La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1381)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1342) -
Cela chassa mes craintes. Seul comptait l'instant présent, et les jours à venir qui s'annonçaient assurément des plus paradisiaques et jouissifs pour Lui, comme pour moi... Plus tard, je savourai la sensation de l'eau bien qu'à peine tiède cascadant sur mon corps nu, projetée par la pomme de douche tenue et guidée par le spectre de Monsieur le Marquis, eau qui me revigorait indéniablement. Qu'il m'était plaisant, même si je n'avais pas eu droit à mon orgasme, d'être ainsi choyée par Le maître, qui m'ayant retirée la chaîne et mon collier, m'avais menée jusquà la salle de bain. La magie avait là aussi rendu à ce lieu, toute sa beauté dantan, faisant dune salle deau abandonnée et délabrée, une salle de bain des plus luxueuses à la robinetterie en or. Collier retiré pour me laver consciencieusement avec amour, frottant et explorant chaque centimètre de mon corps à l'aide d'une grosse éponge de mer, moussant de savon qui sentait divinement bon. Le fantôme du Noble me savonna le dos, les fesses, passant plusieurs fois l'éponge entre mes chairs charnues jusqu'à ma fente, via le creux de mes reins, ralentissant son mouvement à cet endroit comme entre mon entrejambes, me faisant cambrer et largement écarter mes cuisses afin quil puisse accéder jusquà mon sexe. A chaque passage, il me sentait réagir, en me cambrant délicatement encore plus. Il me retourna pour me contempler de face, passant l'éponge savonneuse sur mes seins dont les bouts aussitôt pointèrent. Lentement, il descendit vers mon ventre et sexe déjà offert et exploré, dans l'attente de Ses doigts, de Sa bouche, de Sa queue.....
Jexhalais un gémissement... éprouvant l'effet délicieusement torturant et plaisant des jets d'eau pulsés entre les lèvres intimes et gonflées de ma chatte en feu et sur mon clitoris dressé à linstar de mes tétons... Pourquoi avant, n'avais-je jamais pensé à me masturber de cette façon ? .
Le robinet ouvert à fond, je tressaillis, sentant l'eau pulser abondamment en moi et me remplir rapidement les boyaux, me distendant les intestins et l'estomac. Je me tenais ainsi debout, mes mains plaquées contre la paroi de la douche, jambes écartées, cul cambré et offert en respirant doucement et tournant la tête pour apercevoir Monsieur le Marquis me sourire face à mon apparence évidente d'inconfort, même si je ne ressentais guère de douleur, mais plutôt une sensation bizarre de ballonnements à être bien remplie. Il ferma au bout de quelques secondes le robinet et retira doucement le tuyau, provoquant aussitôt une forte éruption d'eau, tel un volcan expulsant sa lave, me vidant comme un geyser, les entrailles. N'ayant eu la prévenance d'esprit d'attendre la permission de pouvoir me vider, laissant mes muscles se relâcher pour expulser naturellement ce trop-plein deau. Chose que j'appris à essayer de faire lors des deux autres remplissages plus conséquents et que le Châtelain me gratifia avant qu'il ne juge que mon rectum fût suffisamment propre. Récupérant finalement la pomme de douche, qu'il revissa sur le flexible, pour me rincer une dernière fois. Une fois ma douche et lavement terminés, et bien séchée, il me remit mon collier et me ramena dans la chambre. Un simple regard vers le lit aux draps froissés, fit monter le rouge à mes joues, alors que mon bas ventre se contracta aux délicieux souvenirs des orgasmes intenses que le Noble m'avait offerts à nouveau
Monsieur le Marquis m'invita alors à prendre place sur le banc de cuir, m'y allongeant sur le ventre.
- Lèche -le ...!, entendis-je dans ma tête, m'ordonner le Noble fantôme.
J'obéis et dardai ma langue vers la petite sphère sans gout et froide. La léchant et la suçant avec application. Une fois bien lubrifiée de ma salive, le Châtelain vint l'enfoncer, non pas dans ma chatte comme je le supposais au départ, mais dans mon cul. La sentant passer avec inquiétude, cette première boule pressait contre mon anus qui ne résista guère, suite au lavement reçus, mon anneau anal laissant entrer la sphère métallique, qui aidée par ma salive, glissa assez facilement en moi. Même si je ne pus m'empêcher de pousser des geignements dexcitation telle une chienne en manque et en chaleurs et plus encore quand Monsieur le Marquis poursuivit lintromission du crochet. Poussant de plus belle ce crochet, pour contrainte mon anus à s'ouvrir d'avantage afin d'y accueillir la deuxième boule de presque quatre centimètres de diamètre. Déjà rien qu'avec ces deux-là en moi, je me sentais déjà bien pénétrée, remplie et écartelée... Je sentais lintérieur de mon cul comme devenu un sac de billes, mais avec des billes dun diamètre beaucoup plus volumineux, comme un sac de balles. Si bien que l'enfoncement de la dernière boule, me fit mal, très mal, surtout au moment du passage de mon anus qu'elle força à se distendre au maximum.
Affalée sur le banc, j'essayais de respirer doucement, et de me faire à la présente en moi de ces boules inquisitrices de mon fondement... bien calée entre mes fesses, dont seule la longue tige du crochet dépassant, reposait à présent contre mon coccyx.
Ainsi il trouva du plaisir à me traiter ainsi et à me dresser comme une chienne équipée dun attelage anal, me tenant en laisse et me faisant ramper dans la pièce corrigeant ma démarche par de coups de martinet, qui me chauffaient les fesses. C'est cela aussi le bdsm, ces petits actions de restriction et d'humiliations plaisantes et qui ne sont surtout des petits jeux, mais de véritables besoins à exprimer. D'ailleurs, Ma chatte en était trempée bien plus encore. J'étais incroyablement excitée. La douleur pulsant dans mes fesses, se transformait en une source excitative de plaisirs devenant quasi incontrôlables. Mon corps répondait de manière surprenante à chaque injonction du Châtelain que je percevais tantôt dans ma tête et me semblait-il à présent à haute voix, sentant monter en moi le plaisir ultra-excitant
Plaisir à chaque pulsion des boules du crochet bien planté dans mon cul de femelle et le claquement du martinet sur mes chairs en feu...
(A suivre
)
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