La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1382)

Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1381) -

Plaisir à chaque pulsion des boules du crochet bien planté dans mon cul de femelle et le claquement du martinet sur mes chairs en feu...

Sandra écoutait avec incrédulité mon récit, moi son amie carole, la pauvre fille naïve et influençable qui avait dû se cogner la tête, pensa t'elle très certainement, et que la perception des choses avais du en être faussée. Et qu’un salopard en avait profité ! Notre éducation judéo-chrétienne d’une société vanille dite bien-pensante nous amène à voir le monde d'une certaine façon et quand un événement ou quelqu'un en déroge, cela trouble ladite société et génère de l’incompréhension. C’est pour cela que notre cher monde de la Domination/soumission sera toujours un monde incompris et que cette société affichant un certain puritanisme hypocrite nous qualifie de ‘déviants’ s’éloignant de la norme qu’elle a instauré…. Sandra voulut me hurler de me taire, de reprendre mes esprits, tout en cherchant une nouvelle fois, en vain, à me libérer de mes entraves.

- Putain, vas-tu de taire ! ... Mais tait-toi donc, tu n’es qu’une salope dépravée !

Sandra mégissait ses mots de manière incompréhensible à travers son bâillon, en plein désarroi, des plus évidents de par sa restriction toute nue, e dans ce cachot obscur, mais plus encore de par la consciente ou non que lui imposait mon récit. Récit l'excitant honteusement par mes histoires de révélations sexuelles audacieuses et pervers des plus détaillées. Malgré elle, Sandra se sentait enfiévrée et toute tremblante, sa chatte douloureuse de désirs, copieusement lubrifiée, réclamant à grand cri qu'on vienne la toucher ou la pénétrer… Là est à l’évidence exprimée cette forme d’hypocrisie citée tantôt car Sandra jouait la personne outrée, m’intimant même de me taire, mais visiblement excitée par ma narration, et voulait en connaitre la suite que voici ! :

… et le claquement du martinet sur mes chairs en feu.

.. Puis j'ai senti enfin et d’un coup puissant, profond, pénétrant, Sa grosse bite épaisse glisser facilement dans ma chatte en feu. J'ai essayé de résister à l'enfer du plaisir, mais celui-ci me submergea avec une telle violence, que j'en jouis presque instantanément sans pouvoir me contrôler. J'avais perdu tout contrôle justement, alors que Le Maître augmentait la vitesse et la profondeur de Sa pénétration qui devenait plus une saillie animale, bestiale, me besognant enfin comme un mâle besogne une chienne de rue sans ménagement. Sa force masculine, ravageant mon corps, me conduisant à nouveau en des sommets extrêmes de plaisir plus fort, plus puissant, ce qui a eu pour divines conséquence que j'ai été secouée par un deuxième orgasme tout aussi massif, explosif, atomique, dévastateur et si libérateur...

Retirant douloureusement le crochet de mon anus. Monsieur le Marquis y engouffra aussitôt dans l'accès libre Son gros chibre divin dans mon cul dilaté, très élargi. Mon corps en trembla de plus belle sous Son Emprise et Ses coups de boutoirs forcenés me propulsant, par cela même, vers un troisième orgasme tout aussi hors norme de sensations et plaisirs multiples m’électrisant chaque cellule de mon organisme. Luttant pour ne pas faiblir, pour ne pas m'affaler d'épuisement au sol et continuer à offrir, au Noble fantôme, pleinement mon corps de chienne en chaleurs pour Son propre plaisir. Alors, je me perdis dans un monde d'extase, qui augmentait le tempo et la force de ses poussées, un monde de luxure et de débauche salvatrice et bienfaisante, laissant ainsi cette troisième jouissance à exploser dans tout mon être en fusion. Tous mon corps était hors de contrôle, envahi par des spasmes jouissifs démultipliés. Mon bas ventre était devenu une bombe sexuelle expulsant un déluge de jus d'amour, dégoulinant entre mes jambes, ma cyprine abondante jusqu’au parterre. Tandis que tout mon basin ondulait au rythme des vaillants assauts et coups de boutoir de la virile queue de chair qui me saillit vigoureusement, allant et venant avec une force inouïe dans mon conduit anal.
Jamais de ma vie, je n’avais été enculée de la sorte, autant possédée physiquement, bestialement et incroyablement défoncée jusqu’à la garde à la hussarde… Jamais je n'aurais cru cela possible, et je n'en pouvais plus de jouir sans fin, mes orgasmes s’enchainant à vitesse grand V et dans une violence jouissive devenue incontrôlable, à me faire hurler sans démesure mon plaisir par des cris ininterrompus qui durent s’entendre dans tout le Château… Je me suis même entendu, entre mes hurlements de plaisirs orgasmiques, gémir de satisfaction quand enfin il retira Sa grosse Verge, toujours aussi raide, dressée, saillante de veines et au gland violacé, hors de mon cul de salope plus que comblée….

Mon esprit flottant dans une subjugation de plaisirs et de sublimes servitudes, je n’étais plus qu’trou rempli et besogné, plus que chair à plaisirs, plus qu’une marionnette manipulée où le spectre Noble tenait les fils... Rêvant d'être exposée et utilisée, ainsi nue et sans défense, à des hommes comme à des femmes Dominants, amis et complices de toujours de Monsieur le Marquis d'Evans lors de son vivant comme l’ont été tous Ses aïeux tel celui qui fut le grand ami du fameux Marquis de Sade... Rêvant d’être livrée à ces gens après cette débauche de luxures immodérée pour servir et être leur jouet sexuel. Et même si totalement épuisée, à qui il me vaudrait obéir et satisfaire tous leurs souhaits avec ferveur. Heureuse de devoir soulager tous les hommes fous d'excitation, de virilité et de leurs exigences des plus lubriques et obscènes. Prise comme la dernière des salopes par tous ses mâles en rut, utilisant mon corps et mes trois orifices pour se vider les couilles à me souiller sans modération et pour leurs uniques plaisirs. Epreuve finale pour être officiellement reconnue par tous comme la nouvelle esclave sexuelle de Monsieur le Marquis d'Evans et très fière de le devenir…

J'ai émergé doucement des profondeurs de ma rêverie d’extrême soumission sexuelle et j’ai regardé Monsieur le Marquis qui se tenait assis sur Sa chaise-trône tel un seigneur des temps anciens.
Il se tenait là et me regardait allongé toute tremblante en sueur moi par terre à Ses pieds, Son énorme sexe encore fièrement dressé entre Ses jambes. Cette Verge, Sa si belle verge était si parfaite, bien droite au si gros volume qu’aucunes femmes n’auraient reculées pour l’engloutir dans un de leurs orifices… J'avais le désir de ramper jusqu'à lui, afin de le remercier et qu'à mon tour, à nouveau Lui procurer un maximum de plaisir avec ma bouche… J'ai senti mes larmes couler sur mes joues, me m'étant à pleurer, impuissante que j'étais à me mouvoir si ce n'est dans une lenteur affreuse, en ressentant au moindre de mes mouvements une douleur sourde pulsant d'entre mes fesses en feu. Mais plus encore de ne pouvoir satisfaire mon Amour, Le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans, qui me fit signe de ne pas venir. Je pleurais pour toutes ces aventures d’un temps gagé que j'aurais pu vivre avec Lui. Si seulement j'avais découvert Son existence et Son Amour plus tôt. Nous sommes restés là un long moment à nous regarder, jusqu'à que mes forces me reviennent. Pour être tirée à nouveau en laisse, et suivre docilement, avec obéissance le Châtelain. Même si chaque pas me causait bien des douleurs, de par ma chatte trop sollicitée et mon cul baisé et défoncé plus que raison mais si merveilleusement possédé que mes deux orifices, vaginal et anal, le furent part la virile queue puissante du Noble… Il m'a conduit dehors où la fraîcheur de la brise sur mon corps, me ressaisit et me sortit de mon alanguissement de fatigue...

Et là, à ma grande surprise et joie immense, j'aperçus se tenant magnifiquement debout sur sa béquille, mon scooter. Il n'y avait plus comme par magie spectrale la moindre trace de dégâts causés par ma chute. Mieux que réparé, il semblait comme neuf, comme s'il venait d'avoir été acheté en magasin. Folle de bonheur, je bondis sur mes deux jambes vers le deux-roues, arrachant ma laisse des mains de Monsieur le Marquis. Me retournant aussitôt après avoir constaté son état impeccable, pour sauter dans les bras du Maître, ce dernier souriant exhibant des dents blanches laissant deviner sa véritable apparence d’un fantôme heureux .
.. Un court instant, je me suis revue petite fille dans les bras de mon père qui tel le Noble avait réparé non pas le scooter qui alors appartenait à ma sœur, mais mon vélo. ... Quand brusquement, je réalisai mon comportement incongrue et irrespectueux de soumise envers Le Maître. Du moins le pensais-je à ce moment-là. M'écartant lentement de Monsieur le Marquis, je me prosternai devant lui, pour les yeux baissés, les mains croisées dans le dos, m'excuser humblement de mon enjouement. Comme il ne disait rien, je repris ma posture de chienne et avançais ma tête vers Ses chaussures, pressant mes lèvres contre le cuir en le remerciant sincèrement avec ardeur d'avoir ramené et réparé mon scooter auquel je tenais tant et cela grâce à sa magie d’outre-tombe. Je suis restée prosternée ainsi à Ses pieds un long instant, avant de me redresser à genoux afin de Lui présenter dans mes mains ouvertes en plateau, la poignée de ma laisse...

Les yeux fermés, toute tremblante, je me préparais à affronter Son mécontentement face à ma réaction impulsive de joie. J'avais naturellement très peur qu'il me punisse ou qu’il me fasse mal mais je savais que c’était mérité. Mais paradoxalement, j'avais aussi envie de sentir le Châtelain aimer me faire mal, s’il le voulait et qu’il prenne du plaisir à me punir si tel, il l’exigerait. Comment pouvais-je craindre et en même tant désiré souffrir pour lui ? Cela n'avait aucun sens !? Je n'avais pas encore compris et réalisé alors que c'était du fait de mon désir à être Sa soumise et à celui de tout endurer pour Son plaisir qui prévalait plus que tout. C'est peut-être cela, du faite de mes incertitudes qu'il a ressenti en moi, qu'il a agi ainsi ? Alors, je suis restée là comme figée dans l'attende angoissante de mon jugement. Même, lorsque je le sentis s'agenouiller près de moi, me faisant baiser mes mains, n'osant toujours pas ouvrir les yeux, il me sembla, l'espace d'un instant, qu'à son tour, il me prenait dans Ses bras. Quand soudain, j'ai senti mon collier s'ouvrir et glisser en bas de mon cou. Aussitôt, je portai mes mains à celui-ci, pour y constater la disparition de mon collier. Ouvrant alors en grand les yeux, relevant la tête, interloquée, je vis Monsieur le Marquis se redresser en tenant, dans Sa main, mon collier.

- A présent, rhabille-toi !, me semble-t-il l'entendre me dire, en constatant que mes vêtements se trouvaient à présent plier à côté de moi.

A ce moment-là, mon cœur se resserra et j'éclatais en l'arme, en proie à un sentiment d'abandon.

- Je vous en supplie, Maître, je ne veux pas partir... je souhaite tellement demeurer ici à jamais, à votre service ... !

Monsieur le Marquis me sourit et me rassura en me disant :

- Tu peux choisir de reprendre ta vie où tu l’as laissée ! Sinon, je te laisse une journée pour régler tes affaires et me revenir !

Malgré la fraicheur du vent, je n'avais aucune envie de me rhabiller, pas plus de quitter le Châtelain et Son Château pour retourner en ville vers ma vie d'avant si fade, même pour juste une journée. Seulement, c'était là une Exigence de Monsieur le Marquis. C'est ainsi que malgré la joie que j'éprouvais d'entendre à nouveau le moteur de mon scooter ronronner comme dans ses premières années, ayant l'impression de survoler la route avec, qu'aussi pénible qu'il me fut que je laissai derrière moi les hauts murs et tours du Château…

(A suivre…)

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