Je Me Donne - La Transition 2

Je suis rentrée direct à la maison, pensant encore à ce moment de douceur que je ne connaissais plus. Anthony c’est aperçu que quelque chose me prenait l’esprit. J’ai botté en touche, esquivant toutes les demandes de mon cher mari.
Le lendemain matin, j’arrive au bureau pensant voir Ludo. Son bureau est vide. De la matinée pas de nouvelle, silence complet. Une petite heure avant la fin de ma journée, je reçois un sms « passe prendre le petit déj demain matin, je rentrerais tard ce soir, réunion oblige ». Je suis déçu de ne pas l’avoir vu de la journée.
Le lendemain matin, je pars tôt, expliquant à Anthony que je dois préparer une grande réunion. J’arrive chez Ludo qui m’ouvre la porte. Je l’embrasse avec force. Nous prenons le café et des croissants.
Après ce petit déjeuné, Ludo s’approche de moi et commence à me déshabiller, je me laisse faire. Je me retrouve le torse nu et ses mains malaxent mes petits seins, pinçant délicatement mes tétons. Sa bouche vient prendre la place de ses mains. Je suis léché, laissant une abondance de bave. Mon intimité mouille, j’ai envie de me donner à lui, de le sentir en moi. Il s’est occupé de moi durant de longues minutes.
-bon nous devons aller au travail.
-quoi ? tu me laisses comme ça, je suis excité et tu m’abandonnes.
-nous n’avons pas le choix, comme ça ce soir ce ne sera que meilleur.
-comment ça ce soir ?
-oui préviens ton mari que tu termineras tard, enfin si tu le veux.
-oui je le veux, surtout après ce que tu m’as fait.
Sur la route du bureau j’envoie un texto à mon cher et tendre mari « mon chéri, ce soir je pense rentrer tard, grosse journée en vue, alors ne m’attends pas pour diner et si tout va bien je te donnerais un peu de plaisir, bisous ».
La journée c’est passé, mon esprit toujours dans l’attente de la soirée, mon entrecuisse humide, ayant mouillé ma petite culotte. Je quitte le bureau dés que possible et arrive chez Ludo.

Il est déjà là. La porte à peine fermée, nos bouches se rejoignent et nos langues se mélanges. Ludo me prend par la main et me demande de m’allonger sur sa table de salle à manger, alors que je suis toujours habillée. Il écarte mes cuisses et vient humer ma petite culotte, sa bouche vient manger mon intimité à travers ma culotte, insistant sur mon clitoris, il me fait languir. Ma petite culotte est finalement retiré et il vient se plonger dans ma touffe. Mon intimité qui a coulé une partie de la matinée est ment odorante. Sa langue me pénètre, suçant mes lèvres intime. Je mouille de nouveau, je sens mon sexe qui coule sous les coups de langue insistant. Que s’est bon après avoir attendue toute la journée. Je m’abandonne à lui, mon plaisir à été tellement contenu qu’il pointe déjà.
-viens, prend moi.
-non non pas maintenant.
Il se replonge dans ma touffe et me dévore littéralement, aspirant mon bouton à ne plus pouvoir me retenir.
-aaahhhh ouiiiiii…………c’est booooonnnnnn
J’ai joui égoistement. Ludo me relève et nous allons dans sa chambre. Je suis complètement déshabillé. Je fais de même pour lui et je prends son membre en bouche, je le suce. Il m’allonge sur le lit et me pénètre sans difficulté tellement je mouille. Je suis prise avec douceur. Malgré ma dilatation, je sens son nœud limer mon intimité, il cherche toujours à aller plus loin, me prenant profondément, tapant ma touffe et stimulant encore mon clitoris. Je suis tout juste remise me mon plaisir, que je suis de nouveau en mode excitation. Ludo me caresse les seins, son regard me fixe intensément. Je me laisse complètement porté, tellement je suis en confiance, tellement je suis bien. Sa main vient se poster derrière ma nuque, la caressant au passage, sensation agréable pour moi. De cette manière, il me prend, nos regards fixés l’un dans l’autre. Ludo se crispe et je sens son liquide se déverser en moi, me faisant partir dans un deuxième plaisir inattendu, en silence de ma part, moi qui d’habitude crie quand je jouie, là je n’en ai pas eu le temps, mon plaisir s’est libéré, la tête loin de tout, mon sexe balbutiant du plaisir.

Ludo s’allonge à mes côtés, fumant sa cigarette électronique, moi dans un semi sommeil. Je sens une de ses mains caresser mon corps, empêchant de sombrer dans un sommeil. Nous échangeons quelques mots, rigolant parfois et je m’endors malgré tout. Je suis réveillé, je sens la langue de Ludo qui lèche mes fesses.
-tu fais quoi ?
-chuuutt, laisse, laisse-toi faire
Ses mains écartent mes fesses et sa langue pointe sur mon anus, bavant abondamment, me pénétrant même un peu. Sa langue laisse place à un doigt, qui lui me prend sans restriction de toute sa longueur, faisant des cercles dans cette intimité. Je comprends ce qu’il veut, je vais lui donner.
-vas-y, prend moi.
Ludo force mes fesses. Son gros nœud me pénètre et son membre me prend de toute sa longueur. Il se met à bouger en moi pour notre plus grand plaisir. Il me sodomise avec douceur, c’est bon, mais je veux plus, je suis tellement sensible de ce côté-là que j’ai rapidement envie de jouir.
-bouge plus vite, vas-y prend moi bien… encore, plus vite….. ooohh oui, encore……..baise moi oui, oui… oh putain cette queue…elle est trop boooooonnnee, encore putain oui, encoooorreeee, ah ah ah oui, ça vient …….oui, oui, je jouiiiiii, aaahhh ouiiiiiiiiiiiii
Ludo me prend comme je lui demande, je me rends compte que je joue la salope, mais j’aime être prise ainsi, c’est indéniable, j’aime quand un membre prend avec force mon fondement, je jouis comme une folle, mais que va-t-til penser de moi ?
Il finit par jouir en moi, se déversant dans mon trou bien dilaté. Je m’affale, tête sur le lit, sonnée par autant de plaisir.
Je suis réveillé par l’odeur du café. Mais il est quelle heure ?, je regarde ma montre, ouf ! il n’est que 19h30.
-alors Maeva, tu as bien dormi ?
-oh oui, j’en avais besoin, tu dois penser des choses sur moi.
-Pourquoi tu dis ça ?
-a la fin j’ai été un peu folle
-mais non, mais non, si tu aimes jouir comme ça, moi ça ne me dérange pas tu sais.

-ça me gêne un peu.
-oh ne t’inquiète pas, je te découvre. Tu veux prendre une douche avant de rentrer ?
-oh non, mon cher mari va s’occuper de ma toilette, comme ça il saura et comprendra.
-c’est toi qui vois.
Je le quitte et prends ma voiture pour retrouver mon homme. Durant le trajet, je sens le jus de Ludo couler entre mes cuisses et mes fesses.
-ah ma chérie te voilà, tu veux que je te prépare un encas ?
-non, je suis exténuée, viens plutôt ici.
Je le prends dans mes bras, lui prend la main que je pose sur ma culotte bien mouillée.
-mais, c’est mouillé.
-il faut que tu me nettoies, je suis très mouillée.
-tu as…..
-oui, maintenant à toi mon chéri.
Je retire ma culotte et m’allonge sur le canapé. Anthony s’approche de mon intimité et commence à lécher. Lécher ma mouille, mais aussi le sperme de mon amant, qui a été très généreux en jus. Il se fait un plaisir de tout lécher, me pénétrant de sa langue pour manger le maximum de sperme. Sa langue caresse mes lèvres intimes, mon clitoris, déclenchant en moi, encore une envie de jouir. Anthony, à lui, sa queue bien enfermée dans sa cage et je ne compte pas le libérer, certainement pas. Je veux juste jouir avec sa langue en pensant à ce moment avec Ludo.
La langue de mon mari récure les moindres recoins de mon intimité pour me nettoyer du jus de mon amant. Avec sa langue, il sait me donner du plaisir, au moins je peux dire que ça compense en partie son incapacité à me donner de la jouissance avec sa queue. Ma toison est propre, Anthony me suce mon clitoris pour m’amener vers mon plaisir.
-alors maintenant dit moi avec qui tu as fait l’amour ?
-non, chéri, non, ce ne serai pas bien, ou…..
-ou quoi ?
-non rien.
-je vais prendre une douche j’en ai besoin.
Anthony reste là, la queue enfermée dans sa cage.
A mon retour de la douche, j’ai pitié pour mon mari. Je décide de lui donner son plaisir. Je retire sa cage de chasteté, libérant sa queue enfermée déjà depuis plusieurs semaines.
Je commence à le caresser, insistant sur les zones les plus sensibles.
-aller mon chéri, tu as le droit de prendre ton plaisir, alors masturbe toi
Sa main empoigne sa queue et les vas et vient commence. Mes doigts prennent en mains ses tétons, les caressants, les pinçant. Mon cher mari ayant été enfermé depuis un certain temps, la jouissance ne tarde pas à arriver. Je tire et pince ses seins, en quelques minutes, Anthony gicle sur le sol.
-voilà, il te reste plus qu’a nettoyer et tu me rejoints dans le lit, je suis exténuée. Tu dormiras la queue libre cette nuit, mais pas touche à ta chère et tendre femme.
Anthony, ne dit rien, lorsqu’il me rejoint dans le lit, il vient se positionner dans mon dos, je sens sa queue qui durcit, il ne touchera pas. Le lendemain matin il sera de nouveau encagé.





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