L'Anniversaire De Charlotte

"... donc, comme vous pouvez le constater, je n'ai aucune idée de cadeau pour l’anniversaire de ma fille !" a conclu la maman de Charlotte.
Les huit Sages autour de la table hochaient la tête pensivement. C'était en effet un vrai problème.
La maman de Charlotte était convaincue que le Conseil des Sages serait en mesure de l’aider à résoudre ce problème. Ils étaient, comme leur nom l’indique, les hommes les plus sages de la ville. 
Ils passaient couramment leur temps à résoudre des énigmes autrement plus importantes.
Des questions concernant la politique, le jurisprudence, le budget ...
Son mari étant membre de l’institution, elle s’était introduite dans cette réunion, pour leur proposer son problème.

"Un poney?" suggéra l'un des Conseillers, mais sa proposition fut immédiatement rejetée.
"Elle n'aime pas les animaux, même pas les chiens."
"En pleine ville?"
"Ridicule!"

Un long silence pesant, les Sages pensaient, et la mère de Charlotte se trémoussait inconfortablement sur son siège.
Elle savait que c'était une question absurde, comparée à celles que ces hommes avaient l'habitude de résoudre, mais elle occupait son esprit depuis six mois, et elle ne pouvait plus penser à autre chose. 
Charlotte avait tout ce qu’une jeune fille peut désirer, un petit ami, des copines, une voiture, toutes les toilettes et les abonnements qu'elle pouvait souhaiter. 
La situation sociale de son père lui ouvrait toutes les portes, et elle avait été acceptée dans l'université la plus prestigieuse de la contrée.
Charlotte était une fille privilégiée, elle avait tout, même l’inutile, et dénicher un cadeau original empêchait sa mère de passer des nuits paisibles.

Un des Sages a levé un doigt : "Et ça lui fait quel âge, à la gamine ?" 
La maman s’est redressée pour lui répondre, vexée : "C’est son vingtième anniversaire !"
"Alors, j’ai peut-être une idée !"
Le reste du Conseil se tourna vers lui.

 Il était l'un des aînés et très apprécié parmi les Sages.
"Peut-être qu’un gang-bang ?" La mère de Charlotte a eu un hoquet.

Il y eut un silence, tandis que l’assemblée évaluait son idée. Bientôt, tout les Sages ont approuvé.
La mère de Charlotte plissait le nez : "Un gang-bang?"
"Oh, oui, un gang-bang! Elle n'en a jamais eu auparavant, n'est-ce pas ?" renchérit le vieux Sage.
"Eh bien," dit lentement la mère de Charlotte, "non, mais ..."
"Alors on met cette idée au vote ! Que peut-on offrir à une jeune fille qui a tout ? Un gang-bang !"
Chaque conseiller approuva : "Oui ! Un gang-bang. Excellente idée !"
"Mais … !?" Personne ne disait mot, la mère de Charlotte ne trouvait plus d’argument pour terminer sa contestation.
Le plus ancien a frappé avec son marteau : "Très bien alors, adopté ! Un gang-bang !"

La maman aurait aimé faire la surprise avec le cadeau d’anniversaire, mais compte tenu de la ... nature ... du cadeau, elle a estimé qu'il était approprié d'en informer Charlotte le plus tôt possible.
"Mais je ne veux pas de gang-bang !" a déclaré la jeune fille, choquée.
"Heu … C’est un cadeau du Conseil des Sages ! Compte tenu de la situation de ton père, et de notre famille ..." répondit sa mère d'un ton apaisant. "Eh bien … C’est délicat, tu comprends ! Le Conseil l’a décidé. Tu dois te soumettre !"
"Oh !" dit Charlotte, l'air renfrognée. "Eh bien. Si ... je n’ai pas mon mot à dire !?"
La jeune femme avait l'air si contrariée que sa mère était tentée d'annuler la soirée. 
Mais ...Le Conseil des Sages leur accordait une faveur. Et elle ne voulait pas avoir l'air ingrate.
"Ils ont dit que ton fiancé, Martin, pourrait assister !" a-t-elle précisé, pour rassurer sa fille.
"Bon, si Martin vient avec moi, je suppose que ..."
La maman pensait : "Ils ont dit qu’il pourra assister, pas qu’il sera avec toi, à tes côtés !"

Le jour venu, Charlotte se tenait dans le hall de la salle du Conseil, visiblement anxieuse.

Elle portait sa robe de soirée préférée. 
Elle s'était préparée avec soin, l’esthéticienne l’avait rasée et graissée partout, ne sachant pas ce que les Conseillers avaient prévu comme réjouissances, s’ils fournissaient le lubrifiant, etc ...
Elle avait même apporté un petit paquet de préservatifs avec plusieurs saveurs différentes.

"Êtes-vous émoustillée ?" lui a demandé l’annonceur de la Chambre du Conseil.
Elle hésitait, ne sachant pas quoi répondre.
"Je n'ai jamais eu de … C’est ma première fois !" a-t-elle finit par reconnaître.
L'homme a tapé des mains avec enthousiasme : "Vous allez adorer ! Qui vous accompagne ?"
"Mon petit ami, Martin" Elle était soucieuse car il n’avait pas été autorisé à franchir les grandes portes en bois.

Avec un sanglot, comme elle était pressée d'en finir, elle a fait signe à l’annonceur de procéder. 
En entrant dans la Grande Salle du Conseil, elle fut choquée par l’intensité lumineuse.
Les rares fois où son père l'avait amenée ici, c’était si chichement éclairé.
En acclimatant sa vision, elle vit une demi-douzaine de caméras et autant de projecteurs disséminées dans la pièce, tous pointés résolument vers l'énorme table de forme ovale.
"Quoi ? Mais que signifie … ?"
"C'est pour la postérité" répondit la voix chevrotante du doyen, dans l’ombre. Elle ne pouvait pas voir sa source. 
"Pour que vous puissiez profiter de votre cadeau dans les années futures !"
"Oh, si c’est pour moi !" répondit-elle. Cela avait du sens.

Tandis que ses yeux s'adaptaient, elle distingua les silhouettes des huit Sages debout autour de la Salle.
"Où est Martin, mon fiancé ?"
Il y eut un silence embarrassé : "... il est en route ..." répondit la même voix chevrotante.
"Bon !" Elle faisait confiance aux membres du Conseil. "… Comment … Allons-nous procéder ?"
A peine avait-elle finit de prononcer ces quelques mots, qu'elle sentit des mains derrière elle dégrafer sa robe.
 
Elle tourna la tête pour voir que c'était l'annonceur.
"Je te prépare juste pour ce qui va suivre, poupée !" sourit-il.
"Merci" lui murmura-t-elle. Il lui fit un clin d'œil bienveillant en l'aidant à quitter sa robe.

Les membres du Conseil soupiraient et s’extasiaient à sa vue. 
Rougissante, elle aurait aimé couvrir son opulente poitrine, ses hanches pleines, mais elle savait que ce ne serait pas approprié. C'était les membres du Conseil des Sages, et ils étaient omniscients et omnipotents. 
Ce n’était pas des gens comme vous et moi. C’était des êtres supérieurs, des puissants, craints et respectés.
C'était complètement inutile de leur cacher son corps de jeune femme.

"J'ai apporté du lubrifiant !" a-t-elle dit, et l’assistance a semblé interloquée.
"C'est très gentil, mais ce ne sera pas nécessaire." a déclaré tranquillement la voix chevrotante. 
Les lumières étaient trop vives pour identifier lequel des vieillards lui parlait. 
Le silence qui a suivit l’intervention du Conseiller a mis Charlotte mal à l'aise. 
C’était un silence lourd, pesant. Elle n’entendait que les respirations ardentes de désir des vieillards libidineux.

Alors que le silence se prolongeait, elle se sentait rougir, objet de la concupiscence de l’assemblée.
Peut-être qu'elle était censée faire le premier pas, elle ne connaissait pas la procédure.
Enfin, juste pour briser la tension, elle grimpa sur la table et commença à crapahuter au milieu.

Au milieu de la salle du Conseil, sur une immense table en bois, entièrement nue, Charlotte se sentait exposée.
Pour lutter contre la timidité et la gêne qui la paralysait, elle se déplaçait à quatre pattes, tournant et retournant afin de bien montrer à toute l’assemblée, tous les détails de son anatomie parfaitement épilée et graissée.
Elle n'avait jamais ressenti pareil trouble de sa vie. 
Comment sa mère avait-elle put penser que ce serait un bon cadeau d'anniversaire ? 
Pourquoi personne ne s'était opposé à cette folie ?

Elle était détaillée sous tous les angles, comme si elle était la star d'un Peep Show, mais personne ne lui avait expliqué le scénario.
 Qu’était-elle censée faire?
S’allongeant sur le dos, elle entendit de nouveau ces halètements de convoitise de l’assemblée.
Ses seins ne tombaient pas, ils se dressaient, arrogants, défiant les lois de la gravité. 
Elle rougissait abondamment maintenant, consciente des regards désireux des vieillards.
Elle savait que son petit ami adorait ses seins, comme beaucoup de jeunes hommes qui la reluquaient sans honte.
Mais elle ne s'était pas attendue à ce que le Conseil des Sages se comporte comme une bande d’adolescents boutonneux.

Mues par un réflexe naturel, ses mains se sont posées sur ses mamelons.
Malgré la douce tiédeur de la pièce, elle fut surprise de constater que ses tétons étaient durs comme le roc. 
Elle les a saisit pour les masser et les assouplir un peu.
Elle ne pouvait pas ... elle n'était pas excitée par cette assemblée, n'est-ce pas?
Tandis qu'elle caressait ses gros nichons, Charlotte prit soudainement conscience de son humidité. 
Lentement, embarrassée et perplexe, elle toucha sa chatte épilée. Elle était trempée.

Comme si quelqu'un avait donné le signal du départ, il y eut un bruissement de vêtements, et Charlotte fut prestement entourée par les vieillards qui composaient le Conseil. 
Elle savait que les hommes choisis pour faire partie du Conseil devaient posséder des qualités hors normes, incluant la sagesse, l’intégrité, l’intelligence, des compétences dans beaucoup de domaines …
Mais nulle part il n’avait été mentionné qu'avoir un énorme pénis était une nécessité.

Chacun des huit hommes présentait un sexe presque deux fois supérieur à celui de Martin. 
Charlotte regardait, stupéfaite, les huit membres en érection s’approcher lentement. 
Ses doigts ont glissés sans effort dans sa cavité humide, frémissante d’excitation, explorant ses profondeurs, et enduisant de ses propres jus son clitoris tendu. Puis, son corps entier commença à palpiter et à frémir d'excitation.
Ces huit énormes queues radieuses allaient la remplir et la baiser toute la nuit. Elle n’en pouvait plus d’attendre.

Charlotte et Martin étaient sexuellement actifs. Mais ça avait toujours été si … pudique, se rendait-elle compte.
Toujours dans un lit, dans l’obscurité de la chambre, même en plein jour. 
Toujours avec beaucoup de préparation et de caresses pesantes au préalable. 
Toujours dans la position du missionnaire, comme il convenait de le faire.
Elle était satisfaite de leur activité sexuelle. Elle n'avait jamais connu d’autre partenaire, elle ne pouvait comparer.
Elle n’avait jamais connu l’extase, pas tant qu'il était en elle, mais parfois après, elle se donnait du plaisir.
C'était différent, mais agréable quand même, il lui suffisait de penser à un beau garçon, pas à Martin.

Aucun des vieillards ne l'a embrassée. Aucun d'eux n'a même essayé. Au lieu de cela, ils se sont tous approchés lentement d'elle, présentant leurs bites méchantes d'un rouge tapageur.
Pendant un instant, elle se sentit presque asphyxiée à leur vue, les huit bites les plus puissantes du pays.
Toutes pour elle. Toute leur attention sur sa jeune personne. 
Mais elle digéra sa panique en empoignant la situation. Après tout, c'était son anniversaire.

Elle tendit la main et attrapa la bite la plus proche, pour la prendre en bouche. 
Charlotte n'avait jamais eu l’occasion de goûter l'érection de son petit-ami, Martin pensait que c’était avilissant.
Elle a hardiment essayé d'avaler autant qu’elle le pouvait la longueur de l'énorme bite. Mais même en se tordant le cou.
Cela aurait été plus facile si elle avait pu utiliser ses mains, mais ils avaient attrapé ses mains pour les poser sur deux autres bites en attente et qui s’impatientaient graduellement.

Sa bouche et ses mains étaient occupées à contenter trois vieillards, ou plutôt leurs bites, pourtant il lui restait cinq érections de vieillards exigeant son attention, exigeant d'utiliser ce jeune corps offert à leur convoitise.
Charlotte n'avait jamais été aussi sollicitée, si convoitée, si envahie.
Elle gémissait la bouche pleine alors qu’une tige dure forçait sa gorge.
Une autre des ces énormes bites inconnues écartait ses jambes, son gland envoûtant désirait s’approprier sa fleur.
Son ventre s’ouvrit avec enthousiasme, elle était si mouillée, si désireuse d’être prise par un grand homme.
Tellement prête et décidée à profiter de son cadeau d’anniversaire.

La bite anonyme ne l'a pas déçue, elle a commencé à pousser dans son corps, la remplissant lentement. 
Elle frissonnait de plaisir en sentant ses chairs s’adapter à la taille inhabituelle. 
Chaque poussée dans sa chatte envahie lui semblait un feu liquide qui coulait dans son corps.
Curieusement, les énormes bites qu'elle ne pouvait pas prendre à l'intérieur de son corps se frottaient contre sa peau, ses seins, ses pieds.

Les lumières vives et l’afflux de vieillards qui se pressaient contre elle, l’empêchaient de voir distinctement les péripéties, et elle était trop absorbée pour en comprendre le déroulement, mais il lui semblait que les huit bites avaient réussi à obtenir de quoi s’occuper sur sa peau ou à l'intérieur de son corps.
Cela défiait la raison ... mais bon, c'était le Conseil des Sages. Eux, pouvaient le faire.

Charlotte était déchirée entre son désir de fermer les yeux pour savourer ce sentiment d'être, pour la première fois, vraiment baisée, et sa volonté de les ouvrir pour ne rien manquer. 
L’intensité des lumières et la violence de ses sentiments lui faisaient monter les larmes aux yeux, et elle savait que son mascara coulait sur son visage.

"Entièrement !" annonça la voix, celle du Conseiller Principal, le doyen et le plus sage de tous.
Le sexe dans sa bouche empêchait Charlotte de lui demander ce qu'il voulait dire, mais elle s’aperçut rapidement qu'elle n'en avait pas besoin. Il avait logé l'intégralité de sa longueur en elle. 
Cet énorme pieu de chair la remplissait maintenant complètement, la possédait, comblait sa chatte.
C'était un sentiment incroyable, la fièvre coulait dans ses veines.

"Maintenant" continuait la voix chevrotante "synchronisons nos actions."
Les yeux de Charlotte s'écarquillèrent tandis que les deux bites à l'intérieur d'elle, les deux bites dans sa main, et les quatre bites se frottant sur sa peau, toutes commencèrent à se retirer et à la pénétrer en même temps. 
En parfaite harmonie, les huit bites des conseillers se mirent à se mouvoir, la baisant sous tous les angles, à l'intérieur comme à l'extérieur. Elle était haletante, stupéfié par une multitudes de sensations. 
L’émotion, l’harmonie, les sens comblés par ces huit grosses bites qui la baisaient en chœur, elle n'avait jamais rien ressenti de similaire.

Le corps entier de Charlotte battait, palpitait au rythme de la baise parfaite des Sages. 
Elle voulait absorber ce sentiment, cette sensation, et le garder au plus profond de son être. 
Elle aurait voulu le ressentir chaque jour, baigner dedans, y consacrer toute sa vie.
Charlotte se sentait remplie. Utilisée. Séduite. Et plus ardente qu'elle ne l'avait jamais éprouvé.

Les énormes bites entraient et sortaient de son corps avec une cadence forte et puissante. 
Ils ralentissaient leur rythme, alliant légèreté et ferveur, puis recommençaient leur frénésie, parfaitement synchrones.
Chaque partie de son corps recevait une multitude de sensations différentes qui se mêlaient pour lui procurer un plaisir intense. Elle était en transes, imprégnée de désir exacerbé.
C'était comme une musique, tantôt lente, tantôt syncopée, parfois même endiablée. Une excitation pure, à l’état brut.

Toutes les énormes bites ont commencé à palpiter à l'unisson, et Charlotte devina qu'ils avaient atteint leur point de non-retour. Ils étaient sur le point de jouir, de l’inonder de leur foutre tout-puissant. Tous ensemble. 
Quel que soit le fil magique qui connectait le Conseil des Sages, il ne se limitait pas à leurs prises de décisions, il connectait également leur plaisir. 
Que ce soit contre sa peau ou à l’intérieur de son corps, ils allaient répandre leur divine semence, sur elle, en elle. Pour elle.

Pour la première fois depuis son entrée dans la salle du Conseil, Charlotte ferma ses jolis yeux. 
Elle était heureuse que le cadeau des Sages soit si ensorcelant.
Elle savait qu'ils lui avaient accordé, même temporairement, le meilleur d’eux-mêmes, ce qu’ils avaient de plus précieux.
Désormais, elle faisait partie du cercle. Mieux, elle était le centre du cercle.

Et quand ils furent prêts à éjaculer leur précieuse semence, Charlotte a jubilé.

Elle se concentra sur l’approche de leur plaisir. Elle se concentra sur l’enchantement des grosses bites en elle.
Le colosse qui baisait sa bouche, la bestialité de la virilité dans sa chatte submergée. 
Elle avait laissé faire, elle s’était laissée baiser, elle leur avait permis de l'utiliser comme une poupée de chair.
Elle avait juste resserré son emprise sur les énormes bites qu'elle tenait dans chaque main.
Elle voulait qu'ils jouissent. Elle voulait faire plaisir à ces puissants vieillards. 
Elle le voulait plus qu'elle ne l'avait jamais voulu pour Martin.

À leur approche, elle savourait. Charlotte se concentra sur leur plaisir et la sensation d'être utilisée.
"Je suis leur jouet, pensait-elle. Je suis juste une poupée sexuelle que ces vieillards peuvent utiliser à leur guise. Je suis un trou pour déverser leur trop-plein de foutre."
Ces pensées déviantes lui faisaient tourner la tête, la rendaient incroyablement plus excitée. Elle ne l'aurait jamais cru possible. Elle voulait vivre toute sa vie comme ça, fourrée par d'énormes queues, servant de déversoir.
Elle le désirait plus que tout.

Les efforts de Charlotte ont fini par porter leurs fruits. 
Elle pouvait sentir les sexes chavirer en elle, dans ses mains, frotter contre sa peau. Ils allaient jouir, tous. 
Ils allaient lui gicler dans la gorge jusqu’à suffoquer, lui remplir la chatte à faire exploser les parois avec leur semence. 
Ils allaient badigeonner sa jeune peau avec leur sperme.

Le sperme du Conseil des Sages allait couler pour elle, la marquant comme leur salope notoire.
Ce fantasme s'est mué en réalité, et son râle l'a foudroyée.
Son corps entier convulsait, frappé par l'orgasme le plus puissant de sa jeune vie, ondoyant à travers tout son corps. 
Les Vieillards jouaient grossièrement avec les parties sensibles de son corps, ses mamelons, son ventre, ses pieds, prolongeant ainsi son plaisir, faisant rouler son orgasme à travers son corps.

L’esprit de Charlotte s’écroula lorsque les vieillards qui l'entouraient atteignirent leur apogée, tous en même temps. 
Elle pouvait sentir les jets de sperme chaud atterrir sur sa peau, dans sa gorge, s'enfoncer profondément dans sa vulve.

"Je suis tellement contente qu'ils aient filmé tout çà, je pourrai revoir ce merveilleux moment." Pensait-elle.

Lorsque cette orgie de sexe s’est calmée, Charlotte sentit son esprit s’envoler dans la pièce. 
Grâce à de brefs flashs, elle pouvait visualiser ce qui était clairement impossible de voir.
Son petit ami Martin, assis dehors, pleurant toutes les larmes de son cœur.
Ses parents et amis, assis dans la pièce voisine, qui regardaient les images diffusées en direct.

Le Conseil des Sages retiraient leurs grosses queues aux érections qui commençaient à flétrir.

Sans qu'elle ne puisse formuler une pensée consciente, elle analysa son propre corps. 
Même si sa jouissance se calmait, Charlotte pouvait sentir le feu en elle brûler encore. 
Elle en voulait plus. Beaucoup plus! Elle voulait recevoir les membres du Conseil dans son cul. 
Elle voulait essayer d'en prendre plus en même temps ! Quatre, cinq à l'intérieur de son corps en même temps.
Elle en voulait plus !

"C'est fini, mon , nous ne sommes que des vieillards, savourez votre cadeau pour ce qu'il était." a déclaré la voix chevrotante. "Oui, monsieur," Charlotte se surprit à répondre docilement. 
Elle aurait pu continuer pendant des heures, mais elle comprenait que le Conseil des Sages ne pouvait pas lui accorder plus de temps. Ils étaient tous très occupés. Ils lui avaient donné un merveilleux cadeau d’anniversaire.

Elle allait terminer ses études à l'université l'année prochaine. 
Elle voulait renoncer à ses études supérieures pour postuler à la municipalité.
Là, espérait-elle, elle pourrait trouver les opportunités d’être traitée comme elle souhaitait l’être.
Passer ses journées à s’occuper de ces merveilleux vieillards puissants et capables.
Cet évènement exceptionnel deviendrait peut-être son quotidien.
Aussi souvent qu'elle le pouvait, elle avait l'intention de renouveler l'expérience qu'elle venait de vivre.

En se redressant sur la table, elle a vu que les grandes portes étaient ouvertes. 
Martin, ses parents, ses amis se tenaient là, dans l’embrasure. Charlotte se dressa fièrement à leur vue.

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