
Il posa délicatement une main sur mes hanches.
« Eh détends toi, ça va bien se passer. »
« Cest juste
jen rêve depuis tellement longtemps, confessai-je dans un souffle. »
Il me regarda un moment, et sourit.
« Jai cru comprendre, ouais. On va faire en sorte que ce soit à la hauteur de tes attentes. »
Il sapprocha de moi, et membrassa délicatement. Ses lèvres passèrent sur les miennes avec douceur, tandis que sa main se posa sur ma nuque pour mattirer contre lui. Toujours tétanisée, je tâchai de lui rendre son baiser, mais mon cerveau était aux abonnés absent.
Lorsquil quitta ma bouche pour dévorer mon cou, et que jeus la sensation de ne plus pouvoir respirer, jeus une brusque prise de conscience : il allait me prendre. Ce mec sur qui je fantasmais toutes les nuits allait rendre mes mille et un fantasmes réels dici quelques secondes. Alors dans une vertigineuse prise de conscience, je passai de complètement stressée à lidée que ça arrive enfin, à nen pouvant plus dattendre que ça arrive enfin. Dans un gémissement, je murmurai le prénom de mon beau gosse.
« Quoi ? me demanda-t-il avec un sourire amusé. »
Je devais certainement lui offrir une image séduisante : en brassière, le visage rougi par le désir, haletante. Je rassemblai mes efforts et soufflai :
« Baise moi. Toute de suite ! »
Il sourit et me saisit par les hanches avant de me jeter contre le matelas. Je meffondrai dessus, et constatait que jétais sur-excitée et toute mouillée alors quon avait encore quasiment rien fait. Il vint sur moi, et me tint plaquée contre le matelas. Chaque cellule de mon corps poussa le même cri que moi :
« Saute moi !!!! »
Une expression de profonde excitation passa sur son visage, et il marracha mon leggins. Il revint ensuite vers ma bouche pour membrasser fougueusement, tout en massant ma poitrine du même coup. Je tremblais de la tête aux pieds, mon corps entier était enflammé au plus haut point, tandis que nos lèvres se mêlaient, que nos corps se collaient lun à lautre, et que ses mains pétrissaient ma poitrine. Lexcitation, le plaisir, tout ça montait en moi, et soudain je poussai un grand cri.
« Quest-ce qui tarrive ? »
Mon beau gosse sétait interrompu, et mobservait dun air inquiet. Haletante, le cerveau embrumé, le corps encore vibrant, je mis un moment à comprendre ce qui métait arrivé.
« Jai
jai eu un orgasme. »
Il ouvrit de grands yeux.
« On a encore rien fait
»
« Je sais mais
»
Il sourit.
« Je te rends folle à ce point ? »
Je plantai mes yeux dans les siens.
« Oui. »
« Tant mieux. »
Il revint à la charge et membrassa à nouveau. Jenroulai mon bras autour de sa nuque, et lembrassai fiévreusement. Je savourais chaque micro-seconde de cet instant si parfait. Il saisit mon shorty, et me le retira. Un frisson me parcourut, et je compris que ça allait enfin se produire
Il retira son pantalon et caleçon, et jeus à peine le temps dapercevoir sa longue queue que déjà il lenfonçait en moi dun coup sec. Elle entra en moi avec force, et memplit jusquau fond. Enfin ! Javais rêvé, fantasmé, désiré cet instant des jours durant, et voilà quil se produisait enfin ! Enfin il était en moi ! Ma réaction ne se fit pas attendre : mon corps tout entier fut parcouru par une décharge de plaisir toute puissante, et dans un grand cri jeus un nouvel orgasme. Mon beau brun sinterrompit net et mobserva, mi-amusé mi-inquiet.
« Encore ? »
Haletante, tremblante, jétais un peu déboussolée. Avant même quon ait commencé à vraiment baiser, ce mec mavait déjà refilé deux des meilleurs orgasmes de ma vie !
« Tes sûre que ça va ? insista-t-il. »
Il fit mine de se retirer. Paniquée à lidée que ce Je le saisis aussitôt à la nuque, et lançai dune voix dure.
« Je tinterdis de tarrêter. Je suis entrain de vivre le meilleur moment de ma vie, alors même si je dois avoir des orgasmes à répétition, tu me baises non-stop, cest clair ? »
Une nouvelle lueur dexcitation passa dans ses yeux, et il souffla :
« Comme tu voudras. »
Et il démarra alors la plus incroyable baise de ma vie. Il enchaîna les va-et-vient puissants, sans jamais faiblir, accélérant au contraire le rythme.
Lorsque mon beau brun sinterrompit pour me retirer ma brassière, jétais assommée, haletante, le corps vibrant de plaisir. Je jetai un rapide coup doeil à lhorloge de ma chambre : en cinq minutes de baise, ce mec mavait plus comblée que tous les amants de ma vie, même ceux avec qui javais baisé toute une nuit durant. Alors quil se jetait sur mes seins pour les dévorer, je réalisai quelque chose : javais rêvé pendant des mois de ce mec, avais imaginé au moins 10 000 fois notre première fois
et cétait plus délicieux et satisfaisant que dans mes fantasmes les plus fous. Je vous souhaite un jour de vivre ça : de vous taper la personne de vos rêves, lobjet de tous vos fantasmes, et de vous rendre compte que cette personne est encore plus douée que ce que vous aviez osé imaginer.
Ayant suffisamment dévoré mes seins, il repartit à lassaut. Il se remit à me prendre en missionnaire, à un rythme toujours très élevé. Agenouillé sur le lit, il me baisait férocement, ses hanches se secouant comme une vague pour menvoyer encore et encore son piston qui encore et toujours me faisait vivre une véritable tempête dorgasmes.
Il se retira de moi, saisit mes jambes, et les mit sur ses épaules. Puis, il revint en moi avec force, et se mit à me baiser en position de lenclume. Cétait incroyable. Dans cette position, il allait loin et profond en moi, et accélérait le rythme comme si il voulait massommer à force de plaisir. Son énorme engin se frayait un chemin à travers moi, me possédait, me faisait gémir au rythme de ses allers-retours. Je nen pouvais plus ! Mon beau gosse était penché sur moi, ses beaux yeux bleus rivés dans les miens, avide dy observer tout le plaisir quil me procurait. Ça ne devait pas être très difficile : mon visage était défiguré par le plaisir quil mapportait, et je gémissais encore et encore, passant faiblement ma main dans ses cheveux pour lencourager.
Au bout dun moment, il me tourna, et me fit mallonger sur le côté, une jambe tendue, et lautre repliée près de ma poitrine. Il vint au-dessus de ma jambe tendue, et me prit comme ça, moi allongée sur le flanc, lui à genoux au dessus de moi, me pistonnant sauvagement. Il allait à présent à fond, me labourant de fond en comble, tandis que de ses mains, il prenait possession de mon corps, me caressant le dos, massant mes fesses, et malaxant mes seins. Mon cerveau ne répondait plus, mon corps entier nétait quune immense bouilloire de plaisir, je jouissais en continu, des orgasmes me secouant à chacun de ses va-et-vient. Lorsquil me tira les cheveux et se mit soudainement à accen la puissance de ses coups de reins, me culbutant férocement, tout en me doigtant avec vigueur, jeus limpression de mourir de plaisir. Un vertige digne des meilleurs grands 8 me saisit, mon corps se crispa comme retenant son souffle, et enfin, alors que son engin senfonça une nouvelle fois en moi, chaque parcelle de mon corps explosa dans un orgasme démentiel qui me fit hurler à en perdre la voix. Ce fut insupportablement bon, car mon beau brun prolongea cet orgasme encore et encore, continuant à me baiser comme un fou, jusquà ce quenfin, dans un ultime coup de rein, il jouisse à son tour, se déversant en moi comme un torrent.
(POV Narrateur)
Je meffondrai sur le lit, hors dhaleine, et couvert de sueur. Jétais sonné par lorgasme que je venais davoir. Ça avait été lune des meilleures baises de ma vie. Je repensais à ce que javais fait à Sophie : rarement javais été aussi excité par une fille, aussi sauvage, voire brusque dans mes coups de reins. Cette fille mavait énormément excité, au point que jen perde le contrôle de ce que je faisais. Je lui jetais un coup doeil : elle était étalée sur le lit, sa belle chevelure rousse en désordre, la respiration sifflante, les yeux mi-clos.
« Ça va ? minquiétai-je. »
Elle répondit par un petit gémissement.
« Eh ? Tes sûr que ça va ? insistai-je. »
Son état commençait à me faire peur.
« Laisse-moi mourir tranquille, répliqua-t-elle. »
Je fus vaguement soulagé. Si elle était capable de faire de lesprit, cest quelle allait bien, non ? Quelques minutes plus tard, elle se redressa et vint poser sa tête sur mon épaule, se pelotonnant contre moi. On resta étendus sur le lit un long moment. Personnellement, jétais beaucoup trop sonné pour bouger.
« Jattendais ça depuis des mois, finit par souffler Sophie. Jai dû fantasmer sur toi des millions de fois, au moins. »
Je la regardai. Jétais un peu étonné, et gêné de susciter chez elle un tel désir.
« Alors ? demandai-je. »
« Alors quoi ? »
« Jai été à la hauteur de tes fantasmes ? dis-je en souriant. »
« Oh non
tas été bien meilleur. »
Je me sentis rougir quelque peu. Cétait quand même vachement agréable de sentendre dire ça !
« Eh ben
tant mieux ! Faut dire aussi que tu mavais chauffé à blanc, alors
»
« Hmmm, crois-moi je vais continuer. »
« Fais gaffe quand même, je vais finir par te casser quelque chose. »
« Je prends le risque, répondit-elle avec un faible sourire. »
Le silence sinstalla un moment. Chacun de nous savourait en silence lintense plaisir quil ressentait toujours après cette baise épique. Sophie finit par se redresser.
« Je vais prendre une douche, et interdiction de me rejoindre, dit-elle en me tapotant le nez. »
Je la regardai se lever dun air mal assuré, puis marcher vers la salle de bains dune démarche chancelante. Jen profitai pour admirer son petit cul bien rond et ferme. Bon sang quest-ce que jétais chanceux davoir pu baiser ce corps de rêve. Elle ferma la porte de la salle de bains, et jentendis leau couler. Jimaginais Sophie sous la douche, nue, le corps ruisselant deau, les cheveux mouillés
Je me levai aussitôt. Jeus un léger vertige, mais me remis rapidement et poussai la porte de la salle de bains.
Jouvris les rideaux, et entrain dans la douche avec Sophie. Celle-ci eut un petit sourire.
« Je tavais pas interdit de me rejoindre ? »
« Je sais pas, moi tout ce que jai entendu cest oh sil te plaît rejoins moi et démonte moi sous la douche. »
Elle eut un petit frisson. Je la saisis par les hanches, et la retournant, je la plaquai, de face contre le mur. Je me collai contre son dos, et susurrai :
« Alors, jai bien entendu ? »
« Hmm à mon avis, tu as plutôt lu dans mes pensées. »
« Cest bien ce que je pensais. »
Je la pénétrai dun coup brusque, et elle poussa un cri de plaisir. Je la tins par les épaules, et démarrai de puissants va-et-vient, la prenant en levrette debout. Le corps cambré, ruisselant deau ses formes sagitant au rythme de mes assauts, Sophie était incroyablement sexy. Très vite, elle sembla basculer dans le même état que tout à lheure, paralysée par le plaisir et lexcitation. Jétais frappé de leffet que javais sur cette fille : en quelques coups de reins, elle était déjà aux portes de lorgasme. Ça mexcitait terriblement. Sophie se mit à trémousser son fessier en même temps que je lui donnai des coups de reins, et cétait incroyablement délicieux. A un moment, je lui donnai un coup de rein particulièrement bon, et la belle rousse poussa un gémissement très aigu, qui me fit voir rouge tant jétais excité. Elle gémit mon prénom, et tourna la tête vers moi :
« Démonte-moi ! »
Bordel ! Cette fille me rendait dingue avec son attitude de chienne soumise qui en voulait toujours plus ! Je lui empoignai ses seins à deux mains, et les malaxai avec force, tout en recommençant à la baiser comme un sauvage. Je sentis Sophie vaciller entre mes bras. Une fois, deux fois, trois fois, elle jouit, se mettant à pousser les mêmes cris que si elle se brûlait. Moi je prenais un pied colossal. Mon sexe était à létroit, mais coulissait bien contre ses parois, me faisant chavirer à chaque aller-retour. Sophie, elle, trémoussa son cul, comme si elle en voulait plus. Elle venait d'avoir trois orgasmes en quelques minutes, mais ça ne lui suffisait toujours pas. Elle me rendait complètement dingue. Je perdis toute retenue, et la poussai soudainement en avant, la plaquant contre le mur, avant de la démonter comme un malade, lui administrant des coups de reins qui la faisaient bondir et rebondir sur place, en poussant des cris suraigus.
« Oooooh !!! bordel bordel bordel !!!! stooop ! aaah c'est trooop bon t'arrête pas, t'arrête pas, PLUS FORT ! »
Je lui donnai ce qu'elle voulait, et accélérait encore et encore, avec une frénésie qui allait crescendo. Ça ne pouvait finir que d'une manière : on finit par avoir un orgasme monstrueux, tous les deux en même temps, qui nous fit nous effondrer dans la douche, épuisés et sonnés.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!