Ma Belle-Mère Marion (Suite)

Pour les nouveaux allez lire la première partie, merci et bonne lecture.


Je me suis assis à table pour prendre le petit déjeuner, elle était en face de moi, nous avons discuté, beaucoup discuté, nous en avons conclu que la nuit dernière était une erreur, que cela ne devait plus se reproduire, je savais que c'était le mieux, elle était en couple avec mon père et d'après ce qu'elle m'a dit elle était amoureuse, mais la nuit dernière avait tellement été magique que je ne voulais pas que cela s'arrête, je voulais jouer ce jeu dangereux. Elle se leva pour débarrasser la table, elle se pencha pour récupérer mon bol, j'avais une vue plongeante sur sa poitrine, et ça réveilla mon entre jambes. Quand elle se dirigea vers l'évier pour faire la vaisselle, je me suis levé et je suis arrivé derrière elle, j'ai mis mes mains sur ses épaules, elle sursauta mais ne dit rien, mes mains ont glissées le long de ses bras puis elles sont aller sur ses hanches, je me suis collé à elle, mon sexe se cala dans le sillon de ses fesses, elle bougeait doucement ses fesses ce qui durcit encore plus mon érection, puis elle se retourna, elle dit que nous étions fous et elle avait raison, nous nous sommes embrassés, mes mains baissèrent les bretelles de sa nuisette, ma bouche quitta la sienne pour venir embrasser, lécher ses tétons durcis par l'excitation, puis j'ai embrassé son ventre, j'ai soulevé ses cuisses, elle s'est retrouvée assise sur le plan de travail, les jambes écartées, offerte, elle se pencha en arrière en avançant son bassin et ma tête plongea entre ses cuisses, ma langue et mes doigts faisaient leurs maximum pour lui donner du plaisir et ses gémissements me confirmaient que j'étais sur la bonne voie, ses mains appuyées sur ma tête, elle m'encourageait dans ma quête à lui faire du bien, et elle jouit, je me suis relevé j'étais debout face à elle, elle m'entoura de ses jambes pour m'attirer vers elle et elle m'embrassa, elle se collait de plus en plus à moi, je l'ai soulevée et nous sommes aller vers le canapé du salon, une fois devant le canapé elle est descendu de mes bras et elle me poussa sur le canapé, elle m'enleva mon caleçon et prit mon sexe en main, elle me branla un moment en me fixant dans les yeux puis elle me prit en bouche, elle savait vraiment y faire, elle savait parfaitement alterner léchage et suçage, elle titillait parfaitement mon gland du bout de sa langue, elle n'hésitait pas à plonger son regard dans le mien ce qui rendait le truc encore plus excitant, je me laissais totalement aller, ma respiration s'accélérait, j'étais au bord de l'explosion, elle le comprit et accéléra je n'ai pu me retenir plus et j'ai joui dans sa bouche, elle continuait ses mouvements tant que mes jets de sperme se heurtaient contre les parois de sa gorge, quand ce fut fini, elle retira mon sexe de sa bouche, me fixa dans les yeux et elle avala toute ma semence.

Ensuite elle est venue se blottir contre moi, nous sommes restés longtemps ainsi, puis elle se leva et me dit qu'elle allait prendre une douche, à peine avais-je eu le temps d'ouvrir la bouche pour lui demander si je pouvais me joindre à elle, elle me tendit la main, nous sommes aller dans la douche, nous nous sommes lavés, embrassés, caressés, mes doigts ont fouillé son intimité, même un de mes doigts et allez voir si elle appréciait les caresses anales, elle semblait ne pas être dérangée, puis nous sommes sortis de la douche, à ce moment-là son téléphone s'est mis à sonner, elle regarda qui appela puis elle me regarda un peu paniquée parce que c'était mon père, elle me fit un signe de ne pas faire de bruit et elle s'allongea sur le lit tête aux pieds, pour parler à mon père, sa fellation sur le canapé et notre petite douche coquine m'ont mis dans un état d'excitation assez important et la voir allongée nue sur le lit eut raison de ma résistance, je me suis allongé sur elle, lui déposant des baisers sur les épaules, le dos, elle me regardait avec des yeux paniqués mais elle appréciait ce petit jeu, j'ai écarté un peu ses jambes et je me suis introduit en elle, elle dut son gémissement dans le matelas, j'étais sur elle et je faisais de lent va et vient en elle, elle avait du mal à tenir la conversation, c'était de plus en plus dur pour elle de ne rien laisser paraître, alors elle fit tout pour écourter la conversation, et une fois fini elle lâcha son téléphone et me demanda de la prendre plus fort. Je me suis retiré et je l'ai placé en levrette, ma langue est venue lécher son abricot et elle est même venue titiller son anus, elle semblait aimer, elle me le confirma juste après en me disant qu'elle appréciait, je lui ai demandé si elle aimait la sodomie, elle me dit qu'elle n'avait jamais fait mais que ça l'avait toujours tentée, je lui ai dit que je n'avais jamais fait aussi et que j'aimerais qu'elle soit la première à m'offrir ses jolies fesses et que j'aimerais être le premier à lui prendre sa virginité anale. elle tourna la tête et elle me dit d'y aller mais de faire doucement, j'ai craché sur sa rondelle et comme elle mouillait pas mal avec tout ça j'ai essayé de lubrifier au max, puis j'ai placé mon gland devant l'entrée et j'ai essayé de rentrer, au début se fut compliqué, elle avait mal, je lui ai dit de se détendre, mais que si elle voulait que j'arrête fallait qu'elle me le dise, mais elle me dit non qu'elle voulait le faire, alors j'ai recommencé et j'ai pu rentrer en elle, c'était serré, mais la sensation était agréable, je bougeais doucement, ça lui faisait mal, mais elle m'encourageait, puis la douleur a fait place au plaisir, elle se laissait aller de plus en plus et elle me disait d'y aller de plus en plus fort, j'agrippais alors plus fermement ses hanches et j'y allais plus fort, elle criait son plaisir, la découverte de cette pratique et le plaisir d'être dans son cul ont fait que je n'ai pas pu tenir longtemps et pour une première c'est peut-être mieux ainsi et j'ai joui au fond d'elle.

Nous avons reparlé de ces deux jours, elle avait honte d'avoir fait ce qu'elle a fait avec moi, mais elle ne le regrettait pas, mon père rentrait le lendemain, elle m'a demandé si pour moi c'était possible que ce qui s'était passé entre nous reste entre nous et que cela ne se reproduise pas, je lui ai dit que si c'était son choix, je le respecterais, elle préféra quand même allez dormir chez une amie à elle, le lendemain je suis partis en cours et quand je suis rentré elle était à la maison avec mon père, et le voir proche d'elle, l'embrasser ne me faisait pas plaisir mais j'avais donné ma parole...
Le temps passa sans qu'il ne se passe quoi que ce soit, j'avoue que ça me faisait chier le soir de les savoir dans leur chambre en bas en train de baiser, mais je prenais sur moi, j'avais trouvé un job d'été dans un fast-food et j'avais une copine depuis peu, nos baise était sympa mais il n'y avait pas ce petit truc qu'il y avait avec Marion. J'avais prévu de faire venir ma copine à la maison pour le week-end, mais quand nous sommes arrivés, Marion me dit que mon père était parti pour le travail, au fond de moi je me suis dit "merde, nous aurions peut-être pu baiser à nouveau", mais bon il fallait bien passer à autre chose, je lui ai quand même demandé si ça la dérangeait pas que ma copine passe le week-end, elle me dit que non, mais au fil de la soirée Marion fut plus cassante avec moi, un peu comme au début, au fond de moi je me demandais si elle n'était pas un peu jalouse. la soirée passa et nous sommes aller nous coucher, j'ai fait l'amour avec ma copine, c'est agréable avec elle même si ça reste classique, missionnaire et je dois jouir dans la capote, après ça elle s'est endormie, je sais qu'elle a le sommeil lourd surtout après avoir fait l'amour et je n'avais pas sommeil, je suis donc descendu dans la cuisine pour boire un verre, quand je suis arrivé Marion était là devant le frigo ouvert en train de se chercher un truc à boire, la lumière du frigo éclairé son corps, elle était penchée en train de chercher quelque chose à boire, sa position et sa courte nuisette laissée apercevoir la lisière de ses fesses, cela fit remonter tous ces souvenirs de baise avec elle, elle m'a vu et me demanda ce que je faisais je lui ai dit que j'arrivais pas à dormir et que j'avais soif, elle sort le jus de fruit et me servit un verre, je lui ai demandé ce qu'elle pensait de ma copine, elle me dit qu'elle était gentille, mais avec un ton hautain dans ma tête je me suis dit qu'elle était jalouse. Elle est allé s’asseoir sur le canapé du salon, je l'ai suivi, je lui ai demandé si elle n'était pas jalouse, elle pouffa en me disant qu'elle n'avait aucune raison d'être jalouse, je lui rappelle donc les piques qu'elle m'avait lancées pendant la soirée et le ton hautain qu'elle venait d'avoir, elle mit du temps à répondre mais elle me dit "aucune raison d'être jalouse, si j'ai envie de t'avoir je t'aurais", en disant cela elle s'est levée s'est mise face à moi et elle est venue se mettre à cheval sur moi, elle enleva les bretelles de sa nuisette, elle passa ses mains derrière ma tête et approcha ma tête de sa poitrine, mon nez était entre ses seins, son sexe frotté sur le mien, puis elle fit des mouvements de haut en bas ce qui décupla mon érection, mes mains sont aller se positionner sur ses fesses mais elle me dit non, elle se leva me souhaita une bonne nuit et partie dans sa chambre. avant d'aller me coucher je suis passé par les toilettes pour me branler, ensuite je suis aller au lit et j'ai eu du mal à dormir. Le dimanche Marion avait changé d'attitude, elle ne lançait plus de pique mais elle me regardait souvent avec son regard coquin, le même qu'elle faisait quand elle me suçait, dès qu'une occasion se présentait elle me frôlait, se frottait à moi, ma copine rentrée chez elle le soir, mon père lui ne rentrerait pas avant plusieurs jours, je me disais que mon aventure avec ma belle-mère Marion n'était pas finie...