La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1383)
soumis Amabalar au Château Histoire écrite par Amabalar - (textes améliorés par MDE) - (suite de l'épisode N°1380) -
- Votre chien est prêt, Monsieur le Marquis
- Merci, mon cher Walter
- Chers amis, nous allons pouvoir commencer le dressage de ce chien
Monsieur le Marquis dEvans se lève et sapproche de mon visage, moi qui suis toujours à quatre pattes sur la table basse, les chevilles solidement attachées aux quatre pieds. Je me trouve ainsi à la hauteur de sa ceinture et jimagine que cest maintenant que ma punition va réellement commencer. Le Maître ouvre Son pantalon et exhibe une belle verge de forte taille, saillante, bien veinée, au gland violacé et déjà droite.
- Regarde bien Mon Vit, bien dressé pour toi. Regarde bien mon gland, aussi, mordonne le Maître.
En effet, Monsieur le Marquis a une verge de taille fort respectable, longue et épaisse. Un gland impressionnant, violacé de sang dun volumineux diamètre.
- Je vais maintenant te dépuceler du cul, tenculer, te perforer lanus bien serré avec Mon Noble gland. Tu vas sentir ensuite toute la longueur et lépaisseur de Ma verge, jusquà ce que tu sentes mes couilles buter contre tes fesses, ce qui sera signe dune saillie totale, profonde, jusquà la garde... Alors, non seulement Valérie sera vengée, mais surtout, tu Mappartiendras définitivement, chien Amabalar... Et tu vivras uniquement pour Me servir et Me satisfaire, ce sera ton seul et unique bonheur
- Oui Maître, mentendis-je dire dans un mélange de bonheur inouï et dexcitation folle et que jamais jaurai soupçonné
- Tout est prêt, Walter ?
- Oui, Monsieur le Marquis
Devant limminence de mon dressage par le dépucelage de mon cul, je ne porte pas attention à ce que fait Walter. Monsieur Le Marquis me contourne et se retrouve devant mon fessier. Le Noble, pose alors Sa verge sur le haut de ma raie anale de chien soumis.
- Regarde, Valérie, comme ton mari est excité de cette proche saillie anale, un vrai soumis avec une nouille de chien
Je sais que je vais me faire prendre par le cul, attaché, sans pouvoir bouger, juste subir. Et je pense que secrètement, cest ce que je veux, être pénétré comme une salope, possédé comme une femelle, pris profondément, besogné à grands coups de reins sinon je ne serai pas dans cet état dexcitation, en forte érection. Le Maître magrippe et me maintient fermement par les hanches de Ses mains puissantes et commence à pousser. Je sens Son gland entrer et me pénétrer de plus en plus. Monsieur Le Marquis pousse plus fort encore. Je sens mon anus sélargir acceptant dêtre , il souvre de plus en plus et je me sens mécarté le plus possible pour faciliter cette enculade qui me fait bander comme un fou. Je suis en train de me faire dépuceler et ça me met un barreau denfer ! Mon cul souvre encore plus, je sens le gland qui mentre dedans, il me semble énorme. Jouvre la bouche sans pouvoir dire un mot. Cela devient douloureux mais paradoxalement délicieux en sensations. Il continue davancer, je me détends pour mouvrir plus, jai envie quil passe, je souhaite moffrir, donner mon corps à ce Dominant si charismatique, jen jouirai presque
. Je ne peux mouvrir plus et pourtant Monsieur le Marquis pousse encore. Sans relâche, sans soccuper de moi, je ne suis plus quun objet, Son objet, une chose, Sa chose, un trou à bite, Son trou à bite, Son vide-couilles
Je suis devenu en cet instant un véritable soumis, un vrai chien et ça me rend tellement heureux, quun incroyable bien-être menvahit. Dun coup sec des hanches, ponctué dun puissant han ! Monsieur le Marquis force définitivement mon anus, qui finit de souvrir dun coup en entier et se referme ensuite légèrement sur Sa hampe.
- Tais-toi ! Amabalar, le chien
Quelle sensation mes amis ! Il ny a pas mieux quun joli petit cul serré autour de Ma verge. Cest un véritable plaisir de Dominant que de prendre un nouveau soumis qui ne demande quà se faire prendre
Et vous verrez comme il va y prendre goût, au point que de se faire saillir par Ma verge, sera pour lui, une véritable récompense, un bonheur inouï, un réel objectif de sa vie de soumis à Mes pieds
Monsieur le Marquis entreprend de me déculer, il ressort dun coup Son gland de mes fesses. Je pousse un cri de douleur et de surprise...
- Puisque tu ne veux pas te taire, soumis Amabalar, Nous allons faire autrement. Charles, Mon ami, pouvez-vous empêcher ce chien de parler ?
- Oh ! Cher Marquis avec le plus grand des plaisirs.
Monsieur Charles sapproche alors de moi, de mon visage. Il baisse son pantalon et laisse apparaître une bite de taille tout aussi respectable que celle du Maître. Il se positionne devant mon visage.
- Ouvre ta bouche, le chien !
Je comprends très vite et jouvre la bouche qui est aussitôt remplie de son gland, suivi de sa hampe jusquà ma gorge.
- Voilà, cher Monsieur le Marquis, il ne parlera plus ainsi
.
- Très bien, alors recommençons et sans bruit cette fois, exigea le Noble
Le sexe de Monsieur Charles me remplit la bouche, je ne sais comment mettre ma langue tellement il est gros, ni quoi faire. Cest la première fois que jai une queue dans la bouche. A ce moment, le Châtelain pousse brutalement et me pénètre en une seule fois, dun coup puissant, dun seul, rapide et profond. Entrée brutale, douloureuse mais mes cris sont étouffés par lautre bite encombrant ma bouche.
- Alors ma chère Valérie, comment trouves-tu ton mari, ainsi possédé par ses deux orifices ?, senquit Monsieur le Marquis
- Vu dici, avec vous deux de chaque côté, une grosse bite dans chaque trou de ma lope de mari, cest un véritable embrochement quil subit, cher Edouard.
Monsieur le Marquis commence alors à faire des va-et-vient dans mes entrailles. En même temps, Monsieur Charles fait de même avec ma bouche. Je mesure la longueur et lépaisseur imposante de ses deux sexes qui vont simultanément et en rythme au plus profond de moi. Je suis possédé jusquaux couilles qui me touchent les fesses du côté anal et jusquau fond de ma gorge pour le côté buccal. Les va-et-vient sont synchronisés, je suis doublement et virilement baisé. Je me sens impuissant, totalement soumis. Les deux maîtres accélèrent jusquà se raidir encore plus, durcir, grossir. Le traitement dure un bon quart dheure quand je reçois quantité de jets épais et saccadés de semence de leurs énormes sexes dans mes entrailles et au fond de ma gorge, quasi en même temps et dans des râles de mâles en rut
Puis ils se retirent me laissant avec mes trous béants dégoulinant de sperme.
- Sache bien, Charles, que je naccorde ce privilège de la double jouissance sur un soumis quà mes véritables amis dont tu fais partie
- Cest un grand honneur que vous me faîtes de me compter parmi vos amis, Monsieur le Marquis
- chienne Lucie, occupes toi de ce chien, quil soit en forme et présentable pour tout à lheure. Pas de plug, je veux que son joli petit cul se referme, ordonna le Noble à Son esclave femelle tout en lui claquant des doigts et ponctué par une claque sur mes fesses...- Quant à toi, tu noublies rien, le chien ?
- Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, répondis-je naturellement !
Je comprends alors que mon dressage, ma punition ne sont pas terminés.
- Alors très chère Valérie, satisfaite de linversion de ta lopette de mari ? interrogea le Noble
- Ah pour ça oui. Je ne pouvais espérer mieux, Cher Edouard, mais javais confiance en tes qualités de Maître et je ne doutais pas du résultat !
Monsieur le Marquis se retourne vers son Majordome :
- Walter, quels sont les résultats ?
- Mes amis Charles et Coralie et toi Valérie, il faut que je vous dise que ce dépucelage anal a été transmis en vidéo direct par Walter sur un réseau crypté privé que jai créé avec un groupe damis triés sur le volet. Elles et ils ont tout vu en direct. Les résultats nous donneront une idée de la qualité de ce chien à éduquer. Aller Walter, dis-nous !
- Voilà, Monsieur le Marquis, quarante personnes ont suivi ce dépucelage. Douze ont fait des demandes dinscriptions pour demain samedi. Ou plutôt six groupes de deux.
- Merci Walter. Donc, six duos vont venir demain pour embrocher Amabalar ton chien-lopette de mari
Monsieur le Marquis parait satisfait de cette première en vidéo.
- Fêtons ce brillant résultat, levons nos verres de Dom Pérignon à ce soumis prometteur.
Le Noble, Charles, Coralie et Valérie portèrent un toast en imaginant ce que sera demain pour le chien Amabalar.
- Tu avais lair bien excitée, sexclame le Châtelain en se retournant vers Valérie
- Oh, ça oui, Cher Edouard, tu sais, je nai jamais été aussi mouillée de ma vie.
- Et quest-ce qui ta tellement excitée ? De voir ton mari se soumettre et se faire prendre par deux hommes ?
- Oui beaucoup bien sûr
Mais pas que
je
, dit-elle en baissant la tête
-
Mais pas que
quoi, aussi ?, coupa le Noble
- Eh bien, cest
cest difficile à avouer, je
, dit-elle en baissant cette fois les yeux
- Inutile den dire plus, ton visage, tes réactions, ton excitation sont un véritable livre ouvert
Alors écarte tes cuisses, salope !, rebondit le Noble en fixant Valérie dans les yeux.
Son regard calme mais glacial la fige sur place, bouche bée, dans lincapacité de prononcer un mot. Le ton de Monsieur le Marquis est froid sans nuance
- Obéis !, jai dit !
Valérie, comme hypnotisée et lexcitation aidant, écarte lentement ses cuisses, balançant entre la crainte, la honte davouer ce quelle ressent à ce moment-là, et le plaisir excitant de la situation. Elle se sent comme une chienne en chaleur au fond delle-même, avec ce quelle vient de voir. Mais elle redoute de lavouer à Monsieur le Marquis.
- Cest très bien, écarte encore plus, que Coralie vérifie que tu es bien trempée.
Aussitôt, Valérie referma brutalement ses cuisses
- Je ne veux pas quelle me touche, je ne lai jamais été par une femme et je ne le désire pas, répondit Valérie expliquant ainsi son geste.
- Ah ! Ah ! Ah !, sexclame Monsieur le Marquis en éclatant de rire !
- Ton comportement est inadmissible, cest un manque flagrant de respect envers Ma noble lignée. Tu vas être punie immédiatement, petit salope de chienne, réplique le Maître.
Valérie tétanisée devant le ton employé baisse les yeux, et son visage sempourpre comme par aveu de sa soumission.
- Je vois que tu as bien un tempérament de soumise. Je lavais deviné. Alors, je vais te dire ce qui tes si difficile à avouer ! Tu as amené ton mari ici pour te venger afin quil se soumette à Moi car tu savais, grâce à internet, avant de venir, ce que je suis, un Maître Dominant. Mais venger ton mari nétait pas ton seul objectif car même sil ta toujours été très difficile de te lavouer à toi-même, être à la place de ton mari quand tu le voyais, là tantôt, se soumettre sous tes yeux, tu en rêves depuis bien longtemps. Oui, à lévidence tu es une soumise en devenir et tes pulsions de soumission texcitent grandement et cela sans même savoir ce que tu es profondément et depuis très longtemps. Peut-être même depuis toujours, car cest ta Nature dêtre ainsi. Alors venir ici a été pour toi une occasion inespérée de vivre également ta véritable Nature
Je me trompe ?
- Je
Oui
Non
Je
enfin
Oui Edouard,
Je lavoue ... Tu as vu juste
mais
, répond-t-elle rouge comme une écrevisse et baissant la tête de honte
- Mais nen rougit pas, petite chienne en devenir ! La honte de ce que lon est, nexiste pas dans notre monde D/s, il existe dans cette société dite bienpensante, mais pas ici ! Avec Moi, tu vas avoir cette chance de tassumer pleinement sans honte, ni crainte. Tu vas pouvoir vivre ta véritable Nature, tout simplement, sauf bien entendu si tu souhaites ne pas franchir le cap et dans ce cas-là, on en parle plus... Mais je doute que ce soit le cas, car, encore une fois, jai vite deviné les vraies raisons de ta présence ici
Tu as donc 1 minute pour te décider : Soit tu avances au milieu de la pièce et attend Mes ordres, soit tu quittes la pièce tout de suite et on oublie cette conversation et je moccuperai uniquement de ta lopette de mari
Valérie ne bouge pas et les pensées dans son cerveau sactivent à vitesse grand V. Mille questions lui viennent en tête
Mais elle comprend très vite que son ami de collège, le Noble, a deviné très exactement ce quelle ressent, ce quelle est par Nature
Et il aurait été trop stupide de ne pas saisir cette incroyable main que lui tend le Châtelain
Alors la minute nest pas terminée quelle savance au milieu de la pièce la tête baissée, les mains derrière le dos
Alors Monsieur le Marquis lui dit dun ton ferme, mais calme :
- Parfait, je vois que tu as compris la chance que je toffre, de vivre ta soumission qui sommeille depuis trop longtemps, en toi
A partir de cet instant, terminé le tutoiement du copain de collège à Mon égard, et plus de Edouard
Dorénavant, tu Me vouvoies et tu Mappelles Maître
(A suivre
)
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