Terma 79 : Anissa La Passionnée Et Son Mari Impuissant (3) :

Mon mari n’arrivait pas à trouver un remplaçant local de Arezki pour ma chatte et ça le chagrinait. Il ne voulait pas choisir quelqu’un qui pourrait nous trahir, mais j’ai trouvé la solution provisoire. J’ai repris contact avec un de mes anciens amant adulte, quant j’étais en fac et qui m’avait baisé plusieurs fois et dont j’ai bien apprécié le zob et la manière de me niquer. Mais ce sera la nuit, pendant l’absence de la femme de ménage et j’ai demandé à mon mari de faire semblant d’être absent de la maison et de ne pas se montrer. Nous avons trois autres chambres et même un petit pavillon dans le jardin. Et comme le temps était au beau, mon mari pourra dormir dans le pavillon de 20h à 06h matin. Et moi je recevrais mon amant de 21h à 05h du matin. Et les deux ne se verra pas du tout. Cette idée reçut l’accord de mo mari et dès le lendemain j’ai réussi à contacter mon amant. La même nuit, nous avons appliqué la méthode et à 20h, j’ai ouvert la porte latérale du jardin pour glisser mon amant dans la maison et directement dans la chambre à coucher.
Immédiatement déshabillés, il était heureux de me retrouver et encore plus content de baiser une femme mariée, nous avons baisé toute la nuit, quatre fois comme Arezki ou presque et il a bien éjaculé dans ma chatte au moins trois fois. Il a même essayé de me sodomiser mais j’avais peur car vierge du cul et j’ai refusé et promis une autre fois. Et le matin, nous avons pris des douches et à 5h je lui ai ouvert la porte latérale pour s’éclipser dehors. Je lui ai expliqué que c’est à moi de le contacter et il m’a donné son numéro de phone. Puis je suis allé au pavillon pour voir mon mari mais il n’était plus là. J’étais inquiète et je suis retourné dans la chambre et surprise, mon mari était au lit, sous les draps. Je me sui glissée nue à son coté et demandait des explications. Il m’a montré un appareil et a ouvert la télé. Qu’elle ne fut ma surprise de voir qu’il avait enregistré tous nos ébats de la nuit par télé-vidéo et nous avons regardé un peu.

Moi-même j’ai été encore excité de me voir être niquée par mon amant et mes attitudes enflammées par la passion et la jouissance. J’ai fait arrêter la vidéo pour dormir. Il m’a expliqué qu’il avait pendant la journée, installé ce système de vidéo qu’il pouvait faire fonctionner, donc filmer ou arrêter à distance depuis le pavillon. J’étais assez choquée qu’il m’espionne mais j’avais tord car il m’expliqua que c’était pour ma sécurité. Il restait presque toute la nuit, éveillé pur nous surveiller et pouvait intervenir en cas de danger pour moi. Encore une fois, sa gentillesse m’a remuée et je l’ai enlacé et embrassé puis j’ai dormi entre ses bras jusqu’à vers 09h à l’arrivée de la femme de ménage qui sonnait à la porte de la maison. C’est lui, malgré la fatigue de la nuit qui lui a ouvert, moi je suis restée couchée car je n’avais pas encore bien récupéré. Nous avons décidé que quant je baiserais toute la nuit avec un amant, nous prendrons une ou plusieurs jours et nuits de repos par la suite avant de reprendre avec un autre amant et une nuit de baise et de surveillance. Et ainsi nous avons vécu pendant toute la première année.
Ensuite, l’année suivante, en été, mon mari a décidé de nous offrir un voyage à l’étranger. La maison sera laissée en gardiennage à la femme de ménage et son fils de 40ans, marié et père de trois grands s. Et nous sommes d’abord parti vers la capitale, en train. Ensuite nous devrons prendre soit l’avion soit le bateau et nous avons décidé pour le bateau, une sorte de croisière avant d’arriver à l’étranger où il avait vécu auparavant.
Et nous avons pris le train. On était dans un compartiment avec un autre couple. La femme, une brune d’environ 35 ans et son mari, un homme de couleur de même êge qu’elle ou un peu plus. On a sympathisé rapidement et même partagé notre repas vers 19 ou 20h. Nous avions un minimum de bagages et décidions d’acheter sur pied nos besoins chaque fois. Puis vers 22h, on s’est préparer pour nous coucher, une banquette par couple.
En vérité la femme, toute habillée, s’est couchée rapidement tout le long de leur banquette et son mari a du s’assoir par terre et somnolait, les jambes allongées et s’appuyant sur la banquette. Il était en aussi tout habillé mais légèrement, c’est pourquoi j’ai pu remarquer la bosse de son sexe au niveau de sa braguette. Nos yeux se sont rencontrés et il a vu que j’avais remarqué qu’il bandait et cela a augmenté l’ampleur de son gonflage et de la bosse. Il a essayé de la cacher avec ses mains. Moi, je suis allé aux toilettes dans le couloir pour me changer. J’ai mis un pantalon léger et sans slip et sans soutient et par-dessus une robe fine et légère avec manches et assez longue jusqu’aux chevilles. Mon mari restait habillé, léger aussi. Je me suis recroquevillée dans un coin de notre banquette et mon mari à prit l’autre moitié. Au bout d’une heure environ, on était tous pratiquement endormis. Mais je n’arrivais pas m’assoupir d’autant plus qu’une envie de pisser me taraudait depuis un moment. J’ai enlevé mon pantalon et nue sous ma robe, j’ai allongé ma jambe vers la braguette de l’homme qui dormait par terre. Son zob était aussi endormi mais dès que j’ai effleuré la braguette de mes doigts de pied, je l’ai vite ressenti. J’ai appuyé légèrement et cela a réveillé l’homme qui s’est rendu compte de mon geste et son zob commença tout de suite à bander et se gonfler. Rapidement il forma une grosse bosse au niveau de la braguette et je l’ai caressé avec mon pied car j’étais excitée. Comme mon autre pied était à genoux et ma robe assez soulevée, l’homme par terre pouvait apercevoir mon entre cuisses et ma chatte et il me semblait que son zob se gonflait à l’extrême, nous étions tous les deux totalement excités et avons besoin de baiser en urgence. Pendant quelques instants, j’ai continué à tripoter sa braguette et son zob avec mon pied, cela m’excitait à l’extrême et vu la grosse bosse, l’homme était super prêt pour une baise urgente. J’ai alors ôté mon pied et je me suis levée pour sortir doucement du compartiment.
L’homme se redressa aussi et me suivi dans le couloir, la bosse de sa braguette formait un grand chapiteau excitant. Il me prit la main et se colla à moi et j’ai ressentis son zob contre mes fesses qui me poussait à l’avant avec frénésie. Je suis entrée la première dans le cabinet de toilettes car j’étais pressée de pisser. Et, retroussant ma robe jusqu’aux seins nus aussi, je me suis assise sur le bidet. L’homme qui me regardait nettement, malgré la semi obscurité, avait déjà sorti son gros zob noir qui était énorme, épais et très long, pointé à horizontal devant mon visage. Je haletais déjà de désir et ma langue léchait mes lèvres d’impatience. J’ai eu envie, une seconde, de le happer dans ma bouche et de le sucer. Il le tenait fermement devant lui et, dès que je me suis relevée, il pénétra brutalement dans dans l’habitacle, se colla totalement à moi, son zob contre mon bas ventre et ses mains sur mes seins. Puis, par une main, il glissa son zob entre mes cuisses qu’il m’aida à écarter à fond, puis plus bas et trouva rapidement ma chatte.
Il plia légèrement des genoux, farfouilla un peu et son zob trouva l’entrée de ma chatte. Aussitôt, d’un coup de reins puissant, et d’un « han » affolé mais étouffé, il plongea son gros zob dans ma chatte avec une violence telle que j’ai failli hurler de désir s’il n’avait pas mis son autre main contre ma bouche. J’étais tellement excitée et ma chatte chaude et mouillée que le zob s’est enfoncé totalement et en vitesses jusqu’aux couilles. J’ai entendu son bas ventre claquer contre mes fesses et brusquement, par surprise, ma chatte a explosée d’un orgasme violent et fortement mouillé. J’ai mordu la main du gars dans ma bouche et une faiblesse m’a fait plié des genoux. Mais la main sous mes cuisses réussit à me tenir. L’homme s’arrêta une seconde, son zob au fond de ma chatte qui coulait, puis il commença ses mouvements de vas et viens directement accélérés. Nous étions pressés et nos sexes désiraient des contacts serrés et rapides et violents.
Ces frottements du gros zob me fouillaient entièrement la chatte et l’excitation de mon premier orgasme semblait ne plus finir. J’ai entouré son cou de mes bras et frotté mes seins sur lui, sa main toujours sur ma bouche. J’essayais de bouger aussi car ça m’excitait en bas dans ma chatte et même les poils de son pubis contre mon ventre et ses couilles qui frottaient me fond de mes cuisses, augmentaient mes jouissances continues, sans arrêt. Et comme le l’avais ressenti, ma chatte a explosée une seconde fois par un autre orgasme aussi violent que le précédent. L’homme haletait contre mon visage et moi je respirais avec difficulté, mon cœur battait à fond et mon souffle affolé. Nous restions accrochés et en mouvement continu pendant encore quelques instants et l’homme me souffla qu’il arrivait et qu’il devait sortir de ma chatte. J’ai dit non et que je voulais son sperme, alors il accéléra encore plus ses vas et viens. Et soudain il se bloqua contre mes fesses et son zob explosa son éjaculation. Trois jets puissants, brulants, abondants me transpercèrent mes fondements et chaque fois il donna un coup de rein violent comme pour enfoncer son zob encore plus dans ma chatte. J’ai hurlé pendant toutes ses éjaculations, puis quant il s’est arrêté, toujours dans ma chatte, mes jouissances continuèrent appuyées de mes longs gémissements, comme des plaintes. Je restais accrochée à son coup et j’avais enroulé mes jambes et cuisses autour de ses reins depuis un moment sans même m’en rendre compte. Enfin, il sortit son zob et recula un peu. Totalement épuisée, je me suis assise sur le bidet, pour me reposer un peu mais aussi pour vider son sperme qui coulait avec la mouille de mes deux orgasmes. Il restait debout et se tournant vers le lavabo, il nettoya son zob qui restait toujours dur et horizontal. Puis il recula en partie dehors, tenant toujours son zob et m’observant me nettoyer. Puis je me suis levée et lui tournant le dos, jambes écartées, je me suis lavée la chatte au lavabo. Tenant ma robe levée jusqu’au cou, je devais lui offrir maintenant le tableau de ma large Terma, des mes blanches et lisses fesses qu’il pouvait admirer malgré la semi obscurité du lieu. Et j’avais pratiquement deviné ce qu’il allait se passer. Il me caressa les hanches, puis les fesses, puis il se pencha sur moi pour me baiser et lécher les fesses et la chatte par-dessous. Puis, il me poussa et pénétra de nouveau dans le cabinet. Puis me collant au lavabo, il se colla à mon derrière et j’ai nettement ressenti la force de son zob qui battait et chatouillait ma Terma. Il me fit écarter les jambes et caressa de nouveau mes fesses et plus bas ma chatte. J’en avais encore envie et je l’attendais avec impatience. Son gros zob noir se frotta à mes fesses et glissa plus bas entre mes cuisses. Je le ressentais de nouveau, gros et lourd de désir et de puissance, alors j’ai écarté au mieux mes cuisses, me courbant au maximum, essayant même de lever un peu une jambes pour mieux ouvrir mon entre cuisses et permettre au zob de mieux me pénétrer. Et, effectivement, il trouva aisément ma chatte et plongea dedans avec la même facilité qu’avant. Alors j’ai reposé ma jambe pour mieux serrer maintenant le zob entre mes cuisses et dans ma chatte. Je le voulais dur et serré pour mieux me frotter, me niquer à ma guise puisque je peux, dans cette position, bouger de la Terma et du bassin et jouer moi aussi avec son zob dans ma chatte. Enfoncé jusqu’aux couilles, et touchant les fonds de mes entrailles, l’homme commença immédiatement ses vas et viens puissants et appuyés de « han » de désir à chaque enfoncement. Maintenant que ma chatte a eu deux orgasmes, j’essayais de mieux contrôler ses jouissances. Malgré cela, je haletais autant que lui et le plaisir m’inondait et faisait vibrer tout mon corps. Tenant fermement mes hanches et parfois caressant et malaxant de désirs mes fesses, il continuait sans arrêt ses mouvements. Il fit parfois quelques mouvements de rotation et droite et gauche à mon derrière pour que son zob, fouille tous les recoins de ma chatte et cela amplifiait ma jouissance. C’était follement agréable et je n’étais plus maitresse de mes sens et je lui murmurais de continuer ainsi. Il a tellement bien fait qu’il a réussi à me donner un troisième orgasme, peut être moins fort que les précédents mais plus long, plus continu et en jouissances pratiquement continues et je ne contrôlais plus rien sauf ma bouche que je mordais pour ne pas hurler de plaisir. Et après un nombre impressionnant de vas et viens, il arriva lui aussi à son top. Il semblait avoir maitrisé l’arrivée de son jus car il avait freiné ses mouvements à plusieurs reprises donc pour il voulait avoir le maximum de plaisir et m’en donner autant. Enfin, il me demanda, comme auparavant, s’il devait éjaculer dehors mais je lui ai donné deux ou trois coups de cul pour lui expliquer qu’il pouvait encore me remplir la chatte de son sperme. Alors, il accéléra de nouveau ses mouvements et soudain il explosa dans ma chatte. Quatre jets puissants à l’intérieur de mes entrailles et cette fois aussi, chaque éjaculation était appuyée d’un coup de reins comme déposer son jus tout au fin fond de mes entrailles. Son jus toujours chaud, presque brulant me donnait, comme auparavant, une jouissance continue formidable. C’est la sensation de remplissage de ma chatte, d’abord par un zob hors norme, puis par son sperme toujours abondant, qui dans mon corps et dans mon esprit amplifiaient mes désirs et mes jouissances. Et, bien calée et bien niquée dans cette position, je me suis rappelée mon passé d’étudiante et de putain, quant je ressentais la même chose avec des hommes de couleur baraqués comme lui.
Enfin, il s’arrêta et sortit son zob et commença à l’essuyer sur mes fesses. Puis, d’autorité, il enfonça un doigt dans mon anus et le fit bouger comme pour en écarter l’entrée. J’ai dit non et essayé de le repousser, mais il était trop fort et il continua à me tripoter l’anus. Ensuite, j’ai ressenti qu’il appuyait son zob toujours très dur sur mon anus. J’ai encore protesté en disant que j’étais vierge du cul, mais il ne m’écoutait pas et me maintenait maintenant fermement aux hanches et à la taille. Et il appuya encore plus fortement son zob à mon anus vierge. Je ne sais comment il a fait mais il a réussi à ouvrir mon anus suffisamment pour faire entrer la tête de son zob qui me pénétra avec une douleur atroce et j’ai failli gueuler mais je me suis mordu la bouche. Et lui, sans tenir de mes gémissements et ma douleur, il continuait à faire bouger son zob et le pousser en avant petit à petit. Je ressentais qu’il était déjà à moitié à l’intérieur de mon cul et me brulait. J’ai soutenu la douleur et essayé de gonfler au maxi mon cul et mon anus comme si j’allais faire mes besoins et ça m’a aidé. Et rapidement le zob m’a pénétré entièrement car j’ai senti les poils de son pubis me chatouiller les fesses. Puis il s’est arrêté un moment et a commencé à me masser doucement puis vigoureusement les fesses, le bas du dos et même plus haut. Et, étrangement, ces massages m’ont soulagé et fait du bien car je ressentais de moins en moins les douleurs de mon cul. Alors, il fit reculer doucement, lentement son zob mais s’arrêta avant de sortir de mon cul. Puis, il l’enfonça de nouveau mais lentement et avec douceur, et me pénétra encore jusqu’aux couilles. Ensuite il recommença cette manœuvre plusieurs fois et au bout d’un moment je ne ressentais même plus les douleurs. Mon anus qui semblait s’être totalement ouvert et élargi, permettait au gros zob de glisser normalement à l’intérieur de mon cul. Constatant que ne gémissais plus de douleur mais que j’avais relâché mes muscles du cul, il comprit qu’il pouvait maintenant me niquer le cul sans problème. Alors, il retira complètement son zob et je l’entendit qui crachait. Puis il enfonça de nouveau son zob. Cette fois, il s’enfonça en vitesse dans mon cul que j’ai ressenti comme mouillé. Il avait lubrifié son zob par sa salive pour l’enfoncer plus facilement. Et pourquoi le salaud il n’avait pas fait cela avant de me pénétrer. Enfin, c’est passé et maintenant son zob faisait sas vas et viens exactement comme dans ma chatte tout à l’heure. Alors je me suis concentré sur ce nouveau plaisir et rapidement j’ai reçu ses jouissances. J’ai même commencé à remuer du derrière pour mieux jouir de ce gros zob qui vient de me dépuceler du cul. Et nous avons encore niqué pendant un bon moment. Bizarrement les mouvements du zob dans mon cul provoquaient aussi des sensation dans ma chatte et ça commençait à m’exciter devant et derrière. Il accéléra tellement que ma chatte explosa par devant et j’ai eu un orgasme sont je ne me serais jamais douter. Enfin, il arriva à son top et cette fois, sans me demander mon avis, il éjacula par trois jets à l’intérieur de mon cul en s’agrippant fortement à mes hanches. Puis il sortit son zob et le nettoya au robinet et sortit des toilettes. Je restais un bon moment comme étourdie de ce qui m’était arrivé. Ensuite je me suis nettoyé le cul et la chatte. J’ai plongé mes doigts dans mon cul pour vérifier et effectivement mon anus est ouvert. J’espère qu’il va se refermer en me calmant. Au fond c’est une bonne chose qu’il m’a dépucelée dans des situations où je ne pouvais pas crier au secours et supporter la douleurs. Ensuite il m’a donné de la jouissance. Maintenant je pourrais utiliser mon cul autant que ma chatte avec mes amants. Je suis retourné au compartiment et à ma place en enjambant l’homme qui m’a enculée. Il était toujours allongé par terre et il m’a fait un clin d’œil complice, je lui ai chuchoté que j’avais encore envie de son zob magnifique, je me suis glissée dans mon coin de banquette pour me reposer un peu. Mon mari ronflait toujours ainsi que l’autre femme sur sa banquette. Comme on était encore au début de la nuit, j’espérais me réveiller avant 4 ou 5h pour aller encore aux toilettes avec cet homme au gros zob car il me fallait pour me satisfaire devant et derrière avant l’aube et le réveil des autres.
Et heureusement qu’il m’avait compris car c’est lui qui m’a réveillée vers 4h, la nuit était encore noire et nous sommes allés rapidement aux toilettes. Et comme prévu et espéré, nous avons assouvie pendant presque une heure. Il m’a baisé la chatte et éjaculé, me donnant deux orgasmes, puis il a sodomisé de nouveau mon jeune cul. La aussi, retenant la leçon précédente, et en remuant le derrière et lui demandant de bien enfoncer son zob, il arrivait à exciter en même temps ma chatte à travers la peau qui la séparait de mon cul. Et grâce à ce double frottement de mes deux orgasmes, il a réussi à me donner mon 3em orgasme puis il a éjaculé en abondance dans ma Terma. Satisfait, il s’est retiré doucement, puis il s’est lavé et rapidement il est parti, me me permettant de me vider dans le bidet puis me nettoyer à mon tour devant et derrière. J’aurais bien voulu le sucer un bon moment, avaler son sperme un bon coup et le nettoyer avec ma langue. Enfin, je suis retourné à ma place et fait semblant de dormir et effectivement je me suis endormi, certainement à cause de la fatigue sexuelle. Et je ne fus réveillé que deux heures plus tard par mon mari car le train était déjà dans les faubourg de la capitale. Mon amant de la nuit et sa femme n’étaient plus dans le compartiment. Je soupçonnais le mari d’avoir réveillé sa femme et d’être sortis du compartiment pour ne pas assister à mon réveil et à celui de mon mari. Il avait peut-être des principes et de l’éducation malgré sa brutalité sexuelle quant il m’a dépucelé le cul. Je me suis changée rapidement puis je suis allé aux toilettes pour me faire une beauté et me rappeler les meilleurs moments de ma nuit précédente et le souvenir du gros zob noir et gonflé, puis j’ai rejoins mon mari, la chatte encore chaudement excitée .

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