Mon Premier Séminaire D'Entreprise (Suite Et Fin)
Le vendredi matin, le mal de crâne consécutif à la soirée bar et boîte de nuit de la veille, associé à quelques abus, rendait l'atmosphère de la conférence sur l'agriculture biodynamique quelque peu brumeuse. Peu de personnes étaient vraiment aptes à suivre la présentation avec implication. Mon copain était quant à lui toute la journée en télétravail dans l'hôtel Ibis situé à peine à cinquante mètres de l'abbaye, si bien quil pouvait apercevoir une partie du parc depuis son balcon. Il avait réservé une chambre jusqu'au samedi car il devait aider notre voisine pour son déménagement le dimanche à Angers.
Au repas du midi, cette fois ci Marc s'était assis entre deux salariés de l'agence Occitanie. Cherchant régulièrement son regard, lorsque je le trouvais le sien se détournait rapidement, comme s'il ne savait pas comment se comporter avec moi après ce qu'il s'était passée dans la boite de nuit. Toute l'après-midi c'était le même manège, il évitait de croiser mon regard et paraissait gêné quand je lui souriais. Jen concluais quil navait pas lintention de réitéré les aventures de la nuit passée, et je décidais de ne plus y penser. Lorsque les organisateurs nous ont libéré un peu plus tôt que prévu, vers dix-sept heure, voyant que lon nétait pas très concentré, ils nous donnèrent quartier libre jusquau lendemain.
Marc se dirigeait vers l'espace spa, composé d'une piscine à jet, d'un jacuzzi, d'un sauna, d'un hammam et même dun salon de massage. Apparemment il avait opté pour la piscine. Nayant pas mon maillot sur moi, et de toute manière ne voulant pas le suivre, jai opté pour loption massage. Etant seule dans la salle dattente, je fus très rapidement reçue par une femme denviron trente-cinq ans, dorigine certainement thaïlandaise. Après avoir accroché le panneau « massage en cours » à la porte et lavoir refermée derrière moi, elle ma fait choisir un type de massage, le massage shiatsu, et ma donné une petite serviette en me demandant de me mettre nue.
« Ooohhh oui putain ! Ooooh putain que cest bon
Vas-y remplis moi ! Je ten supplie doigte moi le plus possible
Je vais venir
»
Alors Marc arriva à faire passer son pouce.
« Il faut que tu rendes la bague à Marc, il y tient
Je taime. G. ».
Mon cur sursauta, ce fut un électrochoc. Jai relu le message trois fois sans y croire. Des frissons parcouraient tout mon corps. Gabriel avait réussi à rentrer dans labbaye et sétait fait passer pour Marc. Le salaud ! Il mavait bien eu. Je savais quil était capable de tout pour moi mais là cétait franchement incroyable. Jétais abasourdie par tant de culot. Ne prenant même pas le temps de prendre une douche et de me rhabillée, je lai appelé en visio :
« Putain Gabi dis-moi que cest un coup monté ! Tas pas fait ça !?
- Ahahah ça ne ta pas plu ? Moi jai adoré. Je tai rarement vu si excitée !
- Mais tes un grand malade ! Putain je taime trop ! Mais alors je te jure que je me vengerai ! Et comment tu as eu sa bague ?
- Te venger ? Jattends de voir ça ! Ahah cest simple jai son numéro depuis hier soir, et je savais que tu avais remarqué sa bague. Je lui ai demandé de me prévenir si tu allais au salon de massage, je savais que tu irais le tester. Et avant de rentrer discrètement dans lenceinte de labbaye puis dans le Spa, je lui ai demandé de la cacher dans un coin des vestiaires.
- Tes incroyable ! Nan mais regarde dans quel état tu mas mise
je suis dégoulinante dhuile, et encore plus de mouille
Ma chatte est complétement ouverte
Tu mas fait jouir comme jamais !
- Je suis lhomme le plus heureux du monde !
- Et moi la plus heureuse de tavoir
- Hum je taime Isa.
- Je taime Gabi. Bon aller faut que je trouve Marc pour lui rendre sa bague du coup. Et je te préviens, toi tu tes barré comme un voleur, mais si lui est encore dans le Spa je fais le chauffer comme une pute ! Ça lui apprendra à comploter avec toi !
- Ahahah hâte que tu me racontes ça alors !
Faisant un dernier tour sur moi-même pour bien montrer à Gabriel dans quel état il mavait laissé, jai quitté la conversation vidéo. Je suis allée prendre une longue douche, puis après mêtre rhabillée jai quitté le salon. En passant devant lespace piscine, jai jeté un il aux différentes activités, et jai aperçu Marc dans le jacuzzi. Alors, passant rapidement prendre mon plus beau maillot dans ma chambre, un haut bandeau rouge ouvert entre les seins et le bas assortis, j'ai décidé de l'y rejoindre. J'ai envoyé une photo de ma tenue à Gabriel avec ce commentaire :
« Jai trouvé Marc ! Je vais le rejoindre dans le jacuzzi
»
Sa réponse ne se fit pas attendre : « Waouh t'es sublime ! Putain mais il va te sauter dessus »
« Hum non tinquiète il y a du monde, mais je ne vais pas me gêner pour le chauffer ! »
« Le pauvre ! Mais attends, parce que sil ny avait eu personne tu naurais pas dit non à ce quil te saute dessus ?? »
« Ça dépend ce quil aurait eu comme intention
»
« Ah ! Et tu laurais laissé faire quoi ? »
« En vrai je pense quun cunni, une branlette ou une pipe je pourrai me laisser tenter, par contre je ne pourrai pas coucher sans toi. Ten pense quoi toi, il maurait fallu ton autorisation bien entendu dans tous les cas. Je kiffe voir que les mecs me désirent en fait
»
« Ok ! Alors moi aussi j'adore que tu fasses cet effet aux gars. Jaime le fait qu'au fond ils ne t'auront que pour du sexe pour une durée limitée, alors que moi j'aurai le privilège que tu sois toujours à moi. Et du coup ça ne me dérangerait pas que tu branle ou suce un gars sans moi si tu me le dis avant, ou encore mieux, que tu me montre ! Par contre je veux être là et te voir si jamais tu couches avec quelquun »
« Hum cest bien noté, on pense et on aime la même chose cest cool ! Et dailleurs je pense exactement pareil pour toi si jamais tu es tentée par une nana
Pipe et cunni pas de problème, mais pour baiser je veux être là ! »
« Tu mexcite ! le deal est validé ! Je taime »
Surexcitée par cette conversation, je suis allée aux vestiaires pour y déposer mes affaires, et je me suis dirigée vers le jacuzzi. Marc était entouré de deux femmes assez jolies, et de deux hommes dont un était grassouillet et l'autre bien bâti. Alors je me suis prise pour une mannequin célèbre dans une pub de parfum : j'ai descendu la dizaine de petite marche qui permettaient de rentrer dans le bain bouillonnant en me tenant les cheveux en arrière, la tête et le menton en avant, faisant ressortir au maximum ma poitrine, le toute agrémenté d'un déhanché très qui faisait balancer mon fessier de gauche à droite telle une pendule que l'on vient de remonter. Cette arrivée eu pour effet d'arrêter sur place les aiguilles de toutes les horloges, comme si jétais la seule personne à marcher dans un musée de statue de marbre. Les yeux des deux hommes sécarquillèrent en même temps que leurs bouches se figèrent, ouvertes sur le dernier mot qui venait d'en sortir. A ma vue, les deux femmes quant à elles avaient gonflé leur poitrine en une demie seconde, retenant leur souffle au maximum pour maintenir leurs seins dressés vers ceux de l'inconnue qui osaient les défier. Mais c'étaient bien les traits de celui qui était visé par mon arrivée qui étaient les plus marquants : Marc avait un air ébahi, presque ahuri, la langue à moitié tirée à travers ses lèvres entre-ouvertes, et un rictus dadmiration à la pommette droite. Deux secondes passèrent comme cela, le temps en suspension, puis tout le monde repris un air naturel. Alors je me suis assise à côté de Marc, qui m'a pour la première fois de la journée adressé la parole avec un « Bonsoir Isa » des plus laconique. Je voyais dans ses yeux qui me dévoraient que ce soi-disant détachement essayait en réalité de masquer ses réelles envies perverses.
Après dix minutes passées à me détendre à ses côtés dans le jacuzzi sans bouger ni parler, laissant monter entre nous une certaine tension, inopinément et sans laisser transparaître un seul mouvement visible hors de l'eau, j'ai glissé ma main sur la cuisse de Marc puis sous son short de bain, et j'ai saisi son sexe à pleine main. Son érection impressionnante trahissait son furieux désir sexuel. Avant même qu'il ait pu réagir, j'entrepris des mouvements de vas et viens doux le long de sa tige, ce qui le laissa incapable de la moindre réaction. Le contact si inattendu de ma main sur sa bite devait lui retourner la tête. Il se laissa faire, emporté par les sensations intenses que je lui procurais. Quand je sentais la tension monter dans sa tige, j'arrêtais la branlette un moment, mais en le regardant droit dans les yeux je reprenais alors de plus belle. J'ai enserré sa queue dans ma main, j'ai placé mes doigts contre son frein, et à chaque remonté je les passais sur son gland en l'enrobant. A chaque fois que je sentais son membre se tendre un peu plus, jarrêtais tous mes mouvements pour le faire languir. Alors soudain, lâchant son sexe avant quil ait atteint le point de non-retour, jai pris sa main dans la mienne, et en le regardant droit dans les yeux, le fusillant du regard, jai déposé sa bague au creux de sa paume, avant de me lever et de sortir du jacuzzi en roulant ostensiblement du cul. Je senti son regard incrédule bouffer mes meules rebondies et me suivre jusquà ce que je disparaisse, plongeant dans la piscine dà côté. Sa frustration était intense, si bien quà peine trois minutes plus tard il sorti à son tour du jacuzzi et rentra dans la piscine, en marche arrière par léchelle. En effet son short de bain était déformé par une masse impressionnante, et je fus alors très satisfaite de ma petite vengeance. Voyant quil me cherchait du regard parmi la trentaine de personne qui se baignaient, jai nagé vers lui et arrivant à sa hauteur je lui ai lancé avec malice :
« Alors cest bon, tu regrettes davoir aidé mon copain dans son complot ?
- Oh que oui, tu mas fait connaitre la pire sensation de ma vie
En ce moment ma tête te hait affreusement en même temps que mon corps te désir furieusement
cest terrible !
- Hummm
Mon pauvre
Bon aller ma vengeance a assez durée, plaque-toi contre le bord de la piscine, je vais moccuper de toi ».
Je me suis alors placée face à lui, et tout en gardant juste assez de distance pour ne pas que les nageurs croient que nous étions un couple, jai glissé à nouveau ma main dans son maillot. Jai saisi son énorme sexe, et jai entrepris de le masturber très lentement pour donner le temps à Marc de redécouvrir et de profiter de son plaisir. Une jouissance trop rapide naurait en effet pas estompé toute la frustration que je venais de lui faire subir. Lorsque ses réactions commencèrent à trahir la délectation des sensations quil ressentait, jai alterné des mouvements de poignet rapides et lents pour le faire tendre vers lextase. Alors quand d'un il implorant il me fit comprendre qu'il allait jouir, je lai branlé sans plus aucune retenue, me pinçant les lèvres entre mes dents pour lui montrer que jadorai ce que je lui faisais. Puis quand j'ai senti les premières légères contractions de son sexe et la remontée de ses couilles annonçant latteinte du point de non-retour, jai accéléré une dernière fois le rythme de mon poignet, épousant sa bite avec ma main. Alors son membre subit une contraction terrible et jeu du mal à le garder dans ma paume pour accompagner son orgasme. Son jus jailli de son énorme gland, passant entre mes doigts, et fut tout de suite emporté par les remous du jet qui sortait du mur dans leau à un mètre de nous. Une fois son abondante éjaculation terminée et sa jouissance dissipée, nous regardâmes un peu inquiet le chemin que parcourait son fluide dans leau, alors quil se rapprochait dangereusement de trois femmes qui discutaient accoudées sur le rebord de la piscine, leau léchant leurs nombrils. Par miracle aucun incident arriva avant que sa semence ne soit complétement dissoute dans leau. Je me suis alors tournée vers Marc et je lui ai murmuré :
« Jespère quelles prennent la pilule, on ne sait jamais... » en lui faisant un clin dil, et nous éclatâmes de rire.
Après être sortie du Spa, je suis montée dans ma chambre pour me doucher à nouveau et me changer. Marc fit de même un peu plus tard, mais fut déçu quand il vit que je ne nétais plus dans la chambre. Lors du repas du soir, il ma cherché dans le parc mais ne ma trouvé nulle part. Assez fatigué il décida de se coucher plus tôt que dhabitude, et fut de nouveau désappointé de voir que je nétais pas dans la chambre. Alors quil avait très envie de jouer avec moi, je métais évaporée, le laissant seul. Il attendait impatiemment que je pointe mon nez depuis une petite heure, allongé sur son lit et buvant bière sur bière, lorsque narrivant plus à penser à autre chose, il décida de sortir se changer les idées. Torse nu et en short il marcha cinq minutes dans le parc, puis, regardant en direction de lhôtel où couchait Gabriel, il vit au dernier étage une fenêtre où deux ombres sembrassaient passionnément et se pelotaient avec ferveur, ce qui le ramena alors soudainement à limplacable vérité : il nétait quun plan cul dans cette histoire. Dailleurs bien quil ait pu goûter à tous les plaisirs du sexe avec moi, jamais je ne lavais embrassé. Cétait peut-être là toute la différence. En allant se coucher pour de bon cette fois, finalement il se dit quil était tout de même chanceux de pouvoir partager ce genre dexpériences avec moi et Gabriel.
Dans la chambre de lhôtel, les deux ombres que Marc avait vues venaient maintenant de se jeter sur le lit. Gabriel, après sêtre déshabillé en hâte, mavait attrapé par la taille et poussé vers le matelas, puis sétait mis à califourchon au-dessus de moi pour me bouffer les lèvres, le cou et les seins, en me bloquant les bras au-dessus de ma tête. Il prit ensuite mon col entre ses mains et arracha au sens propre ma chemisette. Les boutons volèrent un à un et séparpillèrent partout sur le sol dans un concert de cliquetis. Il jeta ma chemise en morceaux par terre et sattaqua férocement à mon mini-short en lin. Les boutons, bien plus solides, lui résistèrent cette fois ci, mais il y mit une telle ardeur quils cédèrent finalement tous, et mon short craqua littéralement sous la fureur des gestes de Gabriel. Jétais donc à présent en sous-vêtement, complétement soumise à la folie de mon copain, et je savais que les pauvres deux bouts de tissus qui mhabillaient encore nallaient pas faire long feu. Effectivement, à peine mon short rejoignait-il le cadavre de ma chemisette qui gisait sur le sol, Gabriel bondit sur mon soutien-gorge et arracha sa partie centrale avec les dents, libérant mes deux gros seins de leur entrave. Puis il se dirigea vers mon string qui subit à son tour exactement le même sort. Ce nest quune fois quil me vit enfin entièrement nue devant lui, mon corps entier dévoilé et à sa merci, que sa respiration saccadée commença à sapaiser doucement. Etant assis à mes pieds, il me contemplait alors dun regard passionné et émerveillé. Lintensité des émotions lisibles dans ses yeux me faisait fondre. Puis, comme soulagé, il vint tendrement sallonger sur moi, posant sa tête entre mes seins, une main contre ma joue et lautre sur ma hanche. Une dizaine de minutes sécoulèrent ainsi, nos deux corps nus lun contre lautre profitant de ce moment de tendresse et de douceur, de complicité ultime. Puis lentement, je sentis son sexe grossir, jusquà devenir une véritable bûche qui pesait sur mon ventre. Gabriel membrassa longuement, et tout en faisant rouler sa langue contre la mienne, il dirigeât sans aucune aide son sexe devant le mien. Alors, membrassant de plus belle, prenant mon visage entre ses deux mains, il fit pénétrer son membre au fond de moi. Ses vas et viens étaient légers, délicats, il prenait tout son temps pour faire monter mon plaisir. Il me faisait lamour avec tellement de sensibilité, tellement de douceur, que des larmes perlaient le long de mes joues, ne pouvant retenir mes émotions. Les minutes que durait cette étreinte me paraissaient être des heures de bonheur. Puis Gabriel fit glisser son sexe hors du mien, se déplaça sur le côté, et me tourna pour me positionner dos à lui, prenant la position de la petite cuillère. Alors il me prit dans ses bras et me serra fort contre lui en me pénétrant à nouveau. Nous ne faisions plus quun, je le sentais plus proche de moi que jamais, notre ébat nétait plus sexuel mais fusionnel. Et lorsque mon orgasme explosa, je ne pus le différencier de celui que ressenti Gabriel au même moment, nos cris et toutes nos émotions personnelles entremêlées les unes aux autres dans un bouquet unique damour partagé. Nous nous endormîmes comme cela, nos fluides mélangés entre nos corps mêlés.
La journée du samedi était la dernière journée de formation, consacrée aux nouveaux débouchés des filières agricoles. Cest pour celle-ci que lentreprise de Marc - habituelle partenaire de la mienne - avait été conviée afin de traiter de la filière chanvre. Vers onze heures, Marc monta sur lestrade pour débuter sa présentation. Au tout début, quand il ouvrit son ordinateur, je le vis rougir comme une pivoine, puis boire les cinquante centilitres de sa bouteille d'eau d'une traite. J'en ai conclu que ma petite surprise avait fait son effet. En rentrant de lhôtel de Gabriel ce matin, jétais en effet passée me changer dans notre chambre, et voyant que Marc était sous la douche, jen avais profité pour remplacer son fond d'écran habituel par une photo de moi à quatre pattes sur la plage, topless, le bas de maillot très échancré qui ne cachait rien de mon cul et qui laissait même entrevoir mon pubis rasé. Je ne sais pas ce que javais cette semaine, mais jadorais faire la garce. Deux heures plus tard Marc finissait sa présentation, et je trouvais quil sétait plutôt bien débrouillé vu dans quel état lavait mis ma photo.
Nous nous dirigions tous vers les tables de restauration, et cétait cela quattendait Gabriel pour lancer les hostilités. Il mavait en effet demandé ce matin au réveil dinsérer un uf-vibrant connecté dans mon vagin, le Lovense Lush 3, et mavait donné le pari de le garder toute la journée. Je portais une longue robe fleurie car les jeans avaient tendance à me serrer lentre-jambe, rendant lexpérience moins agréable. Gabi pouvait voir une partie du domaine de l'abbaye du balcon de sa chambre au dernier étage de lhôtel, qui surplombait le parc. Il distinguait ainsi les nombreuses tables disposées en rectangle, sans pour autant pouvoir définir à quelle place je me trouvais. Dès quil vit que lon prenait place à table, il commença à samuser à piloter luf quand bon lui semblait, contrôlant lintensité, la puissance ainsi que la fréquence des vibrations. Au début du repas jarrivais assez bien à me contrôler, et je ne ressentais que peu ses effets. Mais plus le temps passait, plus les sollicitations répétées de luf devenaient indomptables, et je sentais alors que mon corps réagissait sans mon accord. A la fin du plat de résistance, Marc, assis à deux rangées de moi, commençait à me dévisager dun air dubitatif, voyant que je me tortillais de plus en plus bizarrement sur ma chaise. Jai reçu un sms de sa part :
« Des fourmis te grimpent dessus ?? »
« Ahahah non, si seulement
»
« Bah alors tu fais quoi à gesticuler comme ça ? »
« Demandes à Gabi
»
« Humm quest-ce quil ta encore fait comme coup ahah ? »
« Disons que ma chatte nest pas disponible en ce moment si tu vois ce que je veux dire
»
« Il est sous la table !? Le fou ! »
« Ah nan ! Ça il la déjà fait mardi ahahah. Ce matin il ma mis un uf vibrant. Et là il le contrôle avec son téléphone depuis sa chambre dhôtel »
« Oh putain ! Jadore lidée ! Vous êtes vraiment mes idoles ! ».
Comme mes sensations devenaient de plus en plus intenses et que javais de plus en plus de mal à masquer mon plaisir, tirant sur ma jupe à la froisser et me griffant les cuisses pour mempêcher de crier, je voulus retirer luf de son antre. Finalement, mes doigts à peine posés dessus, je me suis retenue, un pari étant un pari. Jai alors écrit un message à Gabi :
« Arrête un moment je ten supplie
On est encore à table, je ne me contrôle plus, tout le monde va comprendre
Déjà là si je ne suis pas cramée cest un miracle
Marc la déjà remarqué, alors dautres ne vont pas tarder cest sûr
»
« Hum bon ok, je veux bien faire une trêve jusquà la fin du dessert. Mais pas question de larrêter complétement, je mets juste les vibrations au minimum. A toi de te contenir jusquà la fin du repas »
« Marché conclu ! ».
Je profitais de ce moment de répit pour faire semblant de renverser mon verre deau par mégarde, et jen profitais pour glisser six serviettes en papier entre ma robe et mon string, afin déviter que ma mouille ne fasse une tâche qui serait visible au moment de sortir de table. Jai bien fait car quand je les retirais pour les glisser discrètement sur les autres serviettes usagées, elles étaient trempées. Gabriel devait veiller au grain derrière sa fenêtre car une fois toutes les assiettes vides, au moment où tout le monde se leva, je sentis luf vibrer comme jamais en moi. Je fus scotchée sur place, ne pouvant plus bouger tellement mes jambes étaient tétanisées sous la puissance des pulsations qui traversaient mon bas-ventre. Mes yeux croisèrent ceux de Marc et il dut y lire toute ma détresse puisque, me prenant par le bras, il mentraina à lécart de la cour du château, vers le verger, en même temps que les vibrations satténuaient enfin. Une fois à labri des regards, cachés par de larges pommiers, je lui dis avec le souffle court :
« Oh putain merci Marc ! Franchement jétais clouée sur place, je ne savais plus quoi faire. Je ne pouvais plus réfléchir tellement le plaisir avait pris le dessus sur le reste.
- Pas de problème, je ne pouvais quand même pas te laisser jouir au milieu de tous tes collègues.
- Ouf, oui ! Mais maintenant quon est là, plus la peine que je résiste. Désolé hein, mais je vais me laisser complètement aller, jen peux plus, je veux jouir !
- Ahah alors là ne sois pas désolé, jadore ça ! Dis-moi ce que je peux faire pour taider.
- Rien, à part maider à retirer mon string qui me rentre dans le cul, je serai plus libre ».
Alors Marc maida à lenlever, le faisant passer sous lune puis sous lautre de mes bottines. A présent nue sous ma robe, jai envoyé une photo de mon string trempé dans ma main à Gabi :
« Je suis dans le verger, vas y finis moi
Je suis à ta merci
».
Quand mon copain reçu mon message accompagné de la photo, il voulu en voir plus. Il sorti précipitamment de sa chambre et sonna à toutes les portes de son étage jusquà trouver des clients qui possédaient une paire de jumelles. Alors il retourna à sa fenêtre et ajusta les jumelles dans la direction du verger. Effectivement il me discernait correctement à présent à côté de Marc, mais les branches des arbres masquaient mes jambes. Il ne pouvait voir que mon buste et mon visage à travers les feuillages. Gabriel jouait avec moi, adaptant les vibrations de luf en fonction des mimiques de mon visage. Je sentais les vibrations se propager de plus en plus loin dans mon ventre, imposant à tous mes muscles de se contracter. Alors Gabi vit ma tête dodeliner et mes jambes fléchir, me faisant tomber à genoux sur le sol, tout juste rattrapée par Marc qui maintint mon visage dans ses mains et entre ses cuisses :
« Ahhhhh ouiiii putain ! Oh Marc ! Soulève ma jupe ! Vite ! Viiiiite ! » Arrivai-je à dire avant quune vague nexplosa en moi, libérant un torrent qui submergea mes jambes recroquevillées, inondant le sol. Gabriel vit à travers ses jumelles Marc relever ma jupe au-dessus de mes hanches juste avant quun impressionnant flot de mouille gicle de mon entre-jambe en trois longs jets. Mon corps entier convulsa, complétement dépassé par les assauts orgasmiques issus de ma chatte en furie. Tous les muscles de mon vagin se contractèrent alors une dernière fois, tellement férocement que luf fut expulsé hors de mon trou et rebondit par terre dans la flaque qui sétait formée sous moi, et je ne pus mempêcher de laisser échapper un long cri de jouissance qui sévapora lentement entre les pommiers.
Une fois tous mes sens revenus à leur état normal, Marc maida à me relever et à réajuster ma jupe quil avait encore en partie en main. Je pris en photo luf-vibrant au milieu de la flaque laissée sur le sol et lenvoya à Gabi :
« Pari perdu, tas gagné, luf est sorti tout seul
Mais plus besoin que le jardinier narrose ici grâce à toi... ».
Les conférences reprenant, nous avons tout juste eu le temps de sortir du verger et de nous faufiler vers les chaises devant lestrade. En milieu daprès-midi, Gabriel mannonça quil partait et me souhaita une bonne fin de séminaire. Il devait en effet rentrer à notre appartement car il avait promis à notre voisine de palier, une charmante jeune femme de vingt-six ans qui venait de larguer son compagnon, de laider pour son déménagement du lendemain. A la fin des présentations de la journée, une grande soirée avec un orchestre était organisée dans le parc pour fêter la fin du séminaire. Je partageais un dernier moment convivial entre collègues avant de reprendre le travail dès le lundi suivant. A une heure tardive je suis montée me coucher, bientôt rejointe par Marc. Fatiguée et ne voulait faire quoi que ce soit, javais tiré le rideau pour linviter à ne rien entreprendre. Quand morphée commença à me prendre dans ses bras, jentendis à travers la brume qui envahissait ma tête Marc se masturber dans le lit dà côté. Il devait certainement repenser au coup de la photo en fond décran de son ordinateur et à mon orgasme dans le verger.
Le dimanche, jour du départ de tous les salariés et invités, après une grasse matinée collective - même les plus matinaux némergeant que vers onze heures du matin - nous étions tous conviés à participer au nettoyage et au rangement de labbaye, ce qui prit une bonne partie de la journée. Puis vers seize heures, le directeur nous fit son traditionnel discours de fin de séminaire, faisant le bilan de la semaine et souhaitant à lensemble du personnel la meilleure réussite possible. Au moment de quitter les lieux à dix-sept heures, essayant de démarrer ma voiture, le moteur vrombit un instant puis plus rien. Impossible de le redémarrer. Un collègue proposa ses pinces crocodiles pour aider ma batterie avec celle de sa voiture, mais nous constatâmes que le problème ne venait pas de là. Jai alors contacté mon assurance qui ma dit quelle allait prendre en charge ma voiture et le trajet en train pour rentrer. La chargée de clientèle ma recontactée quelques instants plus tard pour mannoncer que litinéraire en train était impossible aujourdhui, le dernier reliant Concarneau à Angers étant partis il y a une heure. Elle allait me commander un taxi, mais je devrai participer à la moitié du coût de la course, soit plus de cent cinquante euros. Et le taxi ne serait là que dans une heure et demie. Au bord des larmes, détestant les contraintes imprévues, jentendis quelquun mappelé derrière moi. Marc, au volant de sa voiture, sétait arrêté à ma hauteur :
« Quest-ce quil tarrive ? Un problème ?
- Oui un gros, je suis en panne et lassurance ma dit quil ny avait plus de train, que le taxi pouvait venir quà dix-huit heures trente et que ça me couterait cent cinquante euros. Cest la merde !
- Tu habites où ? Moi je vais à Bourges, je peux peut-être tavancer un peu ?
- A Angers.
- Ah mais nan ?! Mais cest pile poil ! Jy suis passé à laller pour venir ici ! Cest exactement sur ma route ! On fait cinquante-cinquante pour lessence et je te dépose chez toi sans problème !
- Cest pas vrai !? Merci beaucoup ! Putain la chance, heureusement que tétais pas encore partis ahah. Jappelle mon assurance pour décommander le taxi et je monte ».
Marc conduisait depuis une heure et demie lorsque lon sarrêta à une aire dautoroute pour faire une pause et changer de conducteur. Jai profité daller aux toilettes pour appeler Gabriel :
« On arrivera vers vingt-et-une heure. Tu penses que tu auras finis daider Jade pour son déménagement ?
- Qui ça on ? Oui je pense quon aura terminé, enfin si elle arrête de me faire du rentre dedans toutes les cinq minutes.
- Ah oui je ne tai pas dit ! Ma voiture est en panne je nai pas pu démarrer à labbaye, et coup de bol Angers est sur la route de Marc, il habite Bourges. Du coup cest lui qui me ramène. Et Jade te chauffe ? Sérieux ?
- Merde alors ! La loose ! Mais cest très sympa de la part de Marc, tas du cul ! Invite-le à boire un verre ce soir pour le remercier, ça peut être sympa. Et oui, enfin elle très tactile quoi.
- Oui tas raison ! Je lui demanderai. Et mon pauvre
Comme si ça te dérangeait ? Moi tu vois la main de Marc était posée sur ma cuisse pendant tout le trajet jusquà la pause là, et jen fais pas tout un plat. Il ny a que quand il passait les vitesses quil lenlevait, lui répondis-je narquoise.
- Ah ouai il fait ça !? Bon alors je ne vais peut-être plus autant repousser les assauts de Jade alors
- Pffff même pas cap
Tu me kiffes trop !
- Héhéhé
»
Gabriel raccrocha alors sans plus de commentaires, laissant son ricanement mystérieux en suspens, ce qui fit naitre un doute en moi et une certaine pointe de jalousie.
Trente minutes plus tard, alors que jétais au volant et quil restait un peu plus dune heure de route, mon portable vibra dans la poche droite de ma jupe en jean, sous la main de Marc qui avait repris ces habitudes de la première partie du trajet. Je lui ai demandé de le sortir et de me dire de qui le message était. Comme jétais assise ma jupe était pliée, rendant louverture de la poche difficilement accessible. Alors Marc dû passer sa main sous ma jupe, entre mes jambes, pour pousser le téléphone par le bas vers le haut. Le contact de sa main si proche de mon intimité me fit frémir. Une fois mon portable en main, il me commenta la notification du message :
« Cest un MMS de ton copain, je fais quoi ?
- Ouvre le, le schéma de déverrouillage cest un G.
- Ahah très original ! Tiens voilà, la photo souvre. »
Cétait un selfie pris par Gabi où on le voyait de face montrant une pancarte noire de taille A4 - trouvée dans un vieux carton - qui pendait au cou de Jade. Cette dernière prenait une posture coquine et était uniquement en sous-vêtements. Elle était vraiment pas mal foutue la garce : blonde avec un visage dange, de petits seins mais assez mignons, une taille très fine qui faisait ressortir son superbe fessier, et des jambes sportives et élancées. Il était inscrit en rose sur le panneau : « A prendre ou à lécher ». Gabriel avait mis en commentaire de la photo : « Sacré dilemme
».
Des milliers de picotements parcoururent mon corps quand Marc me montra le tout. Il me regarda interrogateur, ne sachant pas quelle attitude tenir. Je lui dis alors de répondre ceci, essayant de prendre Gabriel au dépourvu :
« Et alors tu choisis quoi ? de la prendre ou de la lécher ? »
Sauf que sa répartie fut fulgurante :
« Une occasion pareille ça ne se lèche pas passer
Du coup je vais la prendre ! »
« Ahahah espèce denfoiré ! Tas pas intérêt ! ».
Les cinq minutes qui passèrent avant de recevoir sa réponse me parurent une éternité. Je ne tenais plus en place derrière le volant, tiraillée entre le stress et lexcitation de la situation. Marc le voyait bien et caressait ma cuisse sans retenue, comme pour me calmer, ce qui narrangeait en fait rien du tout.
Sa réponse se fit sous la forme dune nouvelle photo, et lorsque Marc me la montra, elle me fit leffet dune bombe. Mon sang ne fit quun tour, mon cur faillit lâcher, et dans le même temps je sentis ma mouille inonder la dentelle de mon string, à quelques centimètres seulement des doigts de Marc toujours contre ma cuisse. Cette fois ci cétait Jade qui avait pris la photo, cadrée de profil sur ses cuisses grandes ouvertes, ses mollets reposant sur les épaules de Gabriel, son string autour de ses chevilles. Il avait son visage entre ses jambes et on pouvait clairement voir sa langue tirée et posée au niveau du clito de Jade, dont une main agrippait les cheveux de Gabi. Le message qui accompagnait la photo était le suivant : « Ne tinquiète pas ! finalement jai préféré lécher loccasion de côté ! ».
Je suis restée un moment sous le choc de leur audace, ne sachant quoi répondre. Essayant de me concentrer sur la conduite, je me demandais sils avaient uniquement décidé de prendre la photo pour me tester et me chauffer, ou sils étaient allés jusquau bout de lacte. Ces pensées me troublaient, jétais à la fois jalouse de Jade, et à la fois terriblement excitée de savoir que Gabriel était peut-être en train de la faire jouir sous sa langue. Nen pouvant plus de ne pas savoir, jai demandé à Marc de leur répondre cela, essayant de savoir ce quils comptaient faire, ou avaient fait :
« Je te préviens Jade, si Gabi te fait jouir, tu me devras un orgasme ! »
« Humm tes sûre de toi
? »
« Bah oui ahah ! »
Encore une fois je ne mattendais pas à cette issue : je reçus pour toute réponse une photo en gros plan de Jade à califourchon sur le visage de Gabriel. On voyait nettement que la bouche de mon copain débordait de mouille, des filets coulant sur ses joues, et que quelques-uns de ses cheveux parsemaient la main de Jade. Elle avait donc joui, les arrachant sous la puissance de son orgasme. Je nen revenais pas quils étaient allés au bout de leur idée. Jétais terriblement excitée. Quelques minutes plus tard je reçu un nouveau message :
« Bon, je crois bien que je te dois un orgasme
».
Ne sachant pas si elle rigolait ou pas, je ne répondis pas, mais ce sms avait fini par briser les dernières barrières qui séparaient encore ma raison de mes fantasmes. Pendant que jimaginais ce que pouvait donner un cunnilingus réalisé par Jade, je sentais que Marc avait également été très excité par cette situation, sa main ne tripotant plus seulement mes cuisses. Je conduisais donc il restait assez sage pour éviter un accident, mais je sentais clairement ses doigts glisser de temps à autre sur la dentelle humide de mon string, essayant quelques fois de passer en dessous. Alors jai commencé à imaginer la petite vengeance que jallais réserver à Gabriel.
Ainsi, quinze minutes avant darriver à mon appartement, jai simulé une envie très pressante et jen ai profitée, accroupie entre deux portières alors que Marc était resté assis à la place passagère, pour envoyer un sms à Gabi :
« Va sur le parking de la gare, celui tout au bout de la rue, avec les grands arbres. Cache-toi où tu peux à proximité de la place où on se gare à chaque fois. Dépêche-toi, tu auras une surprise ».
Dix minutes plus tard, arrivant proximité de la gare, sans prévenir Marc jai bifurqué vers le parking.
« Quest-ce que tu fais ? Tu minvite plus boire un verre ?
- Si, mais pas tout de suite.
- Je ne comprends pas.
- Tais toi ! »
Lautorité dans ma voix me surprit moi-même encore plus que Marc. Je me suis garée sur la place soixante-neuf, devenue notre emplacement fétiche, puis jetant un il sur mon téléphone que javais cette fois gardée précieusement hors de portée de Marc, je lus le message de Gabi : « Je suis planqué à dix mètres de notre place comme tu mas dit, derrière trois gros arbres ».
Jai regardé les alentours à travers le pare-brise. Je savais que mon copain était tout proche, mais il était invisible depuis sa cachette, la pénombre qui prenait possession des lieux laidant encore plus. Jai allumé léclairage dambiance intérieur de la voiture pour que Gabriel puisse voir distinctement ce qui allait se passer dans lhabitacle. Puis jai détaché ma ceinture et je me suis penchée vers Marc pour lui faire la bise, comme pour lui dire au revoir, en mappuyant contre sa cuisse. Alors, laissant ma joue collée contre la sienne, jai glissé lentement ma main vers son entre-jambe. Jai commencé à déposer de légers bisous un peu partout sur sa joue, me rapprochant de son oreille, pour la mordiller tendrement. Tout en déboutonnant le jean de Marc dune main experte, libérant son sexe déjà érigé tel un énorme menhir, je lui ai murmuré à loreille un simple « merci beaucoup ». Puis sans lui laisser le temps de répondre, jai plongé vers sa bite dressée, à laquelle jai adressé avec appétit :
« Humm coucou toi ! Toujours aussi belle et épaisse à ce que je vois
Je vais te bouffer ! ».
Et je lenglouti dune seule traite, la suça passionnément, méthodiquement. Gabriel, voyant la scène qui se déroulait juste devant lui, était tellement excité quil avait sorti son sexe à travers la braguette de son jean pour se masturber. Il pouvait me voir penchée vers lentre-jambes de Marc, ma tête faisant des mouvements de haut en bas, mes cheveux dépassant à peine du tableau de bord à chaque remontée. Il imaginait la pipe que je pratiquais à Marc plus quil ne la voyait. Il me vit me redresser, observer Marc avec gourmandise, essuyant du revers de la main toute la bave qui coulait de mes lèvres. Il remarqua que cétait maintenant mon bras qui safférait, semployant à branler la bite que javais prise en main. Gabriel me vit alors me rapprocher tout près du visage de Marc, comme si jallais lembrasser, mais je ne fis que coller mon front contre son front, fermant les yeux, lui montrant que ce moment était entièrement consacré à lui. Puis il vit Marc se raidir, les bras tendus et les mains crispées sur les accoudoirs à coté de lui. A ce moment-là je me suis détachée du visage de Marc et jai repris ma pipe, gobant son gland puis le sexe entier. Il était très large, et je dus memployer, retenant quelques haut-le-cur, pour faire glisser sa tige dans ma gorge. Ainsi figée en moi, je fis coulisser ma gorge autour delle, allant jusquà pouvoir lécher ses couilles avec ma langue quand je fus tout en bas. Alors jentrepris de petits mais rapides vas et viens, laissant le plus longtemps possible son sexe au fond de ma bouche. Au moment où la tête de Marc se balança en arrière et ses yeux se fermèrent, Gabriel me vit reprendre ma respiration puis vit mon chignon disparaitre une dernière fois derrière le tableau de bord. Il comprit que Marc jouissait dans ma bouche. Trente longues secondes plus tard, il me vit me relever, les joues gonflées, regarder Marc et ouvrir la bouche lentement pour lui montrer sa semence qui la remplissait. Le jus de Marc dégoulina alors entre mes lèvres, sur mon menton, puis tomba dans mon décolleté, sur et entre mes seins. A ce moment-là Gabriel éjacula à son tour, éclaboussant le tronc de larbre le plus proche de lui. Jai ensuite refermé la bouche, ouvert la portière côté conducteur et jai recraché le reste du sperme sur lasphalte du parking. Jai regardé dans la direction où devait se trouver Gabriel, fit un clin dil au vide devant moi en prenant un air coquin, puis je me suis tournée vers Marc et lui ai dit :
« Voilà mon petit cadeau, maintenant tu peux venir prendre un verre à la maison si tu veux.
- Après ce que tu viens de moffrir je ne peux rien te refuser ».
Lorsque je redémarrais, Gabi était déjà parti, courant à travers le bois qui bordait le parking pour rejoindre avant nous la maison qui se trouvait à cinq cent mètres de la gare.
Jai sonné sur le palier de notre appartement, et Gabi a ouvert la porte. Je précédais Marc, et Gabi, sesquivant pour nous laisser entrer, vit les larges tâches blanchâtres sur mes seins et mon haut que javais fait exprès de ne pas nettoyer. Il nous dit alors :
« Ah oui, on sest bien amusé dans la voiture à ce que je vois.
- Il ne fallait pas nous chauffer avec Jade si tu ne voulais pas que jarrive dans cet état, répondis sur un ton provocateur.
- Oh mais je nai jamais dit que je ne le voulais pas, me répondit-il avec un clin dil complice. Marc, je te présente Jade, notre voisine.
- Ah tu manges avec nous ? ais-je demandé.
- Oui, Gabriel ma invité.
- Cool ! On va bien se marrer ! Me suis-je exclamée ».
A table devant des plateaux de sushis que Gabi avait commandés, nous nous remémorions nos aventures de la semaine entre Marc, Gabi et moi. Nous étions complétement sans filtre devant Jade, qui avait lair de beaucoup apprécier car elle nous posait plein de questions. Les verres de saké senchainaient, si bien que nous fûmes rapidement tous pompettes. Les esprits se réchauffaient et les corps se rapprochaient, nous devenions tous très tactiles et les vêtements commençaient à tomber un à un au fur et à mesure que les défis lancés étaient acceptés. Comprenant tous que la soirée se dirigeait vers une partie de jambes en lair à quatre, nous avons à la fin du repas, dun commun accord, décidé daller faire collectivement un brin de toilette dans douche à litalienne de notre salle de bain. Même si elle était plutôt grande, à quatre nous étions assez serrés, et nous nous retrouvions nus collés les uns aux autres. A chaque mouvement que je faisais ma peau caressait celle de mes voisins, tantôt Gabi, tantôt Marc, et même Jade. Ces contacts nous électrisaient. Chacun savonnait le corps dun autre, le couvrant de mousse, ce qui permettait dexplorer le moindre recoin des intimités de chacun. Gabriel tripotait avidement le petit abricot de Jade, le savonnant bien plus de fois que nécessaire, la faisant gémir. De mon côté alors que je lavais rapidement le dos de Marc, je pris beaucoup plus de temps à lui masser les fesses, puis à lui savonner la raie, jusquà lui titiller lanus. Il neu à mon grand étonnement pas de mouvement de recul, et je vis même son sexe se rigidifier encore davantage sous ce contact. Comme Gabriel, il devait apprécier les massages prostatiques. Je mis cela dans un coin de ma tête et je sorti de la douche après que lon se soit tous rincé.
Je les ai invités à sasseoir totalement nu sur le canapé, et nous avons repris nos discutions animées par des shots de saké. Au détour dune conversation Jade nous apprit quelle navait encore jamais regardé de vidéo porno. Loccasion étant trop belle, jai pris un ordinateur et jai ouvert Pornhub. Jade a choisi une vidéo romantique, où un couple faisait tendrement lamour dans une chambre à la lumière tamisée. Apparemment cela lexcitait beaucoup car je pus apercevoir sa petite chatte suinter de mouille sur le canapé. Voyant que tout le monde était très réceptif, Gabriel eu lidée de lancer un nouveau défi : choisir une vidéo au hasard sur tout le site et reproduire exactement ce que les acteurs feraient. Cela nous plu et nous nous lançâmes après que les gars aient enfilé chacun une capote. Cest Marc qui commença, et il tomba sur une vidéo de pipe en gros plan. Il choisit Jade comme suceuse. Alors cette dernière vint sasseoir à genoux devant Marc, et sans le quitter des yeux commença à lécher son sexe sur toute sa longueur. Elle descendait sur ses couilles, les prenait en bouche, et poussait des soupirs de contentement. Jade savait sucer et ça se voyait, même moi jétais admirative. Elle pompait cette bite avec un superbe entrain, laspirant, la léchant goulument. Puis sentant la sève de Marc monter, elle sarrêta et se releva, voulant préserver sa jouissance pour dautres activités.
A mon tour jai fait dérouler les vidéos de la page principale, et je suis tombée sur une scène de cunnilingus entre un vieux prof et une jeune étudiante. Gabriel sétait levé pour me le procurer, mais Jade larrêta :
« Attends, je dois un orgasme à ta copine depuis cette après-midi, non ?
- Ah oui exact ! Isa tes partante ?
- Euh, javoue que ça sera ma première expérience avec une femme, mais ça mexcite un peu ! Répondis-je mi-sceptique mi-enthousiaste à cette idée. »
Alors, assise sur le bord du canapé, jai ouvert grand les cuisses devant le visage de Jade qui se rapprochait. Elle me sourit, et passant sa langue sur ses lèvres comme elle laurait fait avant dentamer un plat gastronomique, elle déposa des baiser sur lintérieur de mes cuisses, jusquà embrasser ma vulve. Avec deux de ses doigts elle souleva le capuchon de mon clitoris, puis prenant mon petit bijou entre ses doigts, elle le massa délicatement. Elle lentoura ensuite de ses lèvres, et le suçota lentement. Puis dun seul coup elle me lécha entièrement toute la chatte, donnant de grands coups de langue, avant de revenir téter mon clitoris. Elle y mit un tel cur que je craquai très rapidement, peut être en un record de temps. Mon orgasme fut titanesque, mes jambes emprisonnant le visage de Jade entre-elles. Je suis sûre que même Gabi navait jamais réussi à me faire jouir si vite avec sa langue.
Cétait justement au tour de Gabi de jouer. Quand il tomba sur une vidéo mettant en scène un plan à trois avec une fille complétement soumise, nous nous sommes tous regardés perplexes, jaugeant les envies de chacun. Jade nous dit alors :
« Personnellement ça ne me tente pas de prendre le rôle de lactrice de cette vidéo, je serai spectatrice, ou accessoiriste.
- Moi je crois que ça pourrait vraiment me plaire, si les gars vous y aller doucement au début, dis-je avec conviction.
- Ten fais pas, on sera à ton écoute, me promit Gabi.
- On prendra bien soin de tes ptits trous, fit quant à lui Marc avec un clin dil. »
Copiant alors laction des premières minutes de la vidéo, je me suis dirigée vers le lit double de la chambre en roulant ostensiblement du cul. Je me suis assise sur le rebord du lit, et jai attendu que mon copain et mon amant me présentent leur pine. Alors leurs deux tiges brandies devant mes yeux, je les ai sucés alternativement. Ils prirent ensuite en même temps chacun une grosse mèche de mes cheveux dans une de leurs mains, et ils mobligèrent à accélérer le mouvement petit à petit, baisant littéralement ma bouche. Puis comme sur le film, Gabriel se plaça dans mon dos et me tira en arrière pour mallonger sur lui, ma tête contre ses pectoraux. Alors tirant mes cheveux, il colla sa bouche à mon oreille, et mintima décarter grand les cuisses pour offrir ma chatte déjà bien ouverte au gros sexe de Marc qui se présentait. Au moment où son gland écarta mes lèvres et pénétra mes chairs, une onde de chaleur parcouru tout mon corps. Ça mexcitait terriblement, je ne pensais pas quêtre aussi soumise pouvait être si enivrant et exaltant. A partir de ce moment là nous ne nous sommes plus occupés de suivre la vidéo, les gars faisant maintenant de moi ce que bon leur semblait. Marc me pilonnait, et je mouillais tellement que ses vas et viens furieux étaient rythmés par le bruit des clapotis de mon jus quand la base de sa bite frappait mon sexe. Jade sétait allongée à côté de nous, dans la position du 69, présentant sa moule à la bouche de Gabriel, et regardant mon coït avec Marc de très près. Jétais toujours allongée sur le corps de mon copain, et mes jambes tremblaient sous le plaisir qui montait, empêchant Marc de me prendre vraiment fort. Alors jai crié à Gabi :
« Maintiens moi ! Bloque mes jambes avec les tiennes pour ne plus quelles bougent ! »
Me prenant au mot, Gabi enroula ses jambes autour de mes cuisses et les écarta au maximum, les maintenant fermement. Ainsi, cest lui qui moffrait à Marc, linvitant à me baiser sauvagement. Je sentais sa trique très dure entre mes fesses. Alors jentrepris de petits mouvements de bassin pour la faire glisser dans ma raie, essayant de linciter à me prendre le cul. Gabriel comprit le message, et saisissant tant bien que mal vu notre position sa queue dans sa main, il plaça son gland à lentrée de mon trou, et poussa lentement jusquà ce que mon cul lavale entièrement. Cétait la deuxième double pénétration de ma vie, la deuxième en même pas une semaine. Alors sous les coups de reins conjoins de mes deux amants, je sentais progressivement naitre au creux de mon ventre un ouragan de bonheur :
« Oooooh putain les gars ! Jaime sentir vos couilles frapper mon cul !!
- Tais toi ! Marc met lui des fessées, elle doit crier et gindre, pas parler ! Hurla Gabriel.
- Oh oui, je vais men donner à cur joie pour faire rougir le magnifique petit cul de ta meuf ! Répondit Marc.
- Ahhhhh ohhhh
. Cest trop bon ce que vous me faites !!
- Mais tu vas la fermer Isa ! Tiens tu pourras plus louvrir si je te sers le cou comme ça hein !? cria Gabi dans mon oreille en posant une main sur mon cou pour le tenir et le serrer ».
Tendis que jétais prise comme une chienne par ces deux monstres déchainés comme jamais, Gabi était retourné soccuper également de Jade. Javais de la chance, cétait un homme vraiment multitâche. Il mordillait les petites lèvres de Jade, lui dévorait son abricot, lui aspirait son clito. Elle jouissait, sa respiration devenant saccadée et ses gémissements devenant des rugissements de plaisir.
De mon côté, la tempête dans mon ventre faisait rage, mais quelque chose lempêchait de tout dévaster. Alors me débattant comme une furie pour échapper à lemprise de Gabi, je réussis à me redresser et à faire sortir les deux pieux de mes trous :
« Putain elles me soulent vos capotes !! Je veux vous sentir plus que ça ! Je les enlève ! Vous essayerez de ne pas tout lâcher dans ma chatte et mon cul puis voilà ».
Alors Gabriel mattrapa et me maintint à nouveau en arrière, présentant mon anus à son membre et mon sexe à la bite de Marc. Au moment où ils me pénétraient de manière synchronisée, des frissons intenses parcoururent tous mes muscles :
« Ahhh mais oui putain cest beaucoup mieux ! Cest trop bon de sentir vos bites nues dans mes
. Arrgggg ! ».
Pour me faire taire Gabriel venait denfoncer trois doigts dans ma bouche, au fond de ma gorge. Ils me culbutèrent avec hargne, mes seins se balançaient sur ma poitrine comme de vulgaires cloches que lon sonne pour paques. Puis enfin, le cyclone qui tournoyait dans mon ventre emporta tout sur son passage, ma chatte et mon cul se dilatèrent, mes muscles se contractèrent, mon visage se défigura, et un voile noir occulta ma vision et mes pensées pendant quelques secondes. Ce fut le plus grand orgasme que je connus jusquà maintenant. Alors jentendis les râles de plaisirs de Gabriel et Marc se joindre, les contractions de leur sexe faisant monter rapidement leur sève. Gabriel, pris par surprise par sa jouissance, oublia de se retirer de mon cul, et sa bite y déversa alors tout son jus. Marc quant à lui se retira mais un peu trop tard, une partie de sa semence se répandant déjà en moi, le reste fut expulsé en plusieurs jets qui sécrasèrent sur mon ventre et ma chatte ouverte.
Nous restâmes un moment les uns collés aux autres le temps de retrouver un rythme cardiaque normal. Puis nous nous levâmes et allâmes directement sous la douche. On pouvait me suivre à la trace tant les jus de Gabi et de Marc qui remplissaient mon cul et ma chatte dégoulinaient le long de mes jambes. Après nous être rhabillés, nous nous séparâmes. En refermant la porte derrière Marc et Jade, je me rendis compte que je sentais encore la queue des gars dans mes trous. Cette sensation mélectrisa.
Après une courte nuit, le lundi matin Gabriel et moi étions dans notre appartement dAngers en télétravail, reprenant le cours normal de nos activités. La semaine passée avait été incroyable, pleine dexpériences et de découvertes libidinales, érotiques et libertines. Nous nous étions lâchés sans rien calculer. Je préparais le repas du midi avec Gabi, lorsque je reçu un message sur mon téléphone. Marc venait de menvoyer une photo de mon string avec en commentaire :
« Tu as oublié de récupérer quelque chose ! ».
Jai alors retiré mon petit top et jai enfilé le soutien-gorge qui était assorti au string - je ne portai que très rarement de soutif quand jétais seule avec mon copain - puis jai demandé à Gabi de me prendre en photo dans une position assez suggestive. Il me demanda de masseoir sur les genoux sur le parquet et de coincer mes mains entre les cuisses, ce qui faisait que mes seins étaient comprimés entre mes bras. Gabriel resta debout et il prit la photo en plongée, cadrant uniquement sur ma poitrine, laissant juste apercevoir en arrière-plan mon bas-ventre et mon nombril. Je lai ensuite envoyé à Marc en lui répondant :
« Oups
Bon bah garde le, cest cadeau ! Et si tu souhaites un jour avoir en ta possession lensemble complet, il faudra de nouveau le mériter
».
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!